Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 17891 à 17900.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(08/10/2007 12:45:39)
EMC confirme le rachat de Berkeley Data Systems
EMC a officiellement confirmé l'acquisition de Berkeley Data Systems, start-up américaine qui édite Mozy, service de sauvegarde en ligne pour les entreprises et les particuliers. Le 27 septembre, le site TechCrunch, citant des sources proches des deux acteurs, révélait que le spécialiste du stockage serait prêt à débourser 76 M$ pour se payer la société. EMC ne confirme toutefois pas le montant de la transaction. Dans un communiqué, Tom Heiser, vice-président du développement d'EMC, indique que « l'acquisition de Mozy est une évolution naturelle de la position d'EMC dans la protection et la sécurité des informations professionnelles et personnelles » et qu'« il continuera à investir dans Mozy et faire avancer la marque ». Sans toutefois préciser comment les actifs technologiques de Berkeley peuvent interagir sur le portefeuille d'EMC. Mozy se décline en deux formules : MozyPro (3,95 $ par mois et par utilisateur pour une licence, plus 50 cents par Go) et MozyHome (4,95 $ par mois). (...)
(08/10/2007 12:44:39)Intel inaugure les vendredis sans email
Vendredi dernier, 150 employés d'Intel ont donné le coup d'envoi des « vendredi sans courrier électronique ». Le principe est simple : pas d'échange de messages le vendredi. « Le courrier électronique n'est pas interdit mais tout le monde est encouragé à préférer le téléphone ou les échanges face à face ce jour-là », précise Nathan Zeldes, ingénieur en chef d'Intel dans un blog de la société. L'initiative pourrait faire sourire si le courrier électronique n'était pas devenu une véritable pollution dans l'entreprise et ce, sans parler des spams qui, a priori, n'arrivent plus dans les boites aux lettres des utilisateurs ou sont rapidement canalisés vers des dossiers spéciaux. D'ailleurs, Intel ne serait pas la première société aux Etats-Unis à lancer cette initiative du vendredi sans courrier électronique. La pollution est tellement grande que de nombreux utilisateurs avouent ne plus lire leur courrier, archivant ou supprimant même des boites entières de messages. Selon IDC, quelque 39.7 billions d'échanges, 17,1 milliards d'alertes automatiques et 40,5 milliards de spams circulent dans le monde. (...)
(08/10/2007 12:34:39)Wimax se généralisera en 2009, avant de céder la place à LTE
Selon le cabinet d'études américain spécialisé dans les technologies sans fil ABI Research, Wimax a encore quelques beaux jours devant lui avant toutefois de céder la place à la norme LTE (Long Term Evolution). La bataille pour la technologique des réseaux sans fil de quatrième génération ne fait en effet que commencer. Mais Wimax bénéficie de deux ans d'avance sur LTE, deux années qui font dire au cabinet qu'en 2012, 95 millions d'équipements connectés et 200 millions de périphériques mobiles utiliseront cette technologie. Pour Philip Solis, analyste principal 'mobile broadband' d'ABI Research, les périphériques et services Wimax commenceront en effet à apparaître dès 2008 et se développeront largement à travers le monde dès 2009. L'analyste s'appuie sur l'intérêt des opérateurs pour cette technologie pour donner Wimax gagnant sur les prochaines années. Il mentionne notamment Sprint Nextel et Clearwire en tête, deux opérateurs américains qui bâtissent déjà leur réseau Wimax dans certaines régions du pays et ont surtout passé un accord de roaming pour assurer le fonctionnement des terminaux d'un réseau à l'autre afin de favoriser le développement de la technologie. En Europe, Vodafone prévoit également de couvrir le continent avec un réseau Wimax, selon l'étude. Toutefois, et bien que persuadé de l'inévitable développement de Wimax dans les années à venir, ABI Research prédit un succès de courte durée à cette technologie. Dès 2012, LTE devrait en effet prendre la relève, cette technologie présentant de nombreux avantages sur Wimax dont la rétro-compatibilité avec les équipements GPRS et UMTS sans oublier une meilleure bande passante (100 Mbps contre 70Mbps pour Wimax), une accessibilité jusqu'à 100 kilomètres de distance, etc. D'ailleurs de nombreux opérateurs, surtout en Europe où LTE se développe plus favorablement, ont déjà commencé à effectuer leurs premiers tests avec LTE dont Orange, T-Mobile International ou encore Vodafone, qui travaillent en étroite collaboration avec Alcatel, Nokia, etc. (...)
