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(01/08/2007 12:25:47)
Bull n'a "aucune négociation" officielle avec HP
Didier Lamouche, PDG de Bull, a précisé lors d'une conférence de presse téléphonique ce matin que son groupe n'avait reçu "aucune proposition formelle" de la part de HP. Une rumeur persistante sur le marché estime en effet que le groupe américain pourrait faire une offre, que nos confrères du site Web de Capital évaluaient à 720 ME. "Aucune négociation n'est en cours", a précisé Didier Lamouche, qui s'est dit flatté de l'existence même d'une telle rumeur, prouvant l'intérât que Bull pourrait avoir aux yeux du numéro un mondial de l'informatique. "C'est un hommage pour Bull et son équipe de management." (...)
(01/08/2007 10:04:19)Iliad seul candidat à la 4e licence 3G
Lancé le 8 mars 2007, l'appel à candidature pour l'attribution d'une 4e licence UMTS s'est terminé mardi 31 juillet à 12h. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes n'aura finalement reçu qu'un dossier, celui de Free mobile, filiale à 70% d'Iliad. Le montant pharaonique de la licence (619 M€) en aura donc dissuadé beaucoup qui espéraient pourtant rentrer dans le monde de le téléphonie mobile, aux côtés de SFR, Bouygues Telecom et Orange. L'Arcep va maintenant instruire le dossier et rendre son verdict - sachant que Free Mobile a posé ses conditions - fin février 2008. (...)
(31/07/2007 18:02:46)Le Crédit d'impôt recherche bientôt réformé par l'Etat
Dans le projet de loi de Finances, présenté en septembre prochain, devrait figurer une réforme visant à simplifier et à augmenter le crédit d'impôt recherche. C'est ce qu'indique dans son édition d'aujourd'hui le quotidien économique « Les Echos ». Cette mesure fiscale, créée en 1983 et renforcée par la loi de finances 2004, permet d'obtenir un financement partiel des investissements de R&D, jusqu'à 50 % des dépenses réalisées, sous forme de remboursement ou de réduction d'impôt sur les sociétés.
A l'avenir, la totalité des dépenses que les entreprises consacrent à la recherche et au développement (R&D) entreront dans l'assiette du crédit d'impôt. Ce qui n'est pas le cas actuellement s'agissant de certaines dépenses « liées à des investissements dans l'innovation ou au développement de nouveaux logiciels, en raison de l'application de plafonds ou parce qu'elle ne sont pas liées exclusivement à l'activité de R&D ».
30 % pour les PME
Par ailleurs, et toujours selon Les Echos, le gouvernement devrait accroître la part de crédit en volume, qui devrait se monter à 20% des dépenses dans la recherche et développement et même à 30% pour les PME de moins de 250 salariés, au lieu de 10% actuellement.
Au final, les entreprises devraient y trouver leur compte, surtout les PME. En conclusion, le quotidien considère que les effets de la réforme se feront sentir à l'horizon 2009, « le crédit d'impôt étant versé par le fisc avec un an de décalage, sauf pour les entreprises de croissance surnommées « gazelles », qui peuvent en bénéficier en temps réel. »
Sur le même sujet :
- Le pdg d'Agematis revient sur les aides aux entreprises de la technologie (...)
Comm'Back passe entre les mains de Vecteur Plus
Le Lyonnais Comm'Back, fournisseur d'une base de données sur la configuration informatique des 35 000 premières entreprises françaises, vient de se faire racheter par Vecteur Plus, une filiale du Groupe Moniteur, spécialisé dans la veille commerciale et la détection d'appels d'offres publics et privés. Comm'Back a également constitué une base de données de 12 000 entreprises évoluant dans le secteur des technologies de l'information. La société, créée en 1994, fournit des contacts qualifiés (leads) pour accompagner la prospection commerciale et les démarches de marketing sur le marché de l'équipement informatique. Elle publie périodiquement un observatoire des projets informatiques en France. Vecteur Plus estime à 5 millions d'euros le chiffre d'affaires qu'il totalise avec Comm'Back dans le service aux entreprises du secteur de l'informatique et des télécommunications. Il table sur 15 % de croissance sur les trois prochaines années. En 2000 et 2004, Vecteur Plus avait déjà racheté OMP puis Servomap, deux sociétés investies dans la veille sur les marchés publics. (...)
(31/07/2007 16:29:02)L'OSCE pointe du doigt la montée de la censure sur Internet
Dans son dernier rapport (épais de plus de 200 pages), l'OSCE - Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe - dénonce ouvertement la croissance exponentielle que connaît la censure sur Internet dans certains pays. Selon elle, une vingtaine d'Etats ont mis en place des restrictions dans le but de masquer d'éventuelles contestations politiques. Outre les traditionnels Iran, Chine, Biélorussie, Soudan et République d'Ouzbékistan, l'OSCE attribue un carton rouge au Kazakhstan, qui s'est illustré en saisissant il y a deux ans tous les noms de domaine .kz, et à la Géorgie, dont les lois manquent de précisions et se contredisent parfois, ce qui pourrait entraver la liberté d'expression sur le Web. « Il n'a jamais été aussi facile de s'exprimer qu'avec Internet, souligne l'OSCE dans son étude. Mais nous sommes simultanément témoins d'une progression de la censure en ligne. De récentes décisions, qui vont à l'encontre de la liberté d'expression sur Internet dans un certain nombre de pays, rappellent cruellement combien il est facile à certains régimes, démocraties et dictatures confondues, de réprimer les opinions qu'ils désapprouvent, réprouvent ou simplement qu'ils craignent. » Créée en 1973, l'OSCE regroupe 56 États d'Europe, d'Asie centrale et d'Amérique. L'organisation a pour principale vocation de faire respecter les libertés fondamentales, notamment sur la Toile. (...)
(31/07/2007 16:20:03)Tibco lance son outil de création de mash-up d'entreprise
Les jours des start-up spécialisées dans les outils de création de mash-up d'entreprise sont comptés. Après IBM, Microsoft ou BEA, Tibco entre à son tour dans l'arène avec PageBus. Proposé sous licence Open Source (la technologie a été donnée à l'OpenAjax Alliance Hub Project), ce bus de messages se veut l'équivalent d'un bus d'entreprise, mais pour relier des services exposés sur le Web. Le but de cet outil est de composer un service fonctionnel à partir d'éléments existants, disponibles sous n'importe quelle forme (HTML simple, Ajax...), et de lui offrir une interface ergonomique en Ajax. A la différence des SOA (architectures orientées services), qui touchent à l'architecture des applications et à l'organisation des services informatiques, les mash-up permettent une mise en oeuvre rapide de services simples par des utilisateurs non experts. Tibco espère toutefois démontrer qu'un tel service peut être conséquent : pour promouvoir sa technologie, l'éditeur lance un concours du mash-up le plus grand du monde, l'Ultimate Mashup Challenge. (...)
