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(06/12/2007 15:26:08)
La sortie du quadri-coeur d'AMD freinée par un bogue
Faute d'avoir corrigé le bogue dans le silicium, AMD livre ses premiers processeurs quadri-coeurs au compte-gouttes avec un patch à appliquer sur le Bios. Le silicium de ces quadri-processeurs connus sous le nom de code Barcelona ne sera pas corrigé avant le premier trimestre 2008. Le bogue réside dans la mémoire cache de niveau trois que se partagent les quatre coeurs des Barcelona. Une correction de ce bogue par l'entremise du Bios affecte, bien sûr, le niveau de performance globale. (...)
(06/12/2007 15:06:16)Ouverture du 10ème concours d'aide à la création d'entreprises innovantes
Avis aux futurs créateurs d'entreprises innovantes. Les inscriptions à la 10ème édition du concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes sont ouvertes depuis le 1er décembre. Organisé conjointement par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, l'Agence nationale de la recherche (ANR) et l'organisme de financement et d'accompagnement des PME Oseo Innovation,. ce concours récompense et accompagne, dans toute la France, les meilleurs projets de création d'entreprises s'appuyant sur des technologies innovantes. Son succès relève à la fois de l'importance de l'aide financière et de l'accompagnement accordés aux jeunes entrepreneurs. Pour l'édition 2008, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a souhaité ouvrir le concours aux entreprises créées depuis le 30 juin 2007. Elles pourront concourir jusqu'au 31 janvier 2008, en déposant leurs dossiers auprès des directions régionales d'Oséo Innovation. Cette année, une première catégorie récompense les projets « en émergence » , qui nécessitent encore une phase de maturation et de validation technique, économique et juridique. Une subvention d'un montant maximum de 45 000 €, récompensera les lauréats, ce qui leur permettra de financer jusqu'à 70 % des prestations nécessaires à la maturation de leur projet. La seconde catégorie adresse les projets en « création-développement », dont la preuve du concept est déjà établie et qui ont ou vont donner lieu à une création d'entreprise à court terme. Une subvention d'un montant maximal de 450 000 €, permettra de financer jusqu'à 60 % du programme d'innovation de l'entreprise en voie de création et de développpement. Pour participer au concours, les candidats doivent adresser leur dossier de participation en cinq exemplaires au plus tard le jeudi 31 janvier 2008 à la direction régionale d'Oséo de la région de leur domicile. Les dossiers de participation sont disponibles sur les sites Internet du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, de l'Agence nationale de la recherche (ANR), et d'Oséo. Ils peuvent aussi être retirés auprès des délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT) et des directions régionales d'Oséo Depuis 1999, les jurys ont sélectionné 1 721 lauréats. Ce qui a permis de créer quelque 120 entreprises de technologies innovantes par an, soit un total de près de 900 entreprises, dont 83 % étaient encore en activité fin 2006. 76 % des entreprises créées en 2001 ont dépassé le cap des 5 ans alors, que selon l'Insee, une entreprise traditionnelle sur deux disparaît sur cette période. (...)
(06/12/2007 12:22:31)Les RC de Vista SP1 et Windows Server 2008 disponibles au téléchargement
Les abonnés MSDN et Technet de Microsoft ont eu droit hier à une nouvelle version de Windows Server 2008 (la Release Candidate 1) et de Windows Vista SP1. Ces deux systèmes d'exploitation devraient être lancés publiquement au premier trimestre 2008. Si Windows Server 2008 est attendu pour le 27 février 2008, le service pack de Vista devrait lui arriver en deux temps. En février/mars, les versions anglaises, françaises, espagnoles et japonaises pour Vista 32bit et 64bit, puis huit à douze semaines plus tard dans les autres langues. Parmi les nouveautés de ces deux installations, l'abandon du « kill switch » qui désactivait automatiquement les systèmes d'exploitation piratés. (...)
(06/12/2007 10:09:43)E-Administration : La réforme de l'administration mal appréhendée
Selon une étude Ifop-Accenture-Les Echos Conférences sur « le regard des agents publics d'Etat et territoriaux sur le processus de modernisation de l'Etat », le sentiment des fonctionnaires à l'égard de la modernisation de leurs métiers et des services apportés aux citoyens est des plus mitigés. Tout d'abord, les évolutions ne sont pas bien connues (22% se considèrent bien informés contre 78% pas assez dont 23% pas du tout informés). De l'ignorance naît l'inquiétude (62% se déclarent inquiets de l'évolution en cours) même si 73% estiment que réformer est, en soi, indispensable. Malgré tout, 61% pensent que les réformes seront positives pour les citoyens. Plus de la moitié des fonctionnaires n'espèrent par contre pas de nouvelles perspectives de carrières (57% des réponses). (...)