(08/10/2007 12:32:01)SAP/BO : "SAP devient numéro 1 du marché de la BI en France"
Le rachat de Business Objects propulse SAP à la première place du marché français de la Business Intelligence (outils et applications d'analyse décisionnelle), devant SAS. C'est la constatation que fait Yasmina Benjelloun, analyste logiciels chez IDC France. Jusqu'à présent, SAS, BO et IBM (avec l'offre d'Ascential) occupaient les trois premières places. SAP, cinq fois moins important que BO en France, était encore un petit acteur dans le monde hexagonal du décisionnel, néanmoins présent dans le Top 10 des éditeurs. « Pour concurrencer Oracle, SAP procède comme lui à des opérations de croissance externe », commente l'analyste d'IDC France. « Business Objects avait plutôt souffert, l'an dernier en France, enregistrant l'une des plus faibles performances du marché de la BI », évoque Yasmina Benjelloun. Elle rappelle aussi les récentes fuites d'information, laissant entendre que BO cherchait un repreneur. De la même façon, en début d'année, des rumeurs de vente couraient autour de l'éditeur français. Et lorsqu'Oracle a finalement repris Hyperion, beaucoup d'observateurs ont alors pensé que la proie aurait tout aussi bien pu être BO. - Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)
(08/10/2007 12:01:52)Les partisans de la vente d'Atos Origin se renforcent
Les deux premiers actionnaires d'Atos Origin viennent de signer un pacte. Le fonds d'investissement Centaurus, qui détient 10,2% du capital, s'associe avec son collègue Pardus, dont la participation est montée ces derniers mois à 9,5%. Centaurus est depuis longtemps partisan d'une opération de fusion acquisition, probablement afin de rentabiliser au plus vite son investissement. Désormais fort de près de 20% des votes, il pourrait réclamer un siège supplémentaire au conseil d'administration en vue de faire aboutir son projet. A l'inverse, la direction d'Atos Origin, présidé par Philippe Germont depuis quelques jours, défend l'indépendance du groupe et prône un redressement à partir des ressources internes. Depuis plusieurs mois, le cours en bourse chaotique d'Atos reflète les rumeurs avortées d'investissements dans un groupe qui révise plus à la baisse qu'à la hausse ses prévisions de résultats. (...)
(08/10/2007 11:30:25)SAP/BO : "Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché"
Un rachat un peu déroutant De prime abord, cette acquisition apparaît « un peu déroutante », considère Vincent Lieffroy, analyste au CXP, spécialisé sur les PGI (ERP) et les solutions de gestion financière, en réaction à l'annonce du rachat, hier soir, de Business Objects par l'éditeur allemand SAP. L'analyste rappelle que SAP avait rompu un accord commercial avec BO l'an dernier, mais reconnaît que le rapprochement entre les deux éditeurs va dans le sens de l'évolution actuelle : « Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché, Oracle et SAP ». En dépit des recouvrements entre les offres décisionnelles, notamment dans le domaine de la gestion de la performance financière (consolidation, planning, gestion de budget), spécialités de Cartesis et d'OutlookSoft, sans compter les propres offres de BO et de SAP, « la décision de l'éditeur allemand a sans doute été prise il y a quelques temps déjà, poursuit Vincent Lieffroy, avec une logique, tant sur l'intégration que sur le recouvrement des offres ». Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)
(08/10/2007 10:09:07)La version 10.3 d'OpenSuse à disposition des développeurs
Novell a annoncé que la version pour les développeurs d'OpenSuse 10.3 est disponible. Il s'agit d'une des dernières étapes avant l'injection de ce code dans les versions commerciales de Suse Linux Enterprise Server (Sles) et de Suse Linux Enterprise Desktop (Sled). OpenSuse 10.3 repose sur le noyau Linux 2.6.22 et tourne sur architecture 32-bit x86, 64-bit x86 (soit x64), et 64-bit PowerPC. C'est la première fois que cette distribution supporte l'interface graphique KDE en version 4. La version 3.5.7 de KDE est aussi intégrée. Rappelons que traditionnellement l'interface graphique de Suse est Gnome, présente ici en version 2.20 avec les extensions 3D Compiz et Compiz Fusion. OpenSuse 10.3 embarque aussi l'hyperviseur Xen en version 3.1. Plusieurs autres hyperviseurs sont proposés dont KVM et QEMU. (...)
