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(26/04/2007 16:47:17)
42% de recrutements supplémentaires dans l'informatique de gestion, selon l'Apec
« Je préfère parler de tension que de pénurie. » Directeur des études à l'Apec (Association pour l'emploi des cadres), Pierre Lamblin travaille sur les intentions de recrutements des cadres et souligne « des perspectives à la hausse », au moins aussi bonnes qu'en 2006, meilleures dans certains cas comme en informatique de gestion : 42% d'offres supplémentaires par rapport au premier trimestre 2006, + 35% de recrutements en systèmes et réseau data. Seule l'informatique industrielle « reste stable ». Avec une progression de 28% des offres dans l'informatique, le secteur dépasse une nouvelle fois la moyenne des propositions pour les cadres (20%). « L'activité informatique est toujours en tête des recrutements des cadres, juste derrière le secteur commercial », indique Pierre Lamblin. Catherine Martin, présidente de l'Apec, confirme : « les résultats du premier trimestre ainsi que les perspectives du deuxième trimestre 2007 viennent conforter nos prévisions de recrutement pour l'année 2007. Cette solidité du marché de l'emploi cadre devrait contribuer à améliorer l'accès à l'emploi pour les jeunes diplômés et le retour à l'emploi des cadres seniors.» Le conseil : 60% des offres d'emplois cadres Des différences apparaissent pourtant : les recrutements réalisés dans le secteur du conseil (activités informatiques, d'audit-conseil, juridiques, d'ingénierie et publicité) sont en baisse de cinq points ce trimestre, à 68%. Mais les offres d'emploi cadre ont progressé de 21% au premier trimestre 2007, poursuivant l'envolée du quatrième trimestre 2006 (+ 22%). Et si la plus forte hausse est enregistrée dans l'audit-conseil (+ 27%), les activités informatiques et l'ingénierie tirent leur épingle du jeu avec respectivement + 20% et + 17% de croissance. En outre, selon Pierre Lamblin, « les SSII, les locomotives du secteur, procèdent plus souvent par campagnes d'embauches multiples que par recrutement ponctuel. Toutes les SSII anticipent leurs recrutements même si elles n'ont pas gagné le marché. Cela provoque de la tension. » Et augmente sans doute un peu artificiellement les chiffres de recrutement, même s'il est indéniable que les SSII sont en permanence à la recherche de nouveaux profils, en raison notamment d'une très forte activité (et d'un important turn-over) dans ce domaine. A noter encore que l'évolution des offres en R&D enregistre une décélération mais reste à deux chiffres : + 15% par rapport au premier trimestre 2006, après une croissance de 20% au trimestre dernier. Enfin, dans les services techniques la hausse reste vive (+ 21%) et profite à la plupart des fonctions comme « maintenance, sécurité » (+ 35%). Seule fonction qui, après les fortes évolutions affichées au cours des dernières années, voit sa croissance ralentir : l'expertise, assistance technique (+ 5 %). Une situation de « quasi plein emploi » ? Au vu de cette note semestrielle de l'Apec, avec des perspectives hautes (même si vraisemblablement, le rythme des recrutements devrait être moins soutenu au deuxième trimestre 2007), il est utile de se poser la question du quasi plein emploi des cadres, notamment en raison des effets attendus du papy-boom (qui devrait provoquer un appel d'air suite à un pic de départs entre 2007 et 2009). « Ces départs provoquent souvent une réorganisation interne et l'on ne remplace pas les cadres poste à poste comme on pourrait le croire. De plus, il existe d'un côté des personnes au chômage, et de l'autre côté, des tensions sur certains profils. C'est une combinaison compliquée. » Reste que les intentions d'embauche d'au moins un cadre restent stables à un niveau élevé (67%) et que cette note de l'Apec corrobore la dernière étude BMO 2007 avec de très intéressantes perspectives d'emplois dans l'informatique. (...)
(26/04/2007 16:41:02)Sapphire : SAP veut ajouter des fonctions Web 2.0 à ses applications
SAP veut tirer parti des technologies Web 2.0 (wikis, blogs et plus généralement tout contenu créé par les utilisateurs eux-mêmes) dans sa nouvelle génération d'applications. C'est ce qu'ont affirmé les dirigeants de l'éditeur allemand à l'occasion de la conférence utilisateurs Sapphire qui s'est tenue à Atlanta du 22 au 25 avril. Lors d'une présentation, Hasso Plattner, co-fondateur et président du conseil d'administration de la société, a indiqué que les équipes de développement de SAP s'étaient rapidement engagées vers les technologies Web 2.0 afin de rendre le progiciel de gestion intégré (PGI) de l'éditeur plus facile à utiliser. Il est notamment prévu d'apporter au PGI les capacités d'intégrer des vidéos et des photographies. Réduire les coûts de mise en place Pour Hasso Plattner, les wikis et les blogs peuvent être utilisés par les entreprises clientes pour aborder toutes sortes de sujets avec les développeurs de SAP. Il estime que les technologies Web 2.0 peuvent également être mises à profit pour des discussions internes entre collaborateurs au sein des départements informatiques. L'ancien PDG de SAP affirme même que l'utilisation de ces nouvelles fonctionnalités peut contribuer à réduire les coûts d'installation et de services autour des applications SAP. Hasso Plattner a par ailleurs ajouté que SAP étendait le recours aux technologies SOA (architecture orientée services) pour enrichir sa plateforme NetWeaver. Parmi les ajouts figurera la possibilité de créer des processus métiers exploitant des fonctions de partage vidéo s'apparentant à celles que l'on peut trouver sur YouTube. L'ancien dirigeant de SAP suggère que les utilisateurs recourent à de telles fonctions pour partager des organigrammes de gestion de flux (workflows) ou des photos avec des partenaires. Parallèlement, SAP et Cisco Systems ont conjointement dévoilé, il y a deux jours, un ensemble d'outils d'administration de réseau basée sur une architecture SOA et pouvant être utilisés pour relier les applications métiers aux applications réseaux. Ces outils ont vocation à améliorer la gestion des flux sur le réseau et la capacité de réponse aux événements issus du système informatique. (...)
