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(25/10/2011 13:37:27)
Premières réactions de développeurs autour de Visual Studio 2011
Microsoft prépare la version bêta de son environnement de développement intégré Visual Studio 11, disponible depuis le mois dernier sous la forme d'une pré-version. L'IDE prend en compte le futur Windows 8 et la plateforme cloud Windows Azure, propose des capacités de clonage de code et une amélioration des tests. Aucune date de sortie n'est encore fixée.
Les développeurs se montrent intéressés tant par le support de HTML5 que par la mise à jour des fonctionnalités de base. Nos confrères d'Infoworld ont recueilli les premières impressions de plusieurs développeurs outre-Atlantique. L'un d'eux, Joel Padot, collaborateur de la compagnie d'assurance Farm Bureau, dit apprécier les fonctionnalités HTML5 annoncées (prévues dans l'éditeur HTML de Visual Studio 2011), de même que les améliorations autour des feuilles de style CSS 3. Sa société pense à recourir aux applications web pour le support des terminaux mobiles. Joel Padot attend aussi les capacités de révision du code annoncées dans Visual Studio Team Foundation Server, le serveur de gestion du cycle de vie des applications.
Des efforts sur la facilité d'utilisation
Autre son de cloche du côté de Funmi Bajomo, qui réalise des développements spécifiques chez Ledge Light Technologies et n'oublie pas les fonctions de base de l'IDE. « Visual Studio 2010 a tendance à se bloquer. Il faut relancer l'ordinateur assez souvent pour le faire fonctionner correctement », signale-t-elle en espérant que Visual Studio 11 résoudra ce problème. Elle s'interroge par ailleurs sur le prix et le cycle de mise à jour. Sa société a dépensé plus de 10 000 dollars pour cinq développeurs pour l'actuelle version, qui fut livrée en avril 2010. Microsoft lance une nouvelle version tous les deux ans, à peu de choses près. Dans le contexte économique, est-ce nous souhaitons vraiment mettre de nouveau la main au porte-monnaie aussi rapidement, se demande-t-elle.
Stacy Shaw, développeur pour la firme aéronautique Trimph Structures, est intéressée par la promesse d'une intégration plus poussée entre Visual Studio 11 et la plateforme collaborative SharePoint. « Je pense qu'il sera bien plus facile de développer », estime-t-elle. Elle attend aussi avec impatience une facilité d'utilisation améliorée, de même que la compatibilité avec les standards HTML 5 et CSS.
La facilité d'usage est l'un des points sur lesquels Microsoft porte ses efforts, a confirmé Cameron Skinner, responsable de Visual Studio Ultimate chez l'éditeur. Il a été demandé aux développeurs de Microsoft de réduire la complexité de l'environnement, affirme-t-il. En conséquence, avec Visual Studio 11, on a diminué le nombre de menus et de fenêtres par lesquels il faut passer pour réaliser une tâche.
Illustration : la nouvelle fenêtre Find (source : msdn.microsoft.com)
Virtualisation imbriquée et support OpenRISC pour le dernier noyau Linux
Le développeur américano-finlandais a profité du Kernel Summit, qui se tient actuellement (23-25 octobre 2011) à Prague pour publier la dernière version du noyau de Linux, la 3.1. Une particularité de cette mise à jour : pour la première fois, le kernel sera temporairement disponible sur le service d'hébergement et de gestion de développement de logiciels GitHub, le temps de remettre en ordre sa maison habituelle, Kernel.org, et réparer les dégâts causés par une intrusion récente repérée dans ses serveurs.
Linux 3.1 apporte à l'hyperviseur KVM (Kernel-based Virtual Machine) intégré au noyau plusieurs nouveautés dont le support de la virtualisation imbriquée. Cette fonctionnalité, basé sur le Nested VMX d'AMD permet de lancer une instance à l'intérieur d'une autre instance. Linux KVM permet également de profiter de la technologie SMEP (Supervisory Mode Execute Protection) des processeurs prochaine génération Ivy Bridge d'Intel, ce qui devrait réduire certains défauts de performance généralement associés aux clients virtuels et permet de protéger les systèmes invités.