(08/10/2007 08:58:43)BMC a racheté Emprisa Networks, spécialisé dans la configuration de réseaux
Le Texan BMC, éditeur de solutions d'optimisation de la production informatique, devrait annoncer le rachat d'Emprisa Networks et de ses solutions d'automatisation des configurations de réseaux. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Le produit phare d'Emprisa, E-NetAware, vise à simplifier la gestion et la modification des configurations réseau. Il conserve l'historique et permet, par exemple, de remettre en place une précédente configuration. Cette solution vient renforcer la stratégie BSM (Business Service Management) qui réussit à BMC en apportant à ce dernier une meilleure vue sur le réseau. Le BSM vise à superviser le système d'information en fonction des priorités métier et des applications sensibles d'une entreprise. (...)
(08/10/2007 07:56:12)Salesforce.com prépare un service de partage d'informations
Salesforce.com prépare un service qui doit permettre aux utilisateurs de son application hébergée de GRC (gestion de la relation client) de partager directement leurs « leads » (prospects engagés), avec d'autres entreprises utilisant également son logiciel en ligne. Ce service tire avantage du fait que les milliers de clients de l'éditeur, spécialisé dans le mode SaaS (software as a service), stockent tous leurs informations sur leurs prospects et opportunités commerciales sur les mêmes serveurs distants, ceux de Salesforce.com. Ce qui facilite bien entendu le partage de données. Les utilisateurs pourraient mettre en place des règles qui autoriseraient la publication des informations qu'ils acceptent de partager. Les clients souhaitant y accéder devraient alors s'abonner au service, suggère l'éditeur sur son site IdeaExchange. Ces fonctions pourraient être mises en place avec la livraison de la version Winter 2008 de l'offre. Pour choisir un nom à ce service, l'éditeur a demandé à ses clients de l'aider, si l'on en croit un billet posté mardi sur son blog. Parmi les propositions figurent Salesforce Data Network, Salesforce to Salesforce (S2S) et Salesforce Partner Network. (...)
(08/10/2007 00:25:21)SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros
L'éditeur français Business Objects vient d'accepter une offre d'achat « amicale » de l'Allemand SAP. Le numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) met 4,8 milliards d'euros (6,78 milliards de dollars) sur la table pour s'offrir le spécialiste des solutions d'analyse décisionnelle (dites aussi de Business Intelligence ou BI). Le fondateur de Business Objects, le Français Bernard Liautaud, va entrer au conseil de surveillance de SAP. La société qu'il a créée compte aujourd'hui 44 000 clients dans le monde. Pour mémoire, Oracle a racheté Hyperion en début d'année pour 3,3 milliards de dollars. Et Business Objects a lui-même racheté Cartesis, spécialiste des applications financières, au printemps dernier pour 225 M€. L'acquisition de BO va permettre à SAP d'avancer sur le marché de la BI et de proposer des solutions intégrées bien plus vite que la co-innovation ne le lui aurait permis, a déclaré Henning Kagermann, PDG de l'éditeur allemand, au cours d'une conférence de presse téléphonique. Le dirigeant a précisé que la transaction avait été acceptée aujourd'hui, dimanche 07 octobre, par les conseils d'administration des deux sociétés. « Les clients réclament un environnement constitué de processus métiers intégrés et gérés de bout en bout », a commenté Henning Kagermann, en estimant par ailleurs qu'il y avait peu de recouvrement entre les offres des deux éditeurs (réflexion qui paraît surprenante quand on considère les offres additionnées de SAP, BO, Cartesis et OutlookSoft). Il pense qu' « il ne sera pas nécessaire de faire d'importantes restructurations ». Business Objects conservera son autonomie Business Objects gardera son autonomie de fonctionnement. « Nous serons une entité indépendante au sein du groupe SAP », a confirmé John Schwarz, PDG de Business Objects, s'exprimant depuis le siège social allemand de SAP, situé à Walldorf. Néanmoins, BO va renforcer l'intégration de ses solutions avec celles de son acquéreur. « Nos offres BI seront disponibles sous une forme plus intégrée pour les clients de SAP et sous une forme plus indépendante pour les entreprises qui n'utilisent pas SAP, » a-t-il poursuivi. Le dirigeant de BO a également souligné la puissance combinée des réseaux de distribution des deux éditeurs : 5 000 partenaires. Ce qui, selon lui, devrait leur faciliter l'approche des entreprises de taille moyenne. Un marché sur lequel SAP a lancé sa suite hébergée, SAP Business ByDesign, il y a moins de trois semaines. Rappelons que, depuis le début de l'année, de nombreux rachats se sont produits sur le marché des solutions décisionnelles, plus particulièrement sur le secteur des outils de CPM (gestion de la performance économique). Après l'absorption d'Hyperion par Oracle, Business Objects avait en effet repris Cartesis et SAP lui-même avait ensuite racheté OutlookSoft. Plus récemment, Cognos a racheté Applix. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |