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(09/07/2007 09:46:17)

Le marché du décisionnel devrait croître de 14% en 2007

Malgré un léger tassement de sa croissance, le marché français du Decisionnel devrait rester très dynamique en 2007, selon Pierre Audoin Consultants. Après avoir progressé de plus de 15% en 2006, les dépenses des entreprises en logiciels et services de Business Intelligence (BI) devraient croître de 14,2%, à 1,71 Md€, cette année. «Les vagues de renouvellement applicatif de ces deux dernières années s'achèvent, ce qui explique ce léger recul de la croissance, indique Priscillia Stanley, analyste chez PAC. En outre, certains sous-segments sont saturés, à l'image de celui du reporting». Pour autant, précise PAC, le marché devrait peser 2 Md€ à l'horizon 2009-2010, avec une croissance annuelle moyenne de 11%. En concentrant 46% des budgets des entreprises en BI, l'intégration reste de loin le poste de dépenses le plus important en 2007. Il est suivi par les investissements en logiciels et en maintenance (33,5%%), le conseil (11%) et l'externalisation qui progresse de 2 points à 9,5%. Une croissance qui provient notamment du regain d'intérêt pour les services de TMA (Tierce maintenance applicative) dans le domaine du décisionnel. Leader du marché, en termes de chiffre d'affaires licence et maintenance, Business Objects est suivi par SAS et Hyperion, ainsi que Microsoft et Cognos qui sont à quasi égalité. (...)

(06/07/2007 18:14:40)

Google n'a pas le droit d'utiliser la marque Gmail en Allemagne

Gmail, le webmail de Google, devra continuer à s'appeler Google Mail en Allemagne. La cour d'appel de Hambourg a confirmé la décision en première instance qui reconnaissait la propriété intellectuelle de Daniel Giersch sur la marque G-mail. Cet authentique entrepreneur de 33 ans - il dirige bien une société nommée G-mail - compte bien continuer à proposer sous ce nom des services qui conjuguent les courriers sous forme électronique et postale. Fondée en 2000, la société allemande G-mail emploie une dizaine de salariés à temps plein et près d'une cinquantaine d'autres en vacation. Outre en Allemagne, Daniel Giersch affirme avoir déposé le nom de Gmail à Monaco, en Suisse et en Norvège. "C'est là où j'ai déposé ma marque, c'est là où je veux travailler et je ne veux rien d'autre", a déclaré l'entrepreneur allemand qui a décliné toutes les offres de Google. Chez le géant d'Internet, on pinaille encore sur les droits supposés de Daniel Giersch qui se bat comme un beau diable contre les avocats de la société américaine depuis trois ans. Google attend d'avoir décortiqué les attendus de la récente décision de la cour de Hambourg avant de décider si l'affaire en reste là où si cela vaut le coup de la porter devant une juridiction supérieure. Au Royaume-Uni, Google est aussi confronté à un dépôt antérieur du nom Gmail. Comme en Allemagne, le service s'appelle Google Mail. (...)

(06/07/2007 18:10:36)

Red Hat Linux sur Power moins cher chez IBM que chez Red Hat

IBM profite de l'annonce du portage sur ses serveurs à base de processeur Power de la version 5 de RHEL (Red Hat Enterprise Linux) pour chambouler sa politique de licence. Alors que, traditionnellement, elle était fondée sur le nombre de coeurs, elle repose désormais sur le système comme unité de compte. Ce type de facturation concerne RHEL 5 tournant sur System i, System p, Open Power ou serveurs lames BladeCenter à base de Power. Ce mode de facturation facilite, bien sûr, l'utilisation de ces serveurs comme vecteurs d'environnements virtualisés puisque le décompte des instances n'est pas aussi pointilleux que dans d'autres types de facturation. Il est aussi un moyen pour IBM de contrebalancer le fait qu'il faut utiliser des outils IBM pour se lancer dans la virtualisation sur des architectures Power et non l'hyperviseur Open Source Xen qui ne tourne que sur architecture X64. IBM a annoncé mi-juin le portage sur architecture Power de son outil de gestion Systems Director Virtualization Manager qui vient compléter Integrated Virtualization Manager (IVM), l'hyperviseur pour processeur Power. Par ailleurs, il importe de retenir qu'il peut être financièrement plus intéressant de signer avec IBM qu'avec Red Hat pour RHEL 5. On peut d'ailleurs faire le même constat à propos de Novell et de Suse. Big Blue, qui se pose depuis belle lurette en champion du Libre, joue beaucoup plus finement qu'Oracle l'équilibre entre logiciels libres et propriétaires. Tout ce beau monde s'empresse de consolider ses positions avant le lancement de Windows Server 2008 et de Viridian, l'outil de virtualisation de Microsoft. (...)

