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108538 documents trouvés, affichage des résultats 20011 à 20020.
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(04/05/2007 17:48:58)
Sun met sa grille de calcul en location pour tous
Il y a un an, Sun Microsystems et des éditeurs partenaires lancent aux Etats-Unis, Network.com : un service de grille de calcul et de stockage à louer en direct à l'heure. Désormais, ce service sera accessible dans 24 autres pays d'Europe et d'Asie : France, Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada, Chine, Danemark, Espagne, Finlande, Grèce, Hongrie, Inde, Irlande, Italie, Japon, Nouvelle Zélande, Pologne, Portugal, République tchèque, Royaume Uni, Singapour et Suède. Loué au prix de un dollar par heure/CPU, le service tourne sur un réseau de serveurs Sun x64 sous Solaris 10, soit au total un millier de processeurs disponibles. Pour attirer les nouveaux clients, Sun propose 200 heures de temps/CPU à toute personne - entreprise ou développeur individuel - qui ouvre un compte dans les prochaines semaines. Pour Rohit Valia, responsable marketing de Network.com, les clients de cette grille de calcul sont avant tout des PME qui l'utilisent pour des développements spéciaux ou pour faire face à une surcharge de travail temporaire. « La plupart achète une centaine d'heures/CPU. Par exemple, si une tâche a eu besoin de 1000 coeurs pour une minute, cela sera comptabilisé comme 100 minutes/CPU, ou 16,67 heures/CPU, et donc une addition finale de 17 dollars. » Avec cette ouverture de Network.com, Sun ajoute deux nouveaux modules. Network.com Internet Access permet aux clients d'utiliser, à travers la grille et Internet, les ressources d'autres entreprises connectées à Network.com. Et, pour l'instant en mode beta, le Job Management Application Programming Interface, offre aux développeurs la possibilité de faire des tests en taille réelle. (...)
(04/05/2007 17:48:51)Pour les PDG, les indicateurs financiers ne révèlent pas la santé de l'entreprise
Il n'y a pas que l'aspect financier qui compte dans une entreprise : c'est le résultat d'une enquête menée par Deloitte (cabinet d'audit et de conseil en performances) auprès de 250 dirigeants et cadres supérieurs dans le monde. La plupart d'entre eux indiquent avoir besoin d'indicateurs non-financiers qui permettent d'évaluer la performance, mais les outils nécessaires à leur compréhension restent insuffisants. Alain Pons, membre du comité exécutif mondial de Deloitte, analyse ces résultats : « L'étude révèle des différences entre la théorie et la pratique dans les conseils d'administration et dans les cercles de management parmi quelques-unes des entreprises leaders dans le monde. Par rapport à la dernière étude faite en 2004, les PDG ont une attitude plus positive vis-à-vis de la valeur des indicateurs non-financiers de la performance. Mais il semble que les managers ne soient pas encore préparés à passer à la vitesse supérieure. La majorité des entreprises indique être confrontée à une pression croissante pour évaluer ces indicateurs, mais les informations concernant la performance non-financière qu'elles reçoivent traduisent un déficit de qualité et ne satisfont pas totalement leurs besoins. » L'innovation : un indicateur clé de performance mais trop peu pris en compte L'enquête montre que 57% des entreprises interrogées sont confrontées à une pression grandissante pour mesurer les indicateurs non-financiers, phénomène corrélé au fait que de plus en plus d'entreprises créent de la valeur en s'appuyant sur l'utilisation d'instruments non-financiers. La satisfaction-client, l'innovation, et l'engagement des collaborateurs sont cités parmi les facteurs-clés de performance chez les entreprises interrogées. Par ailleurs, 83% des entreprises interrogées affirment que le marché lui-même tend de plus en plus à mettre l'accent sur les mesures de performance non-financière et 54% des PDG estiment également qu'une meilleure compréhension de la façon de mesurer la performance non-financière les aiderait à mieux réorganiser leurs objectifs de performance. Effet d'optique ou réalité d'une nouvelle réflexion des entreprises ? Toujours est-il que cette tendance à vouloir valoriser d'autres indicateurs de performance semble en progression au sein des multinationales. C'est le résultat à la fois d'une combinaison entre réglementation plus stricte, responsabilité du management, image de marque et aspects « développement durable » (ou « éco-responsable ») demandés par certains groupes d'actionnaires. Au carrefour de tous ces aspects, l'innovation qui passe par la technologie prend donc toute son importance, équation complexe entre une certaine idée de l'entreprise responsable et la nécessité de générer des profits pour survivre et se développer ! (...)
