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(31/10/2011 17:08:06)

TR Services a revendu ATTI à un ancien de SFR

Au mois de mars 2009, TR Services reprenait l'intégrateur ATTI, un spécialiste  Aastra Matra, gold partner du constructeur et son seul centre d'assistance technique en France. Mercredi dernier, TR Services revendait ATTI. Le P-dg de TR, Lionel Smeers nous avait fait part de sa volonté de se désengager de certains actifs.

Le repreneur, Eric Chambriard, compte 20 ans d'expérience dans les télécoms, de Siris à SFR, où il était dernièrement directeur des services hébergés. « SFR est une excellente entreprise, mais je me sentais au bout d'un cycle, je voulais rester dans l'opérationnel et donc reprendre une entreprise toujours dans les télécoms ». Eric Chambriard visait une  entreprise de plusieurs millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, « la pyramide des entreprises est très écrasée en France, on trouve beaucoup de sociétés aux alentours de 1 à 2 millions d'euros, c'est trop peu pour déployer des projets ».

Quitter SFR pour construire sa reprise d'entreprise

Eric Chambriard a quitté SFR il y a quelques mois pour construire sa reprise d'entreprise. Son choix s'est finalement porté sur ATTI. « Je connais Lionel Smeers de longue date, ATTI correspond exactement au profil que je cherchais, 4,6 ME de CA en 2010, 50 collaborateurs ». Eric Chambriard est attiré par l'intégration Aastra Matra mais aussi par le fait qu'ATTI compte une équipe de développeurs, importante pour apporter des services, « je l'ai constaté dans mon poste précédent ».

Eric Chambriard, qui devient P-dg et actionnaire majoritaire, est entouré de deux autres investisseurs, Alain Derache, l'un des fondateurs d'ATTI et François Maire, l'ancien P-dg de Siris, devenu business angels.

Illustration : site web d'ATTI

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(31/10/2011 17:06:17)

TCO Development lance un label éco-responsable pour les tablettes

TCO Certified est un dispositif indépendant de certification de produits d'informatique qui a vu le jour en 1992. Les labels TCO Certified sont attribués à des produits écolos et conçus de façon responsable et aux entreprises qui les fabriquent ou qui font la promotion de pratiques durables.

Le 27 octobre, TCO Development a annoncé le lancement de la certification pour les tablettes, TCO Certified Tablets, une première pour ce type d'appareils. D'après TCO, les tablettes sont évaluées sur un grand nombre de critères dont "l'emploi minimal de matériaux dangereux, l'efficience énergétique, l'ergonomie visuelle et d'utilisation, le recyclage et la responsabilité sociale du fabricant pendant la phase de production".

La Slate PC Series 7 de Samsung obtient le label

TCO a également annoncé que la première tablette à être honorée de ce nouveau label est la Slate PC Series 7 de Samsung. La tablette Windows a été dévoilée par son fabricant coréen lors du salon d'électronique grand public IFA en septembre 2011, et elle est en vente depuis le 2 octobre.

Il existe d'autres labels internationaux pour les pratiques respectueuses de l'environnement et la responsabilité sociale des entreprises, comme Energy Star, qui attribue des notes d'efficience énergétique aux appareils électroniques. Le site EPEAT peut constituer un bon point de départ pour chercher des appareils écolos puisqu'il se présente comme le registre mondial des produits électroniques verts.

On peut reconnaître les produits Energy Star dans les rayons grâce à leur logo "Energy Star" suivi d'une étoile sur fond bleu. Les produits certifiés par le TCO sont estampillés du logo ovale et vert "TCO Certification".

TCO Certified - tcodevelopment.com

Energy Star - energystar.gov

EPEAT - epeat.net

Illustration : La Series 7 SLATE PC de Samsung, première tablette éco-responsable certifiée du nouveau label TCO (crédit : Samsung) (...)

(31/10/2011 16:48:14)

La Chine montre un supercalculateur exploitant ses propres puces

La Chine a construit son premier supercalculateur entièrement basé sur des processeurs qu'elle a fabriqués, ce qui constitue pour le pays une étape importante vers une indépendance vis-à-vis de la technologie occidentale pour la mise au point des systèmes HPC. Le centre national des supercalculateurs de Jinan a dévoilé l'ordinateur jeudi dernier, selon la presse d'Etat. Ce supercalculateur utilise 8 704 micro-processeurs Shenwei 1600 ayant été développés par le National High Performance Integrated Circuit Design Center de Shanghai. 

