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(16/05/2007 18:22:20)

CodeGear amène Ruby en entreprise

Le framework Open Source Ruby on Rails connaît un succès grandissant de part sa rapidité et sa facilité à développer des applications riches Web 2.0 orientées données, avec un minimum de code. Comme l'avait annoncé Micheal Swindell, vice-président produits et stratégie de CodeGear, 2007 verrait l'arrivée de produits autour des langages du Web. CodeGear, la filiale de Borland dédiée aux outils de développement, a dévoilé lors de la conférence RailsConf 2007 un IDE pour le framework Ruby on Rails. Les principales fonctionnalités de l'IDE Ruby on Rails incluent : - Un IDE complet avec le support complet de Ruby et Rails, avec des fonctionnalités avancées telles que la complétion de code, le refactoring, la navigation de type - Une nouvelle fonctionnalité appelée Commanders qui combine la puissance de la ligne de commande et la facilité d'utilisation et la productivité de l'IDE, des Wizards et des Code Insights - Le visualisation et la navigation dans les dépendances fonctionnent avec toutes les ressources indépendamment de leurs relations, de leur localisation et de leur format - Un ensemble complet de modules de développement et de déploiement incluant (Ruby, Rails, Gems et database. Comme JBuilder du même éditeur, cet IDE pour Ruby on Rails sera basé sur Eclipse. Il bénéficiera ainsi de la boîte à outils Eclipse Dynamic Languages Toolkit (DLTK) qui fournit un outillage additionnel pour Ruby. Ruby on Rails se compose de deux parties : le langage Open Source Ruby orienté objet et le framework Rails pour développer et déployer des applications riches en Ruby. Swindell fait remarquer que l'IDE RoR de CodeGear se différenciera des autres IDE Ruby tels que Komodo d'ActiveState dans le sens où il sera plus orienté applications et focalisé sur le framework RoR plutôt qu'un simple éditeur et déboguer de langage Ruby. Michael Swindell pense que Ruby peut être une alternative à Java en entreprise pour le développement d'applications Web. RoR est un framework léger qui cache la complexité et qui supporte les interfaces riches du Web, ce que recherchent aujourd'hui les entreprises. Actuellement disponible en version bêta privée. Une bêta publique est prévue pour cet été et la version finale pour le second semestre 2007. (...)

(16/05/2007 17:59:57)

La France compromet-elle l'avenir du 802.11n ?

La France risque-t-elle de compromettre le 802.11n, basé sur la technologie MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs) ? C'est ce que craignent certains fabricants comme Trapeze Network. En effet, si l'Arcep a bien libéré la bande des 5 GHz après celle des 2,5 GHz, elle a soumis cette ouverture a certaines conditions, notamment l'absence d'interférence avec les installations militaires qui utilisent également cette fréquence. Les normes DFS (Dynamic Frequency Selection) - qui sont l'un des moyens de lutter contre ces parasites - adoptées par l'Europe correspondent à la version 1.2.3 des spécifications définies par l'ETSI (Institut Européen des Normes de Télécommunications). Or la France, par la voix de son autorité de régulation des télécoms, l'Arcep, se réfère à une version ultérieure (1.3.1) adoptée par l'Institut. C'est ce qui inquiète les équipementiers, les puces correspondant à la version 1.3.1 n'étant pas disponibles en quantité suffisante. Les chips actuels peuvent toutefois être utilisés. Malheureusement, leurs performances ne correspondent pas aux objectifs du 802.11n. On serait ainsi assez loin des débits annoncés de 540 Mbp/s. Légalement, les équipements conformes à l'ETSI dans les pays européens ne le sont donc pas en France. A l'EICTA (l'Association européenne des technologies de l'information), qui défend le point de vue des constructeurs, on estime que la France est sur ce point en contradiction avec les lois communautaires. Il n'est cependant pas sûr que la position française pose réellement problème dans la mesure où les tests préliminaires à la certification définitive du 802.11n par l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) débutent en juin. On ne verra donc pas de produits correspondants avant 2008. L'Europe sera sans doute alignée sur la France à ce moment là. (...)

