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(05/06/2007 18:20:00)

Dans les allées du musée de l'informatique - 5 juin 2007

Commentaire : Vincent Delfau, journaliste sur lemondeinformatique.fr (...)

(04/06/2007 18:27:03)

Jeunes talents : les lauréats "Etudiants" du TopDev 2007

Pour développer en un week-end une application digne de rivaliser avec les travaux présentés par quelques 550 développeurs toutes catégories - des pros et des amateurs - dans le cadre du concours TopDev, pas besoin d'être une «pointure» déjà reconnue. « Notre point fort et ce sur quoi le jury nous a retenu, c'est la clarté de la programmation. Qu'à la simple lecture du code, n'importe quel développeur soit capable de maintenir l'application », raconte Pierre Perrier, l'un des deux membres du binôme classé quatrième au TopDev 2007, élèves-ingénieurs en 1ère année de l'école ESME-Sudria (Ivry). Pas peu fier, à 20 ans, de figurer au palmarès « à trois places d'un docteur en informatique ». Avec Germain Pigeon, il a déjà à son actif une première participation au concours. « Mais l'an dernier, étant en classe prépa, on n'avait pas eu le temps de finir». Cette année, entre deux activités extra-scolaires (projets de la Junior Entreprise Gers de leur école), ils ont misé sur leur maîtrise naissante de la technologie Ajax. « Ce n'est pas ce qu'on nous apprend à l'école », précise Pierre Perrier. Mais l'immersion dans la technologie, « afin de programmer un jeu sur Internet relativement complexe, en tant que moyen de progresser rapidement dans la pratique » leur a suffi pour développer les bons réflexes. A commencer par la fréquentation assidue d'Internet pour profiter de l'apport du développement communautaire qui leur sert notamment pour la programmation et la maintenance du jeu de rôle multijoueurs « Chroniques Daevry » (en référence à leur ville Ivry). Des passionnés d'informatique en cursus ingénieur généraliste « Concernant Ajax, j'avais acheté deux-trois bouquins, mais on n'y apprend pas grand chose. En revanche, en naviguant sur Internet, on a repéré ce qui était efficace, on a cherché à imiter, à refaire de notre côté, et on a commencé à utiliser des frameworks, dont Prototype, bien maintenu par une communauté, et qui incluait d'emblée les trois-quarts des outils dont on avait a priori besoin pour le développement visé dans le contexte de TopDev. Et on a apporté ce qu'il fallait de modification à ce framework pour les circonstances du concours», commente l'étudiant. Seul obstacle pour pousser plus loin l'expérience en contribuant ultérieurement à la communauté Prototype: le niveau d'anglais. « Pas facile de discuter technique, direct, en anglais », regrette-t-il. Il n'empêche : à l'heure dite pour TopDev, le week-end du 24-25 mars, le binôme était prêt pour le marathon de 58 heures, la durée prévue par l'organisation du concours. Et en pur « autodidactes », ainsi qu'ils tiennent tous deux à se présenter, ils ont produit l'application retenue par le jury pour le trophée remis par l'un des sponsors : lesjeudis.com. L'avantage qu'ils en retirent ? Ils n'en attendent guère de bonus pour leur scolarité. Bien que sponsor de l'opération TopDev 2007, l'école ESME-Sudria n'a rien à voir avec la solide motivation et l'enthousiasme de ce binôme. « Avant, en tant qu'étudiant dans une école d'ingénieur généraliste, quand on disait qu'on savait programmer, on passait pour des amateurs, par rapport à ceux d'autres filières 100% informatique comme l'Epita. Maintenant, plus besoin de nous justifier, nos compétences sont validées », constate Pierre Perrier. C'est d'ailleurs précisément ce qui lui plaît dans l'informatique et qui l'a décidé d'emblée, tout en choisissant de suivre un cursus menant à un « vrai diplôme d'ingénieur », de s'orienter vers le métier d'informaticien. « Dès la terminale, j'avais compris qu'avec l'informatique, au lieu d'être jugé par des tiers, on ne peut que s'en prendre à soi-même : ça marche ou ça ne marche pas. Si ça ne marche pas, c'est que l'erreur vient de soi-même. Rien de tel, en plus, pour avoir un résultat rapide, visualiser au plus vite ce qu'on a fait ». De quoi entretenir la vocation et le contact avec d'autres passionnés. Selon l'organisateur de TopDev, Chrystel Coassin, au delà de pouvoir mentionner dans son CV que l'on est le gagnant d'un concours de développement, c'est l'intérêt majeur de ce genre d'événement : « en plus du goût du challenge dont les candidats font preuve, [...], cela encourage à rester en contact ». Un des lauréats de 2007, Andrei Toma, participe au concours et figure au palmarès pour la troisième année. (...)