Ajuster la mémoire allouée à une VM
Les utilisateurs de l'hyperviseur Xen gagnent aussi quelques fonctionnalités supplémentaires : Linux 3.1 sera la première version du noyau à permettre aux machines virtuelles Xen de reconnaître des périphériques connectés directement à un bus PCI. Cette fonction était auparavant possible uniquement après l'application d'un patch Xen. Autre ajout, le Balloon Driver de Xen, qui permet de faire du « self-ballooning », c'est à dire d'ajuster et de répartir la quantité de mémoire allouée à une machine virtuelle invitée.
Côté processeurs, Linux 3.1 est la première version du Kernel à pouvoir être exécutée par la famille de processeurs 32-bit OpenRISC 1000. Issue de la communauté OpenCores, l'architecture OpenRISC, est un projet soutenu par des bénévoles qui cherchent à concevoir des puces - des IP Cores - sous licence libre. Linux 3.1 intègre aussi un patch qui permet de prendre en charge la dernière version du processeur Sparc T3 d'Oracle.
Crédit photo : D.R. (...)(25/10/2011 11:01:25)Test Apple MacBook Air : mince et performant
Avec le premier MacBook Air, introduit en 2008, Apple avait opté pour des choix vraiment extrêmes : des prix coquets, un seul port USB 2.0 dans une trappe coulissante peu pratique, une batterie lithium-polymère intégrée et non amovible, de la mémoire vive soudée et donc non extensible, pas de connecteur Ethernet ni de lecteur optique... C'était aussi un design réussi avec son mince châssis en aluminium, une puce Intel Core 2 Duo (Penryn), un pavé tactile multitouch...
Trois ans après, Apple a dévoilé en aout dernier la dernière évolution de la seconde génération du MacBook Air, désormais disponible en deux tailles d'écran (11,6 et 13,3 pouces) et bénéficiant d'un châssis plus carré. Les courbes du 1er Air ont en effet fait place à un boitier Unibody (d'une seule pièce) plus « moderne » en octobre 2010. Le constructeur avait également profité de l'occasion pour remplacer le vieux pavé tactile avec bouton séparé par un trackpad multi-touch en verre. La mise à jour d'aout dernier fait la part belle à Intel avec l'intégration de puces double coeur Core i5 et i7 basées sur l'architecture Sandy Bridge et du circuit vidéo HD Graphics 3000.
Sandy Bridge et disque SSD, un bon duo
Pour ce test, nous avons disposé d'un MacBook Air 13,3 pouces équipé d'un processeur Core i5 à 1,7 GHz, épaulé par 4 Go de RAM. L'espace de stockage repose sur un SDD d'une capacité de 256 Go extensible si besoin via une carte SD. Dernière information d'importance, ce produit était bien sûr livré avec MacOS X 10.7 Lion.
Ce MacBook Air est équipé d'un écran LCD rétroéclairé par LED et de type brillant (le mat n'est plus une option). Contrairement aux modèles MacBook Pro, qui disposent d'une simple dalle de verre à travers toute la face avant de l'écran, le MacBook Air continue à intégrer une couche de verre ultra-mince située derrière la lunette, ce qui le rend moins sensible aux reflets. Comme tous les autres ordinateurs portables Mac, on retrouve une webcaméra FaceTime située immédiatement au-dessus de l'écran. Cette mini caméra n'atteint toutefois pas la résolution HD des MacBook Pro et iMac.
