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(31/10/2011 15:06:08)

CIO.PDF 44 : le marketing digital dans le brouillard 2.0

L'innovation est l'un des rôles essentiels des managers IT. Il ne s'agit pas seulement d'innover pour l'informatique, mais aussi de rendre possible? voire d'initier des innovations dans les métiers. Le marketing digital à l'ère de Facebook en est le meilleur exemple. Les outils IT y jouent un rôle central pour un fort bénéfice business à condition que le partenariat entre IT et métier soit réel.

Les retours d'expérience se multiplient sur l'association entre les réseaux sociaux, la relation client et le marketing. Sur ces sujets, l'informatique et les métiers explorent conjointement les nouvelles possibilités du numérique.

Ces questions sont au coeur du dossier de ce CIO.PDF, avec les témoignages de Guillaume Darroussez (Cyrillus), Pierre Matuchet (VSC Technologies), Erik Songeur (Société Générale), Julien Grandet (Société Générale), Valérie Darmaillacq (Voyages-SNCF.com), Patrick Oualid (Pixmania), Georges-Edouard Dias (L'Oréal), Amélie Bourgeois (Disneyland Paris), Olivier Sala (GDF Suez), Tamar Papiashvili (Pixmania).

On peut aussi décliner cette nécessaire collaboration métier/DSI au cas où le PDG et le DSI coopèrent pour réussir auprès des consommateurs. Nos confrères de CIO Etats-Unis ont ainsi interrogé le PDG de Campbell Soup, Denise Morrison, et le DSI, Joe Spagnoletti.

Enfin, à la Française des Jeux, cette collaboration pour l'innovation prend une forme particulière : Claude Boivin est ainsi en charge à la fois des systèmes d'information, des opérations commerciales et de la division « tirage & promulgation ». (...)

(31/10/2011 14:52:35)

La scission de l'activité PC aurait coûté trop cher à HP

Selon un dirigeant de HP, la séparation de la division PC, dont dépend l'activité PC, smartphones et tablettes, aurait été trop coûteuse. C'est une des raisons pour laquelle le constructeur est revenu sur ce qu'il avait annoncé en août. Ainsi que l'a déclaré Tony Prophet, senior vice-président des opérations de la division Personal Systems Group (PSG), « la scission aurait coûté 1,5 milliard de dollars, dont une partie  imputable immédiatement, suivie de dépenses échelonnées. ». Il ajoute que l'analyse a permis d'établir clairement que, au final, les coûts seraient beaucoup trop élevés au regard des avantages potentiels.

C'est jeudi dernier que HP a fait part de sa décision de garder son activité PC, après avoir envisagé la vente ou la scission, dans le cadre d'un projet mis en route par l'ancien PDG Leo Apotheker. HP étudiait les alternatives envisageables pour sa division Personal Systems Group (génératrice de marges faibles), afin de pouvoir se concentrer sur des secteurs plus rentables comme les logiciels, les services et les solutions matérielles pour l'entreprise. Finalement, le choix de conserver PSG au sein de HP est « un bon choix, aussi bien pour les clients et les partenaires, que pour les actionnaires, et pour les salariés, » a déclaré jeudi dernier Meg Whitman, PDG de HP

Pour évaluer la situation et répondre à cette question, « l'entreprise a mobilisé plus d'une centaine de personnes - cadres, clients et conseillers juridiques », a expliqué Tony Prophet. « Le désir des clients et les capacités commerciales de la division ont également compté dans la décision de conserver l'unité PC », a t-il ajouté.

HP ne reviendra pas sur sa décision

Certaines entreprises clientes d'HP avaient préalablement exprimé leur mécontentement quant à la décision de vendre ou de se séparer de PSG. Ceux-ci faisaient valoir qu'ils préféraient acheter leurs produits auprès d'une entité unique au lieu de s'adresser à plusieurs entreprises différentes pour leurs applications et leur matériel. De leur côté, les analystes ont dit que l'activité PC avait permis à HP d'acheter du matériel à des tarifs plus avantageux, et qu'elle apportait aussi de solides capacités logistiques et de distribution, des qualités essentielles pour les activités Impression et Solutions d'entreprise. 

