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(04/10/2007 18:11:25)
La virtualisation est indissociable du stockage
Dans les centres serveurs, l'heure est à la virtualisation. Vue comme la panacée au niveau de l'optimisation des ressources systèmes, elle est aussi à l'ordre du jour du côté du stockage des données. Voire, dans certains cas, c'est par là que commence la désolidarisation du "soft", de l'information et du matériel. Le SAN, qui peut aussi conserver les images des machines virtuelles exploitées au-dessus d'un hyperviseur, présente aussi l'avantage, pour ses promoteurs, d'un débit d'entrée-sortie suffisamment important pour répondre aux sollicitations non plus d'un serveur, mais bien de plusieurs d'entre eux hébergés virtuellement sur la même machine. Toutefois, il reste encore des adhérences et des conflits. Côté conflit, cela se déroule entre VMware et les spécialistes du stockage. Chacun voyant midi à sa porte, la vision du réseau diffère. Les fournisseurs d'outils de stockage voulant plus de contrôle pour contrôler la gestion de charge et la sécurisation des données. Pour l'heure, on ignore encore qui, des logiciels de virtualisation ou des switches, hériteront de ces missions. Quant à l'adhérence, à l'adressage physique en l'occurrence, elle est en passe de disparaître grâce à NPIV (N-Port ID Virtualization), qui permettra de partager un port physique entre différents ports virtuels. Cette évolution vers des configurations plus importantes n'empêche pas pour autant la fibre optique (Fiber Channel) d'être toujours concurrencée par l'iSCSI sur réseau TCP/IP. Là, il est question de rapport performances/prix. (...)
(04/10/2007 18:05:53)BEAWorld 2007 : BEA prépare Tuxedo à la SOA
A l'occasion de BEAWorld 2007 (à Barcelone), BEA a livré la version 10 de Tuxedo, le moniteur transactionnel historique de l'éditeur. Cette mouture doit notamment redonner des couleurs au produit en le dopant à la SOA, désormais fer de lance de BEA. Ainsi, cette version 10 supporte désormais les standards reconnus de sécurité liés au cryptage de messages, notamment le SSL (Secure Sockets Layer). Selon BEA, les versions précédentes ne reposent que sur un cryptage propriétaire. Toujours dans la famille Tuxedo, BEA annonce la version 2.0 de SALT (Services architecture leveraging Tuxedo), qui supporte désormais les services Web bi-directionnels. L'éditeur affirme que cette mouture supporte également WS-Security. Enfin, BEA dévoile TSAM 1.1 (Tuxedo System and application Monitor), application de monitoring de transaction de services et de contrôle de SLA (Service Level Agreement). (...)
(04/10/2007 18:04:59)BEAWorld 2007 : BEA prône les processus tournés vers les utilisateurs
L'heure est au Web 2.0. Alfred Chuang, fondateur et PDG de BEA dans son discours d'inauguration de BEAWorld 2007 à Barcelone, a déclaré que dans le contexte IT actuel, tout était mashup. Et que BEA, en tant que fournisseur d'infrastructure, avait des réponses à apporter. C'est devant un parterre de quelque 2000 partenaires et clients de l'éditeur que le PDG a livré assez laconiquement, les orientations et les ambitions de sa société. Au programme, les applications dynamiques (Dynamic business application) conjuguant SOA, BPM et, plus surprenant, le social computing ou Web 2.0. Un nouveaux concept d'applications qui s'adossera à une plateforme de développement baptisée Genesis. Pour Alfred Chuang, le postulat de base est simple : primo, l'industrie connaît une révolution avec le social computing et le Web 2.0, qui place l'utilisateur au centre de la manipulation de données. Et secundo, l'innovation par les applications packagées est révolue. "Passer cinq ans et dépenser des millions de dollars à développer une application, c'est du passé". Place ainsi aux applications composites, à la SOA, coeur de métier de l'éditeur. Ce changement quasi-culturel - selon BEA - dans l'industrie informatique pousse ainsi Alfred Chuang à fusionner le meilleur des mondes. Son concept : rapprocher des utilisateurs les processus métier et leur manipulation. « Des applications reposant sur l'humain façonnées pour ses méthodes de travail. » A partir de services et de processus métier pré-conçus, l'utilisateur, au travers de mashup, manipulera les tâches et les données dont il a la charge, en fonction de son rôle (commercial, marketing, comptabilité, etc...). Wiki, Blog, RSS apporteront un côté collaboratif à l'ensemble. Genesis pour soutenir le concept Alfred Chuang a ensuite présenté le Projet Genesis, plateforme qui se composera d'une série de modules, dont la nature reste pour l'heure peu commentée. On parle notamment d'un socle de services et de processus métier, qui pourront être fédérés à des fins de mashup. A l'occasion de l'édition américaine de BEAWorld 2007 à San Francisco (du 10 au 12 septembre), Alfred Chuang a également ajouté que Genesis intégrera des possibilités de SaaS et de facturation à l'utilisateur. Workspace 360 servira d'environnement de développement. (...)