(04/05/2007 17:47:51)Rencontre à l'IUT de Paris 5 le 31 mai autour de « la diffusion des PGI »
Sage organise le 31 mai prochain, avec l'IUT de Paris 5 une conférence-débat sur la diffusion des PGI (progiciels de gestion intégrée) avec pour thème : « quels changements pour l'enseignement, l'exercice des métiers et l'organisation des entreprises ? ». Sage est partenaire d'une cinquantaine d'écoles et d'universités en France (8 000 étudiants environ), qui ont fait suite aux deux premiers accords conclus en 2001 avec l'IUT de Paris 5 et le Cesi de Rouen. « Nous sommes très impliqués dans ces partenariats, nous avons monté une offre « spéciale école » qui est différente des offres clients traditionnelles. Nous proposons des kits d'animation pédagogiques prêts à l'emploi et nous nous impliquons dans la formation qui peut aller jusqu'à la notation, lorsque l'école le souhaite. Les cas pratiques sont abordés, avec Sage X3 Entreprise. L'enjeu est très important car des milliers d'emplois vont se créer autour des PGI », souligne Pascal Boursier, chef de marché sur les PGI chez Sage et chargé du développement des partenariats avec les écoles. En effet, si les formations PGI se développent pour répondre aux nouveaux besoins du marché, le profil des jeunes diplômés et leur rôle au sein des entreprises évoluent. D'où l'idée d'une rencontre pour appréhender l'impact des formations ERP dans l'exercice des métiers et l'organisation des entreprises. Ce rendez-vous sera également l'occasion pour Paris 5 et Sage de revenir sur un partenariat, à l'origine de la création d'un parcours « paramétreur ERP » au sein de la licence professionnelle Génie Logiciel Système d'Information de l'IUT. Les étudiants sont attendus pour faire une connaissance avec une filière en plein développement, ainsi que les autres écoles et les entreprises désireuses d'en savoir davantage sur les possibilités offertes aujourd'hui par les PGI et leur simplicité de mise en oeuvre. (...)
(04/05/2007 17:22:07)Second Life : presque deux utilisateurs actifs sur trois sont européens, selon Comscore
Selon Comscore, l'univers virtuel Second Life aurait connu 1,3 million d'utilisateurs actifs en mars 2007, enregistrant une progression fulgurante de 46% en un mois. Par utilisateurs actifs, on qualifie les personnes possédant un avatar et se connectant à la « grille » régulièrement. Et non pas les seuls inscrits recensés dans la base de données de Linden Labs, éditeur de la plateforme. L'Europe reste, avec quelque 777 000 inscrits, le continent le plus représenté dans Second Life, en progression de 32% depuis février 2007. A elle seule, elle totalise 61% du total de résidents actifs. L'Allemagne, avec 209 000 utilisateurs (+70% de progression) va jusqu'à dépasser le nombre de résidents américains (207 000) d'une courte tête. Les résidents français, deuxième nationalité européenne la plus représentée, sont 104 000 à se connecter régulièrement à Second Life. Devant le Royaume-Uni avec 72 000 résidents. Ces chiffres mondiaux sont publiés alors que Linden Labs a récemment sorti ses premières statistiques d'audience qui révélaient que son univers hébergeait quelque quatre millions de résidents. Des chiffres contestés par d'autres publiés sur Internet, qui, plus officieux, mentionnaient au final que seules 200 000 personnes utilisaient régulièrement Second Life. (...)