Un chassis revisité
Depuis octobre 2010, le châssis de ce micro nomade est en forme de coin, avec une base arrière plus épaisse que l'avant. Il n'y a pas de place pour un lecteur optique ou même un disque dur à plateau. Apple propose donc un SSD sur tous les modèles de la gamme. Sur les côtés, on trouve un peu de place pour quelques connecteurs: sur la partie gauche, il y a un seul port USB 2, une prise casque et une prise d'alimentation MagSafe. Sur la droite, un autre port USB 2, un lecteur de carte SD (sur le modèle de 13 pouces seulement), et à la place du mini DisplayPort, une interface Thunderbolt.
Principale différence avec la génération précédente, le retour du clavier rétro-éclairé. Un vrai luxe, mais tellement agréable quand on travaille dans un endroit mal éclairé. Les deux modèles sont également légèrement plus lourds que les précédents 11 et 13 pouces avec respectivement 20 et 30 grammes de plus (1, 08 et 1,35 kg). Apple a été bien inspiré de ne pas modifier le design de ses MacBook Air qui restent une jolie paire d'ordinateurs portables sans équivalent dans le monde PC même si Intel a décidé de réagir en poussant sous les feux de la rampe ses UltraBooks. Le modèle 11,6 pouces en particulier est le plus petit ordinateur portable d'Apple de tous les temps et reste parfaitement utilisable avec un clavier pleine taille et une résolution de 1366 x 768 pixels. Le 13 pouces qui semble plus confortable que le 11, reste néanmoins plus mince et plus léger que le MacBook Pro 13 pouces.
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Mais la véritable différence entre ces deux modèles est à l'intérieur du châssis avec l'intégration des puces Core i5 et i7 ultrabasse tension Sandy Bridge d'Intel. Pour la première fois, l'Air peut offrir des performances plus proches de celles des autres MacBook. Bien que la vitesse d'horloge du processeur de ce 13 pouces est en réalité plus faible que celle de la génération précédente (1,7 contre 1,8GHz), la série Core i5 est largement supérieure aux processeurs Core 2 Duo des anciens modèles (Apple vient d'ailleurs de mettre à jour ses MacBook Pro avec des puces Core i5 et i7 Sandy Bridge). Lors de tests réalisés par le labo américain d'IDG, le MacBook Air Sandy Bridge a été 1,5 fois plus rapide que son prédécesseur. Encoder une vidéo avec HandBrake s'effectue presque deux fois plus vite sur le nouveau 13 pouces.
Pourquoi le Core i5 parvient à être plus rapide qu'un Core 2 Duo doté d'une fréquence supérieure ? Grâce à deux améliorations d'Intel : l'Hyper-Threading et le mode Turbo Boost. Avec l'Hyper-threading, l'OS croit pouvoir compter sur quatre coeurs alors que deux seulement sont physiques. Les deux unités virtuelles supplémentaires permettent au processeur de fonctionner plus efficacement quand il s'agit de traiter des calculs complexes. À bien des égards, la technologie Turbo Boost produit l'effet inverse: quand un des deux coeurs du processeur est désactivé, la puce peut augmenter sa vitesse d'horloge, pour travailler plus efficacement avec des logiciels plus anciens et pas vraiment optimisés pour le parallélisme. Il y a cependant un point sur lequel ce MacBook Air est en régression par rapport à l'ancien modèle, c'est le circuit graphique. La puce Nvidia GeForce 320M a été remplacée par un circuit intégré Intel HD Graphics 3000. Avec les tests réalisés avec Cinebench OpenGL et une démo de Call of Duty, les performances étaient médiocres. Les résultats de ce modèle 2011 sont de 64 à 70% des unités 2010. Avec les tests réalisés avec Valve 2, un jeu plus récent, les résultats ont été bien meilleurs: le MacBook 2011 a été capable d'afficher un nombre d'images par seconde légèrement supérieur au modèle 2010.
Une bonne autonomie avec le WiFi
Pour la partie autonomie, le résultat a été de cinq heures et demi avec le WiFi activé avec le test qui vide automatiquement la batterie. Apple annonce 7 heures sur sa fiche technique. Un bon résultat donc pour un portable aussi mince.
