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(29/06/2007 10:53:00)
Un meilleur pilotage des réalisations de la DSI - Les atouts d'une politique de tests - 19 juin 2007
Méthodes et outils: les vertus d'une chaine intégrée. Intervention de André ARICH - IBM (...)
(28/06/2007 18:05:01)Windows devient très lentement Live
Il aura fallu dix-huit mois après son lancement officiel pour que Windows Live, service en ligne grand public, s'enrichisse de deux applications originales : Photo Gallery, un album photo en ligne et Windows Live Folder, espace de stockage et de partage de fichiers en ligne. Jusque-là, Microsoft n'avait fait que recycler des prestations déjà existantes comme le webmail. Cette lenteur rappelle celle de Google. Le label bêta (version) orne toujours la plupart de ses applications en ligne (dont Gmail) pour une raison bien simple : le niveau d'exigence d'une application en ligne proposée à des dizaines de millions de prospects est sans commune mesure avec celui réclamé d'un environnement micro. Autant les utilisateurs ont pris l'habitude d'accepter sans rechigner les bugs et failles de leur informatique personnelle estampillée Microsoft, autant il serait catastrophique de lancer des services en ligne balbutiants. Et puis, Microsoft ne peut pas lâcher la proie pour l'ombre. Autant Google, qui tire l'essentiel de ses revenus de la publicité autour de son moteur de recherche, peut se payer le luxe d'offrir à perte des applicatifs en ligne, autant Microsoft doit compenser un manque à gagner à la mesure du succès qu'il attend de Windows et d'Office Live, son offre en ligne professionnelle. C'est d'ailleurs seulement après avoir mis la main pour 6 Md$ sur aQuantive, régie publicitaire en ligne qui permet à Microsoft de disposer de nécessaire l'outil pour récolter la manne publicitaire, que la galaxie Live commence à prendre forme. Visiblement, les défenseurs du modèle client-serveur qui a fait la richesse de Microsoft ne sont pas près de lâcher prise. (...)
(28/06/2007 17:59:48)Les informaticiens moins exposés au chômage que les autres cadres
Entre deux affectations, 7% -seulement- des cadres informaticiens connaissent une période de chômage. Quatre fois moins que pour l'ensemble des cadres. C'est l'une des notes favorables au secteur relevée par l'enquête annuelle de l'Apec sur la mobilité des cadres. En 2006, les chiffres de l'Apec indiquent que 28% des cadres (soit près de 840 000 personnes, tous secteurs confondus) ont changé d'emploi, contre 18% en 2005. Ce regain de mobilité (avec 300 000 cadres concernés en plus) est surtout manifeste pour les mutations en interne (22% des cadres), le plus souvent pour passer à un niveau de responsabilité plus élevé ou plus large. Parmi les 180 000 cadres (6%) ayant changé d'entreprise, trois fois sur quatre, il s'agit d'un départ volontaire. Signe d'une relative confiance dans le dynamisme du marché. Et ce, à juste titre puisque, qu'il s'agisse d'une démission ou d'un licenciement, entre deux employeurs, 28% ont connu une période de chômage (ils étaient 39 % un an plus tôt). Avec seulement 7% d'informaticiens ayant connu une période de chômage entre deux postes, la profession est donc mieux lôtie. Chômage des informaticiens sous la barre des 6% Depuis la fin du premier trimestre 2007, le chômage des informaticiens est revenu en dessous de la barre des 6%. En décembre 2006, un peu plus de 28 800 informaticiens étaient inscrits à l'ANPE, soit 8 500 de moins (-23%) qu'un an plus tôt. Pour avril 2007, dernier relevé en date (bulletin mensuel des statistiques du travail de la Dares, direction des études statistiques du ministère), la rubrique « professionnels informatiques » recense 22 271 demandeurs d'emploi, dont 2 997 femmes et 1 687 jeunes de moins de 25 ans. Force est de constater qu'après la période de vaches maigres de 2001-2003, avec un taux de chômage dépassant les 10%, la reprise a nettement amélioré la situation des informaticiens des études et développement. Sans régler pour autant le paradoxe du chômage rémanent, supérieur à celui des cadres en général, et qui coexiste avec les difficultés à recruter. Ce que confirment, par ailleurs, les baromètres mensuels de l'offre d'emploi (Keljob, Monster, Apec) selon lesquels le secteur informatique/télécoms garde la tête du marché de l'offre (16,3% selon Keljob) avec un très léger fléchissement en mai. Chomâge plus important chez les seniors Plus généralement, l'étude « mobilité des cadres » de l'Apec confirme la difficulté des seniors à retomber sur leurs pieds après un départ, volontaire ou non : 4 sur 10 des cadres de plus de 50 ans ayant bougé ont connu une période de chômage, contre 22% chez les cadres de moins de 35 ans. Ce n'est pourtant pas faute de rester à l'écoute du marché. Et ce, à tout âge. Avec une démarche passive (CV mis à jour) ou un passage à l'action (pour 40% des moins de 35 ans, 33% pour les 35-50 ans). Sans surprise, par ailleurs, l'Apec note que les seniors sont sous-représentés dans les fonctions informatiques (ainsi qu'en communication-marketing). (...)
