Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 17881 à 17890.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(08/10/2007 18:26:34)

SAP/BO : Bernard Liautaud s'explique

Toute amicale qu'elle soit, l'OPA de SAP sur Business Objects surprend en raison de la personnalité de l'éditeur racheté, une société fondée par un Bernard Liautaud farouchement attaché à l'indépendance de son entreprise et à l'oecuménisme de ses solutions. A l'occasion d'une conférence de presse donnée aujourd'hui 08 octobre, à Paris, conjointement avec Léo Apotheker, PDG délégué de SAP, l'entrepreneur français s'en est expliqué. « Pendant 17 ans, j'ai été l'avocat de l'indépendance de BO, reconnaît Bernard Liautaud. Pourquoi ce revirement ? C'est assez simple, le marché des logiciels a fortement évolué, notamment au cours de la dernière année. Nous avons entendu nos clients demander un alignement fort entre les applications et la Business Intelligence (BI). Une tension s'était créée sur le marché. Avec la proposition de SAP, nous avons trouvé le moyen d'accorder notre volonté d'ouverture et d'indépendance et la demande d'alignement de nos clients. » Bernard Liautaud dément avoir voulu vendre Interrogé sur les multiples rumeurs de mise en vente et de rachat, Bernard Liautaud n'a pas souhaité épiloguer sur les acteurs qui se sont intéressés à sa société. « Il y en a eu un certain nombre et c'est bien normal puisque, comme l'a dit Léo Apotheker, la BI est devenue la priorité des investissements informatiques ». Le marché des outils de BI et de gestion de performance devrait atteindre 20 Md$ en 2010. Le fondateur de Business Objects réfute en revanche catégoriquement avoir souhaité voir un jour sa société rachetée. Il relate les faits. « En juillet, nous avons répondu à une approche non sollicitée émanant de SAP. Nous avons écouté et, après avoir eu tous les paramètres, décidé de faire un choix. Les discussions se sont accélérées au cours des dernières semaines, avec un dialogue très efficace et très ouvert. » Une adéquation culturelle importante Le fondateur de BO considère qu'il y a une adéquation culturelle très importante entre les deux sociétés. D'origine européenne toutes les deux, bien qu'implantées de façon internationale, elles ont une culture entrepreneuriale ancrée dans leur organisation avec, pour l'une et l'autre, des fondateurs très impliqués dans l'entreprise. Bernard Liautaud juge que SAP a bien compris que la valeur des solutions de BO était dans l'ouverture, d'où la décision de laisser son autonomie à l'éditeur racheté. Mais le dirigeant estime aussi que la combinaison entre les deux offres a beaucoup de sens. « Nous allons profiter des technologies de SAP, de leur base de données en mémoire, de leur MDM, et travailler ensemble pour intégrer nos produits. Nous allons apporter de l'intelligence dans les processus de SAP et offrir, de loin, la meilleure offre de gestion de la performance sur le marché. » (...)

(08/10/2007 18:26:10)

Une grille d'authentification pour plus de sûreté

Peu chère, facile à utiliser, la solution d'authentification de la start-up anglaise GrIDsure se veut une méthode sûre pour remplacer les codes des cartes bancaires ou d'accès à une entreprise. L'idée est d'utiliser une grille sur laquelle l'utilisateur crée une forme simple (un L, une croix ou un T par exemple). A chaque fois qu'un code doit être entré, cette grille s'emplit aléatoirement de chiffres et l'utilisateur tape ceux correspondant à la forme qu'il a défini. Eliminant ainsi tout besoin de noter un mot de passe. « Les gens se rappellent plus facilement des formes », explique Stephen Howes, directeur technique de GrIDsure. « Pour une grille de cinq cases sur cinq et une forme en quatre cases, cela donne 390 625 arrangements possibles comparés aux 10 000 combinaisons de quatre chiffres d'un code traditionnel. » Désormais, la société collabore avec PriceWaterhouse pour convaincre les émetteurs de cartes et d'autres solutions de paiement. (...)