Si le MacBook Air est bien à ranger dans la catégorie des ultraportables qui ne sont pas censés convenir à tous les utilisateurs, notamment comme machine principale, la case options chez Apple permet de réviser cette opinion. En effet, connecté à l'écran Apple Thunderbolt Display, un 27 pouces offrant une résolution de 2 560 x 1 440 pixels, le MacBook Air change de catégorie. Grâce à l'interface Thunderbolt, cet écran se transforme en une véritable station d'extension pour le petit portable. USB 2.0, FireWire 800, Ethernet, haut-parleurs, webcam et même connecteur MagSafe pour l'alimentation électrique permettent d'étendre les capacités de ce MacBook Air. Le prix est malheureusement à la hauteur de la proposition : comptez 999 euros pour ce moniteur 27 pouces suréquipé. Ce qui amène le duo MacBook Air Core i5/ Thunderbolt Display à 2498 €. Auxquels il faut encore ajouter un clavier et une souris sans fil mais au final, on se retrouve avec une solution unique sur le marché et à l'intégration particulièrement soignée.
Trimestriels Software AG : l'activité gestion de processus se démarque nettement
L'éditeur allemand Software AG a livré des résultats préliminaires pour son troisième trimestre 2011. Son chiffre d'affaires total ne progresse pas sur la période, par rapport au 3e trimestre 2010. Il s'élève à 275 millions d'euros contre 275,3 M€ l'an dernier. Et, globalement, les revenus provenant des ventes de licences et de la maintenance des logiciels n'augmentent que de 2% (à taux de change courant et de 5% à devise constante).
En revanche, l'activité Business Process Excellence, centrée sur l'intégration et la gestion des processus métiers, se distingue nettement et affiché de très bonnes performances : 84 millions d'euros, contre 72,1 M€ il y a un an, soit +17% à taux de change courant et +21% à devise constante. Dans ce domaine, les ventes de licences ont grimpé de plus de 33% en trois mois par rapport à l'an dernier, à taux de change courant, pour atteindre 42 millions d'euros (+37% à devise constante).
IDS Scheer Consulting reprend des couleurs
A l'inverse, l'activité ETS (Enterprise transaction systems), qui regroupe la base de données Adabas et l'environnement de développement Natural, a reculé de 10% à taux de change courant, à 79 M€. Le chiffre d'affaires services, qui représente environ 38% des revenus totaux, a également baissé, à 105 M€ (-3%). Mais l'éditeur souligne dans ce domaine un recentrage sur la rentabilité pour IDS Scheer Consulting, ce qui permet à cette activité de renouer avec les bénéfices. Karl-Heinz Streibich (en photo), le PDG de Software AG, considère que le redressement d'IDS Scheer Consulting est une réussite.
Sur le troisième trimestre, le résultat d'exploitation de la société se situe entre 71 et 73 M€ (contre 69,1 M€ un an plus tôt).
Pour l'exercice 2011, l'intérêt manifesté par les clients pour les solutions de Business Process Excellence conduit l'éditeur à maintenir ses objectifs de croissance de 10 à 15% (à devise constante) pour le chiffre d'affaires qui sera généré par les produits. Le chiffre d'affaires total devrait augmenter de 2 à 5% (à devise constante) et le bénéfice après impôt de 10 à 15% par rapport aux 175,6 M€ enregistrés en 2010.
Truffle 100 Europe, belle progression, mais les Américains à l'affût
Illustration principale : Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG (crédit : D.R.)
CIO PDF 43 : Pratiques de la performance des systèmes d'information
Disposer du meilleur système d'information n'est jamais gagné d'avance face à des besoins qui changent ou des technologies qui évoluent. Tant de situations peuvent se présenter. Des managers IT livrent dans CIO.PDF 43 leurs recettes personnelles pour garantir la performance des systèmes d'information..
