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(22/10/2007 17:19:53)
Markess évalue à 500 M€ le marché des outils d'interaction clients en 2009
Comment les technologies Web et mobiles s'insèrent-elles dans le traitement des interactions avec les clients ? Une étude de Markess International, effectuée en France au troisième trimestre 2007 sur 200 entreprises et organisations, répertorie les usages pour lesquels les solutions GRC de front office sont sollicitées et ébauche l'évolution des pratiques. Le cabinet d'études évalue à 400 M€ le marché français des logiciels et services autour de ces solutions en 2007. Un marché qui, selon Markess, devrait croître de 12 % par an en moyenne jusqu'en 2009 pour atteindre 500 M€. Rappelons que les outils de frontoffice impliquent un contact direct avec le client, par opposition aux applications de backoffice comme la comptabilité ou la gestion de la chaîne logistique. « La relation client couvre un domaine assez vaste et touche de nombreux processus, en avant-vente et en après-vente, rappelle Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée chez Markess International. Notre objectif était notamment d'évaluer si les entreprises avaient conscience de l'existence des nouveaux outils, basés sur Internet notamment, et d'établir leur niveau d'appropriation de ces technologies. » Sur la nature des solutions choisies, l'étude de Markess constate trois cas de figures. Soit l'entreprise a installé un centre d'appels interne, soit elle confie à un prestataire externe le suivi des appels, soit elle interagit avec le client en ajoutant à son backoffice des outils de frontoffice basés sur Internet, par exemple pour proposer un suivi de livraison ou une prise de commande sur le Web. Dans ces cas-là, les processus sont déroulés sans rupture avec les applications de gestion. A l'horizon 2009, flux multimédias, voix sur IP, blogs... D'ici à 2009, 42% des entreprises souhaitent mettre en place une gestion de contacts multi-canale, 32 % d'entre elles souhaitant mieux gérer les flux multimédias entrants et sortants. 28 % veulent recourir aux bases de connaissances, ainsi qu'aux services de « Web call back » ou « click to talk » permettant à un internaute d'être rappelé ou d'avoir un interlocuteur en ligne, en mode voix sur IP. Toujours à l'horizon 2009, les entreprises citent aussi le recours aux outils de pilotage d'activité (25 %), aux blogs (20 %), à la voix sur IP et au workflow (18 %), aux bornes interactives et à la visioconférence (16 %), à la messagerie instantanée (15%) et aux wikis (11 %). Dans 76 % des cas, les entreprises utilisent des solutions de front office pour gérer l'accueil fait au client. 57 % d'entre elles y recourent pour leur prospection commerciale, 56% pour le traitement des réclamations, 51 % pour la prise de rendez-vous et 44% pour des opérations de télémarketing. D'autres usages sont cités : les opérations de service après-vente et la prise de commandes, dans 37% des cas, les demandes d'informations (30 %), le support ou l'assistance (29 %) et la diffusion de messages d'alerte (28 %). (...)
(22/10/2007 17:01:19)Bull s'intéresse toujours à GFI et n'a toujours reçu aucune proposition de HP
A l'occasion de la publication des résultats pour le troisième trimestre, le PDG de Bull, Didier Lamouche, a déclaré vendredi dernier que le rapprochement avec la société française GFI Informatique, dont il avait été question cet été, était toujours d'actualité : « nous avons retrouvé la sérénité pour en discuter calmement", a-t-il déclaré à l'AFP, et d'ajouter : "Les discussions n'ont jamais arrêté". Bull, qui vient également d'annoncer l'acquisition du spécialiste du calcul haute performance Serviware, s'est en revanche montré plus évasif sur les rumeurs d'une éventuelle proposition du fabricant HP, dont il avait également été question cet été. Didier Lamouche affirme n'avoir reçu aucune proposition formelle tout en laissant la porte ouverte à toute négociation, d'où qu'elle vienne. (...)
(22/10/2007 16:32:43)Aux Etats-Unis, les licenciements IT baissent de 19%
Aux Etats-Unis, et pour la première fois depuis longtemps, le nombre de postes supprimés dans le secteur IT a atteint son niveau le plus bas, cette année. Challenger, un cabinet d'outplacement basé à Chicago montre que le nombre d'emplois réduits, outre-Atlantique, a reculé de 19% au cours du troisième trimestre 2007, par rapport au trimestre précédent. Quelque 26 242 licenciements ont ainsi été effectués sur cette période, contre 32 500 suppressions de postes effectués au cours du deuxième trimestre 2007. Si le cabinet note une baisse sensible des licenciements dans les télécommunications et chez les fabricants de PC, il relève parallèlement des coupes importantes dans le secteur des semi-conducteurs. Au cours du troisième trimestre 2007, le nombre d'emplois supprimés, dans l'industrie des composants, a ainsi augmenté de quelque 127%, par rapport au trimestre précédent. (...)