(04/06/2007 18:18:24)

Après Novell, Microsoft signe un accord avec Xandros

A l'heure où la dernière version de la GPLv3 semble entériner le partenariat passé entre Novell et Microsoft tout en bloquant le développement d'autres partenariats, un nouvel accord vient agiter la communauté Open Source. En effet Xandros, qui commercialise la distribution Linux pour desktop du même nom (développée à l'origine par Corel), a signé un accord de collaboration avec Microsoft. Cet accord procure une protection aux utilisateurs de Xandros et les assure qu'ils ne violent aucune des propriétés intellectuelles de l'éditeur de Redmond. Et ceci durant 5 ans à compter d'aujourd'hui. L'accord couvre également le développement de solutions interopérables pour faciliter l'utilisation par les clients de Xandros de logiciels de la marque et de ceux de Mircrosoft. Cette interopérabilité concernera aussi bien les échanges de fichiers (Xandros devrait développer un convertisseur pour passer d'ODF à Open XML et vice-versa), la compatibilité des serveurs et des systèmes d'administration de logiciels. En échange, Microsoft inscrit Xandros sur sa liste de distributions Linux préférées et intègre la société dans son association, Microsoft Interop Vendor Alliance. L'accord serait compatible avec la GPL v3 Toutefois, à la différence de l'accord passé avec Novell en novembre dernier, Microsoft ne distribuera pas Xandros avec ses produits. Le but étant, selon Andreas Typaldos, PDG de Xandros Corporation, de s'adapter aux besoins du marché : « Les salles de serveurs multi-plateformes sont une réalité. Pour couvrir les besoins en évolution de leurs clients, les vendeurs doivent reconnaître les vertus d'une propriété intellectuelle partagée, développer plus de solutions interopérables et fournir des outils de gestions qui soient familiers et faciles d'utilisation. » Au regard des dispositions de la version 3 de la licence libre GPL, pour David Kaefer, directeur général propriété intellectuelle et licence chez Microsoft, cet accord ne devrait pas aller à l'encontre de ses dispositions. « Cet accord a été négocié entre les parties en se basant sur la version courante de la GPL. Microsoft comme Xandros restent flexibles si de nouveaux développements du marché l'imposaient », explique-t-il, tout en rappelant que la GPLv3 n'est pas encore finalisée et est donc toujours susceptible de changement. (...)

(04/06/2007 17:51:50)

Philippe Gildas assigne Microsoft pour la paternité de Vista

Philippe Gildas poursuit Microsoft pour « violation de la propriété intellectuelle et préjudice ». L'homme de télévision reproche à l'éditeur l'utilisation illicite de la marque Vista : le nom de baptême du dernier système d'exploitation estampillé Microsoft a en effet été déposé par Philippe Gildas en octobre 2003. Soit deux ans avant que le géant de Redmond ne fasse enregistrer la marque auprès de l'INPI (Institut national de la propriété intellectuelle). Le journaliste avait déposé la marque pour un projet de chaîne de télévision destinée aux séniors, Télé Vista, qui devait voir le jour en 2003. Le chantier s'était enlisé mais semble, selon Philippe Gildas, sur le point d'aboutir. L'animateur compte ainsi lancer sa chaîne à l'automne et s'estime gêné par l'irruption de l'OS de Microsoft sur le devant de la scène. Aussi, il assigne l'éditeur, arguant qu'il a déposé la marque « dans tous les domaines de la propriété intellectuelle de l'entertainment et des médias : en presse, en télé, sur le Web, etc. » De fait, si Philippe Gildas a effectivement enregistré la marque dans les classes 35, 38 et 41, qui incluent les catégories pré-citées, il a omis les classes 9 et 42. Or, ce sont ces dernières qui recouvrent précisément le secteur dans lequel se situe Vista : logiciels, conception et développement d'ordinateurs et de logiciels. Il paraît donc délicat pour l'homme de télévision d'obtenir gain de cause, tant les marques déposées par lui et Microsoft recouvrent des champs d'application différents. (...)