La décision de garder l'entité PC a été étudiée avec beaucoup d'attention et HP ne reviendra pas dessus. « Vous pouvez être certains que c'est le résultat d'un audit très approfondi », a affirmé Tony Prophet. En août dernier, au moment où le groupe californien envisageait les différentes alternatives stratégiques pour sa division, un analyste avait évalué Personal Systems Group à 8 milliards de dollars environ. Ce montant, élevé, rendait la division difficile à vendre sur un marché en baisse, où les fabricants d'ordinateurs luttent pour s'en sortir. 

Toujours numéro 1 du marché et Windows 8 en vue

Si les concurrents ont essayé de profiter de l'incertitude entourant les activités PC d'HP, aucun signe ne montre que l'entreprise en a été affectée au cours de ces derniers mois. Selon le vice-président des opérations, les livraisons de PC ont augmenté au troisième trimestre. Pour IDC, HP a conservé sa place de premier fabricant de PC au niveau mondial au cours des trois derniers mois. L'entreprise a livré 16,6 millions de PC, en croissance de 5,3% par rapport à l'an dernier. Après Lenovo, Dell s'est classé au troisième rang des fabricants de PC au niveau mondial, affichant des livraisons en baisse de 1,6 % en glissement annuel. 

Dans les mois qui viennent, la stratégie PC et tablette de HP s'appuie sur Windows 8, le prochain OS de Microsoft, a indiqué Tony Prophet. Pour l'instant, Microsoft n'a pas annoncé de date de sortie pour le système d'exploitation, mais un haut dirigeant d'Intel a déclaré en octobre qu'il serait prêt l'année prochaine.

« Sans aucun doute, les principales tendances et la transition va dépendre de Windows », a déclaré Tony Prophet. « Nous avons l'intention et nous travaillons pour être leader avec Windows 8. » HP sortira une tablette sous Windows 8, mais aussi des ultrabooks tournant sous le nouvel OS de Microsoft. Intel veut que les ultrabooks deviennent la nouvelle génération de PC minces et légers avec des caractéristiques semblables aux tablettes tactiles. 

Le support de la TouchPad se poursuit

Pendant ce temps, le sort de la plate-forme mobile webOS d'HP reste incertain. « HP est en train de réfléchir à ce qu'elle pourrait faire de webOS », a déclaré Tony Prophet. Au mois d'août dernier, HP avait déclaré que, même si elle arrêtait sa production de smartphones et de tablettes tournant sous webOS, elle continuerait à maintenir son système d'exploitation mobile. A l'époque, une frénésie d'achat avait pris les utilisateurs qui s'étaient rués sur les stocks de tablettes TouchPad bradés par HP et plusieurs distributeurs. Les stocks de smartphones Palm Pre et Pixi avaient subi le même sort. 

Pour l'instant, Tony Prophet n'a fait aucun commentaire sur le devenir éventuel de la TouchPad, mais un porte-parole du constructeur a déclaré qu'HP continuerait à assurer le support de sa tablette. Quant aux smartphones, « il est encore trop tôt pour se prononcer sur leur sort », a déclaré Tony Prophet.

Crédit illustration : HP

(...)

(31/10/2011 12:40:22)

Brocade est-il encore à vendre ?

Selon le Wall Street Journal, Brocade, l'entreprise de la Silicon Valley qui conçoit et réalise des systèmes de communication pour les réseaux de stockage, essayerait encore de trouver un acheteur via Qatalyst Partners. Il s'agit de la même banque d'investissement vers laquelle elle s'était adressée une première fois il y a deux ans. Pour l'instant, Brocade n'a pas fait de commentaire relatif à cette information.