(28/06/2007 17:36:31)IBM ajoute une couche graphique à son référentiel de métadonnées
IBM promet de mettre fin au cauchemar des métadonnées. Et ce, grâce à une solution originale : un atelier permettant d'associer de façon graphique les données et leurs consommateurs. Les métadonnées, c'est-à-dire les informations sur les données, jouent un rôle essentiel dans nombre de projets structurants, qu'il s'agisse de SOA (architectures orientées services), de décisionnel, ou encore de gouvernance et de conformité législative. Les métadonnées permettent de décrire la nature de la donnée, sa source, son utilisation et son évolution dans le temps. Les gestionnaires de métadonnées servent ainsi de référentiel pour connecter différents systèmes. Impossible, sans ce type d'outil (sauf à tout relier à la main) de faire le lien par exemple entre un client d'un progiciel et le même client d'un outil de gestion de la relation client. « Les métadonnées sont l'un des aspects les plus sales de l'intégration de données », explique Sean Crowley, chef de marché pour les solutions Information Server d'IBM. Information Server disposait déjà d'un référentiel, IBM lui ajoute en fait cet atelier graphique, Metadata Workbench, censé simplifier la description des attributs des métadonnées. Cette vue graphique devrait aussi faciliter l'analyse d'impact, pour observer les conséquences de l'altération d'une source de données. (...)
(28/06/2007 17:29:05)Red Hat avoue avoir négocié avec Microsoft
Il y a encore quelques jours, les porte-paroles de Red Hat considéraient officiellement que tout accord sur la propriété intellectuelle avec Microsoft était « impensable ». Véritable position idéologique de la part de la société ou dépit de s'être fait soufflé la place par son rival Novell, qui distribue SUSE Linux Enterprise Server 10 ? En effet, dans une récente interview avec l'agence Reuters, Matthew Szulik, le PDG de Red Hat, a avoué que sa compagnie avait négocié l'an dernier un accord sur la propriété intellectuelle avec Microsoft. Cette entente serait tombée à l'eau peu de temps avant que Novell signe son propre accord avec l'éditeur de Redmond, en novembre 2006. Rappelons que cette alliance entre Novell et Microsoft a été plus que froidement accueillie par la communauté Open Source. Elle a même conduit la FSF (Free Software Foundation) à modifier le contenu de la future GPLv3 pour tenter d'éviter des accords du même type. Depuis, Microsoft a brandi la menace d'une violation de ses brevets pour convaincre d'autres sociétés distribuant ou utilisant Linux de signer des accords similaires avec lui. Et Red Hat, Matthew Szulic en tête, a dénoncé une tentative de chantage. Pourtant, à la question de savoir si l'éditeur négocie toujours un accord de propriété intellectuelle avec Microsoft, celui-ci n'a pas formellement nié : « Je ne peux répondre à cette question. » Serait-il en train de se laisser convaincre doucement ? (...)