(08/10/2007 18:16:15)

La mobilité à l'honneur des Trophées de l'innovation 2007

La troisième édition des Trophées de l'innovation, organisée par Orange Business Services et Syntec Informatique, s'est déroulée dans le cadre du salon IP Convergence. Rien d'étonnant à ce que la mobilité soit à l'honneur du palmarès 2007, qui est venu récompenser six lauréats, sur une trentaine de candidatures, dans quatre catégories différentes, un grand prix du jury, ainsi qu'un prix spécial « coup de coeur ». Ainsi, c'est Atos Worldline qui remporte le trophée « Nouveaux usages » pour sa solution de paiement sécurisé par carte bancaire via téléphone mobile. Dans la catégorie « Solution métiers », la récompense est attribuée à l'éditeur Axel Systems pour Mobile+Manager, son outil basé sur la technologie du stylo communicant, et destiné aux équipes mobiles des entreprises du bâtiment. Le trophée « Solutions de mobilité, solutions de nouvelles technologies » revient à Mobile Devices pour le développement du système MD501, une plateforme universelle pour le déploiement et l'exécution d'applications télématiques. Et c'est Sylob1, solution de pilotage 100% Web à destination des TPE et TPI éditée par Sylob, qui remporte le premier prix dans la catégorie « Performance et excellence opérationnelle ». Le grand prix du jury a été attribué à Voluntis pour sa solution de télé-médecine web-mobile de suivi du diabète. Enfin, un premier trophée « Coup de coeur » est venu récompenser la SSII Sopra Group pour son application CampusFrance, un guichet de dématérialisation des procédures d'inscription (jusqu'à la demande de visa) des étudiants étrangers ayant un projet d'étude en France. (...)

(08/10/2007 18:10:41)

Roaming : l'eurotarif fait baisser de 60% les factures des mobiles

Des factures réduites de 60%. Selon une étude menée par l'ERG (groupe des régulateurs européens) et la Commission européenne, l'application d'un eurotarif sur le roaming a contribué à baisser de 60% en moyenne les factures de téléphonie mobile des consommateurs. Le 30 juin dernier, la Commission européenne a décidé de plafonner les tarifs de roaming (itinérance mobile) à 0,49 € la minute pour les appels et 0,24 € pour la réception d'appels dans les 27 pays membres. Une décision qui avait provoqué une véritable levée de bouclier chez certains opérateurs. Dans un communiqué, la Commission européenne se félicite que « dans l'ensemble, les opérateurs de téléphonie mobile ont mis en place, proposé et mis à disposition de tous leurs abonnées itinérants un « eurotarif » dès le 30 juillet, respectant ainsi les obligations qui leur incombaient ». Selon l'étude, au 30 août, 200 millions d'abonnés européens avaient bénéficié de l'eurotarif, et 400 millions devraient en bénéficier d'ici à fin septembre. Plus surprenant, elle explique que certains opérateurs pratiquent des tarifs plus bas - et donc plus avantageux pour le consommateur - que ne l'impose la Commission. C'est notamment le cas des Pays-Bas (0,20 € pour les appels entrants et sortants). (...)

(08/10/2007 18:08:39)

Du Web 2.0 pour gérer des salles de serveurs chez IBM

« L'administration des salles de serveurs est le sujet le plus brûlant pour nos clients qui veulent maîtriser leurs coûts opérationnels », affirme Steven A Mills directeur de l'activité Logiciel d'IBM. Fort de ce constat, Big Blue propose QEDWiki Mashup Maker qui, par le biais de techniques issues du Web 2.0, permet au personnel alloué au salle de serveur de perdre moins de temps en procédure d'administration. Ce logiciel est capable de mélanger dans une même interface des fonctions issues de différents logiciels d'administration de systèmes Tivoli. Pour cela, les chercheurs d'IBM ont inséré des architectures orientées services (SOA) au sein des produits Tivoli, puis créer les « widgets » correspondants. A travers IBM Director, la plateforme principale de Tivoli, les utilisateurs peuvent accéder à la bibliothèque entière de widgets. Et les assembler simplement pour avoir l'interface qui correspond à leurs besoins, même si les outils proviennent à l'origine de logiciels Tivoli différents. Puisqu'il ne s'agit que d'un panneau de configuration - et non d'un logiciel à part entière -, chaque administrateur peut créer son propre ensemble et le faire évoluer au fil du temps et de ses besoins. Si aucune date pour la version finale de QEDWiki Mashup Maker n'a été indiquée, les personnes intéressées peuvent déjà en tester une version bêta sur le site d'IBM. (...)