(06/07/2007 16:31:32)

Des disques durs à vitesse laser

Alors que la vitesse des processeurs augmente et que ceux-ci se dotent de multiples coeurs, les utilisateurs butent sur une nouvelle frontière : la vitesse de transfert des données entre le processeur et le disque dur. Plutôt que d'essayer d'accélérer les méthodes traditionnelles, les chercheurs de l'université Radboud Nijmegen aux Pays-Bas ont décidé d'utiliser un laser comme outil d'écriture. Ici chaque photon transmis a son propre moment angulaire qui interagit avec le champ magnétique du disque. A chaque pulsation, un photon frappe une portion du disque et en change la polarité, équivalent à un 0 ou un 1 en mode binaire. Les chercheurs ont réussi à transférer des données à la vitesse de 40 femtoseconds (4 fois 10-14 seconde), soit environ 100 fois plus vite que des transferts magnétiques traditionnels. Si l'expérience est un succès, il reste encore beaucoup de progrès à réaliser avant d'envisager une quelconque commercialisation. Premièrement, pour que le champ magnétique soit altéré par le laser, les chercheurs ont dû utiliser un disque dur composé de fer, cobalt et gadolinium. De plus, le laser laisse une empreinte sur le disque de 5 microns réduisant ainsi les possibilités de stockage du disque. A l'heure actuelle, l'empreinte avec les méthodes magnétiques est d'un demi-micron, et Fujitsu et Toshiba travaille sur des techniques pour atteindre une finesse d'une vingtaine de nanomètres. L'équipe de chercheurs néerlandais espère néanmoins atteindre une finesse de gravure de 10 nanomètre. Et avoir un prototype prêt à être commercialisé d'ici à une dizaine d'années. Il faudra alors trouver une méthode pour lire les données aussi vite qu'elles seront écrites. (...)

(06/07/2007 16:04:17)

Les offres des SSII collent davantage aux besoins des entreprises, selon Hitechpros

Fin 2006, on observait (enfin) une convergence entre le nombre de projets lancés par les entreprises et les propositions des SSII françaises. Un peu plus de six mois après, la tendance se confirme. « En 2001, l'explosion de la bulle Internet a entraîné un véritable décalage entre l'offre et la demande, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui », commente Brice Damoiseau, responsable marketing chez Hitechpros. « Le marché a atteint sa maturité, nous sommes entrés en phase de consolidation », rajoute-t-il. D'un point de vue transversal, deux secteurs se dégagent en particulier : les banques et les assurances, avec respectivement 38% et 13% des projets. Surprise toutefois du côté des médias et de la communication : le secteur passe de 2% à 5% des demandes. Pour sa huitième édition, l'étude réalisée par Hitechpros s'appuie sur l'analyse de quatre facteurs : l'évolution de l'offre et de la demande, la comparaison de la demande par secteur d'activité, l'évolution des tarifs de l'assistance technique ainsi que les prévisions pour 2008. (...)

(06/07/2007 15:27:20)

Trois rustines critiques sur six dans la prochaine fournée de Microsoft

Mardi prochain, le 10 juillet, Microsoft livrera six rustines de sécurité. La moitié d'entre elles sont notées "critiques", le niveau d'alerte le plus élevé dans la classification de Microsoft. Ces rustines critiques concernent Windows Server 2000 et 2003, Excel et .Net 1.0, 1.1 et 2.0. Les failles critiques de .Net sont aussi présentes sous Windows Vista. (...)

(06/07/2007 15:17:59)

Un Américain sur deux aurait accès au haut-débit

Selon une étude conduite par l'association "Pew Internet & American life project", près d'un Américain sur deux (47%) disposerait d'un accès haut débit à Internet à son domicile. Ce chiffre, impressionnant, est tiré d'un sondage et non d'une compilation du nombre d'abonnés auprès des FAI. Il est sans commune mesure avec ceux de l'OCDE qui attribue un taux d'équipement inférieur à 20% aux Etats-Unis (voir ci-dessous). Par ailleurs, rappelons que, handicapés par des infrastructures de qualité déplorable, les Américains qualifient de " haut débit " des accès supérieurs à 200 Kbps. (...)

(06/07/2007 14:47:30)

Microsoft n'a pas d'obligations face à la GPL3

Rien ne lie Microsoft à la GPL3. L'éditeur de Redmond a décidé de publier un article pour clarifier sa position sur ses éventuelles obligations face à la GPL3 (dont le texte final a été publié le 29 juin) dans le cadre des accords passés avec certains éditeurs Open Source, comme Novell et Xandros. Conclusion de l'éditeur : aucune obligation légale de supporter la nouvelle licence. Dans le texte (non-signé), l'éditeur déclare « ne pas être affecté par la licence GPLv3 et aucune de ses actions doivent être interprétées comme acceptant toute allégeance à la licence ou reconnaissant toute obligation légale face à cette même licence ». Il explique ensuite que les accords passés avec Novell restent inaltérables à la GPLv3, en dépit de ce que la communauté du Libre pouvait prétendre. « En fait, nous ne pensons pas que Microsoft ait besoin d'une licence GPL pour encadrer les différents aspects de sa collaboration avec Novell, comme la délivrance de certificats de support, même si Novell choisit de distribuer le code sous GLP3 dans le futur ». Puis Microsoft, en guise de conclusion, écrit : 'Pour dissiper tous doutes ou débats légaux sur le sujet, Microsoft a décidé que le certificat de support Novell que nous distribuons à nos clients n'implique aucun abonnement pour le support ou la mise à jour de code sous licence GPL3 ». Une façon de rassurer les désormais prescripteurs de l'offre commune. (...)

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