(04/05/2007 17:14:43)SugarCRM ajoute un portail self-service et une base de connaissances à son offre de GRC
Proposée en Open Source, l'offre de gestion de la relation client (GRC) de SugarCRM vient d'être complétée d'un portail en self-service et d'une base de connaissances. Ces fonctions s'adressent aux utilisateurs de Sugar Professional et Sugar Enterprise, versions payantes de l'application (rappelons que la version gratuite, Sugar Open Source, peut être librement téléchargée et utilisée jusqu'à cinq postes). Customer Libre-service Portal, le premier des deux modules, est un portail permettant aux clients d'une entreprise de venir consulter des données gérées dans l'application de GRC ou d'en saisir eux-mêmes. Cet accès en self-service leur servira, par exemple, à s'informer sur les transactions commerciales ou les campagnes marketing, à actualiser une adresse de facturation ou de livraison, à poser une question au service de support aux clients (et à suivre le traitement qui en est fait), ou encore, à consulter une base de réponses déjà rédigées. A noter que le principal concurrent de SugarCRM, Salesforce.com, fournisseur d'une application de GRC en ligne, a également livré un portail en self-service dans sa mise à jour Spring'07, annoncée fin mars. Une base de connaissances Le deuxième module, Sugar Knowledgebase, permettra aux équipes chargées de l'ingénierie et du support aux clients de constituer une base de connaissances à partager. Cet outil propose des fonctions de création de contenus à indexer (complétés le cas échéant de pièces jointes). L'interface est de type Wiki. Les recherches se font en texte intégral. Les utilisateurs peuvent noter les contenus (de 1 à 5) pour hiérarchiser les données et distinguer celles qui sont le plus utiles. Il est possible de créer et mettre en ligne des documents de type FAQ (questions les plus fréquemment posées). Enfin, la mise à jour des données peut s'appuyer sur un circuit de workflow permettant de faire valider les contenus avant leur publication. L'abonnement au module Sugar Knowledgebase est inclus dans le prix des versions payantes de Sugar CRM, Professional et Enterprise (respectivement 275 $ et 449 $ par an et par utilisateur pour les versions sur site, ou bien 40 et 75 $ par mois et par utilisateur pour les versions en ligne). Le tarif du portail en self-service dépend du nombre d'utilisateurs. (...)
(04/05/2007 16:59:27)Microsoft et Yahoo discuteraient d'un rapprochement
Quelques semaines seulement après s'être fait couper l'herbe sous le pied par Google pour le rachat de la régie publicitaire DoubleClick, Microsoft vient d'entamer des discussions avec Yahoo en vue d'un éventuel rapprochement, selon le New York Post. Les deux groupes ont déjà, par le passé, noué des contacts informels, avec une offre - vaine - du géant du logiciel. L'histoire semble donc se répéter, les acteurs ayant ouvert une pré-discussion susceptible d'aboutir sur une fusion ou un autre type d'accord leur permettant d'associer leurs forces, selon le Wall Street Journal, qui reprend également l'information. Selon les analystes, la valeur de Yahoo atteindrait environ 50 Md$. Microsoft aurait choisi Goldman Sachs pour traiter avec le portail. Le mois dernier, Google mettait la main sur DoubleClick pour 3,1 Md$ et étendait un peu plus son emprise sur le marché de la publicité en ligne. Microsoft était également intéressé par la régie mais n'avait pas su remporter la guerre des enchères, les rumeurs faisant état d'une offre de seulement 2 Md$. Microsoft et Yahoo connaissent les mêmes difficultés pour occuper le terrain de l'e-réclame face à un Google toujours plus puissant. En perdant DoubleClick et d'autres acquisitions ou contrats majeurs - dont un accord de publicité avec AOL il y a deux ans - Microsoft se voit contraint de frapper un grand coup pour contrer le tentaculaire moteur de recherche. C'est dans cette optique que s'inscrit l'éventuel rapprochement avec Yahoo. Aucun des deux protagonistes n'a, pour l'heure, accepté de commenter ce qui n'est encore qu'une rumeur. En dépit de lourds investissements dans le domaine de la recherche en ligne, Microsoft ne parvient pas à atteindre les niveaux de recettes publicitaires de Google ou de Yahoo. La semaine dernière, une étude Comscore indiquait que Google avait détrôné Microsoft en tête des sites les plus visités au monde. L'union du groupe de Redmond et du portail conduit par Terry Semel permettrait au premier d'étendre sa présence sur le Web et d'attirer de nouveaux annonceurs, et au second de tirer parti de l'expertise technique de Microsoft. (...)