(16/05/2007 17:46:30)

Agematis certifié Entreprise innovante par Oseo

Agematis, l'un des acteurs français du logiciel de stockage, vient d'être certifié 'Entreprise innovante' par Oseo, le groupe né du rapprochement de l'Anvar et de la BDPME (Business développement PME). Agematis se voit récompensé pour la place qu'il accorde à la R&D par une somme de 500 000 € versée par Oseo. Un montant qui, conjugué aux 2,5 M€ récoltés en 2006 à l'occasion d'une levée de fonds, sera consacrée à l'accélération du développement commercial et technologique. « Notre investissement en R&D est essentiel, explique Christophe Camborde, le président d'Agematis. L'obtention d'un label Entreprise Innovante s'inscrit dans notre stratégie dont le fondement est d'offrir des technologies de backup en ligne associant facilité d'utilisation et robustesse. » Agematis compte parmi ses clients des fournisseurs d'accès à Internet et des fournisseurs de services en ligne, dont Orange, Neuf Cegetel et Erenis. L'entreprise leur fournit des solutions de stockage et de sauvegarde en ligne. (...)

(16/05/2007 17:39:22)

Sapphire : SAP juge « normaux » les problèmes rencontrés autour de l'offre A1S

Henning Kagermann, PDG de SAP, a qualifié de « normaux » les problèmes rencontrés dans le développement d'A1S, la future application de gestion que l'éditeur proposera aux PME sous la forme de services en ligne. Des problèmes qui, toutefois, ne devraient pas modifier la date de livraison de l'offre, prévue pour le premier trimestre 2008. « Aussi longtemps que le produit ne sera pas prêt pour des traitements en volume, nous aurons chaque jour des problèmes », a indiqué lundi 14 mai le dirigeant, au cours d'une conférence qui se tenait pendant le Sapphire européen (rendez-vous des utilisateurs de SAP, à Vienne jusqu'au 16 mai). Des rumeurs avaient circulé sur un possible retard de livraison de l'offre en raison de difficultés imprévues rencontrées dans la mise en oeuvre du mode « on demand » retenu. Celui-ci implique en effet une utilisation multi-instance du logiciel, les utilisateurs des différentes entreprises accédant à la même application, à partir d'une connexion Internet. « A1S est un événement très important pour SAP, a précisé Léo Apotheker, membre du comité exécutif de l'éditeur et président des opérations au niveau mondial. Il ne s'agit pas simplement d'un nouveau projet mais d'un modèle économique complètement différent. » Le dirigeant indique que certains clients ont déjà testé le produit et que d'autres vont le faire dans les mois à venir. Parallèlement à la phase de développement (SAP continue à « tester, affiner et ajuster » le produit), l'éditeur travaille sur le modèle économique afin que l'offre soit prête pour un lancement commercial au premier trimestre de l'an prochain. Henning Kagermann a par ailleurs démenti que le co-fondateur de SAP, Hasso Plattner, allait prendre une part plus active sur le développement des produits à la suite du départ, en mars dernier, de Shai Agassi, président du développement produit et technologie du groupe. « Rien n'a changé, a affirmé Henning Kagermann. Hasso Plattner a toujours eu et conservera un droit de regard important sur le développement des produits dans le cadre de son rôle « d'architecte logiciel en chef » de la société et comme président du conseil de supervision du comité technique. (...)

(16/05/2007 17:22:53)

Violation de brevets Microsoft : le Libre demande à voir

Intimidation ou menace réelle ? Les déclarations de Microsoft sur les violations de ses brevets par les logiciels Libres tardent à être suivies de preuves irréfutables. Ainsi, Dan Ravicher, l'auteur d'une étude citée par Microsoft pour démontrer la violation de 228 brevets, affirme que ses travaux montrent l'inverse de ce que Microsoft veut leur faire dire. Quant à Linus Torvalds, il répond en affirmant que Microsoft viole plus de brevets que Linux. Et il attend toujours avec impatience que Microsoft précise ses accusations. Lorsqu'on demande plus de détails sur les brevets violés, Microsoft se contente de communiquer les chiffres suivants : - 65 brevets violés par les interfaces graphiques de Linux - 15 brevets violés par les logiciels d'e-mails - 42 brevets violés par le noyau de Linux - 45 brevets violés par Open Office - 68 brevets violés par d'autres logiciels libres. Les commentateurs se demandent si l'offensive de Microsoft ne relève pas plus de l'intimidation que d'autre chose : la seule crainte d'avoir à subir un procès peut détourner une entreprise d'utiliser un logiciel libre, surtout si son fournisseur risque l'épuisement juridique sous les assauts de Microsoft. (...)