En octobre 2009, Brocade avait demandé à Qatalyst de chercher pour son compte des acheteurs possibles. A l'époque, certaines sources avaient laissé croire que Hewlett-Packard et Oracle étaient toutes deux intéressées par l'entreprise, mais sans donner suite. Pour Brian Babineau, analyste pour le cabinet d'études ESG, la publication par le Wall Street Journal d'un article sur une mise en vente possible de Brocade n'est « pas un hasard », rapportent nos confrères de Computerworld. Selon lui, tout article mentionnant ainsi la recherche possible d'un repreneur par une entreprise n'a que deux objectifs très calculés : soit recruter des repreneurs supplémentaires et susciter une guerre des enchères entre les déclarés et les nouveaux prétendants, soit remotiver les acheteurs potentiels. Une société étrangère, qui n'est peut-être pas au courant que Brocade cherche activement à se vendre, pourrait se retrouver dans la course. « Par contre, si cette information est parue par hasard, cela pourrait nuire à d'éventuelles négociations en cours », a ajouté Brian Babineau. Voilà pourquoi ce type d'informations parait rarement par accident, selon lui.

Dell et Oracle peuvent être intéressés 

Cette fois-ci, HP devrait être beaucoup moins intéressé par Brocade. Fin 2009, l'entreprise a en effet racheté le fabricant de switches et de routeurs 3Com. IBM, un autre prétendant possible, a de son côté acquis Blade Network Technologies en 2010, ce qui rend également Brocade beaucoup moins attractif pour lui. 

Dans la liste des candidats les plus susceptibles d'être intéressés par Brocade, Dell et Oracle auraient aussi leur place. Dell a récemment annoncé la fin d'un accord de revente passé avec EMC il y a 10 ans. Ce partenariat avait permis à Dell de développer sa propre offre de stockage professionnelle et à EMC de se hisser sur le marché des entreprises de taille moyenne. Oracle, de son côté, fait partie des groupes qui procèdent le plus à des acquisitions (il y a quelques jours, il a encore déboursé 1,5 milliard de dollars pour racheter l'éditeur RightNow) « S'ils achètent Brocade, je pense que Brocade réussira » a déclaré pour sa part Jon Olstik, un autre analyste d'ESG. « Oracle sait conserver le meilleur dans une ligne de produits et les packager de façon avantageuse. » Mais Brocade n'est pas le seul enjeu du moment. Oracle pourrait choisir d'acheter Enterasys Networks, Extreme Networks ou Arista Networks, pour ne citer que ces entreprises-là.

En 2010, Dell a acheté Force10 Networks, fabricant de routeurs pour datacenters et cloud. Mais il pourrait encore être intéressé par les commutateurs  Fiber Channel et Ethernet pour réseaux de stockage. 

Brocade est valorisé 2,2 milliards de dollars

Afin d'élargir sa propre position sur le marché, Brocade avait acheté Foundry Networks en 2008, pour avoir accès à la technologie de réseau IP. Ce rachat lui avait permis de mettre un pied dans le marché des serveurs de réseaux et de renforcer sa position concurrentielle face à Cisco Systems. Au cours des dix dernières années, Cisco a ajouté à sa gamme de produits une ligne de commutateurs de stockage et de routeurs et est devenu un acteur important sur le marché du stockage. Il y a deux ans, en créant conjointement la filiale Virtual Computing Environment (VCE), Cisco et EMC ont renforcé leur alliance et ont élaboré en commun un système de stockage serveur et réseau du nom de vBlock. Depuis, l'alliance d'EMC et de Cisco au sein de VCE n'a cessé de se renforcer.

Ces dernières années, le cours des actions de Brocade a fait plusieurs plongeons mémorables. Ainsi, entre septembre et octobre 2008, le cours par action est passé de 7,49 à 3,09 dollars pour finir à 2,16 dollars par action en mars 2009 avant de rebondir à 9,41 dollars en octobre 2009. Puis, cet été, en un à mois à peine, le cours de l'action a de nouveau chuté quasiment de moitié, passant de 6,75 dollars par action en juillet, à 3,42 dollars en août. Depuis, le cours est remonté de manière régulière pour dépasser un peu les 4,50 dollars par action.