Mis au point par l'institut de recherche SDAS (Shandong Academy of Sciences), le système présente une puissance de pointe théorique de 1,07 petaflop (mille milliards d'opérations en virgule flottante par seconde) et une performance soutenue de 0,79 petaflop, mesurée par le test Linpack. Cela pourrait le placer à la 13e place du Top 500, le classement mondial des supercalculateurs. Des photos du processeur utilisé et du datacenter peuvent être consultées sur le site gov.cn. Selon le New York Times, le système porterait, en anglais, le nom de Sunway BlueLight MPP.

Il y a un an, le Tianhe-1A détenait la 1ère place du Top 500

La Chine investit de plus en plus dans la technologie HPC. En novembre dernier, son supercalculateur Tianhe-1A avait attiré l'attention en devenant temporairement le plus puissant du monde, prenant alors la tête du Top 500. Mais l'ordinateur exploitait des puces fabriquées par Intel et Nvidia. Le Tianhe-1A présente une vitesse théorique de 4,7 petaflops et une performance soutenue de 2,5 petaflops.

Dans le Top 500, la Chine ne compte pas moins de 61 supercalculateurs. Comparativement, les Etats-Unis en dénombrent 255. Pour l'instant, c'est le K Computer, un système HPC japonais qui détient la première place, d'où il a délogé le Tianhe-1A.

Les experts du domaine s'attendaient à ce que la Chine construise son propre supercalculateur en utilisant des processeurs qu'elle aurait elle-même fabriqués. Sur place, la presse d'Etat a salué le nouveau venu comme un symbole de la puissance chinoise.

Illustration : le supercalculateur chinois utilisant les puces fabriqués localement (crédit : www.gov.cn)

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(31/10/2011 16:51:09)

Sans fil sécurisé : Bull rachète la société française TRCOM (mise à jour)

Le groupe français Bull vient d'annoncer le rachat de Time Reversal Communications, une société installée dans le Val d'Oise et spécialisée dans la sécurisation des communications mobiles et les outils de test des réseaux sans fil. Celle-ci a été créée en 2008 à l'initiative de chercheurs de l'Institut Langevin et du CNRS/ESPCI et a accueilli par la suite la branche professionnelle de Mobiwire (anciennement Sagem Wireless). Bull indique qu'elle sera rattachée à son activité Solutions de sécurité.

Parmi les lignes de produits de TRCOM se trouvent également des antennes microstructures et des systèmes de test électromagnétique utilisant le procédé de retournement temporel.

(mise à jour) Contacté par La Rédaction, Bull précise que TRCOM compte aujourd'hui 43 personnes dont les deux tiers participent aux travaux de recherche et de développement sur les produits. Parmi eux se trouvent quatre chercheurs travaillant à temps partiel dans le cadre d'un partenariat avec l'institut Langevin (établissement mixte CNRS/ESPCI).

Sur le marché des outils de test des réseaux de télécommunications cellulaires, la société propose la gamme OT800. Béatrice Bacconnet, vice-présidente executive de l'entité Security Solutions de Bull, explique que ces équipements, au format d'un téléphone mobile, permettent « d'analyser et de qualifier les différents paramètres des réseaux en vue d'améliorer leurs qualités de service ». Sur le marché des communications mobiles sécurisées, TRCOM a lancé le S:Phone qui intègre une solution de sécurité pour assurer la confidentialité des communications voix et des SMS.

Béatrice Bacconnet précise par ailleurs que la société que Bull vient de racheter possède « des brevets essentiels », dans le cadre de son partenariat avec l'Institut Langevin. « Dans le domaine innovant des antennes à micro structure permettant d'associer technologie MIMO, performances et faibles dimensions », indique-t-elle, ainsi que « sur le retournement temporel qui est une technologie de communication permettant d'adresser des problématiques de sécurité et de 'préservation de l'environnement' ». 

Parmi les clients de TRCOM figure le ministère de la Défense, des agences gouvernementales, des intégrateurs télécoms, principalement en Asie, aux Etats Unis et en Europe. Après son acquisition par Bull, la société restera dirigée par François Guérineau, Directeur Général de TRCOM. La présidence du Conseil d'administration est assurée par Béatrice Bacconnet, vice-présidente executive de l'entité Security Solutions de Bull.

Illustration : logo de TRCOM (crédit D.R.)

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