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(10/10/2007 18:16:35)
EBay se lance dans le shopping à la Web 2.0
EBay vient d'annoncer la création de quelques 600 micros sites baptisés « ebay Neighborhoods ». Il s'agit de mini-réseaux sociaux consacrés à un produit spécifique (café, téléphones, ameublements, etc.) au sein desquels les utilisateurs peuvent se retrouver, partager, dialoguer et bien sûr vendre et acheter. Les contenus publiés sur le site générique (blogs, guides et autres services dont notamment le moteur de recherche) sont exploités par ces microsites en fonction de leur contexte spécifique. Les utilisateurs ont la possibilité d'intervenir dans autant de microsites qu'ils le souhaitent dans un cadre très « web 2.0 », puisque tout a été prévu pour qu'ils puissent inviter des amis, échanger des photos ou encore discuter. Ce lancement intervient après une année plutôt difficile pour eBay. La société enregistre en effet une baisse sur le second semestre de 6% des produits diffusés sur le site par rapport au premier semestre de l'année (diminution de 2% sur l'année). Une tendance à la baisse de fréquentation qui semble donc se confirmer. Ces microsites pourraient favoriser un retour des clients mécontents qui avaient quitté le site pour des concurrents. Avec près de 560 millions de produits mis en vente rien que sur le second semestre, eBay devient en effet une botte de foin dans laquelle il est très difficile de trouver son aiguille et ce, malgré le moteur de recherche performant. En créant des pôles d'intérêts limités à des produits spécifiques, la société apporterait une solution à ce problème tout en offrant de nouveaux services pour séduire et récupérer son leadership sur le marché des enchères en ligne. (...)
(10/10/2007 18:10:20)Le Gartner voit 2008 en dix technologies
Le Gartner a identifié dix technologies qu'il qualifie de "stratégiques" pour 2008. Nombre d'entre elles étaient déjà présentes dans un tour d'horizon similaire de l'an passé. Ces technologies ne s'inscrivent donc pas en rupture d'une évolution, mais bien comme les derniers avatars de tendances de fond qui emmène le monde de l'entreprise (et le reste) vers une omniprésence du numérique dans tous les processus. Les dix technologies de 2008
En 2010, la plupart des entreprises fonctionneront en VoIP, prédit Idate
Selon un récent rapport d'Idate, centre d'études et de conseil spécialisé sur les secteurs Télécoms, Internet et Médias, le marché de la téléphonie en entreprise a opéré un tournant inéluctable vers la VoIP (Voice over IP, voix sur IP). Dans 3 ans, 70% des lignes des entreprises fonctionneraient en effet déjà sur IP contre seulement 30% en TDM (Time Division Multiplexing), solution de téléphonie traditionnelle en nette régression. Synonyme de réduction des coûts de la facture téléphonique, la VoIP touche aussi bien les grands comptes que les PME. Début 2006, 56% des grands comptes avec déjà basculé vers la téléphonie IP, adoptant des solutions « Full IP » ou « hybrides », mixtes de TDM et de VoIP. Dans les PME, en revanche, elles n'étaient que 12%, mais selon Idate le taux de pénétration est aujourd'hui plus rapide sur ce secteur qui devrait ainsi progressivement rattraper les grands comptes. Cet engouement pour la téléphonie sur IP a bien entendu un impact sur les équipementiers, les intégrateurs et les opérateurs. On devrait en effet assister à une réorganisation du marché. Idate prévoit une baisse de la demande sur les solutions hybrides au profit de plateformes « full IP » composées de PABX IP et de téléphones IP. Les solutions de type Centrex IP (externalisation des fonctions de PABX auprès d'un prestataire) resteront encore marginales. Selon les prévisions les plus optimistes, en 2010 seulement 20% du marché mondial (en nombre de ports) s'intéresserait à cette alternative, la part estimée en Europe étant encore en deçà. Enfin, il semblerait que les solutions Mobile PBX (installation IP appliquée aux périphériques mobiles) soient encore plus boudées : elles ne représenteraient que 10% de marché mondial en 2010. (...)