(31/07/2007 15:49:37)Trimestriels Alcatel-Lucent : Une perte nette plus lourde que prévue
Deuxième trimestre de l'exercice fiscal Chiffre d'affaires : 4,326 MdE Perte nette : 336 ME Le deuxième équipementier réseaux et télécoms mondial Alcatel-Lucent vient de publier ses résultats pour le deuxième trimestre de son année fiscale (clos fin juin). Le groupe a réalisé une marge brute de 1,447 MdE, avec une perte d'exploitation de 19 ME, pour un chiffre d'affaires de 4,326 MdE (contre 4,49 MdE sur le deuxième trimestre 2006). Le résultat net, en chute libre, est négatif. La perte s'élève à 336 ME (ce qui correspond à un résultat dilué par action de -0,15 euro). Durant la même période en 2006, le groupe avait enregistré un résultat net de 302 millions d'euros (0,18 euro par action). Les analystes du marché sont déçus par ces chiffres. Ils s'attendaient à un résultat d'exploitation plus important, et surtout à des pertes moins élevées. En revanche, ils prévoyaient un chiffre d'affaires un peu en-dessous de 4,3 MdE. Patricia Russo, directrice d'Alcatel-Lucent, reste toutefois optimiste. Elle juge, par exemple, que les bénéfices du rapprochement entre les deux sociétés se voient surtout à travers la croissance des commandes pour le deuxième trimestre. Le carnet de commandes du 30 juin 2007 est en effet beaucoup plus fourni que celui du 30 mars dernier. La directrice du groupe indique en outre que « 2007 est une année de transition. Dans une industrie en rapide évolution, nous continuons d'accomplir notre plan d'intégration. » Pour l'ensemble de l'exercice, Alcatel-Lucent mise sur une croissance des revenus égale à celle du marché des opérateurs, estimée autour de 5%. Au cours du deuxième trimestre, l'équipementier a supprimé 1 900 emplois dans le monde, ce qui porte le nombre de licenciements à 3 800 depuis le début de l'année. Ce chiffre correspond à plus de 30% de l'objectif du plan de restructuration de la société, qui prévoit le départ de 12 500 personnes sur trois ans (dont 1 470 en France). (...)
(31/07/2007 15:48:12)Cisco veut se débarrasser de sa marque Linksys
A quoi cela sert-il de faire de la communication à la télévision pour une marque que personne - hors contexte professionnel - ne connaît ? Apparemment, Cisco vient enfin de se poser la question, et a décidé d'y répondre en tuant la marque Linksys, qui commercialise ses produits grand public et PME via le réseau de distribution traditionnel. L'équipementier avait racheté Linksys en mars 2003 pour attaquer le grand public et les PME. En fin de semaine dernière, John Chambers, le patron de Cisco, a confié à des journalistes de la presse européenne qu'il avait conservé le nom Linksys car il était davantage connu par le public américain que le nom Cisco. Mais que cet avantage n'en était guère un à l'international. La marque, a-t-il dit, est donc vouée à disparaître « à terme ». La filiale de Cisco s'est empressée de publier un communiqué pour préciser qu'à terme signifiait « à long terme ». « Les produits PME et grand public Linksys continueront d'être commercialisés sous la marque Linksys et de coexister sur le marché avec des produits grand public Cisco sur le court terme », indique Linksys. « Nous ferons des changements quand et si ces changements ajoutent de la valeur. » Pour Cisco, qui vient de sortir des produits de communication unifiée destinés aux petites entreprises, et vendus via un réseau de distribution, le plus tôt paraît visiblement le mieux. (...)
(31/07/2007 15:08:31)Annuels Sun : les réductions de dépenses portent leurs fruits
Résultats exercice fiscal (au 30 juin 2007) Chiffre d'affaires : 13,87 Md$ Résultat net : 473 M$ Résultats quatrième trimestre Chiffre d'affaires : 3,83 Md$ Résultat net : 329 M$ Les profits annoncés par Sun Microsystems sur les trois derniers mois de son année fiscale sont finalement supérieurs aux attentes. C'est sur un bénéfice net de 329 M$ que le constructeur américain achève son quatrième trimestre, clos le 30 juin 2007. Il s'agit d'un redressement significatif lorsqu'on compare ce résultat à la perte nette de 301 M$ enregistrée par Sun l'an dernier sur la même période. L'embellie profite à l'ensemble de l'exercice qui fait apparaître un