(06/12/2007 09:14:45)Les clients anglais d'Oracle satisfaits des produits mais pas du support
Satisfaits de la technologie et des logiciels d'Oracle, les utilisateurs britanniques le sont moins quand il s'agit du support fourni par l'éditeur sur ses produits. C'est ce qu'indique l'enquête menée cette année, auprès de 600 personnes, par le club des utilisateurs Oracle du Royaume-Uni (UK Oracle User Group). Ce sondage révèle qu'un utilisateur sur cinq se plaint de la qualité du service fourni par le centre de support globalisé d'Oracle. La proportion de ces insatisfaits a plus que doublé par rapport à l'an dernier, passant de 7 à 17% des répondants. Ce qui semble poser un problème, c'est le faible niveau d'expression en anglais des équipes de support qui travaillent dans ces centres externalisés, souligne Ronan Miles, président du club des utilisateurs britanniques. Pour contrebalancer ce point négatif, il signale que les outils de support fournis en ligne par Oracle sont unanimement appréciés par ceux qui y ont recours. « Toutefois, seule la moitié des utilisateurs s'en sert et on peut se demander pourquoi l'autre moitié ne le fait pas ». Insatisfaction sur le mode de vente de licences Le président du club britannique a rappelé qu'en revanche le niveau de satisfaction sur les produits Oracle a augmenté, ajoutant que l'éditeur devrait être content de voir que ses efforts sur la qualité de ses logiciels semblaient payer. Mais il a enchaîné sur le deuxième grief important constaté cette année chez les utilisateurs : 32 % d'entre eux se plaignent du mode de vente des licences, contre seulement 15 % s'en déclarant satisfaits (un taux en baisse de 5% par rapport à 2006). Plus que sur le tarif, le motif d'insatisfaction semble surtout porter sur la façon dont Oracle vend ses différentes gammes de produits, séparant les applications des solutions technologiques (base de données, serveur d'application, outils de développement...). Au début de l'année, l'éditeur a scindé en deux ses structures commerciales. Chaque client est donc en contact avec deux forces de vente distinctes, l'une chargée des progiciels, l'autre de la technologie, ce qui ne semble pas convenir à tout le monde. « Je ne comprends pas pourquoi Oracle a pensé que cela pourrait aider ses clients, avance Ronan Miles. Je n'aurais pas procédé ainsi. » L'enquête du club utilisateurs indique par ailleurs un fort taux de satisfaction sur les offres de formation, Oracle University (44% de sondés satisfaits, +16% par rapport à l'an dernier) et de conseil, Oracle Consulting (54% sont contents de ces prestations et 76% les recommanderaient à d'autres entreprises). (...)
(06/12/2007 09:12:49)L'Insead propose d'évaluer et de valoriser les actifs logiciels
Et si, plutôt que de considérer les logiciels comme un centre de coûts, les entreprises les valorisaient ? Micro Focus, éditeur de logiciels de modernisation du patrimoine applicatif, s'est posé la question, et a demandé à l'Insead d'y répondre. Soumitra Dutta, titulaire de la chaire « Business & Technology » de l'école de commerce, a conduit une enquête tant quantitative que qualitative, qui montre que les entreprises n'ont globalement aucune idée de la valeur de leurs actifs logiciels. Les trois quarts des 250 personnes interrogées (CIO et CFO, c'est-à-dire directeurs informatiques et financiers) aux Etats-Unis et en Europe estiment que les actifs logiciels sont critiques, voire très critiques, pour la stratégie de l'entreprise. Mais 60% n'en connaissent pas le périmètre, et 29% ne savent pas combien elles dépensent pour les actifs essentiels. Autre chiffre étonnant : seulement 10% jugent excellents (et 26% très bons) leurs efforts pour communiquer la valeur des actifs logiciels au conseil d'administration. Dans ces conditions, pointe Soumitra Dutta, le DSI ne se retrouve pas en très bonne situation face à la direction générale au moment des attributions budgétaires. Pire, dans la mesure où le DSI ne valorise pas l'existant, ce dernier n'est plus géré que par les coûts, alors que ce sont généralement ces vieux systèmes, souligne-t-il, qui constituent la pierre angulaire du système d'information. A ce titre, « ils représentent la valeur cachée des entreprises ». Un essai pour appliquer la méthode de l'analyse conjointe aux actifs logiciels Certes, ces systèmes anciens coûtent énormément. On dit généralement que 70% des dépenses sont consacrées à la maintenance. « Mais tout dépend de ce qu'ils rapportent », répond Soumitra Dutta. Son étude donne l'exemple suivant : si on dépense 100 000 $ pour un système qui en rapporte 1 million, il n'y a pas de souci. S'il ne rapporte que 200 000 $, cela peut devenir un souci. Tout le problème est de déterminer la valeur d'un actif logiciel. Le professeur de l'Insead explique que les méthodes traditionnelles, par les coûts, par la valeur de marché ou par le revenu, ne sont pas adaptées au logiciel d'entreprise. Il propose plutôt d'appliquer une technique de marketing, dite d'analyse conjointe. Cette technique s'inspire de la façon dont un consommateur fait des choix entre différents produits, en évaluant l'intérêt d'un certain nombre d'attributs liés à ce produit. Pour l'instant, cette méthode n'a pas été mise en oeuvre. L'Insead prévoit de mener deux projets pilotes dans des entreprises, pour étudier sa possible mise en application. Micro Focus a de son côté pris rendez-vous avec le Cigref, Club informatique des grandes entreprises françaises, pour lui présenter cette étude et l'inviter à mieux considérer le patrimoine logiciel existant. Comme le dit Soumitra Dutta, cela peut aussi constituer une valeur à présenter aux actionnaires. (...)
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