(10/10/2007 17:36:46)L'Open Invention Network rappelle ses engagements à Paris
« Attirer de nouveaux licenciés, et faire passer le message que nous fournissons une protection. » A l'occasion d'une tournée française, le PDG de Open Invention Network, Jerry Rosenthal, a tenu a rappeler à un parterre d'acteurs influents de l'industrie informatique la mission de sa société. Etaient présents des responsables d'IBM, d'Ars Aperta, de Mandriva, de l'April, de l'Aful, de Linagora, du cabinet, Herbert Smith et du consortium OW2. L'Open Invention Network vise à créer une protection juridique pour les utilisateurs de Linux en achetant des brevets pour les mettre à disposition gratuitement des développeurs et de la communauté Open Source. En retour, ces derniers s'engagent à ne pas utiliser leurs brevets contre Linux. IBM, Philips, Novell, Sony et Red Hat en sont les fondateurs. Dans le cadre enchanteur de l'hôtel Westin de Paris, Jerry Rosenthal, tout en annonçant avoir signé un contrat avec Ars Aperta (cabinet de conseil spécialisé dans les standards et l'Open Source), explique détenir un portefeuille de plus de cent brevets, « tous de grande qualité et qui portent sur de multiples applications ». Une façon également de confirmer que la tâche de l'OIN ne se limite pas au seul noyau Linux, mais bien à une distribution. Ainsi OpenOffice serait selon lui inclus. Fort de ce constat, l'OIN espère, outre le fait de poursuivre l'achat de brevets - « du fait d'une forte demande des entreprises » - recruter davantage de soutien, côté utilisateur. Et de citer l'exemple de Google qui fut un des premiers du camp des utilisateurs d'applications Open Source à prendre une licence auprès de la société en août 2007. Il a également indiqué que l'accord passé entre Microsoft et Novell (un des fondateurs de l'OIN) n'avait en aucun cas impacté l'adoption de Linux. Enfin, Jerry Rosenthal compte s'intéresser davantage aux start-up. (...)
(10/10/2007 17:34:05)La croissance à nouveau au rendez-vous dans les logiciels et services
Après un bon 1er semestre, le marché français des logiciels et services informatiques devrait enregistrer une nouvelle année de croissance, estimée à +6,5% pour l'ensemble de l'année 2007. Jean Mounet, président de la fédération Syntec Informatique, s'est à nouveau montré optimiste à l'occasion du bilan 2007 et des perspectives 2008 de l'industrie française des logiciels et des services : +7% de hausse en 2007 pour le conseil en technologies, +6,4% pour les éditeurs de logiciels, +5,5% dans le conseil et les services informatiques. Et une croissance du même ordre attendue pour l'année 2008. « Dans la lignée du 1er semestre, la croissance du secteur en 2007 devrait être généralisée à l'ensemble des activités, a t-il déclaré. Au niveau européen, le marché français des logiciels et services figure dans une bonne moyenne, en retrait par rapport à l'Espagne, mais au même niveau que le Royaume-Uni et juste devant l'Allemagne. » Ainsi, la crise financière liée aux "subprimes" (ces prêts à haut risque qui ont ébranlé le crédit américains) ne devrait pas freiner les prévisions du Syntec sur le secteur, ni sur les investissements des établissements bancaires français dans les technologies de l'information, sauf évolution significative. Maintien du taux d'activité, mais stagnation des prix La chambre patronale note un retour progressif des projets innovants dans les entreprises, et un dynamisme du midmarket (entreprises clientes de 500 à 1000 salariés). La confiance de la profession se reflète également dans le maintien à des niveaux élevés de l'indicateur de confiance des dirigeants du secteur, sur l'activité (taux d'activité, carnets de commandes, évolution des prix, cycles de décision). Seul bémol : une perception insuffisante de la valeur ajoutée par les logiciels et les services, en France, et un retard dans l'augmentation des prix, ces derniers restant maintenus à la baisse, par rapport aux autres pays européens Du côté des recrutements, la forte dynamique qui caractérise le secteur des logiciels et des services devrait continuer sur sa lancée, ce qui devrait lui permettre de continuer à faire valoir sa place de premier offreur d'emploi des cadres (55 000 recrutements prévus en 2007, pour une création nette d'emplois de 20 000 postes). Enfin, Syntec informatique a exposé les résultats d'initiatives lancées à l'occasion des élections présidentielle : mission Stoléru pour les PME et commission Attali pour libérer la croissance. La fédération est également régulièrement auditionnée dans le cadre de la réforme des politiques publiques dans les secteurs de la santé et de l'éducation. (...)