(22/10/2007 16:29:18)Mac OS Server 10.5 Leopard arrive sans serveur digne de lui
La sortie de Mac OS X Server 10.5 Leopard est annoncée pour le 26 octobre, soit à la même date que la version cliente du système d'exploitation d'Apple. Mac OS Server 10.5 repose sur l'Unix Open Source FreeBSD (qui n'a pas grand-chose à envier à Linux). Ce dernier supporte les dernières améliorations qu'Intel et AMD ont apporté à leurs processeurs, y compris les quadri-coeurs. Il en est de même pour la couche TCP/IP, qui sait désormais optimiser l'utilisation de la bande passante, et pour le serveur NFS (qui supporte Kerberos). Apple a ajouté l'outil de debugging et d'optimisation Dynamic Tracing (DTrace) de Sun, mais n'a pas été jusqu'au bout de l'implantation de ZFS, son système de fichiers 128 bits. Sinon, la firme à la pomme qui propose un environnement apparemment 100% 64 bit, dévoile les outils maison Wiki Server et Podcast Producer au nom suffisamment évocateur pour dispenser d'une explication. A ces logiciels aussi pratiques que dans l'air du temps, viennent s'ajouter un outil de recherche capable de scruter l'intégralité d'un réseau et Time Machine, un utilitaire de sauvegarde automatique sur système de stockage externe. Si l'on ajoute les habituels et toujours bienvenus Apache 2, MySQL 5, PostFix et d'autres outils libres en version 64 bit, le tour du propriétaire s'achève sur une agréable impression de satiété. Techniquement à la pointe, doté d'une l'interface homme/machine sans comparaison avec les autres Unix, Mac OS Server pourrait bien être le point d'entrée idéal pour ceux qui voudraient profiter de la robustesse d'Unix et de ses performances sans avoir à s'immerger dans son code. Las, Apple réserve son Mac OS Server à ses XServe, des machines au rapport prix/performance affligeant. Les Xserve en sont encore aux bi-coeurs Xeon de première génération et n'existent ni en bi ni en quadri processeur. Sans parler de l'ignorance du format lame. Des arguments définitifs pour refuser de lancer la longue et fastidieuse procédure de validation dans des DSI qui ont d'autres choses à faire. Dommage pour Mac OS Server 10.5 qui reste du coup une alternative théorique à IBM AIX, HP-UX et Sun Solaris. Aux Etats-Unis, les prix s'établissent à 500 $ pour une version supportant dix clients et à 1000 $ pour une version illimitée. A noter qu'Apple ne propose que le téléchargement de Mac OS X Server 10.5 (...)
(22/10/2007 16:20:15)Microsoft se plie aux exigences de la Commission européenne
Il aura fallu attendre trois ans et une confirmation en appel le mois dernier pour voir Microsoft s'aligner sur les exigences de la Commission, émises en 2004. Aujourd'hui lundi 22 octobre, le corps exécutif européen a déclaré que Microsoft avait fait des concessions substantielles pour se plier aux exigences de la Commission européenne émises il y a trois ans. Dans un communiqué rédigé par Neelie Kroes, commissaire européenne en charge du dossier anti-trust, la Commission explique que l'éditeur de Redmond a finalement décider de régulariser un point litigieux : l'accès aux informations d'interopérabilité ainsi que les royalties perçues pour leur utilisation. A la suite du procès de 2004, Microsoft avait dû d'abord verser 497 M€ d'amende pour abus de position dominante, puis garantir la sortie d'une version de Windows sans le Media Player. A l'époque, la Commission avait également condamné Microsoft à publier les détails techniques de ses protocoles de communications embarqués dans les OS serveurs de la marque. Mais les résultats fournis par l'éditeur n'avaient pas satisfait la Commission, qui a jugé notamment « déraisonnables » les prix pratiqués pour l'obtention des informations d'interopérabilité. Puis, agacée, avait condamné l'éditeur à une amende supplémentaire de 280,5 M€ l'année dernière. 10 000 € pour accéder aux données techniques Le présent accord vient ainsi mettre un terme à ce dernier litige, s'alignant Microsoft sur les desiderata de la Commission. Primo, l'accès et l'utilisation des protocoles d'interopérabilité de Microsoft seront désormais ouverts aux développeurs du monde de l'Open Source (des points les plus critiques pour Microsoft à l'époque) en toute sécurité. Secundo, la tarification pratiquée pour l'usage de ces mêmes données seront abaissées à un prix unique de 10 000 €. Rappelons qu'en guise de redevance, Microsoft demandait 2,98% des revenus dégagés par les applications utilisant les protocoles techniques. « Je salue le fait que Microsoft a enfin accepté des mesures concrètes pour assurer le plein respect de la décision de 2004 », a déclaré Neelie Kroes, à l'AFP. Reste que dans ce même communiqué, la Commission fronce les sourcils, et avertit Microsoft qu'elle aura toujours l'oeil sur ses pratiques. « Microsoft a l'obligation de continuer à se plier aux exigences de 2004, et doit ainsi faire l'effort de résoudre tout problème allant à l'encontre de ces décisions. » Et de conclure : « La décision de mars 2007, comme confirmée par la Cour de première Instance le mois dernier, a créé un précédent qui implique la surveillance de ses comportements futurs dans ce domaine et d'autres. Microsoft doit garder ça à l'esprit. » (...)