(04/06/2007 17:50:59)

Oracle alourdit sa plainte contre SAP

Non content de poursuivre SAP pour le vol de milliers de logiciels, Oracle vient d'ajouter deux charges à la plainte déposée en mars contre son rival allemand. Selon Oracle, SAP se serait rendu coupable de non respect du copyright et de violation de contrat. C'est ce qu'il ressort de la plainte amendée, déposée le 1er juin à San Francisco. « Cette affaire est relative à un vol à grande échelle », explique le plaignant qui estime que SAP s'est rendu coupable d'infraction au droit d'auteur en procédant au téléchargement de logiciels et de documents de support sur le site Customer Connection. Parallèlement, le groupe allemand serait également fautif d'avoir violé des dispositions contractuelles en ne respectant pas les conditions d'utilisation affichées sur le site d'Oracle. SAP n'a pas commenté ces nouvelles accusations, se contentant d'indiquer qu'il y répondrait le 2 juillet et qu'il entendait « se défendre vigoureusement dans cette affaire ». Selon les termes de la plainte, des salariés de TomorrowNow, une filiale américaine de SAP, se seraient faits passer pour des clients d'Oracle afin d'obtenir des accès au site d'assistance réservé aux chalands de Peoplesoft et de JD Edwards. Cette plainte voit le jour deux jours après qu'Oracle a publié de solides résultats trimestriels et rappelé que ses applications d'entreprise progressent plus rapidement que celles de SAP. Oracle avait découvert les accès illicites au site Customer Connection après avoir noté une intense et inhabituelle quantité de téléchargements en novembre et décembre 2006. L'éditeur affirme que les produits mis en ligne à destination de ses clients ont été récupérés illégalement à plus de 10 000 reprises. Les téléchargement suspects émanaient d'une adresse IP localisée au Texas, dans les locaux de TomorrowNow. (...)

(04/06/2007 17:47:26)

Le défi de Dell : augmenter ses services avec 10% de salariés en moins

1er trimestre 2007 (clos début mai) Chiffre d'affaires : 14,6 Md$ (+2,8%) Bénéfices nets : 759 M$ (-0,4%) Toujours à la recherche de son second souffle, Dell se lance dans un pari étourdissant : proposer plus de services tout en licenciant. Après avoir épuré la direction générale, Michael Dell, de retour aux affaires depuis janvier dernier, a annoncé un plan de licenciement, le premier depuis 2001. Sur un an, il vise à réduire les effectifs de 10%, soit 8800 personnes. Pragmatique, Michael Dell a constaté que les effectifs de Dell avaient augmenté de 50% ces dernières années alors que le CA ne progressait que de 15%. Il faut donc alléger le navire tout en le faisant changer de cap. Mais la taille de Dell rend la société aussi peu maniable qu'un supertanker. La preuve, bien qu'en baisse de 6%, les ventes de desktops atteignent encore 33% du CA total. Celles de portables progressent faiblement de 7% en regard du marché pour atteindre 27% du CA total. Serveurs (+19%) et stockage (+13%) font mieux, mais ne représentent que, respectivement, 11% et 4% du CA total. Les services, dont le poids est très faible (9% du CA à 1,3 Md$) voient leur CA baisser de 6%. C'est pourtant là que résident les plus gros gisements de croissance. Des services pour aider les entreprises à virtualiser Dell vient d'ailleurs d'annoncer une offre pour accompagner les entreprises dans la virtualisation de leurs serveurs. Très laconique sur les ressources humaines déployées, Dell annonce que ses prestations commencent par l'évaluation de l'impact de la virtualisation. VMWare, Microsoft, Red Hat et Novell/Suse sont les environnements sur lesquels le constructeur se dit compétent. A l'appui de cette annonce, il présente quatre "success stories" : deux en Belgique (un hôpital et une société de consultants), une au Pays-Bas (une collectivité territoriale) et une en Allemagne (un autre hôpital). (...)