(10/10/2007 17:25:21)Oracle réunit 6 grands du conseil pour recruter des consultants
Atos Origin, Capgemini, KSA, Steria, Sopra Group et Unilog Groupe Logica ont décidé de s'allier autour d'Oracle pour lancer la troisième édition de l'Executive University Oracle. Ce programme a été conçu par l'éditeur pour former et recruter 300 consultants métiers. Cette année, le dispositif devrait conduire à l'embauche de 60 consultants fonctionnels autour des applications d'Oracle, en finance, RH et GRC (Gestion de la relation avec les clients). L'opération a démarré par le lancement du nouveau site Oracle Community, qui donne des informations sur le dispositif et sur le métier de consultant, mais aussi sur la marche à suivre pour pouvoir participer aux journées de recrutement. Les candidats devront impérativement s'inscrire (depuis le site d'Oracle) avant le 11 novembre pour participer aux premières sessions de recrutement qui auront lieu les 21 et 22 novembre prochains. Mais ils peuvent déposer leur CV en ligne dès aujourd'hui. Les candidats retenus suivront ensuite une formation de six semaines chez l'éditeur, avant de rejoindre l'une des six sociétés de conseil participantes. (...)
(10/10/2007 16:24:17)Le titre Google dépasse les 600$
L'annonce d'une potentielle arrivée sur le marché de la téléphonie profite à Google. L'action du n°1 de la recherche sur le Web a franchi la barre des 600$ pour s'établir à un niveau record de 615,18 $ mardi 9 octobre. Depuis son entrée en bourse en août 2004, l'action Google n'a cessé de grimper. A cette époque, le prix d'une action était fixé à 85 $. Le 28 septembre, nous annoncions que la capitalisation boursière de Google, estimée à 177 Md$ dépassait celle de HP, à 129 Md$. Après que le New York Times a dévoilé hier ce que serait finalement le GPhone (un OS mobile Linux et pas un téléphone portable), Google a aujourd'hui annoncé un autre rachat dans le secteur de la téléphonie mobile. Après Zingku, le groupe se paie le Finlandais Jaiku Mobile. (...)
(10/10/2007 15:20:40)Devenu indépendant, Teradata fait alliance avec SAS
L'américain Teradata, spécialiste des technologies d'entrepôt de données (datawarehouse), est depuis le 1er octobre dernier une société indépendante cotée à la Bourse de New-York (sous le nom de TDC). Dans la foulée, l'éditeur annonce une alliance stratégique avec SAS, éditeur d'une plateforme d'analyse décisionnelle, à l'occasion de sa conférence utilisateurs Teradata Times qui se tient en ce moment à Las Vegas (07-11 octobre). Teradata, également fournisseur de solutions analytiques capables d'explorer d'importants volumes de données (offre bien implantée dans les secteurs de la banque et de la grande distribution, notamment), était jusqu'à présent une filiale de NCR, dont l'activité historique est la fabrication de caisses enregistreuses et de distributeurs de billets. La scission avec la maison mère était planifiée depuis plusieurs mois. En janvier dernier, Teradata avait rappelé que son modèle économique et celui de NCR étaient très différents et viables séparément. Il estimait alors qu'il s'était suffisamment imposé sur le marché du datawarehouse pour faire cavalier seul. Les dés sont jetés. « Nous contrôlons maintenant notre destinée et nos investissements », vient de déclarer son PDG, Mike Koehler, sur Teradata Times. Teradata et SAS, face à Oracle, SAP/BO, IBM et HP Le partenariat avec SAS va permettre d'exploiter les solutions analytiques de ce dernier directement avec le moteur de base de données de Teradata, donc sans avoir à faire migrer les informations du datawarehouse dans un environnement SAS. L'alliance porte aussi sur une coopération entre les deux éditeurs pour l'optimisation de leurs technologies respectives, sur la mise au point de solutions conjointes, ainsi que sur des démarches marketing et commerciales conjuguées. Cette association ne peut qu'être profitable aux deux acteurs, qui doivent faire face à la fois à la concurrence d'Oracle/Hyperion et, désormais, de SAP/Business Objects, mais aussi à celle d'IBM et de HP, également présents sur le marché des datawarehouses. Pour Joël Martin, vice-président d'IDC Canada, cet accord permet aussi à SAS d'accéder aux solutions de MDM (master data management, gestion des données de référence) de Teradata. (...)