(08/10/2007 18:04:46)

SAP/BO : « un virage stratégique pour l'éditeur allemand »

Suite au rachat de Business Objects par SAP, nous continuons à interroger les experts du marché. « J'interprète cette acquisition comme un véritable virage pour SAP, un changement important dans sa stratégie », estime Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision et ancien collaborateur de l'éditeur allemand. Pour lui, ce rachat constitue d'abord pour SAP la première véritable acquisition d'une base de clients (NDLR : Business Objects en compte 44 000 dans le monde). « C'est un des éléments importants de cette annonce. Pendant longtemps, SAP n'a acheté que des technologies. Puis, il y a eu un premier point d'inflexion avec la tentative de rachat de Retek (NDLR : finalement soufflé au nez de SAP par Oracle). Ensuite, même si l'acquisition d'OutlookSoft, au printemps, pouvait se lire comme une acquisition technologique, il s'agissait aussi de la plus grande base installée rachetée par SAP, avec des clients importants dans des comptes Microsoft. » Des synergies sur certains marchés Ce rachat signifie aussi que SAP cherche à avoir d'autres points d'entrée sur le marché, hors du progiciel de gestion intégré (PGI ou ERP). « Sur des projets décisionnels, il est possible d'entrer par la petite porte dans une entreprise, contrairement au projet d'ERP classique », rappelle Jean-Michel Franco. Il considère par ailleurs qu'il existe, en France, des synergies sur certains marchés entre BO et SAP, dans le secteur public, notamment. L'implantation de Business Objects dans les PME est également un élément important, à un moment où SAP cherche à conquérir ces entreprises. « BO a un bon réseau de distribution indirecte et a réalisé un bon travail d'insertion dans les régions », estime Jean-Michel Franco. Que Business Objects se maintienne comme entité indépendante ne l'étonne pas. « Ce serait très surprenant qu'il n'en soit pas ainsi », commente le directeur de B&D. « C'est effectivement un rachat différent des autres qui apporte à SAP plusieurs points d'entrée dans les comptes. Cela a du sens que BO reste autonome, tant pour les nouveaux clients que pour la base installée auprès de laquelle il faudra justifier l'ajout de fonctionnalités en étant plus pointu qu'avant. » Pour lui, les applications analytiques seront l'un des principaux enjeux. « Dans l'offre de BO, il y a quatre ou cinq axes -notamment sur la qualité des données, l'ABC (activity based costing), la consolidation, qui se positionnent clairement en complémentarité de l'offre de SAP sans qu'il y ait besoin de gros travaux. » Quid d'IBM, de HP et de l'Open Source ? Interrogé sur la concurrence de Microsoft, Jean-Michel Franco voit l'éditeur de Redmond avancer à petits pas sur ce marché. « Jusqu'à présent, il a été très patient dans ce domaine, une acquisition serait pour lui un changement stratégique ». En revanche, il s'interroge sur les intentions d'IBM. Va-t-il rentrer dans la course ? « Beaucoup d'observateurs considèrent qu'IBM va devenir un acteur de la BI. » Sur ce terrain, un fournisseur comme HP pourrait avoir aussi son mot à dire. « Les autres offreurs se positionneraient alors comme spécialistes apportant des solutions complémentaires. » Enfin, Business & Décision regarde de très près les offres BI en Open Source qui arrivent, celle d'Ingres, notamment. « L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant », pronostique Jean-Michel Franco. Il cite en exemple le cas du CRM, un marché qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment) a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un nouveau modèle. « Il a clairement bénéficié de la concentration. » A suivre, donc. (...)

(08/10/2007 16:38:01)

Google et IBM forment les étudiants US aux environnements clusters

IBM et Google veulent accélérer les formations liées aux centres de calcul. Les deux groupes qui, chacun, ont de vastes intérêts dans les architectures en cluster des data centers, ont inauguré un programme d'enseignement autour du « cloud computing ». Leurs objectifs : d'abord étendre les recherches dans le domaine, mais également permettre à des étudiants de mieux apprendre la programmation réalisée dans le cadre d'environnements en cluster. Six universités sont associées au programme : Carnegie Mellon, le MIT (Massachusetts institute of technology), les universités de Californie, Berkeley, du Maryland, de Standford et enfin de Washington. Selon les termes du partenariat, Google et IBM se sont engagés à bâtir deux centres de calcul. Le moteur de recherche mettra également à disposition une partie de son logiciel d'administration en Open Source et construira un centre renfermant plus de 1 600 processeurs d'ici à la fin de l'année, a indiqué le New York Times. Au total, les deux groupes financeraient le projet à hauteur de 30 M$, répartis sur deux ans. (...)