(16/05/2007 17:22:39)

Galileo recadré : 150 000 emplois de haute technicité en question

Galileo pourrait-il être un nouveau Concorde ou un remake des derniers déboires d'Airbus ? Sans que les choses soient annoncées de manière aussi explicite, la décision du Commissaire européen aux transports, Jacques Barrot, de taper du poing sur la table pour tenter de recadrer les différents partenaires de l'aventure Galileo montre surtout la grande inquiétude face à un système qui fait preuve d'une immense ambition technologique... à la mesure de son incroyable capacité à se saborder, en étant incapable de respecter un cahier des charges pourtant connu depuis plusieurs années. La promesse des 10 000 à 15 000 emplois prévus sur la région toulousaine sera-t-elle tenue ? « Galileo, qu'est-ce que c'est ? C'est un projet de l'ampleur d'Airbus ou de l'ampleur d'Ariane. C'est-à-dire que c'est un vrai grand projet européen (...), un moyen de mobiliser l'ensemble des forces des pays européens sur un véritable projet industriel et un projet qui apportera des services à nos populations. Il s'agit de mettre en orbite 30 satellites qui permettront d'avoir, au niveau européen, un système de localisation indépendant de celui des Etats-Unis. Il s'agit de préparer une multitude de retombées en termes industriels et en termes de services aux entreprises et à la population. C'est donc un enjeu considérable », avait déclaré le ministre français des Transports, Dominique Perben, le 6 décembre 2005 à l'Assemblée nationale. Une centaine d'emplois était prévue dans un premier temps sur le site toulousain ; ils devaient drainer des PME ayant misé sur la navigation par satellite. En outre, 150 000 emplois sur 20 ans, dont 10 000 à 15 000 pour la seule région toulousaine, avaient été évoqués à Bruxelles. C'était alors une excellente nouvelle pour la Ville Rose qui l'avait emporté face à Munich, Rome et Barcelone pour accueillir le siège du concessionnaire de Galileo. Mais dix-huit mois plus tard, cette référence à Airbus et l'inquiétude manifeste de Jacques Barrot posent plusieurs questions : ce « nouveau départ » pour Galileo n'est-il pas trop tardif ? N'y a-t-il pas un risque de dérive financière ? Combien d'emplois seront réellement créés ? Et à quelle échéance ? Car si Jacques Barrot devait proposer aujourd'hui de faire appel aux fonds publics pour financer 4, 18 ou 30 satellites (cette dernière option, préconisée par le Commissaire européen, concerne la totalité de l'infrastructure Galileo), entraînant une incontestable augmentation des investissements dans le projet, la concurrence, non seulement avec le GPS mais également avec des projets russes et chinois aussi ambitieux que Galileo, s'est intensifiée depuis 2005. Aux décisionnaires de ne pas se tromper et ne pas transformer le rêve européen en cauchemar : Galileo compte aujourd'hui quatre ans de retard sur son programme. Sur le même sujet : - Galileo : vers un financement totalement public (...)

(16/05/2007 17:21:04)

WinHEC 2007 : Longhorn s'appellera Windows Server 2008

Longhorn s'appellera bien Windows Server 2008. Certes sans surprise, le nom officiel du successeur de l'actuel Windows Server 2003 permet d'avoir la certitude qu'il sera bien disponible en 2008. Régulièrement repoussée, la sortie de Longhorn est confirmée pour les derniers jours de 2007, mais sa commercialisation est désormais fixée à 2008. La semaine dernière, Microsoft avait annoncé que Windows Server Virtualisation (WSV, ou Viridian) serait amputé d'importantes fonctionnalités pour pouvoir être livré rapidement après la sortie de Ws Server 2008. Disponible depuis trois semaines, la bêta 3 de Ws Server 2008 a été téléchargée plus de 100 000 fois. 40 millions d'exemplaires de Vista écoulés Par ailleurs, Bill Gates, qui était présent pour la dernière fois à WinHEC avec le titre d'architecte en chef, n'a pas manqué de souligner que 40 millions d'exemplaires de Vista ont été écoulés au cours des cent premiers jours de sa commercialisation. Soit deux fois plus que de Windows XP lors de son lancement. Toutefois, le grand architecte de Microsoft a omis de préciser que ces 40 millions correspondent au volume absorbé par les réseaux de distribution et non à celui des versions installées. De plus, il a oublié de mentionner qu'il s'est écoulé plus de 5 ans entre les deux lancements. Entre temps, le parc installé de micro est passé de 130 millions d'unités à près de 230. (...)

