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(10/10/2007 12:35:49)

Le Cigref exhorte les fournisseurs à s'engager sur des résultats

Les DSI du Cigref, Club informatique des grandes entreprises françaises, aimeraient que les fournisseurs s'engagent sur des résultats, afin qu'eux-mêmes puissent s'engager auprès des directions générales et des utilisateurs. C'est le message essentiel qu'a tenu à faire passer Didier Lambert, DSI d'Essilor et président du Cigref, lors d'une conférence hier soir, tenue à l'issue de son assemblée générale. Après avoir évoqué l'accord renouvelé avec Microsoft et les discussions fréquentes avec SAP, Oracle et IBM, Didier Lambert a tenu à mettre les choses au point, en expliquant que cette demande ne se fait pas contre les fournisseurs, mais pour le bien commun : « Nous ne sommes pas une association anti-fournisseurs. Nous sommes dans le même bateau, engagés dans la même chaîne de valeur. » Et, s'adressant directement aux fournisseurs : « Les DSI sont vos revendeurs dans les entreprises. » Le Cigref préfère l'interopérabilité aux standards Faisant le bilan des événements marquants de l'année, Didier Lambert a noté la concentration continue des éditeurs, déplorant la disparition d'un acteur majeur de l'édition française (BO racheté par SAP). Côté technologies, il estime que la virtualisation et le logiciel délivré comme un service (Saas, software as a service) constituent deux tendances de fond, dont un des intérêts est d'améliorer le contrôle des coûts. Il a également profité de l'occasion pour rappeler que les DSI ne sont pas hostiles à ce que certaines directions métier reprennent la main en adoptant du Saas, dans la mesure où cela leur simplifie la vie. Evoquant par ailleurs la guerre des standards entre ODF et OpenXML, Didier Lambert explique que le Cigref n'a pas vocation à choisir : « Le maître-mot pour nous, ce n'est pas les standards, mais l'interopérabilité. On passe 50% de notre temps à raccorder des bouts de ficelle entre eux. Au début, ça amuse, à la fin, ça lasse. » Un peu plus tôt, Jean-Marc Lagoutte, DSI du groupe Danone, avait évoqué lui aussi des tendances de fond. Notamment le Saas, qui permet de « variabiliser les coûts » (sic), mais qui présente encore des « besoins de maturation », et l'Open Source, dont « les briques sont de plus en plus nombreuses et crédibles ». Sur ce dernier point, Jean-Marc Lagoutte adresse pour sa part un message aux sociétés de services en logiciels libres, en leur demandant de mieux prendre en compte l'existant. (...)

(10/10/2007 12:33:17)

BT Group souhaite racheter la SSII Net 2S

BT Group a émis une offre d'achat à l'attention des actionnaires de référence de Net 2S, Ali Pichvaï, Bernard Razaghi, Pascal Petit et Christophe Canonne, qui détiennent 68,6 % du capital de la SSII. Dans un communiqué, Net 2S précise : « Cette offre valorise l'action à 5,27 E, représentant une valorisation globale de Net 2S SA de 68 500 000 E sur la base des actions existantes. Ce prix tient compte de la distribution d'un dividende exceptionnel d'un montant de 5 000 000 E, qui interviendra préalablement à la cession du bloc majoritaire susvisé. » BT Group, nouveau nom de British Telecommunications, vient de racheter en France le pôle Infrastructures critiques de CS. Au début de l'année, un rapport de Forrester soulignait que BT était un des rares fournisseurs de services réseaux à présenter une stratégie véritablement internationale. (...)

(10/10/2007 11:03:58)

IBM offre un lifting à IMS à l'approche de ses 40 ans

Créée pour le programme lunaire de la Nasa en 1968, la base de données transactionnelle IMS d'IBM vient de s'offrir un petit lifting avec le lancement de la version 10. Celle-ci ouvre la base de données aux architectures plus modernes en y intégrant des composantes telles que xQuery, Enhanced XML et le support de services Web. Malgré la concurrence d'autres bases de données plus récentes, IBM continue à choyer cette vieille dame tournant dans le back office de 95% des très grandes entreprises (du Fortune 1000) et dans 80% des plus grandes banques européennes, japonaises et américaines. Ne tournant que sur des serveurs mainframes zSeries, la base IMS est disponible à la location à partir de 9000 dollars par mois. La version 9 datait d'octobre 2004. (...)

