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(20/09/2007 11:02:12)

Dreamforce : Salesforce Ideas, source d'inspiration communautaire

Lors de la conférence utilisateurs Dreamforce (16-19 septembre, San Francisco), Marc Benioff, PDG de Salesforce.com, a présenté Ideas, une application qui viendra s'ajouter à son offre « à la demande » lors de sa prochaine et vingt-quatrième mise à jour, Winter '08. Bâtie sur la plateforme Force.com, Salesforce Ideas apporte un cadre permettant de tirer parti des idées soumises en ligne par une communauté. Ce peut être une communauté interne à une entreprise qui permettra d'échanger autour du développement des produits, des marques, de la politique de prix ou des marchés à aborder, etc. La communauté peut également être constituée des clients et partenaires d'une entreprise. A la manière de Digg ou d'IdeaStorm Marc Benioff cite en exemple le site IdeaStorm, lancé par Dell en février dernier pour recueillir les suggestions de ses clients et qui a notamment conduit le constructeur à sortir, à la suite de demandes répétées, des ordinateurs sous Linux Ubuntu. Ou encore, toujours chez Dell et sur le même principe, Employeestorm, destiné à recueillir les commentaires des salariés. Le PDG de Salesforce.com fait aussi référence à Digg, site communautaire qui illustre bien l'univers du Web 2.0 en proposant à ses visiteurs de partager du contenu Web qu'il affichera dans l'ordre déterminé par le vote des internautes. Salesforce Ideas permettra donc de partager des informations, de poster des contributions pouvant inclure du contenu graphique et de voter en ligne pour faire remonter, parmi les idées soumises, les suggestions les plus séduisantes. 700 applications sur AppExchange Au cours de la même intervention, Marc Benioff a également rappelé la prochaine livraison, dans Winter '08, de l'application de gestion de contenus Salesforce Content, issue de son rachat de Koral. Le dirigeant a par ailleurs annoncé la disponibilité de la 700e application sur la place AppExchange. Il s'agit d'une solution de gestion des ressources humaines développé par Fairsail, l'un des 350 partenaires à proposer un logiciel sur AppExchange. Salesforce compare la recherche d'applications sur cet espace à l'utilisation d'un répertoire à la iTunes. Depuis son lancement, 34 000 applications auraient été installées par quelque 12 000 clients dans 74 pays. (...)

(20/09/2007 09:38:21)

Antitrust : les critiques de Washington sont « inacceptables » pour Bruxelles

La confirmation de la condamnation de Microsoft par la Commission européenne pour son abus de position dominante a suscité la réaction indignée des autorités américaines. Des critiques qui ont engendré l'ire de Bruxelles. La principale salve est venue du ministère de la Justice qui estime que la décision de l'exécutif communautaire ait « pour conséquence malheureuse de nuire au consommateur en freinant l'innovation et en décourageant la concurrence ». Et de poursuivre en soulignant qu'aux « Etats-Unis, les lois antitrust protègent le consommateur en protégeant la concurrence, non les concurrents ». Regrettant les différences de traitement des positions dominantes des deux côtés de l'Atlantique, le DoJ encourage Bruxelles à davantage de collaboration américano-européenne dans le but de « créer une politique anti-monopole solide qui profitera aux consommateurs ». De son côté, l'Europe ne goûte guère les critiques de Washington. Neelie Kroes, la commissaire européenne en charge du dossier Microsoft, les juge « totalement inacceptables » et regrette le droit que s'octroient les autorités d'outre-Atlantique de commenter la décision « d'une cour indépendante hors de leur juridiction ». La commissaire à la concurrence rappelle que Bruxelles n'a pas pour habitude de juger les décisions judiciaires rendues aux Etats-Unis et attend « le même degré de respect de la part des autorités américaines sur les décisions des tribunaux européens ». (...)

(20/09/2007 09:12:22)

IDF : La mise à jour de Centrino sera lancée en janvier 2008

Intel va lancer la première mise à jour de sa plateforme mobile Centrino en janvier 2008, qui incluera une nouvelle famille de processeurs ainsi qu'une puissance de calculs graphiques supérieure à la génération actuelle. Santa Rosa Refresh - le nom de code donné à la deuxième mouture de Centrino, se basera sur les processeurs du fondeur gravés en 45 nm - issus de la gamme Penryn - alors que la plateforme reposait jusqu'alors sur la génération 65 nm. Le passage aux puces nouvelle génération devrait conduire à des composants plus véloces et consommant une moindre puissance électrique. La fabrication de ces processeurs - plus petits - permet en outre au groupe de diminuer ses coûts de conception - en produisant davantage de puces sur une même plaque de sillicium - et permet d'y intégrer davantage de fonctionnalités, comme une mémoire cache accrue. Santa Rosa Refresh sera basé sur le chipset 965 Express et supportera l'API DirectX 10. Comme nous l'annoncions en début de semaine, cette mise à jour sera elle-même remplacée par une nouvelle version mi 2008, Montevina. Toujours basée sur une gravure en 45 nm, celle-ci offrira un nouveau chipset, le support de la DDR3 et du Wimax. (...)