(04/06/2007 17:37:06)

Première assemblée générale d'Alcatel-Lucent sous tension

Six mois après le rapprochement d'Alcatel avec Lucent, la première assemblée générale du nouvel équipementier télécoms s'est déroulée dans un climat pour le moins hostile. Pour protester contre le plan de suppression d'emplois (12 500 dans le monde, dont 1 500 en France) et les délocalisations qui en sont la cause, entre 200 et 300 salariés se sont rassemblés aux abords de l'enceinte du Palais des Congrès, à l'initiative de la CGT, de la CFDT, et de la CFTC. Regroupés autour d'une banderole sur laquelle on pouvait lire "non aux délocalisations", ils siégeaient au milieu de l'hémicycle. En début de séance, ils étaient plus d'une centaine de salariés ayant acquis le nombre d'actions requises pour participer à l'assemblée générale, à manifester leur mécontentement à coups de sifflets et de huées, obligeant le président Serge Tchuruk à interrompre son discours, et à leur donner la parole. Un porte parole de l'intersyndicale a alors lu une déclaration dénonçant « une fusion mal préparée, amenant à amplifier le plan d'économies, en délocalisant toujours plus, et en licenciant toujours plus, pour obtenir la rentabilité promise. Quitte à affaiblir le potentiel R & D en France. » L'ambiance s'est à nouveau détériorée lorsque la rémunération des dirigeants a été évoquée. Parmi les résolutions soumises aux actionnaires, la neuvième prévoit d'accorder à Patricia Russo, directrice générale, en cas de départ, deux ans de rémunération fixe et variable, une prime liée aux objectifs, et différents avantages sociaux. « Alors que vous vous accordez ces rémunérations exorbitantes, vous nous reprochez nos salaires trop élevés, ont dénoncé les syndicats. Vous vous comparez aux dirigeants les mieux payés, et vous nous mesurez aux salariés indiens et chinois. C'est votre conception de la mondialisation. » L'assemblée générale a par ailleurs approuvé les comptes annuels et consolidés de l'exercice 2006. Elle a ratifié la cooptation de Lady Jay et Jean-Cyril Spinetta en qualité d'administrateurs et a approuvé le versement d'un dividende de 0,16 € par action qui sera mis en paiement à partir du 5 juin. (...)

(04/06/2007 17:15:57)

Tous les logiciels ne seront pas fournis « comme un service », prévient AMR Research

Peut-on tout transposer selon le modèle SaaS ? Non, semble répondre le cabinet AMR Research, qui, à force de se voir interrogé sur la question, a publié une étude sur le sujet. Selon le cabinet, de plus en plus d'éditeurs s'interrogent sur l'opportunité et l'intérêt de développer une stratégie SaaS (Software as a service) qui les amènerait à proposer leurs logiciels en ligne, à partir d'une connexion Internet, sur la base d'une tarification calculée sous forme d'abonnement. Pourtant, en dépit des déclarations du PDG de Salesforce Mark Benioff, l'un des plus notables acteurs du marché SaaS, qui prédit la mort du logiciel vendu de façon traditionnelle, AMR Research rappelle que certaines catégories d'applications ne seront probablement jamais déployées à grande échelle selon l'approche SaaS. « Celles qui nécessitent de gérer d'importants volumes de données, une intégration en temps réel, une personnalisation très poussée ou une disponibilité proche de la perfection sont de mauvaises candidates pour ce modèle. » La GRC, un exemple à suivre Le succès rencontré avec le modèle SaaS par des acteurs de la GRC (gestion de la relation client), comme Salesforce, a conduit d'autres secteurs à s'y intéresser : acteurs de la gestion des ressources humaines (paie, fonctions en self-service, recrutement), des achats et de la recherche des fournisseurs (sourcing) ou du commerce électronique. En revanche, AMR Research fait remarquer que, dans le secteur de la production industrielle, par exemple, il n'y a guère de demande pour utiliser en ligne les moteurs de planification avancée de la demande (APS, advanced planning and scheduling) ou les logiciels de gestion de la production (MES, Manufacturing execution system). Si l'approche SaaS a sa place, elle a aussi ses limites et, conclut le cabinet, les utilisateurs sont finalement les mieux placés pour juger, au cas par cas, si le modèle « Software as a service » est bien en adéquation avec leur mode de fonctionnement. (...)

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