(22/10/2007 15:54:15)Dell lance un concours technologique « vert »
Si vous avez des idées à la fois pour la planète et pour des produits informatiques, ne manquez pas d'en faire part à Dell. Après s'être récemment engagé à neutraliser ses émissions de carbone d'ici à 2008, le constructeur texan poursuit son engagement en faveur du développement durable en lançant une compétition « verte » internationale. Le concours 'ReGeneration : International Green Computing Technology Design' invite les étudiants, particuliers et amateurs de l'informatique d'au moins 18 ans, à concevoir le produit technologique qui respectera au mieux l'environnement et la santé. Les candidats pourront s'inscrire entre le 9 janvier et le 2 avril 2008. Les collaborateurs de Dell et leurs proches, ainsi que les professeurs de design dont des étudiants se seraient inscrits, ne sont pas éligibles. 10 000 dollars par finaliste - à condition de prouver l'intérêt écologique Les projets devront être présentés en anglais et seront notés selon différents critères. Les impétrants devront ainsi faire valoir le degré de faisabilité et le réel apport écologique de leur projet, mais aussi leur caractère esthétique et innovant. Ils devront exposer comment leur produit aide à protéger l'environnement et quelles sont les méthodes et normes utilisées pour évaluer son impact écologique. Des notes porteront également sur les motivations des candidats à s'engager dans la défense de l'environnement. Les cinq finalistes sélectionnés par le jury pourront recevoir la somme de 10 000 dollars. Une récompense de 15 000 dollars sera également décernée par les votes des internautes. « Nous voulons que les meilleures idées aident les technologies à protéger notre environnement », a commenté Ken Musgrave, directeur du design industriel chez Dell. (...)
(22/10/2007 15:12:11)Wimax devient enfin une norme internationale de l'ITU
L'international Telecommunication Union (ITU), groupe radio (ITU-R) vient de statuer sur Wimax, la reconnaissant comme une technologie sans fil du groupe IMT-2000 (International Mobile Telecommunications). En lui attribuant le 18 octobre dernier le statut de standard international, l'organisme place Wimax sur un pied d'égalité avec les autres normes 3G déjà en place, à savoir le WCDMA, le CDMA-2000 ou le TD-SCDMA. Cette normalisation est particulièrement importante pour l'allocation des ressources de fréquence par les gouvernements car de plus en plus de pays s'engagent sur la voie de la transmission radio avec la technologie Wimax, notamment aux Etats-Unis et en Asie. Concrètement, aujourd'hui un opérateur mobile disposant des fréquences 900 MHz (GSM), 1800 MHz (GSM) et 2,2 GHz (UMTS) pourrait utiliser ces fréquences pour déployer du Wimax. Ou, en d'autres termes, lorsqu'un pays autorise le déploiement d'un réseau 3G, les opérateurs auront la possibilité de déployer indifféremment les technologues WCDMA, CDMA-2000 ou Wimax. Officiellement baptisée IMT-2000 OFDMA TDD WMAN, le mode de transmission radio Wimax est la sixième technologie sans fil reconnue par le groupe de travail IMT-2000. Nul doute que cette normalisation contribuera à un développement des réseaux utilisant cette technologie, entraînant par la même occasion une redistribution des cartes entre les opérateurs. Les analystes sont notamment unanimes sur le fait qu'elle devrait favoriser des implémentations en Europe où elle est encore peu présente et ainsi contribuer à une augmentation des volumes de production, laquelle permettrait de diminuer les coûts des équipements dans le monde entier. (...)
(22/10/2007 14:52:38)Amazon offre 100 000 dollars au meilleur développeur de services Web
Amazon vient de lancer un concours au meilleur AWS (Amazon Web Service), autrement dit un Service Web utilisant les technologies du célèbre site de vente en ligne. Les développeurs (individuels, ou start-up) intéressés ont jusqu'au 28 octobre pour déposer leur candidature sur le site de la société en remplissant un formulaire dans lequel ils décrivent leur application, qu'elle soit encore au stade de simple idée ou déjà finalisée. Amazon retiendra les 5 meilleurs AWS en se basant sur l'originalité, la créativité mais également le service rendu au site. Les cinq finalistes seront ensuite invités au siège de la société à Seattle en novembre pour présenter leur application à un jury qui prendra alors sa décision. Le prix remis au vainqueur s'élève à un montant total de 100 000 dollars, dont 50 000 dollars en cash ainsi que différents avantages en termes notamment de formation avec les experts techniques de la société. (...)
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