Dans tous les cas, le prétendant potentiel devra avoir une taille importante. Brocade affiche en effet une capitalisation boursière d'environ 2,2 milliards de dollars. Sans compter que, selon Jon Oltsik, Brocade a aussi une dette importante résultant de son acquisition de Foundry. De sorte que tout acquéreur devra également supporter cette dette. « EMC pourrait être intéressé par Brocade, mais dans ce cas, les tractations risquent d'être longues et serrées », selon l'analyste. EMC n'a pas à son catalogue de logiciel serveur, et la partie Foundry de Brocade leur serait inutile. « Un rachat de Brocade par EMC pourrait également gêner sa relation avec Cisco », a ajouté l'analyste d'ESG. «  Non, je ne vois vraiment pas qui pourrait racheter Brocade », considère finalement Jon Olstik.

Crédit illustration : Brocade

(...)

(31/10/2011 11:55:04)

Dassault Systèmes relève ses prévisions sur 2011 et rachète l'offre Electre

L'éditeur français Dassault Systèmes a annoncé en fin de semaine dernière le rachat de la société belge Elsys. Celle-ci développe le logiciel de schématique électrique Electre, ainsi que Catelectre, une application d'intégration électromécanique en 3D. Ces solutions servent à créer automatiquement des schémas fonctionnels en 2D, à partir de données de référence fonctionnelles et logiques. Elles sont utilisées par de grandes entreprises internationales des secteurs de l'aéronautique, de l'automobile et de la construction navale.

Spécialisé dans les logiciels de gestion du cycle de vie de produits (PLM), Dassault Systèmes explique vouloir fournir aux utilisateurs de sa plateforme collaborative V6 une solution qui leur permettra d'associer des documents schématiques au comportement réel de leurs produits, dans différents secteurs industriels. A terme, il veut apporter « des solutions pluridisciplinaires intégrées, depuis les systèmes électriques jusqu'aux systèmes fluidiques et électroniques ».

Au catalogue d'Elsys figure aussi une plateforme d'intégration entre Electre et le logiciel Enovia SmarTeam de Dassault Systèmes, pour la gestion collaborative des données électrotechniques.

Dassault Systèmes relève ses objectifs pour 2011

Au troisième trimestre, fin septembre, Dassault Systèmes a réalisé un chiffre d'affaires de 432,8 millions d'euros, en hausse de 7% (en normes IFRS) à taux de change courants et de 11% à taux de change constants. La part des revenus logiciels s'établit à 394, 2 millions d'euros (+7% à taux courants, +11% à taux constants) et la marge opérationnelle à 25% du chiffre d'affaires (32% en non-IFRS). Le bénéfice par action s'élève à 0,62 euro (+35% en normes IFRS, +18,5% en non IFRS).

Dans un communiqué, Bernard Charlès, DG du groupe, indique que plusieurs contrats V6 ont été conclus, de même « qu'un bon nombre de transactions de taille moyenne » dans les secteurs de l'automobile, de l'énergie, des hautes technologies et des équipements industriels. Il note aussi que la demande reste soutenue sur le marché des PMI, notamment grâce à une bonne dynamique des sous-traitants. Ces bons résultats amènent la société à relever ses objectifs pour 2011. L'éditeur prévoit une marge opérationnelle de 30% sur l'année, en normes non-IFRS. 

Illustration : Le logiciel Catelectre exploité au sein de Catia (crédit : Dassault Systèmes et Elsys)

(...)