(10/10/2007 15:03:39)Free privé de licence 3G
Free Mobile reste en suspens. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a en effet rejeté la candidature de la filiale d'Iliad pour l'attribution de la quatrième licence 3G (ou UMTS). Pour le moment, il n'y aura donc pas d'alternative aux trois opérateurs historiques, SFR, Bouygues Telecom et Orange. Face au montant de la redevance demandée, 619 209 795,27 € pour être précis, Iliad avait été le seul à répondre à l'appel d'offres. Devant cet état de fait, la société avait alors posé ses conditions en demandant « un aménagement des modalités financières qui pourrait se traduire par un paiement annuel de la partie fixe de la redevance, comme toutes les redevances d'occupation du domaine public. [...] Iliad considère que l'éventuel paiement dès la délivrance de l'autorisation de la partie fixe de la redevance revient à freiner l'entrée sur le marché ». Le coup de bluff n'a semble-t-il pas pris et l'Arcep estime que le dossier ne respecte pas « les prescriptions du cahier des charges et la capacité à payer la part fixe de la redevance dans les conditions définies par la loi ». Le montant doit en effet être payé au mois de septembre suivant l'attribution de la licence et l'autorité de régulation déplore l'absence de plan de financement et semble mettre en doute la capacité d'Iliad à payer ce montant. Les réactions n'ont évidemment pas tardé devant l'importance de cette décision, en premier lieu chez l'opérateur. Celui-ci en appelle désormais aux pouvoirs publics afin de mettre « en oeuvre les conditions permettant l'émergence d'un 4ème opérateur mobile ». Et de pointer du doigt l'intérêt du consommateur pour une concurrence accrue, ce qu'avait également souligné l'UFC-Que choisir. Du côté des pouvoirs publics justement, Christine Lagarde précise que « toutes les options restent ouvertes pour l'attribution d'une quatrième licence de téléphonie mobile ». Certains semblent plutôt contents de cette décision. Les boursicoteurs tout d'abord puisque la valeur du titre Iliad a monté suite à cette décision, tout comme celle de Bouygues. Et c'est d'ailleurs chez les opérateurs historiques que l'on doit également se réjouir de voir disparaître - provisoirement peut-être - un éventuel candidat. Bouygues Telecom, par exemple, dispose désormais de davantage de temps pour mettre son réseau aux standards de la 3G. Pour de nombreux analystes, cités par Reuters, c'est maintenant au gouvernement d'agir. Un nouvel appel d'offres pourrait ainsi être lancé, avec peut-être des conditions remaniées pour susciter plus d'intérêt. (...)
(10/10/2007 13:04:06)Ballmer aurait réitéré ses menaces face à Red Hat
D'après PC Pro UK, Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, aurait une nouvelle fois menacé les clients Red Hat de procès à l'occasion d'une conférence qui s'est tenue à Londres. Le débat ne date pas d'hier. A peine l'accord signé avec Novell sur l'interopérabilité de leurs systèmes respectifs, la réalisation de ventes croisées et surtout la garantie que Microsoft ne poursuivrait pas les clients Novell pour violation de propriété intellectuelle, Steve Ballmer s'était attaqué en novembre dernier à Red Hat. Accusant ce dernier d'utiliser un système (Linux) qui exploite la propriété intellectuelle de Microsoft, Steve Ballmer aurait proposé à Red Hat un accord similaire à celui passé avec Novell. Accord que Red Hat s'est bien gardé de signer, tout comme Canonical (qui développe Ubuntu) et Mandriva. En mai 2007, le PDG de Microsoft prétendait que certains logiciels Open Source (dont le noyau Linux et OpenOffice, violaient quelques 235 brevets de Microsoft. Des propos qui avait fait sortir la sphère du Libre de leurs gonds. Si Steve Ballmer répète ses menaces, il n'a pour l'instant apporté aucun exemple précis de violation de la propriété intellectuelle de sa société, se contentant de répéter que le monde du logiciel libre ne doit pas échapper aux règles juridiques et commerciales sur les brevets. Reste à savoir s'il a réellement des atouts dans sa manche ou s'il ne cherche qu'à faire pression sur les clients de Red Hat et du logiciel libre de manière plus générale. (...)
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