(28/06/2007 17:24:14)Oracle simplifie la vente de sa technologie aux PME
Oracle vient d'annoncer un mode de distribution simplifié sur ses gammes technologiques pour PME (base de données, serveur d'application, package décisionnel), avec l'objectif d'augmenter sensiblement le volume de ses ventes sur ce marché, et plus particulièrement dans les petites entreprises. L'éditeur compte actuellement 180 000 clients en PME au niveau mondial. Parallèlement à cette volonté de diffuser ses produits technologiques auprès de la plus large cible d'utilisateurs, Oracle se forge également de nouvelles armes pour approcher les PME dans le domaine des applications. Il y a quelques jours, il annonçait une solution décisionnelle packagée, livré sur un seul CD. Parallèlement, il a confié à ses partenaires revendeurs de ses progiciels de gestion intégrés (PGI) la mise au point de solutions verticales, par secteurs d'activité. Lancée à la fin de l'année dernière et déclinée au niveau mondial, par pays, cette démarche baptisée « Accelerate Program for SMB » a pour objectif de réduire les temps de mise en place des PGI en PME grâce à des solutions adaptées à des segments précis d'activité. En France, les premiers produits verticaux devraient être annoncés dans quelques semaines. Pas de ralliement obligatoire au réseau de revendeurs Pour faire passer ses ventes de produits technologiques à la vitesse supérieure, Oracle va autoriser ses distributeurs certifiés à vendre ses versions pour PME à de nouveaux revendeurs sans obliger ces derniers à passer par la case OPN (Oracle Partner Network). Rejoindre le réseau de partenaires OPN implique habituellement de signer un contrat avec l'éditeur et de régler une souscription annuelle donnant accès à divers services. Les nouveaux revendeurs pourront donc être dispensés de ces formalités. Pour développer ses ventes en PME, Oracle avait déjà baissé le coût d'accès à ses programmes de revente sur certains produits, d'abord en septembre 2004 avec son programme OPN QuickStart, puis en mars 2006, avec OPN QuickStart Plus (255 euros par an). Cette fois-ci, avec le « Remarketer program », l'éditeur supprime purement le ticket d'entrée pour les revendeurs de premier niveau en contact avec les PME. Commander sur un clic Oracle simplifie aussi le processus d'acquisition des produits. Désormais, lorsqu'il sera identifié qu'une demande d'achat concerne un produit PME, l'acheteur recevra un numéro et une adresse URL pour saisir sa commande et choisir de télécharger directement le produit (après acceptation des conditions) ou de le recevoir sous forme de DVD. Sept produits sont concernés par cette procédure : les versions Standard Edition et Standard Edition One de la base de données Oracle 10g, les versions Edition, Standard Edition et Standard Edition One du serveur d'application Java et, enfin, les versions Standard Edition et Standard Edition One d'Oracle Business Intelligence, le package décisionnel tout récemment annoncé pour les PME. En cas de livraison physique du produit, le DVD contiendra les versions de la base de données et du serveur d'application pour Windows ainsi que pour Linux. (...)
(28/06/2007 16:32:28)Euriware inaugure un pôle sécurité
Avec la création de son « centre de gestion opérationnel », Euriware espère renforcer son offre globale de sécurité. Conforme au standard ISO 27001 (une norme certifiant que la société a mis en place des procédures de gestion de la sécurité), le nouveau groupe de travail rassemblera divers experts (analystes, pilotes, administrateurs...). L'offre du pôle constitué couvrira divers secteurs : conception technique et organisationnelle d'audits, élaboration de systèmes de management de la sécurité de l'information, ainsi que mise en place de plans de reprise d'activité (PRA). Avec la création de ce département, Euriware confirme la tendance du marché, qui veut que les SSII concentrent leurs activités et se spécialisent au sein de pôles dédiés (sécurité, stockage, ERP, décisionnel...). Expert dans le conseil, l'intégration, ainsi que l'infogérance sécurisée des systèmes d'information, Euriware a réalisé un chiffre d'affaires de 254 millions d'euros en 2006. La SSII emploie 2100 personnes en France, et constitue une filiale d'Areva à 100%. (...)
(28/06/2007 16:17:38)CTS La Baule : la Californie séduit l'Europe par les 'cleantech'
Ouverture ce jeudi 28 juin du California Trade Show à la Baule. Cette manifestation, pour la première fois hébergée en France, dans le cadre du World Investment Conference, vise à rassembler une quarantaine de PME californiennes souhaitant investir, rechercher des partenaires en Europe, tisser des liens avec les investisseurs européens, ou tout simplement tester le marché français. Au programme, tables rondes, partage d'expérience, ateliers, et showroom dans lesquels les start-up américaines viennent exposer leur talent et expliquer combien il est intéressant d'investir pour une société californienne. Parmi les secteurs d'activités, on retrouve les télécoms et la mobilité, le services Web et le Saas (logiciels vendus sous forme de services), le support, le décisionnel, la sécurité, les appareils numériques grand public, les infrastructures réseaux et enfin les technologies « vertes ». Il s'agit d'ailleurs d'un thème qui sert de toile de fond de la World Investment Conference. Une table ronde illustre ce thème central : « comment l'Europe peut-elle transformer le risque environnemental en une opportunité de développement économique ? » Les « cleantech » sont également au coeur du discours d'ouverture, prononcé par Mark Mosher, directeur exécutif de la California commission for job and economic growth (*), dépêché sur place par le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger. Vidéo à l'appui, Mark Mosher dépeint, à un public plutôt clairsemé, les politiques acerbes californiennes en termes de « Cleantech ». Une spécificité de l'Etat soutenu notamment par une législation active du gouverneur en place. Investissement massif, programme de promotion, les technologies écolo représentent le fer de lance de la Californie. « C'est là où se situe l'action », explique Arnold Schwarzenegger dans une vidéo. « Si vous fabriquez des produits clean, les Californiens vont l'acheter », résume Mark Mosher. Sur les 36 PME représentées, 6 en ont fait leur coeur de métier. (*) une organisation indépendante pour la promotion et le développement de sociétés en Californie, qui réunit une trentaine des sociétés les plus influentes de l'Etat. Notons la présence de Terry Semel de Yahoo. (...)