Cependant celle-ci va toujours au-delà de la technologie. Les incidents et la mauvaise réputation liés à l'informatique sont finalement souvent déconnectés de la performance technique. Il est donc indispensable de faire évoluer les façons de travailler quand on refond un système. Sous peine d'être tenu injustement responsable d'un échec final.
Le dossier « 7 leçons pratiques de la performance des systèmes d'information » comprend les témoignages d'Arnaud Lescroart (Le Printemps), Pierre Pezziardi (Bred Banque Populaire), Bertrand Kientz (Amadeus), Jacques Marzin (AIFE), Michel Allain (Sacem), Joël Henry (BNP Paribas) et Christian Pilaud (Générale de Santé).
Avec un autre témoin, Sébastien Prost, DSI de la filiale française de Chevrolet et enseignant à l'Epita, CIO.PDF 43 aborde la question du management interculturel. Etre enseignant dans une formation internationale apporte de toute évidence de vrais avantages.
Nos confrères de CIO Etats-Unis ont été demander à Martha Heller, présidente du cabinet de recrutement Heller Search Associates, les confidences des DSI sur la manière de créer de la valeur par des business innovants. Ses découvertes sont l'objet de la rubrique internationale.
Enfin, s'il existe un secteur où la performance est indispensable, c'est bien l'hôpital. Les hôpitaux ont un mode de fonctionnement particulier en matière de systèmes d'information avec un triangle DG/DSI/DIM. Arnaud Hansske, médecin et conseiller national pour les systèmes d'information de santé auprès de la FHF explique dans CIO.PDF 43 comment fonctionne cette alliance particulière.
Lire CIO.PDF 43 (...)
La ville de Toulouse rejoint l'APRIL
L'association de promotion et de recherche en informatique libre (APRIL) vient d'indiquer que la ville de Toulouse l'a rejoint le samedi 22 octobre 2011. A cette date, le député-maire, Pierre Cohen a en effet signé la convention d'adhésion dans le cadre de La Novela (« festival des savoirs partagés »), lors de la manifestation Toulouse Numérique.
La Ville Rose est la première grande ville à sauter le pas d'un tel soutien officiel au logiciel libre en tant que tel. Il y a quatre ans, la première commune à avoir adhéré était beaucoup plus modeste puisqu'il s'agissait de Pierrefitte-sur-Seine.
Wikipedia indique : « Avec 439 553 habitants au 1er janvier 2008, [Toulouse] est la quatrième commune la plus peuplée de France, après Paris, Marseille et Lyon. En 2008, l'agglomération regroupait 864 936 habitants2, tandis que l'aire urbaine en regroupait 1 202 8893. » L'encyclopédie libre accorde, à la même date, 28 871 habitants à Pierrefitte-sur-Seine.
Le député-maire de Toulouse, Pierre Cohen, a soutenu à de nombreuses reprises l'emploi de logiciels libres dans sa commune. L'APRIL a ainsi rappelé que Pierre Cohen a signé par deux fois le Pacte du Logiciel Libre (élections législatives de 2007 et municipales de 2008).
Toulouse était déjà membre depuis novembre 2006 de l'Adullact (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales). Cette dernière association a un rôle plus opérationnel, notamment en gérant de la mutualisation de développements, et moins politique que l'APRIL.
Crédit Photo: D.R
VDoc acquiert Isotools, spécialiste du e-commerce
L'éditeur d'ECM VDoc Software rachète son homologue Isotools. Ce dernier lui apporte une brique e-commerce donc une grande complémentarité d'offres. VDoc pouvait occasionnellement réaliser des solutions e-commerce pour des sites intranet extranet ou des catalogues, mais avec cette acquisition ces offres vont devenir récurrentes.
La marque Isotools va être conservée, mais les équipes seront intégrées dans VDoc Software. Isotools comptait également une unité de R&D basée à Aix-en-Provence. Les deux sociétés vont réaliser ensemble 7 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011, 5 venant de VDoc, 2 d'Isotools. L'an prochain elles devraient dépasser les 8 ME et atteindre le cap des 10 ME annuels en 2013. C'est en ligne avec le plan de marche que s'est fixé VDoc Software, le plan « cap 2013 ».
Xavier Niel candidat au rachat d'Orange Suisse
Selon un article paru vendredi dans le quotidien économique français Les Echos, Xavier Niel, le patron et principal actionnaire du groupe Iliad (propriétaire de l'opérateur Free) serait sur les rangs pour racheter à titre personnel la filiale suisse de France Telecom. Il se serait associé à Goldman Sachs pour cette reprise. Cette information n'a toutefois pas été confirmée par le principal intéressé. Selon le magazine Forbes, ce self-made man, 297e fortune du monde et 8e de France (fortune estimée 3,7 milliards de dollars), a débuté sa carrière en créant des services de minitel (l'ancêtre français d'internet).
Il a lancé le premier fournisseur d'accès à internet pour le grand public en France, WorldNet, en 1993, et l'a vendu pour 50 millions de dollars juste avant l'éclatement de la bulle internet. Il a par la suite créé, au sein du groupe Iliad, l'opérateur Free connu pour sa Freebox, offre qui regroupe internet, le téléphone fixe et la télévision par ADSL. Aujourd'hui Xavier Niel détient plus de 62% des parts du groupe. En outre, il est actionnaire de différentes sociétés et notamment du quotidien français Le Monde.
Les candidats avaient jusqu'au 10 octobre dernier pour déposer leurs offres. Toujours d'après Les Echos, une dizaine d'offres ont été présentées et toutes sont restées dans la course pour pour participer au second tour du processus de vente de la filiale. Pour mémoire, les fonds d'investissement Apax, Providence, EQT, Bain Capital, Liberty Global (propriétaire de Cablecom), Doughty Hanson, Carlyle et Altice ainsi que le milliardaire et homme politique égyptien Naguib Sawiris, ex-PDG de l'opérateur télécom Orascom, ont été évoqué. France Telecom espère retirer de cette vente quelques 2 milliards de francs.
ICTJournal.ch
Semestriels Solucom : Des effectifs en tassement et une visibilité réduite pour 2012
Le cabinet de conseil en management et systèmes d'information affiche un 1er semestre (achevé au 30 septembre) négatif, à 50 millions d'euros en repli de 4%. La société explique ce chiffre par le tassement des effectifs au cours de l'exercice précédent. Solucom a embauché 179 collaborateurs sur le 1er semestre portant ses effectifs à 915 personnes. La société maintient ses objectifs sur l'ensemble de l'exercice et réalisera une opération de croissance externe au cours de son second semestre.
Par ailleurs, Solucom précise que le contexte est troublé par la crise financière, « générant un changement d'état d'esprit » chez les clients. La visibilité se réduit. La fin 2011 sera peu impactée selon le cabinet, en revanche le début 2012 risque de connaître un ralentissement.
Trimestriels Staff and Line : Une orientation de plus en plus SaaS
Spécialiste de la gestion des infrastructures, Staff and Line a réalisé un CA de 6,7 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'exercice, en progression de 10%. Sur le troisième trimestre, l'activité s'est même accélérée, signe que la crise n'a pas de prise sur Staff and Line.
Autre élément crucial, dans ces comptes, le SaaS. « La part récurrente du chiffre d'affaire, explique la société, a atteint le niveau record de 63% au 3ème trimestre, portée par une légère progression de la Maintenance et le dynamisme des ventes en mode hébergé. Multiplié par 5 à 0,35 M€, le chiffre d'affaires en mode SaaS a plus que compensé la baisse de chiffre d'affaires licences de 0,5 à 0,4 M€ (- 0,1 M€). »
La société accorde une place centrale aux solutions sur ce modèle de distribution.
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