(16/05/2007 17:17:33)

Microsoft et Sandisk s'associent pour l'après-U3

Microsoft et Sandisk vont collaborer pour mettre au point la succession de la plateforme U3 Smart pour les clés USB et les cartes flash. Les clés à la norme U3 permettent de stocker et de transporter des fichiers, des applications et les préférences utilisateur afférentes, afin de les utiliser librement sur n'importe quel poste de travail sur Windows. L'évolution sur laquelle vont oeuvrer Microsoft et Sandisk vise à ajouter au support flash le stockage de l'environnement et d'une interface utilisateur, en plus d'accepter un plus large éventail d'applications. Pour cela, le géant de Redmond s'attachera au développement applicatif et aux améliorations logicielles à apporter à la technologie U3 actuelle. De son côté, Sandisk planchera sur les évolutions matérielles, notamment pour mettre en place la technologie Trustedflash, dont le but est de sécuriser le contenu des clés ou cartes flash en cryptant les informations et en y associant un système de gestion des DRM. Prévu pour le second semestre 2008, le nouveau standard ne laissera pas les développeurs sur le bord de la route. Un outil de migration leur sera proposé pour porter leurs applications U3 sur la nouvelle plateforme. (...)

(16/05/2007 17:15:21)

Sopra Group et l'Esiee créent une « chaire d'entreprise » autour du génie logiciel

Sopra Group (conseils et services en technologies de l'information) vient de signer un accord avec l'Esiee (Ecole supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique) et l'ISTM (Institut supérieur de technologie et management, situé sur le même site et avec le même DG que l'Esiee). Le partenariat entérine la création d'une « chaire d'entreprise », un concept issu du monde du management et du commerce, autour du thème : « le génie logiciel ou comment maîtriser le développement des applications. » Les étudiants en dernière année de cursus de majeure informatique doivent en effet être préparés à intégrer des équipes projets au sein des SSII au terme de leur formation. Une expérience avec Sopra n'est pas négligeable sur le CV, même s'il s'agit de cours dans un cadre académique et non pas d'un stage. De son côté, un acteur majeur comme Sopra a tout intérêt à se faire connaître dans les écoles, à montrer ses méthodes de travail et également à « pré-sélectionner » sur place les futurs diplômés qui constituent un vivier de talents que se disputent aujourd'hui nombre de recruteurs. A partir de septembre 2007, des intervenants de Sopra Group animeront donc 30 heures d'enseignement théorique et pratique au sein de l'Esiee. « Cette chaire d'entreprise est une première et nous espérons mettre au point d'autres partenariats avec Sopra Group. Nous avons également un accord avec IMB. Il s'agit d'une unité de formation intitulée « infrastructures des systèmes d'information », au sein du cursus ingénieur. Ce partenariat a été signé en novembre et il sera reconduit à la rentrée prochaine », conclut Albin Morelle, responsable des relations entreprises à l'Esiee. Sur le même sujet : - Les partenariats entre entreprises et universités/écoles d'ingénieurs se multiplient (...)

(16/05/2007 15:09:06)

Publicité en ligne : AOL tente de répondre à Google, Yahoo et Microsoft en rachetant Adtech

La lutte au sommet pour prendre le contrôle de la vente et de la diffusion de publicité en ligne se poursuit avec le rachat par AOL d'Adtech (*), éditeur allemand d'un serveur de publicité, outil permettant la gestion des campagnes en ligne. Adtech devrait rester autonome et le montant n'a pas été divulgué. Le portail répond ainsi pour partie à Google qui vient de mettre la main sur Doubleclick - numéro un de ce secteur et également régie publicitaire - au nez et à la barbe de Microsoft, également sur les rangs. Pour partie seulement dans la mesure où Adtech ne propose qu'une solution technique, principalement déployée en Europe. Ce qui semble satisfaire AOL déjà propriétaire d'advertising.com, plutôt orienté promotions par affiliation et diffusion de vidéos et qui annonçait déjà hier avoir mis la main sur Third Screen Media, spécialiste des formats publicitaires pour plateformes mobiles. Plus généralement ce rachat s'inscrit dans la nouvelle stratégie d'AOL qui compte de moins en moins sur les revenus issus des abonnés à ses services et de plus en plus sur ceux en provenance du marché publicitaire. Une stratégie présentée mi avril par Randy Falco, dans le cadre de la conférence annuelle du groupe à New York, qui n'aura pas mis longtemps à commencer à la mettre en oeuvre. Récemment, outre Google qui s'est taillé la part du lion avec Doubleclick, Microsoft et Yahoo ont également annoncé des rachats dans le secteur de la publicité en ligne. (*)Adtech est le prestataire de service de diffusion de formats publicitaires du site lemondeinformatique.fr. (...)

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