(10/10/2007 10:59:01)

Rejet de la candidature de Free pour la 4e licence 3G

L'Arcep a rejeté la candidature de Free pour l'obtention de la 4e licence 3G. Seule candidate, la filiale d'Iliad semble avoir été trop gourmande en tentant d'imposer ses conditions, notamment financières. Dans un communiqué faisant suite à sa décision, l'Arcep explique ainsi que Free n'a pas « respecté les prescriptions du cahier des charges et la capacité à payer la part fixe de la redevance dans les conditions définies par la loi ». L'opérateur, qui avait en effet demandé un aménagement des modalités financières, a déjà réagi en maintenant son intérêt pour cette licence et en appelant les pouvoirs publics à « favoriser l'émergence d'un 4e opérateur mobile ». Nous reviendrons plus en détail sur le sujet dans la journée. (...)

(10/10/2007 09:10:45)

Google poursuit ses emplettes dans les communautés mobiles avec Jaiku

Google poursuit ses achats dans les réseaux sociaux. Quelques jours après avoir mis la main sur Zingku, le groupe se paie Jaiku, l'éditeur finlandais de Jaiku Mobile, un service voué à un usage mobile permettant à ses utilisateurs d'envoyer et de consulter de courts messages appelés les « jaikus ». Les membres de la communauté peuvent également partager leurs activités et l'endroit où ils se trouvent via un site Web ou grâce à une messagerie instantanée. « Nous sommes heureux d'annoncer que nous avons acquis Jaiku, une société qui a développé des applications utiles et innovantes pour rester en contact avec les personnes auxquelles vous tenez, que vous utilisiez un ordinateur ou un téléphone portable », explique Google sur son blog. Il y a quelques jours, le pantagruélique moteur s'offrait Zingku, un autre acteur du 2.0 mobile permettant le partage de photos, l'envoi d'invitations ou l'organisation de sondages depuis un téléphone portable. Deux acquisitions qui, coup sur coup, illustrent les efforts entrepris par le géant de la recherche en ligne pour implanter son modèle publicitaire sur le gigantesque marché de la mobilité. Dans cette même optique, le voile a été levé, hier (9 octobre) sur ce que sera le GPhone : un système d'exploitation mobile développé par Google et basé sur le noyau Linux, sur lequel tourneront les applications développées par le groupe de Mountain View. (...)

(10/10/2007 08:31:44)

Un Nobel de physique pour les disques durs

Les travaux de deux physiciens, le Français Albert Fert et l'Allemand Peter Grünberg, sur la magnétorésistance géante à la fin des années 1980 leur vaut aujourd'hui d'obtenir le Prix Nobel de Physique. Même si les disques durs magnétiques existaient auparavant, seule la magnétorésistance géante a permis d'augmenter la densité de l'information stockée et, partant, de créer les disques durs modernes. L'application industrielle des découvertes des deux européens est due en premier lieu à IBM. (...)

(10/10/2007 08:29:07)

L'offshore indien pâtit du dollar faible

La faiblesse du dollar pourrait conduire à l'amoindrissement de la qualité des prestations rendues par les acteurs indiens de l'externalisation, engagés dans une lutte pour endiguer la baisse de leurs revenus, selon Forrester. La parité dollar/roupie est largement défavorable aux entreprises indiennes spécialisées dans l'offshore. Au deuxième trimestre, le dollar perdait ainsi 7%. Cette baisse impacte directement les groupes indiens dont les revenus sont exprimés en dollar, mais les coûts en roupie. D'un côté, donc, le chiffre d'affaires pâtit de la morosité de la monnaie américaine alors que, de l'autre, les coûts restent à un niveau élevé en raison de la vigueur de la roupie. Cette équation conduit la marge d'un Wipro à perdre 3 à 4% alors que les observateurs s'étaient habitués, depuis plusieurs années, à voir chaque exercice conclu sur des croissances à deux chiffres, qu'il s'agisse des revenus ou des bénéfices. Tout pourrait donc radicalement changer. « Les prestataires indiens luttent pour se maintenir à flot, explique Forrester, et doivent trouver des moyens pour s'adapter à la situation, notamment en demandant à leurs cocontractants de prendre en charge une partie des conséquences de la fluctuation [dollar/roupie, NDRL] ». Pour les clients qui acceptent de renégocier les contrats les liant aux Tata et autres Infosys, le coût de leurs services externalisés pourraient croître et le bénéfice qu'ils en tirent s'en trouver amoindri. Pire, même sans changer les termes des contrats, les responsables IT doivent redouter une plus faible qualité des prestations indiennes en raison du recrutement, dans le sous-continent, de salariés moins qualifiés et donc moins chers. Les prestataires interrogés par Forrester indiquent qu'ils tentent de trouver des solutions aux difficultés liées à la parité dollar/roupie, tout en comptant sur leurs clients pour prendre leur part dans cette épreuve. Un voeu pieux, au regard de la réaction de ces derniers, qui estiment qu'il relève de la responsabilité des acteurs indiens d'assumer leurs difficultés. Et de rappeler que, eux, n'ont jamais profité de ristournes lorsque le dollar se portait bien. (...)

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