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(05/10/2007 14:47:21)

L'Université de Berkeley diffuse ses cours sur YouTube

Plus personne n'échappe au phénomène Web 2.0. Et surtout pas la prestigieuse université de Berkeley en Californie, qui vient de décider qu'il n'y avait rien de mieux que de diffuser ses cours sur le site YouTube pour participer à cette vague. Plus qu'un phénomène de mode, cette décision prend l'allure d'une véritable stratégie puisque l'Université a mis en place un programme qui prévoit la diffusion de 300 heures de cours sur des sujets aussi variés que la bio-ingénierie, la physique, etc. Programme qu'elle compte élargir progressivement. Notons toutefois que comme beaucoup d'universités y compris en France, celle de Berkeley disposait déjà d'un catalogue étoffé de cours au format vidéo qu'elle diffusait sur son propre site (webcast.berkeley.edu). La vraie révolution est donc moins dans le format que dans le choix d'un site très consulté et accessible par l'ensemble de la planète, ce qui devrait permettre à des étudiants de par le monde de bénéficier des cours de cette prestigieuse université. (...)

(05/10/2007 14:39:57)

Les Amis de la Terre admonestent Dell et Google

Les amis de la Terre (FOE), ont vertement critiqué les efforts qu'ont déployés Dell et Google pour lutter contre le réchauffement climatique. FOE estime en effet que le mécanisme dit de la compensation carbone employé par ces deux entreprises, est une « solution à n'utiliser qu'en dernier recours, et seulement après que toutes les mesures pour limiter la production de gaz carbonique aient été prises ». Cette méthode consiste à estimer la quantité de gaz carbonique dégagée par ses activités, et à compenser en plantant le nombre adéquat d'arbres en retour, comme c'est la cas dans le cadre des programmes "Plant me a tree for me" et « Plant a forest » initiés par Dell. Les membres de FOE estiment qu'il s'agit d'une solution trop provisoire, et qu'il est difficile d'en évaluer l'efficacité. De plus, elle constituerait « un encouragement pour les chefs d'entreprise à se dédouaner des économies d'énergie, par des campagnes de plantations moins coûteuses qu'une remise à plat de leurs systèmes de production ». Google a officiellement réagi à cette déclaration en précisant que « l'équivalence carbone est le seul moyen qui permette de contrôler de façon responsable l'"empreinte carbone", et de compenser à court terme les rejets que nous ne pouvons empêcher par le recours aux énergies renouvelables. » (...)

(05/10/2007 13:13:05)

Un site de Microsoft lorgne le marché de la santé

Microsoft vient de lancer HealthVault, site qui s'intéresse à la santé des internautes. Décidément, ce secteur est devenu la poule aux oeufs d'or pour les acteurs de l'industrie informatique. Après la guerre qui s'est déroulée et qui persiste pour gagner les marchés publics dans le cadre du DMP notamment, ou encore les annonces d'Orange sur le lancement d'un portail dédié à la santé, c'est donc au tour de Microsoft de sortir ce site pour le moins étonnant. HealthVault permet aux utilisateurs d'Internet de stocker toutes leurs données médicales. Un moteur de recherche agrémenté de services permettra à terme de suivre son poids, l'évolution d'une maladie et obtenir moult informations qui jusqu'alors ne sortaient que de la bouche de nos médecins. Bien entendu, Microsoft garantit une protection et une confidentialité des données personnelles de chacun, et se rémunère pour le service via la publicité. Forcément une clientèle aussi captive doit valoir cher auprès des laboratoires et autres annonceurs du secteur. D'ailleurs, Microsoft n'est pas le seul à s'intéresser à ce marché juteux puisque Google prévoit de lancer un service similaire baptisé Google Health. Voilà qui devrait sans aucun doute contribuer à combler le déficit de la sécurité sociale : si les patients passent plus de temps sur Internet à suivre leurs maladies et à diagnostiquer leurs boutons, ils iront moins voir leurs médecins, c'est sûr... Reste à savoir dans quelle mesure les services proposés seront suffisamment sérieux pour qu'ils ne constituent pas un danger pour le malade : la consultation personnelle d'un Vidal est généralement le meilleur moyen de devenir hypocondriaque. (...)

(05/10/2007 13:08:18)

Xen lance lui aussi son patch de sécurité

Après VMWare, un autre éditeur de logiciels de virtualisation lance un patch de sécurité. Il s'agit de XenSource et le patch concerne tous les environnements hôtes XenServer v4. La faille permet aux utilisateurs ayant des accès administrateurs sur des environnements hébergés d'accéder au domaine 0 de la machine virtuelle hôte et de la contrôler entièrement au redémarrage du système. Elle a été détectée par Secunia dans la version Xen 3.0.3 de l'hyperviseur mais pourrait également concerner d'autres versions. Dans le doute, XenSource recommande à tous ses clients de se protéger. Tandis que Virtual Iron, qui utilise également l'hyperviseur Open Source, précise que ses produits ne sont pas concernés car il ne permet pas à ses utilisateurs d'accéder au domaine 0. (...)