(04/05/2007 16:58:08)Services Web : Microsoft et IBM soumettent WS-Federation à l'Oasis
Polémique autour des standards de gestion d'identité. Microsoft et IBM ont décidé de soumettre à l'Oasis, WS-Federation, leur propre norme définissant le partage des identités entre services Web. Une initiative qui vient empiéter sur les terres de SAML, autre standard de fédération des identités déjà approuvé par l'Oasis, et surtout rejeté par Microsoft en 2005. L'Oasis (Organization for the advancement of structured information standards) a ainsi annoncé la création d'un comité technique qui guidera les spécifications WS-Federation 1.1 vers la standardisation. Développé en 2002 par Microsoft et IBM, WS-Federation repose sur d'autres aprotocoles WS-*, notamment le standard WS-Trust et WS-Transfer, non normalisé pour l'heure. C'est notamment sur ce dernier point qu'ont jailli les critiques. Pour certains, WS-Federation repose sur des protocoles qui ne sont pas des standards. Rappelons que SAML 2.0 a, quant à lui, été ratifié en 2005 et est notamment supporté par la Liberty Alliance. Ce qui, pour certains, représente un gage de maturité évident. "Dans cette perspective, il apparaît qu'il en résulterait une duplication malheureuse des fonctionnalités de SAML, avec en plus pour l'utilisateur, la complexité et les coûts à assumer", commente un supporter de SAML dans un document remis à l'Oasis. De son côté, un porte-parole de l'Oasis a déclaré à nos confrères d'IDG News Service qu'il existait de nombreux exemples de chevauchement de standards dans les services Web. Et de citer UDDI (Universal description, discovery and Intergration), en doublon avec Electronic Business XML, deux annuaires concurrents de services Web. Reste à déterminer, si toutefois WS-Federation était approuvé par l'Oasis, quel standard choisir. Pour Marc Goodner, responsable Microsoft qui siègera au sein du comité technique, un des avantages du protocole Microsoft est justement qu'il appartient à la famille WS-*, mais également qu'il repose sur WS-Trust. Et ajoute que le comité ne se penchera pas sur ce problème de doublon. En janvier 2007, la Liberty Alliance et Microsoft ont décidé de rendre intéropérables leurs normes respectives - ID-WSF pour le premier, WS-Federation pour le second- gérant la gestion des identités. Les deux sociétés estimant finalement que ces deux normes étaient complémentaires. (...)
(04/05/2007 16:55:32)Intel veut reprendre de l'avance sur AMD grâce aux puces 45 nm
Paul Otelini, le PDG d'Intel, a reparlé hier (3 mai) devant des analystes réunis à New York des futurs processeurs gravés en 45 nm, dont le premier produit - le Penryn - avait été la vedette du dernier Intel Developer Forum. Selon lui cette nouvelle génération de composants permettra à l'entreprise de profiter de la demande croissante pour les portables et les terminaux Internet mobile. « Cette niche ne génère aujourd'hui que peu de marge, cependant Intel est capable de s'y introduire grâce au succès des dernières restructurations », a-t-il affirmé avant de poursuivre, « Il y a un an, j'évoquais la nécessité pour l'entreprise d'ajouter à son patrimoine héréditaire l'efficience et les coûts qui nous manquaient alors ». Depuis lors, l'entreprise a réduit ses effectifs, qui sont passés de 103 000 à 92 000 dans le monde. « Cette fois j'espère que la métrique est bonne », a déclaré Paul Otelini en évoquant également les économies de 2 Md$ prévues pour 2007, auxquelles devraient s'ajouter 3 Md$ supplémentaires l'année prochaine. Il est vrai que le patron d'Intel envisage de nouvelles coupes dans les effectifs. « Je prévois que ceux-ci vont continuer à baisser dans le courant de cette année », a-t-il confirmé. Une manière pour lui de commenter le licenciement d'un millier de personnes dans une usine du Nouveau Mexique, aux Etats-Unis. Cette restructuration devrait permettre au fondeur de regagner les parts de marchés perdues au bénéfice du rival AMD. La quote-part d'Intel sur le marché mondial est en effet passée de 80% au second trimestre 2005 à légèrement plus de 70% un an plus tard. « Nous sommes aujourd'hui revenu à une échelle de 75 à 80% », a toutefois affirmé hier Paul Otelini. Ce dernier compte également tirer parti de l'arrivée prochaine sur le marché d'une série de processeurs 45 nm, lesquels devraient assurer à son entreprise une avance technologique de « 18, voire 24 mois ». Une allusion à la technologie Hi-K développée par Intel, qui permet d'augmenter le nombre d'instructions traitées par cycle d'horloge, sans réchauffement supplémentaire. Parmi les nouveaux venus, figurent le processeur graphique multicoeur Larrabee ainsi que le Silverthorne, qui s'adresse au marché particulièrement rentable des terminaux portables. « Nous faisons plus d'argent avec ceux-ci qu'avec les desktops. Le taux de remplacement est plus élevé à cause des vols et des pertes », a reconnu le PDG d'Intel. Selon la société, le marché des notebooks devrait dépasser celui des PC d'ici 2009. Chaque point ainsi gagné rapporterait 100 M$ par an. Intel s'attend à un démarrage rapide de ses nouvelles plates-formes Centrino Duo et Centrino Pro « Santa Rosa » sur le marché des portables. (...)
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