(04/10/2007 17:57:55)Google sécurise la messagerie de Google Apps Premier Edition
Comme prévu, Google fait profiter ses applications en ligne Google Apps Premier Edition des outils de sécurité pour messagerie rachetés à Postini en juillet dernier. Pour autant, le prix de l'accès au service ne bouge pas. Il reste fixé, pour l'Europe, à 40 euros par an et par utilisateur. Des services de filtrage de pourriels (spams) et d'anti-virus viennent ainsi s'ajouter à ceux qui étaient déjà proposés dans Google Apps Premier Edition. A ces outils de contrôle, destinés aux administrateurs, s'ajoute la possibilité de centraliser la mise en place de règles autour des contenus (pour empêcher, par exemple, l'envoi de messages contenant des informations sensibles sur l'entreprise). Les nouvelles fonctions permettent aussi la restauration des messages accidentellement détruits au cours des trois derniers mois. Avant son acquisition par Google, Postini proposait ces services comme add-ons à Google Apps Premier Edition moyennant une souscription complémentaire. En rendant ces outils gratuits, Google prouve sa détermination à voir ses applications adoptées par les petites et moyennes entreprises, selon l'avis de Matt Cain, de Gartner. Des outils que l'analyste qualifie « d'obligatoires » dans le cadre d'une exploitation professionnelle. Gmail stocke 2,5 fois plus qu'avant Dans le même temps, Google multiplie par 2,5 la capacité de stockage de sa messagerie Gmail pour les utilisateurs d'Edition Premier, en la faisant passer de 10 Go à 25 Go. Rappelons que, outre Gmail, les services en ligne Google Apps rassemblent la messagerie instantanée Google Talk, un agenda, un outil de création de pages Web et, surtout, des fonctions de traitement de texte et de tableur. L'offre comprend aussi des interfaces de programmation (APIs) pour intégrer les services avec le système d'information de l'entreprise qui les utilise. Près de 500 000 entreprises et organismes auraient déjà choisi les Google Apps, selon Google, ce qu'il traduit en « millions d'utilisateurs ». (...)
(04/10/2007 17:48:52)Les bibliothèques .Net en « Open Source », à la sauce Microsoft
D'ici à la fin de l'année, Microsoft livrera une partie de son code au public. Il s'agit de certaines parties de .Net : les bibliothèques de base (Base Class Libraries ou BCL), ASP.Net, Systems.Data et WPF. Le tout dans le cadre de la licence maison, Microsoft Reference License. A la différence d'une véritable licence Open Source, celle-ci n'autorise pas les développeurs à modifier le code à leur guise ou à le transposer mais, comme son nom l'indique, ils peuvent s'y référer pour avoir une meilleure compréhension du Framework .Net. Si une erreur est relevée, les débogueurs amateurs pourront proposer leurs corrections à Microsoft à travers son centre de remontée d'incident, mais pas mettre un patch à la disposition de la communauté. A une petite exception près : les développeurs utilisant Visual Studio 2008 Professionel ou Standard pourront lire le code source directement à partir du logiciel et le modifier en partie. Il s'agit juste de permettre aux développeurs utilisant Visual Studio 2008 de le déboguer en même temps que leurs propres lignes de code. Mais le résultat ne pourra être utilisé et copié dans un autre logiciel. De plus, les développeurs utilisant Visual Studio Express Edition n'y auront pas accès. Pour Miguel de Icaza, fondateur du projet Mono, cette initiative est une bonne chose. « Même si la licence pour ce code n'est pas Open Source, c'est un progrès important », écrit-il sur son blog. « Sun a suivi un chemin similaire avec Java dans le passé et, au fil du temps, ils l'ont ouvert de plus en plus. J'espère toujours qu'un jour Microsoft livrera une partie de ce code sous des licences plus libérales qui en permettront l'usage pour tout type d'initiative, y compris Mono. » (...)
(04/10/2007 17:02:09)AOL coupe dans ses effectifs en France et en Europe
AOL poursuit sa restructuration en Europe. Selon nos confrères des Echos, le groupe américain envisagerait de se séparer de la moitié des effectifs de sa filiale européenne, soit 300 postes sur 600. En France, 88 postes sur 140 passeraient ainsi à la trappe. Le quotidien économique rapporte également que les directions techniques et financières pourraient être rapatriées à Londres, au siège européen. Il s'agit de la seconde phase d'un plan de transformation qui a démarré en 2006 par la cession, par AOL, de son activité de fournisseur d'accès à Internet. Contactée par la rédaction, la direction de la communication a indiqué qu'AOL avait engagé une réflexion qui devrait conduire à « une organisation plus simple, plus flexible, et sans doublon », précisant que l'entreprise avait décidé de se concentrer sur un nouveau modèle économique, orienté vers la régie publicitaire. Le porte-parole d'AOL n'a cependant pas souhaité confirmer ni exposer le détail des postes supprimés. (...)
(04/10/2007 14:33:37)Ingres rachète Luminary Solutions et MIS
Issu du partenariat entre CA et Garnett & Helfrich Capital, Ingres Corporation étend ses activités dans les services informatiques. L'éditeur de bases de données et de solutions Open Source vient en effet de se porter acquéreur du britannique Luminary Solutions et de l'Australien MIS, deux sociétés spécialisées dans le développement d'applications critiques. Implantées au Royaume-Uni, en Irlande, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ces deux acquisitions apportent à Ingres Corporation quelques belles références dont notamment le trésor public irlandais et le ministère australien de l'éducation. (...)
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