(05/10/2007 10:55:03)

Cegid discute avec un groupe de services

(mise à jour) L'éditeur de logiciels de gestion Cegid, et plus précisément son premier actionnaire ICMI (19,20 % du capital), devrait céder une partie de ses titres à un groupe de services. C'est ce qui résulte des discussions menées sur l'évolution de l'actionnariat de Cegid Group par ses trois principaux actionnaires, ICMI, Apax et Eurazeo. Précision d'importance : il ne s'agit pas d'un groupe de services informatiques. L'éditeur lyonnais indique que cette prise de participation devrait s'accompagner d'un accord industriel avec Cegid Group. Les modalités de cet accord restent à préciser, sous le contrôle du Conseil d'Administration. Jean-Michel Aulas, président du Conseil d'Administration et actionnaire majoritaire d'ICMI, rappelle qu'il souhaite continuer à diriger l'entreprise avec Patrick Bertrand, son directeur général, ainsi qu'avec le comité de direction actuel. Il privilégiera donc « toute solution qui favorisera la pérennité et l'accélération du développement du groupe ». «Aller au-delà du traitement de la donnée » Interrogé sur le fait que le groupe pressenti n'évolue pas dans les services informatiques, Patrick Bertrand rappelle que « le logiciel est un outil de traitement de la donnée, mais qu'un éditeur peut souhaiter aller au-delà pour apporter d'autres choix ». Il donne un exemple, en précisant bien qu'il est sans rapport direct avec l'activité du partenaire évoqué. « Pour un éditeur de logiciels de paie, il est intéressant d'inclure la gestion des tickets restaurants dans la chaîne. Tous les éditeurs ont ainsi passé des accords avec les fournisseurs de chèques restaurant, point essentiel du traitement de la paie. Aujourd'hui, un éditeur peut donc apporter un autre choix que le strict traitement des données. » Sans pouvoir être plus précis, le dirigeant promet qu'on devrait en savoir davantage assez rapidement. Le groupe de services pressenti est d'origine française et implanté à l'international. Enfin, Patrick Bertrand tient à rappeler que « le point important, c'est qu'il s'agit bien d'une évolution capitalistique qui a pour mission de faire évoluer le groupe en conservant l'équipe dirigeante actuelle ». Une réflexion lancée en juillet dernier On savait depuis juillet dernier que Jean-Michel Aulas envisageait de céder une partie des titres qu'il possède dans la société qu'il a lui-même fondée. Une mission de conseil et de réflexion avait alors été confiée à la banque Lazard Frères qui devait, le 15 septembre dernier, remettre aux actionnaires les propositions reçues. Interrogé fin août à l'occasion de l'annonce des résultats semestriels de Cegid, Jean-Michel Aulas avait indiqué que la décision d'élargissement du capital de son groupe suscitait « un fort appétit » de la part de partenaires potentiels. (...)

(05/10/2007 10:24:30)

La grande tournée de Microsoft dans les palais de la République

Steve Ballmer, patron de Microsoft, s'est rendu à l'Assemblée nationale pour y rencontrer des députés et, mardi 2 octobre, a consacré une autre visite le midi au Premier ministre François Fillon. Mercredi 3 octobre, ce sont les principaux représentants de Microsoft France (le PDG Eric Boustouller, le directeur technique Bernard Ourghanlian, et le chargé des affaires publiques Marc Mossé) qui ont rencontré la direction de la DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Si aucune communication officielle n'a eu lieu autour de ces « opérations de relations publiques », il est probable qu'on y ait beaucoup parlé des récents déboires de Microsoft devant l'Union européenne (condamnation confirmée pour abus de position dominante) et l'Afnor (échec de la normalisation rapide de Office Open XML). Notre confrère Libération indique que Steve Ballmer aurait affirmé aux députés, en charge du vote des lois : « Microsoft se conformera aux législations en vigueur. » Mais le sujet d'avenir reste l'adoption en France du RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité). La version actuelle prévoit que OpenDocument devienne le format bureautique standard obligatoire pour les administrations, ce qui exclurait d'office la dernière version de la suite bureautique de Microsoft de tous les marchés publics (à moins d'y intégrer un plug-in de conversion). Cette obligation ne s'appliquerait pas aux anciens documents archivés même si le RGI possède un volet consacré à l'archivage. La prochaine réunion du Comité RGI est prévue le 12 octobre. Lors de la dernière réunion le 6 juillet, le Syntec et le ministère de la Défense avaient été remarqués par leurs contributions très positives sur le projet de RGI tandis que l'AMF (Association des Maires de France) reste hostile par principe. Malgré les sollicitations, l'AMF n'aurait apporté aucune contribution technique au débat. Le souci serait davantage d'imposer le principe de l'indépendance des choix techniques des collectivités locales. Et tant pis pour la rationalisation des dépenses publiques. (...)

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