(28/06/2007 15:52:56)La sécurisation des données sous Vista contournée
Quel dommage, une fort intéressante présentation prévue lors de la conférence Black Hat USA 2007 de fin juillet à Las Vegas vient d'être annulée. Le menu était pourtant alléchant : comment, sur une machine sous Vista, verrouillée par un composant TPM (Trusted Platform module) et aux données cryptées avec BitLocker, récupérer ces mêmes données. S'il s'agit d'une censure, elle est sans effet puisque les frères Kumar, des Indiens qui dirigent NV Labs, ont déjà fait la démonstration de leur exploit à Dubaï et que tout est (encore) disponible en ligne. Pour mémoire, BitLocker est un outil de cryptage des données intégré aux versions Entreprise et Integrale de Vista. Son but principal est de sécuriser les données des ordinateurs portables, souvent victimes de vol. Le cryptage et le verrouillage de l'accès aux données avec BitLocker peuvent être encore plus sécurisés avec l'ajout d'une composante matérielle, la puce TPM (Trusted Platform Module). (...)
(28/06/2007 14:29:24)L'Apple iPhone vise aussi bien le grand public que les professionnels
L'iPhone, le pas encore né mais déjà célèbre téléphone mobile d'Apple, sera mis en vente demain aux Etats-Unis. Qui devrait l'acheter ? Depuis qu'Apple a annoncé son intention de sortir un téléphone, les analystes spécialisés se perdent en effet en conjectures sur le marché visé par cet iPhone. Dès janvier, certains expliquaient que l'iPhone ne serait qu'un iPod avec des fonctions de téléphonie. D'autres analystes ont ensuite affirmé qu'Apple redéfinirait le haut de gamme des téléphones mobiles. Plus récemment, Gartner a mis en garde les services informatiques des entreprises contre la tentation future des cadres d'introduire ce smartphone dans l'équation du système informatique. Et IDC a fait écho à son concurrent en décrivant l'iPhone comme « un outil personnel », « pas du tout positionné pour le monde de l'IT ». Toutefois, à lire le comparatif envoyé par Apple aux rédactions, il est clair que la firme de Cupertino entend positionner l'iPhone comme un concurrent de ces smartphones disposant de fonctions dites business mais qui peuvent aussi séduire le grand public avide de nouvelles fonctionnalités. Le comparatif établi par Apple place - avantageusement - l'iPhone face au Nokia N95, au Samsung Blackjack (vendu ici sous le nom i600), au Blackberry Curve 8300 et au Palm Treo 750. Tous appareils plébiscités par les cadres pour rester en contact avec leur bureau, alors même que les premiers mots d'Apple pour présenter son produit concernent plutôt un usage grand public : « le meilleur iPod que nous ayons jamais créé ». De fait, la marque à la pomme a récemment décidé d'accroître la durée de vie de la batterie de l'iPhone, un élément essentiel pour un usage multimédia d'un téléphone mobile. Le comparatif - établi après cette révision des spécifications - insiste d'ailleurs sur ce point en mentionnant l'autonomie de l'iPhone pour tous les usages multimédias (lecture audio, vidéo, navigation sur Internet), tout en indiquant que les autres constructeurs ne livrent pas ces données. Reste le problème du prix. L'iPhone devrait être vendu dans la même gamme de prix que les smartphones auxquels Apple le compare (entre 400 et 650 euros environ). Enfin, si l'on considère leur prix de vente sans abonnement, car les packs des opérateurs les positionnent beaucoup moins chers. Mais comme l'expliquait récemment Gartner, quand il s'agit d'Apple, le prix n'a qu'une importance relative : la marque et le design font vendre. (...)
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