(20/09/2007 08:39:18)

Les politiques de sécurité manquent de structure, estime Gartner

Selon Les Stevens, analyste chez Gartner, il est primordial pour les entreprises d'établir une politique de sécurité claire et assimilable par tous les employés. Pour cela, elles doivent avant tout identifier les facteurs clés de cette politique, garantissant le succès ou conduisant à un échec de leur plan de gestion . «Beaucoup d'entreprises ont négligé d'apprendre les actions à mener pour développer une politique de sécurité», a-t-il déclaré lors de l'IT Security Summit de Londres. Elles ont davantage mis l'accent sur la satisfaction des responsables et leur capacité à mener à bien les audits. Leur attention ne s'est pas assez focalisée sur les besoins liés à l'activité, en termes de risques et d'implémentation. Selon l'analyste, le contenu de la politique doit «être clair et concis, définir les rôles et les responsabilités de chacun et faire apparaître de façon claire les conséquences du non respect des règles par le personnel». De plus, il doit être rédigé dans une langue compréhensible par tous. Sa mise en oeuvre doit être adaptée à la culture de l'entreprise, régulièrement revue et maintenue à jour. Enfin, les entreprises doivent être auditées pour vérifier la bonne correspondance entre la politique déployée et leurs activités. Pour mettre en place une politique de sécurité de façon optimale, les entreprises doivent utiliser une charte, associée à des règles génériques et d'autres plus spécifiques en fonction de chaque département. Les responsables informatiques et directeurs exécutifs devraient, selon Les Stevens, avoir la responsabilité du développement de la politique, tandis qu'un comité aurait la charge de l'approuver et de l'implémenter. (...)

(19/09/2007 21:46:58)

PGI "à la demande" : SAP A1S s'appelle SAP Business ByDesign

L'offre de gestion « à la demande » de SAP s'appellera donc SAP Business ByDesign. Cette mystérieuse offre hébergée pour PME, qui a déjà fait couler beaucoup d'encre, était jusque-là connue sous le nom de code A1S. L'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI), vient tout juste de la présenter à l'occasion d'une conférence très attendue, qui a débuté à New-York à 11 heures (17 heures, heure de Paris). Cette présentation a été retransmise en direct sur le Web afin que tout un chacun puisse simultanément découvrir le produit qui, selon les propres mots de Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur, ouvre « une nouvelle ère pour SAP ». Un produit sur lequel la société a commencé à travailler il y a quatre ans, de l'aveu même d'Henning Kagermann, son PDG. Des services Web pour façonner l'application à sa mesure Avec cette offre de gestion intégrée, très novatrice pour le fournisseur et assortie d'un modèle économique totalement différent du sien jusqu'à présent, SAP prétend hardiment changer la donne dans sa propre industrie. Basée sur la plateforme d'infrastructure Netweaver, SAP Business ByDesign repose sur une architecture orientée services (SOA), ce qui va permettre au client de façonner une application à sa mesure qu'il pourra ensuite enrichir au gré de ses besoins. Des services Web externes, comme Google Maps (présenté lors de l'annonce), pourront également être appelés. La PME pourra juger de l'adéquation entre son activité et les processus métiers de l'offre en testant celle-ci en ligne, avec ses propres données, avant de l'acheter. Linux, MaxDB, virtualisation et « megatenancy » SAP Business ByDesign s'insère entre les deux offres PME déjà disponibles de l'éditeur (All-in-one et Business One). Elle propose, en ligne, une solution couvrant tous les processus de gestion y compris la relation client. L'offre se veut simple à utiliser car elle vise des entreprises de 100 à 500 personnes qui ne sont pas forcément férues d'informatique. Pas de cannibalisation, donc, des deux produits PME déjà lancés, assure Léo Apotheker. Le coût d'accès à l'application, dont la disponibilité générale est véritablement prévue pour 2008, est fixée à 149 dollars (environ 133 euros) par utilisateur et par mois, avec un minimum de vingt-cinq utilisateurs. Accessoirement, mais c'est transparent pour l'entreprise cliente, Business ByDesign fonctionne sous Linux avec la base de données maison, MaxDB. L'application est pour l'instant hébergée par SAP (à terme, des partenaires hébergeurs sont prévus). L'éditeur fait appel aux technologies de virtualisation de serveurs (en l'occurrence celle de VMware) et exploite une architecture « megatenancy » (différant du multitenancy) qui permet de mettre à jour séparément les applications de chaque client. Une démarche indispensable puisque chaque PME aura personnalisé ses processus. Vingt clients en test, une disponibilité réelle en 2008 Vingt clients utilisent déjà SAP Business ByDesign : dix en Allemagne et dix aux Etats-Unis. Quatre d'entre eux sont venus soutenir SAP sur sa scène new-yorkaise. Vingt autres clients s'apprêtent à passer en exploitation, en France, en Angleterre et en Chine. Et plusieurs dizaines d'autres entreprises y songent. Il s'agit toutefois de clients sélectionnés car SAP souhaite prolonger encore sa phase de test pour bien rôder son modèle avant l'ouverture du produit à tous. « L'offre prendra sa vraie vitesse à partir du 2ème semestre 2008 », confirme Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. La France, un marché significatif pour SAP Les PME hexagonales les plus curieuses n'auront toutefois qu'un mois à attendre pour découvrir le produit dans sa version française puisque celle-ci sera disponible le 15 octobre prochain. La France constitue donc pour SAP un marché cible significatif pour déployer SAP Business ByDesign. Un marché sur lequel, en outre, un produit comme SAP Business One a apparemment plus de mal à se répandre que dans d'autres pays (l'Inde notamment), en partie à cause d'une concurrence locale forte sur les PGI pour PME. D'ici fin 2008, la filiale hexagonale espère qu'elle devra à SAP Business ByDesign 15 à 20 % de son chiffre d'affaires PME (qui devrait représenter alors la moitié des ventes françaises globales). Entre temps, SAP France se sera employé à constituer un réseau de partenaires en puisant parmi ceux qu'il compte déjà et en recrutant aussi de nouveaux profils, cette fois plus axés sur la vente que sur l'intégration, avec une offre de service se bornant à accompagner le client dans sa conduite du changement et la migration de ses données. A ces distributeurs s'ajouteront d'autres types de partenaires, fournisseurs d'infrastructure et de services Web. (...)

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