(31/10/2011 10:58:01)

Un salon de l'emploi pour les personnes en situation de handicap

Les 8 et 9 novembre prochains se tiendra le premier salon du secteur protégé et adapté (nom officiel pour ne pas dire handicapés). « Un secteur mésestimé et méconnu » selon les organisateurs. Il faut « que ce secteur  apparaisse comme un acteur du monde marchand, plutôt qu'une contrainte imposée par une loi, voilà le véritable enjeu de ce salon », explique Véronique Dubarry, adjointe au Maire de Paris, en charge de ces questions et à l'origine du projet.

Le salon se tiendra à Paris, au « 104 ». Il doit mettre en relation des handicapés (moteurs, visuel et auditifs) et des entreprises.  Pour la partie informatique, plusieurs compétences métiers sont présentées : archivage, gestion électronique des données, mise sous plis, mailing, gestion des NPAI, routage, secrétariat, travaux administratifs, traitement de CV, papeterie, articles de bureau, télémarketing, centre d'appels, maintenance et réparations informatiques, support technique, etc.

A noter par ailleurs qu'à l'agenda du 104 est inscrit le 1er décembre un autre forum de recrutement, « Paris de l'expérience et de l'emploi des seniors ». (...)

(31/10/2011 10:27:46)

5 tablettes 32 Go de 449 à 711 euros

Sans surprise, l'iPad 2 demeure la référence des tablettes tactiles, et pas seulement en termes de ventes. Parfaitement intuitive, elle permet surtout de profiter de la richesse de l'App Store et de ses centaines de milliers d'applications à télécharger. L'iPad 2, en version 32Go, est vendue 591€ (WiFi) ou 711€ (3G), en noir ou en blanc.

Principale rivale de l'iPad, la Samsung Galaxy Tab 10,1 (voir test complet) se fait remarquer par la qualité de son écran mais pas vraiment par sa finition. Sa coque par exemple est polycarbone contre de l'alu pour l'iPad et certains choix ergonomique comme les emplacements du connecteur et de l'otique du capteur photo sont discutables. Elle est vendue 589€ en version WiFi et 709€ en 3G. Soit des prix calqués sur ceux de l'iPad 2.

Pour faire face à la baisse des ventes de notebooks, l'Acer Iconia A500 cherche sa place sur le marché des ardoises électroniques. Elle repose sur Android avec une surcouche maison. Elle est en vente à partir de 449€ en version WiFi et à 549€ en 3G.

La Sony Tablet S, présentée en septembre à l'IFA, a la particularité de se présenter sous une forme légèrement arrondie, inspirée d'un magazine plié. Une excroissance déplacée quand on la compare à l'iPad ou la Galaxy tab. Les japonais ont vraiment perdu la main. Cette tablette de 9,4 pouces peut également faire office de télécommande universelle. Elle est disponible en WiFi à partir de 589€ .

L'Asus EeePad Transformer (voir illustration principale) est la seule tablette de cette sélection à disposer d'un clavier coulissant. Sortie au mois de septembre, elle est en vente en version WiFi à partir de 449€.

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(31/10/2011 10:34:04)

Très haut débit : Alcatel Lucent scrute les zones les moins denses

C'est une démarche inhabituelle pour Alcatel-Lucent. Le groupe a commandé et rendu publique une étude sur le déploiement du très haut débit dans les zones les moins denses du territoire. Celles où les opérateurs ne veulent pas mettre les pieds et où le plan gouvernemental n'apporte pas de réponse claire aux collectivités locales. L'équipementier n'a pourtant pas d'intérêt commercial sur le sujet, mais il a dans son staff (*) Gabrielle Gauthey, toujours attentive à ce débat.

Une démarche d'autant plus intéressante qu'elle s'appuie sur un Livre Blanc et une méthodologie, celle de la modélisation. C'est le cabinet Tactis qui a réalisé cette partie. Le Livre Blanc modélise ainsi trois types de territoires : la zone montagneuse bien peuplée, mais sans agglomération importante; une plaine à dominante rurale, centrée autour d'une agglomération dynamique ; une région qui complète l'offre d'un opérateur pour assurer un accès aux services identique pour tous les habitants.