bénéfice net de 473 M$ (contre une perte de 864 M$ en 2006) pour un chiffre d'affaires global de 13,87 Md$, en progression de 6%. Ce n'est toutefois pas l'augmentation des ventes sur le quatrième trimestre qui a amené le retour à la profitabilité, mais les efforts réalisés par le constructeur pour diminuer ses dépenses. Le chiffre d'affaires n'a en effet progressé que de 0,18% sur les trois derniers mois, à 3,835 Md$. En particulier, les ventes de serveurs (machines Sparc et x64) ont baissé de 15%, à 90 000 exemplaires, par rapport à l'an dernier (-4% pour les serveurs x64). En revanche, Sun a réduit ses coûts administratifs, de fonctionnement et de recherche et développement. Mike Lehman, le directeur financier, a également précisé que Sun avait bénéficié de la baisse du prix des composants, notamment sur les mémoires. Les ventes de serveurs ont sans doute pâti des avancées des technologies de virtualisation qui permettent aux entreprises de mieux tirer parti de leurs serveurs plutôt que d'ajouter des machines supplémentaires. Un phénomène compensé en partie par le fait que, selon Jonathan Schwartz, PDG de Sun, les clients qui achètent aujourd'hui de nouveaux serveurs se tournent vers des modèles haut de gamme, ce qui avantage le constructeur.[[page]]« Ils achètent des [serveurs] plus généreusement configurés. Cela joue en notre faveur », a-t-il précisé en évoquant les solides ventes réalisées sur ses modèles SunFire T1000 et T2000, sur ses serveurs lames Netra UltraSparc et sur la combinaison regroupant le serveur X4500 et ses périphériques de stockage. Au passage, Jonathan Schwartz a indiqué que la ligne de serveurs Niagara, basée sur le Sparc T1, pesait 200 M$ dans le chiffre d'affaires du quatrième trimestre. Ses ventes ont progressé de 225% sur l'année fiscale, produisant un chiffre d'affaires de 550 M$. Au quatrième trimestre, contrairement aux ventes de produits en léger recul (2,49 Md$ contre 2,52 Md$ en 2006), les ventes de services ont progressé de 3%, à 1,3 Md$. Se servant de sa marge opérationnelle pour mesurer sa capacité à réduire ses coûts, Sun s'est donné pour but de porter celle-ci à 10% de son chiffre d'affaires pour son année fiscale 2009 (la marge opérationnelle correspond au chiffre d'affaires diminué des dépenses). Pour l'instant, elle représente seulement 2,2% sur l'ensemble de l'année 2007, mais sur le quatrième trimestre de l'exercice, elle s'est déjà élevée à 8,5 %. (...)
(31/07/2007 15:04:16)SFR Toulouse : le juge des référés n'accède pas aux demandes du CE
Le juge des référés a rendu hier une ordonnance contraire aux demandes du comité d'établissement du site de SFR de Toulouse, qui souhaitait annuler les convocations à des réunions d'informations sur le projet de transfert de ses centres d'appel. Il considère que l'argumentation juridique est fondée, mais ne fait pas droit aux demandes du comité, précisant que « la fixation unilatérale de l'ordre du jour n'est certes prévue dans le cas de la consultation du CE, et qu'aucune disposition ne l'étend à la procédure d'information subséquente qui doit se tenir devant les comités d'établissements décentralisés, devant lesquels la loi prévoit la tenue d'une réunion d'information ». Pas d'interdiction pour intervenir dans la procédure Mais le juge pointe également « le silence des textes sur ce point précis », et considère que la question du transfert concerne les instances centrales. Et que, de toute façon, il n'est pas interdit « d'intervenir volontairement dans la procédure dont le TGI de Paris est saisi au fond ». Pour le comité d'entreprise, le juge contourne le problème pour « éviter de répondre clairement sur la question de la régularité des convocations, et du lien direct avec la fixation unilatérale de l'ordre du jour », allant même jusqu'à écrire que « le transfert a été contrôlé par l'autorité judiciaire ». Ce qui, d'après les élus, est faux dans la mesure où, justement, le 10 juillet, le juge a considéré que les questions soumises excédaient ses pouvoirs et en a renvoyé l'examen aux juges du fonds. En pratique, il est maintenant certain que le transfert des centres d'appel aura bien lieu le 1er août. (...)
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