(08/10/2007 15:15:01)

19,31% des postes sont dans l'informatique en septembre

En cette rentrée 2007, les sites d'emploi tirent la tendance vers le haut. C'est ce que montre le baromètre de septembre 2007, publié au début du mois par le site d'offres d'emploi Keljob.com. Après deux mois d'été plus calmes, celui-ci affiche une croissance de +4%, par rapport à août 2007. L'indice du mois de septembre 2007, qui s'établit désormais à 361 (contre 299 en septembre 2006), a augmenté de + 17% par rapport à la même période de l'année précédente. Il semble ainsi avoir retrouvé son niveau de croissance exponentiel depuis début 2007, et n'est plus très loin du record historique du mois de juin, à 374. Avec 485 000 offres totalisées sur le Net en septembre, le marché de l'emploi se rapproche peu à peu de la barre fatidique des 500 000 postes à pourvoir. Du côté des recruteurs, le baromètre ne note pas de réels changements. Une nouvelle fois, ce sont les entreprises du secteur de l'informatique et des télécoms qui restent les principaux pourvoyeurs d'emploi sur Internet et qui concentrent 19,31% du nombre total des offres en septembre, soit 16 400 postes à pourvoir. Enfin, Keljob.com note une forte croissance des sites d'emplois spécialisés (+27,53%) et généralistes (+11,5%), après un mois d'août difficile. A l'inverse, les cabinets de recrutements continuent à reculer (-1,92%), et les offres de stages sur Internet subissent également un frein (- 0,46%), septembre correspondant à une période peu propice pour ce type de contrat. (...)

(08/10/2007 15:10:22)

Sur Windows, Oracle est enlacé aux produits Microsoft

Quand le SGBD le plus important au monde a rendez-vous avec le système d'exploitation le plus répandu : le cabinet Ovum s'est penché sur les utilisateurs d'Oracle tournant au dessus de Windows Server. Le cabinet, soutenu financièrement par Oracle pour l'occasion, souligne la qualité de l'intégration du SGBD Oracle dans l'environnement Microsoft, dont le premier portage sur Windows NT remonte à 1994. La mise au point n'est pas inutile au moment où Oracle fournit un effort tout particulier en environnement Linux. Là, il propose désormais sa propre distribution, copie conforme de celle de Red Hat dont l'association avec MySQL et l'intégration de JBoss lui déplait de toute évidence. Même si Oracle se refuse à détailler son parc installé par système d'exploitation, le fait que Microsoft SQL Server soit devenu en quelques années un concurrent direct justifie à lui seul l'intérêt que la société de Larry Ellison porte à venir affronter Microsoft sur son propre terrain, l'environnement Windows. Y choisir Oracle plutôt que SQL Server n'aurait aucune conséquence sur la cohésion de l'ensemble du système d'information et apporte, bien sûr, de meilleures performances. Et Ovum d'étayer son message en passant en revue la (trop ?) discrète collaboration d'Oracle avec Microsoft. Sont ainsi montrés en exemple l'utilisation d'Active Directory par Oracle pour gérer l'accès à son SGBD, le travail conjoint des deux éditeurs sur les services Web XML et le support d'Office comme outils de consultation d'Oracle. Sur ce dernier point, Ovum n'ose tout de même pas se lancer dans une comparaison avec Duet, intégration d'Office à SAP avec la bénédiction ostensible de Microsoft. Oracle n'est pas en reste non plus côté outils de développement avec des outils pour Visual Studio qui permettent d'exploiter pleinement .NET. Pour finir, l'étude souligne que Fusion, le middleware d'Oracle (en cours de développement), viendra encore parfaire cette cohabitation. De plus, Enterprise Manager, le framework d'administration d'Oracle, permet d'administrer des produits Microsoft. (...)

(08/10/2007 12:58:06)

Les deux développeurs à temps plein de Thunderbird annoncent leur départ

Dans des billets laconiques sur leur blog respectif, David Bienvenu et Scott McGregor, les piliers de Thunderbird, ont annoncé qu'ils quittaient l'aventure le 12 octobre prochain. David Bienvenu et Scott McGregor travaillent sur le logiciel de mail Open Source de Mozilla depuis environ 4 ans, constituant la base de l'équipe de développement. Ce sont en effet les deux développeurs à temps plein, qui coordonnent les efforts des différents volontaires. Thunderbird vit une période agitée en ce moment : la dirigeante de Mozilla avait indiqué cet été que la Fondation devait trouver une solution pour assurer le futur de Thunderbird indépendamment de celui de Firefox, qui drainait l'attention, l'énergie et les moyens financiers. Il y a quelques jours, il a été décidé que Thunderbird deviendrait une filiale, financée au départ à hauteur de 3 M$. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >