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(20/09/2007 17:26:33)

Qualité des données : Informatica ajoute un service en ligne pour Salesforce

Informatica vient d'ajouter la gestion de la qualité des données à son offre en ligne destinée aux utilisateurs de Salesforce, l'application hébergée de gestion de la relation client (GRC). Dans la même catégorie, l'éditeur proposait déjà un service de réplication des données permettant aux utilisateurs de copier sur une base interne à l'entreprise, les données gérées en ligne sur Salesforce (à des fins d'analyse, d'archivage ou de communication). Le nouveau service, Informatica Data Quality Assessment, servira cette fois à rechercher dans une base de données, à partir de règles prédéfinies, les informations manquantes, inexactes ou en doublon afin de pouvoir les corriger. L'offre sera accessible à partir du 6 octobre prochain, pour un prix de départ de 1 000 $ par mois. Informatica a, par ailleurs, annoncé un pack d'intégration pour faire le lien entre la plateforme Salesforce et le système d'information d'une entreprise afin, par exemple, de synchroniser des informations entre applications. Cette offre s'appuie sur Informatica PowerCenter 8. Le pack Informatica Integration pour Salesforce est proposé à 2 500 $ par mois. (...)

(20/09/2007 17:07:30)

Les salaires des jeunes diplômés en IT augmentent sensiblement

S'il est une question cruciale dans le monde du travail, c'est bien celle du salaire. Dans une étude intitulée « Rémunérations 2007 », le site d'offres d'emploi Cadremploi.fr dresse une analyse des prétentions salariales et des niveaux de salaires perçus par les jeunes diplômés en 2007. Pour réaliser son enquête, le site a passé en revue un peu plus de 60 000 CV de jeunes présentant moins d'un an d'expérience et ayant une expérience professionnelle de un à deux ans. Côté prétentions, 36,6% des profils de niveau bac+5 souhaitent démarrer à des niveaux de salaires qui se situent entre 30 et 35 000 euros bruts annuels. « Cette année, les niveaux de salaires demandés par les étudiants ont augmenté, en raison des perspectives d'embauches particulièrement favorables », commente Sophie Ak, responsable du marketing et de la communication chez Cadremploi, et auteur de l'étude. Tendance à la hausse pour les ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux Les salaires déclarés profitent eux aussi de l'embellie que connaît actuellement le marché de l'emploi : dans la fonction informatique, 45% des jeunes diplômés ayant moins d'un an d'expérience déclarent gagner un salaire brut qui se situe entre 25 000 et 35 000 euros bruts annuels. Et plus de 30% de ceux qui possèdent un à deux ans d'expérience perçoivent une rémunération annuelle brute annuelle allant de 30 000 à 35 000 euros bruts. « Le nombre de jeunes qui déclarent toucher un salaire annuel brut de 30 000 à 35 000 euros a doublé en deux ans, précise Sophie Ak. Cette tendance à la hausse profite surtout aux ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux. Mais elle concerne aussi les techniciens de niveau bac+ 2 et bac+3, qui déclarent entre 25 000 à 30 000 euros bruts annuels. » La fonction études et recherches voit également croître son niveau de rémunération : 57% des Bac+ 5 ayant moins d'un an d'expérience, et 60% des jeunes disposant de un à deux ans d'expertise perçoivent un salaire brut annuel de 25 000 à 35 000 euros. « Cette filière est particulièrement convoitée par les jeunes diplômés, précise Sophie Ak. 20% d'entre eux souhaitent y faire leurs première armes. » Cadremploi.fr note cependant quelques décalages qui concernent l'ensemble de la fonction IT : des écarts de salaires qui persistent entre Paris et la Province (20% de différence) des prétentions salariales, côté candidats, parfois en deçà de la réalité du marché, et des niveaux de salaires revus à la hausse par les recruteurs, en raison d'une tension sur certains profils. (...)

(20/09/2007 17:03:34)

Pour Greenpeace, Nokia est toujours l'entreprise IT la plus écolo

« Nous sommes satisfaits des progrès accomplis par l'industrie électronique. Il y a un an, notre guide ne donnait pas la moyenne à plus de la moitié des entreprises notées, aujourd'hui elles ont toutes franchi ce cap », se réjouit Yannick Vicaire, chargé de campagne Toxique à Greenpeace International. « Certaines sont encore loin du compte mais la dynamique générale est très encourageante, d'autant qu'elle touche aussi des entreprises du secteur que nous ne ciblons pas. » Effectivement, si en août 2006 la plus mauvaise note était le 1,3 sur 10 attribué à Lenovo, en ce mois de septembre 2007, elle n'est que de 5 sur 10 et revient à Panasonic. Lenovo, quant à lui, est dans le peloton de tête avec 7,3/10 en troisième position ex-aequo avec Dell, derrière Sony Ericsson (avec 7,7/10) et enfin Nokia (avec 8/10) qui tient le haut du classement. Ce classement récompense à la fois des actions matérielles, comme la commercialisation de produits exempts de PVC, mais également organisationnelles. Pour n'avoir pas fourni d'échéances concrètes dans l'élimination complète des substances dangereuses, HP perd des points et se classe en avant-dernière position avec 5,3/10. Ex-aequo avec Apple. En effet, selon Greenpeace, les annonces de Steve Jobs en mai dernier n'ont pas été suivies d'effets, tandis que les concurrents de la firme à la pomme, alors plus mal notés à l'époque, ont progressé. Par exemple, LG Electronics et Sony proposent désormais des produits sans PVC ni retardateurs de flammes bromés (RFB). (...)

(20/09/2007 16:57:40)

IDF : Intel convoque Adobe et Ubuntu pour son PC ultramobile

L'UMPC fait son retour à l'Intel Developer Forum. Intel ne se résout décidément pas à un monde sans PC Ultramobile. Cette année, pour tenter de donner corps à ce mythe aussi récurrent que décevant, les esprits sont invités à s'échauffer avec les noms de code suivants : "Menlow" pour la plateforme, "Silverthorne" pour le processeur double-coeur et "Poulsbo" pour le chipset. A ces trois mots mystère, il convient d'ajouter l'acronyme MID, pour Mobile Internet Device. Intel est inflexible : MID n'est pas un smart phone. Est-ce parce qu'il n'est pas prêt d'avoir du succès ? Etant donné l'évidente tendance à l'obésité vorace dont souffre Windows, Intel appelle Linux à la rescousse de son concept, avec Ubuntu en figure de proue. Adobe est également de la partie, avec AIR (Adobe Integrated Runtime), plateforme d'exécution agnostique (HTML, Ajax, Flash, PDF...) pour des interfaces riches. Menlow n'existe pas encore que l'on évoque déjà Moorestown, son successeur. Mooreestown contiendra tout le système (CPU, mémoire, affichage) sur un seul composant. Le lancement de ces Ultramobile PC (UMPC) est envisagé début 2008. Il ne sera pas difficile de faire moins pire qu'Origami, la version 2006. (...)

(20/09/2007 16:41:20)

Le G9+ s'interroge sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France

La France deviendra-t-elle une nation de SSII adaptant des logiciels créés aux Etats-Unis ? En caricaturant à peine, voici la question posée par le G9+, association d'anciens de grandes écoles, à un panel de haut niveau, la semaine dernière. Patrick Bertrand, DG de Cegid et président de l'Afdel, Jean Ferré, patron de Sinequa, Olivier Guilbert, PDG d'OpenTrust, Pascal Houillon, président de Sage, Thierry Pierre, directeur de la stratégie SOA chez SAP France, Gilles Rigal, directeur d'Apax Partners et Michèle Guren, présidente de CA France, étaient appelés à se prononcer sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France. Sachant qu'il n'y a que deux Français dans le top 20 des éditeurs de logiciels, Dassault et Business Objects, la question n'est pas anodine. D'autant que les rumeurs sur un éventuel rachat de BO par un éditeur américain sont de plus en plus audibles. En introduction de la conférence, Jean-François Perret, président du directoire de Pierre-Audouin Consultants, soulignait ainsi que si on prend le top 200 des éditeurs en Europe, 70% sont américains, 12% allemands (bien que SAP comptât pour une grande part), 5% britanniques et 5% français. Alors qu'il y a, d'après lui, quelque 2200 éditeurs en France. Mais leur problème, a-t-il souligné, est lié à la croissance : sur ces 2200, « plus de 2000 ont un chiffre d'affaires inférieur à 2 ME ». A voir : notre reportage vidéo sur place. (...)

(20/09/2007 16:12:16)

OooCon 2007 : une interface Aqua pour OpenOffice dès septembre 2008

OpenOffice aura enfin son interface Aqua. A l'occasion de OOoCon 2007 à Barcelone, la conférence développeur d'OpenOffice, Eric Bachard, en charge du projet du portage Mac, a promis que la suite bureautique Open Source fonctionnerait dès septembre 2008 en natif sur Mac OS X. Un portage vers « Aqua », système graphique de Mac OS X, qui devrait enfin délivrer les utilisateurs de Mac de l'installation du système Unix X11, qui permettait alors d'exécuter l'application. Cette version native MacOS X sera active dès la sortie de la version 3.0 du logiciel. Le portage Mac d'OpenOffice est longtemps resté à la traîne. Il y a un an, à l'occasion d'OooCon 2006, le même Eric Bachard alertait la communauté d'une manque important de ressources et de matériels. Depuis, Sun est venu épaulé le projet. En mai dernier, deux employés à plein temps y étaient réservés. Derrière, la très réduite communauté (entre 10 et 20 membres) fonctionne par à-coups, composé essentiellement de personnes extérieures à Apple. (...)

(20/09/2007 15:08:02)

Canonical met Ubuntu au coeur d'appliances virtuelles sous VMWare

Canonical, bras commercial de la communauté Linux Ubuntu, a mis au point une version minimale de son OS pour l'installer avec ESX, l'hyperviseur de VMWare, sur des "appliances virtuelles". Baptisée Ubuntu JeOS (pour Just Enough Operating System), cette version n'occupe plus que 215 Mo en mémoire au lieu des 700 Mo de la version complète d'Ubuntu. JeOS a été débarrassé d'éléments comme le noyau du SGBD MySQL, le serveur mail Postfix, le module d'impression et la couche LDAP. Si l'on ajoute à JeOS un hyperviseur ESX issu de la version 3i, qui ne pèse plus que 32 Mo, on voit bien se dessiner les contours de l'appliance virtuelle : un ensemble applicatif directement opérationnel sur un serveur virtualisé. VMWare, qui annonce en parallèle son Virtual Application Developement Kit, précise que JeOS fonctionne aussi avec l'ancienne version d'ESX, celle qui pèse 2 Go. Il est prévu que JeOS, qui sera disponible en environnement VMWare d'ici octobre prochain, soit aussi adapté aux hyperviseurs Xen et KVM. Rappelons que VMWare compte aussi rPath parmi ses partenaires, un des pionniers des appliances virtuelles fondé par des anciens de Red Hat. Sur le même sujet VMWare lance ESX Server 3i, hyperviseur embarqué (...)

(20/09/2007 13:59:38)

Talend sort une offre de migration pour les clients de Genio

Editeur d'une solution d'intégration de données en Open Source, Talend s'adresse cette fois aux clients de Genio, un outil d'ETL (extraction, transformation et chargement de données) d'origine française, racheté par le Canadien Hummingbird en 1999. A ces entreprises (300 en France, entre 500 et 600 en Europe), qui utilisent un produit désormais géré par Open Text, spécialiste de la gestion de contenus et acquéreur de Hummingbird, Talend propose une offre ciblée de migration de processus d'intégration de données. Le « package » comprend l'inventaire du référentiel Genio, une cartographie des projets et des dépendances, la mesure d'indicateurs clés, une analyse d'impact et l'automatisation du travail préparatoire à la migration. Depuis quelques mois, conforté par l'accueil positif réservé à son offre, lancée depuis un an à peine, Talend multiplie les annonces : accords de partenariat (avec JasperSoft et SugarCRM), mise à disposition d'une offre hébergée, fourniture de services avancés... En juin dernier, cet éditeur français a bénéficié d'un nouvel apport financier de la part de ses investisseurs d'origine, Galileo Partners et AGF. (...)

(20/09/2007 13:29:51)

HP Software s'associe à ses partenaires pour recruter et former 200 collaborateurs

HP Software, éditeur de logiciels de gestion d'infrastructures, lance avec ses partenaires un programme qui allie recrutement et formation. Le but est de recruter quelque 200 collaborateurs, qui viendront étoffer les équipes de consultants, chefs de projet et commerciaux. La plupart des recrutements se feront chez les partenaires (Devoteam, Neurones, Steria, Sopra...), HP choissant « d'insuffler une dynamique » pour pallier un souci de formation. « Il y a actuellement trop peu de compétences techniques et commerciales sur le marché, explique Laurent Queulvee, directeur des ventes partenaires d'HP Software. Or, nous voulons stopper le passage des compétences d'un partenaire à un autre. » Parmi les 200 postes à pourvoir, 90% concerneront des profils techniques et 10% des profils commerciaux. La particularité de ce programme réside dans le fait qu'il vise aussi les personnes qui n'ont pas d'expérience directe dans les domaines de qualification concernés et peut s'adresser à des professionnels du domaine de la comptabilité, ou du management. La formation des candidats non expérimentés se déroulera sur une durée de 45 jours. Les bénéficiaires possèderont ainsi un savoir-faire métier et acquerront des compétences sur les solutions d'HP Software, sur la gestion des services et actifs informatiques (Service Management & Asset management), le management des systèmes et réseaux (Network & System management), et la gestion de la qualité et de la performance des applications (Quality & Performance management). A l'issue de la formation, les candidats sélectionnés suivront un stage dans les entreprises partenaires d'HP Software, avant d'être recrutés. L'opération débutera le 11 octobre 2007 dans les locaux d'HP, à Issy-Les-Moulineaux. (...)

(20/09/2007 12:38:47)

Les critiques sur Sun affluent après l'arrivée d'IBM dans OOo

Même si la suite bureautique libre OpenOffice est une fille directe de son StarOffice, et que Sun Microsystems fournit l'essentiel des efforts en termes de code et de développeurs, il étoufferait son développement. Les critiques en ce sens se multiplient, les langues semblant se délier après l'arrivée d'IBM au sein de la communauté. Ken Foskey, qui a quitté OpenOffice.org en 2005 après trois de développement, explique avoir été de plus en plus « frustré » par la bureaucratie de l'organisation : « OpenOffice a un processus très centralisé de contrôle du code source et, par ce système, rate complètement l'intérêt d'un développement Open Source. » De même, Bruce d'Arcus, un des développeurs principaux d'OOo, dit que si « les développeurs Sun ont travaillé dur pour ouvrir le processus d'OOo », avec « des résultats positifs », cela ne lui convient toujours pas. « Il y a une contradiction fondamentale entre avoir une communauté ouverte et animée, et avoir un processus contrôlé par un seul acteur. » Ces développeurs frustrés d'OpenOffice.org dénoncent ce contrôle serré, lié à une culture bureaucratique, qui handicaperait l'évolution de la suite bureautique. Pour eux, c'est cela qui explique certains retards du produit au niveau fonctionnel. Et de citer l'interface Mac, à la traîne du système, ou l'incapacité à lire et écrire le format OOXML utilisé par Microsoft dans Office 2007. Cette frustration aurait aussi retenu d'autres éditeurs, comme Novell ou Google, de s'impliquer davantage dans le projet. IBM nouveau leader de l'opposition à Microsoft Erwin Tenhumberg, employé de Sun en charge du développement et du marketing de la communauté, reconnaît le manque d'ouverture de Sun. Mais pour lui, le fait que ce soit des employés de Sun qui aient écrit 90% de la dernière version de la suite bureautique est aussi dû au manque d'implication des autres : « Il y a une longue tradition chez Sun de ne pas donner assez d'attention aux contributeurs externes parce que pendant longtemps il n'y en a pas eu. » IBM ne manque pas de pointer du doigt ce souci de management. « Nous pensons qu'il y a un large consensus pour estimer que des changements structurels et de gouvernance rendraient le projet OpenOffice plus séduisant pour les autres, lance par exemple Doug Heintzman, directeur de la stratégie Lotus chez IBM. Ce n'est pas un secret de dire que cela a été un problème pour nous depuis un certain temps et, qu'à cet égard, nous considérons qu'OpenOffice.org n'est pas en aussi bonne santé qu'il pourrait l'être. » L'arrivée de cet autre poids lourd dans la communauté OpenOffice pourra-t-elle changer la donne ? C'est en tout cas l'intention d'IBM qui, après avoir dédié 35 développeurs à ce projet, lancé sa propre distribution sous le nom de Lotus Symphony, et pris la tête de l'opposition à OpenXML (Sun, nouveau meilleur ami de Microsoft, se réfugiant dans l'abstention), ne cache pas ses ambitions. Pour Sean Poulley, vice-président business et stratégie de la division Lotus, si IBM va travailler dans le cadre existant, « nous prendrons notre position de leader de droit dans la communauté aux côtés de Sun et des autres ». Transformant ainsi le dragon bureaucratique en hydre à deux têtes ? (...)

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