A chaque fois, deux scénarios sont proposés : celui d'un déploiement fibre à l'abonné et celui d'un déploiement mixte, montée en débit et FTTH. L'idée est de privilégier le premier tout en gardant l'option du second pour un passage plus gradué.

Le Livre Blanc est agrémenté de multiples explications économiques ou techniques qui rendent le sujet très abordable.

(*) Depuis trois ans, elle est vice-présidente chargée des affaires publiques et gouvernementales, auparavant membre du collège de l'Arcep, elle fut également directrice des NTIC à la Caisse des dépôts.

Illustration : La couverture du livre blanc : "Territoires et routes du Très Haut Débit" (source : Alcatel-Lucent)
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(31/10/2011 10:21:00)

Un groupe immobilier va racheter Rueducommerce

Rueducommerce est en passe d'être vendu par ses deux fondateurs, Gauthier Picquart l'actuel P-dg et Patrick Jacquemin, co-fondateur (ce dernier s'était éloigné de la direction opérationnelle il y a trois ans). Apax Partners leur est associé dans la direction et dans cette vente. Ces trois partenaires, qui représentent 28,64% du capital actuel, vont céder leurs parts. C'est la première partie de l'opération. Ensuite, le nouvel acquéreur procédera au lancement d'une OPA sur le reste du capital.

Ce rachat est mené par un inconnu dans le monde de l'IT, le groupe immobilier Altarea Cogedim. S'il est inconnu dans l'IT, Altarea Cogedim ne l'est pas tout à fait dans le monde du commerce, du moins indirectement, puisque c'est un opérateur immobilier de centres commerciaux. Altarea Cogedim va agir par l'intermédiaire d'une filiale : Altacom.

Dans un premier temps, Altacom va prendre 24,13% du capital de rueducommerce. En complément, Gauthier Picquart et Patrick Jacquemin vont apporter des actions à Altacom et prendre 20% du capital de cette société. Altacom détiendra alors 28,64% du capital de l'opérateur de e-commerce, soit les parts actuellement détenues par les trois cédants. Gauthier Picquart restera P-dg.

Opa déclenchée mi-décembre

Dans un deuxième temps, Altacom va déclencher une OPA (du 16 décembre au 19 janvier) sur le reste du capital du site de vente en ligne. A 9 euros l'action, pour un quart du capital, cette opération valorise rueducommerce à 100 millions d'euros (M€). A la clôture de son dernier exercice annuel, le 31 mars dernier, la société affichait un chiffre d'affaires de 380 M€ (312,4 M€ pour le site et 73 M€ pour la galerie).

Les dirigeants d'Altarea Cogedim disent vouloir installer un modèle de croissance multicanal entre les centres commerciaux et la vente en ligne. Il reste évidemment à connaître plus en détail ce projet.

L'opération financière elle-même est à l'état de lancement. L'action rueducommerce cotait aux alentours de 6 euros vendredi matin, le prix d'achat est de 9, sera-t-il suffisant pour intéresser les actionnaires actuels ? Autre question : la dispersion du capital actuel peut-elle entraver l'opération ? Que feront Parinvest et Financière de l'Echiquier ?

La composition actuelle du capital :
(en gras, les cédants)
Patrick Jacquemin, 8,29%
Gauthier Picquart, 2,25%
DGPDG, sarl de G Picquart, 6,31%
Groupe Apax, 11,79%

Parinvest, 10,08%
Financière de l'Echiquier, 6,63%
flottant, 54,64%

Illustration : le site de Rueducommerce.fr (...)

(31/10/2011 10:05:09)

Petite mise à jour pour Google+

Google a étoffé son réseau social en lui ajoutant notamment un outil permettant de suivre et mesurer la viralité d'un post et une suite de retouche d'image. Les utilisateurs de Google Apps peuvent désormais se connecter à partir de leurs comptes universitaires, professionnels ou personnels.



Crédit photo : Google (...)

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