(26/04/2007 16:36:05)Sun lance sa plateforme de streaming VoD
Profitant du Tribeca Film Festival qui se tient à New York, Sun Microsystems vient de présenter sa plateforme de streaming vidéo. « Nous pensons que la manière la plus naturelle pour les gens de profiter de la vidéo est de la télécharger depuis un serveur », a commenté Andy Bechtolsheim, co-fondateur de Sun et designer du Sun Streaming System. Ce dernier est composé de quatre serveurs Fire x4100, d'un serveur de stockage x4500 et du Fire x4950, un nouveau serveur dédié au streaming. Tous ces équipements sont issus d'une technologie déployée par Kealia, l'entreprise fondée par Andy Bechtolsheim en 2001... et rachetée par Sun en 2004. Ce qui a permis au Munichois Andreas von Bechtolsheim (alias Andy Bechtolsheim) de retourner à la case départ. Sun Streaming délivre 160 000 flux vidéo (40 000 en HD), simultanément, à un débit de 2 Mbp/s. Chaque système est capable de transmettre le contenu de 5 000 DVD. Sun annonce avoir déjà noué des partenariats avec Nortel et EDS, qui souhaitent intégrer la nouvelle plateforme à leurs solutions d'IPTV. La société de Santa Clara a toutefois, comme cible principale, les entreprises fournissant des contenus aux opérateurs proposant de la VoD sur IP à leurs clients. Elle a ainsi choisi son camp dans la guerre qui oppose opérateurs Internet et câblo-opérateurs, très présents aux Etats-Unis sur le marché de la VoD. « Si les réseaux câblés souhaitaient offrir une capacité équivalente à celles de nos systèmes, cela leur demanderait une mise à niveau d'une grande amplitude », a d'ailleurs rappelé Andy Bechtolsheim. Certains spécialistes tempèrent toutefois l'optimisme de Sun. « L'IPTV a aussi ses limites. Les routeurs ne sont pas si facilement évolutifs. De plus, les commutateurs Ethernet et les autres serveurs du réseau peuvent ralentir le trafic entre la plateforme et le poste de télévision », a ainsi déclaré Eve Griliches, spécialiste des télécommunications chez IDC. (...)
(26/04/2007 16:16:44)Adobe libère Flex pour mieux contrer Microsoft
Un nouveau round s'engage pour la domination des interfaces riches sur Internet (RIA) : Adobe invite les développeurs à s'emparer de Flex, sa technologie de créations de RIA. Une semaine après son accord avec Salesforce, l'éditeur a présenté un programme de mise en Open Source du SDK, le kit de développement, de Flex, dans l'espoir de créer une communauté active d'utilisateurs et de voir émerger de nouveaux projets. Le SDK sera placé sous licence MPL (rédigée par la fondation Mozilla), mais restera disponible sous licence commerciale. L'annonce est faite à quelques jours de l'ouverture de Mix'07, la convention organisée par Microsoft à Las Vegas (du 30 avril au 2 mai) consacrée aux nouvelles technologies d'interface. Microsoft y fera probablement plusieurs annonces - dont l'une pourrait justement concerner l'Open Source, croit savoir Frédéric Cavazza, consultant indépendant spécialisé dans les interfaces et les usages du Web 2.0 -, et effectuera des démonstrations de Silverlight, sa propre technologie d'interfaces riches pour Internet. Silverlight est l'extension, sous forme de plug-in pour navigateurs, de sa technologie d'interface pour Vista, WPF (Windows Presentation Foundation). Souvent qualifié de « Flash-killer », Silverlight permet en effet de diffuser du contenu multimédia sur différentes plateformes, à l'instar de ce que permet Flash.
Le Builder et Flex Data Services restent sous licence commerciale
Adobe essaie de son côté d'aller au-delà du multimédia en le combinant avec des possibilités de manipulation de données. C'est l'enjeu de Flex, qui offre la possibilité de bâtir des interfaces pour des applications transactionnelles sur le Web qui ne se différencient guère, dans leur ergonomie, des applications desktops. « Du Flash en plus musclé pour les entreprises », résume Frédéric Cavazza. De l'avis de Didier Girard, directeur technique de Sfeir et spécialiste des RIA, « Flex est une bonne technologie qui permet de faire des choses qui seraient difficiles à faire en Ajax », la combinaison de HTML et de Javascript très en vogue en ce moment pour rafraîchir les interfaces Web. En revanche, dit-il, « j'ai l'impression qu'Adobe n'a fait que la moitié du chemin, et ils ne peuvent pas ne pas aller au bout du processus ». De fait, si la machine virtuelle Actionscript (le langage utilisé pour Flash et Flex) est déjà sous licence Open Source (le projet Tamarin, confié à Mozilla), le module pour la manipulation et l'accès aux données Flex Data Services et l'atelier Flex Builder resteront uniquement sous licence commerciale, indique Jeff Whatcott, vice-président marketing produits d'Adobe. Qui assure qu'on peut très bien concevoir des applications Flex sans le Builder, avec un atelier de développement classique ou un simple éditeur de texte. « A tort ou à raison, quand tout n'est pas libéré, les gens sont perplexes, pas à l'aise, précise Didier Girard. La technologie GWT de Google n'a vraiment décollé que quand l'ensemble a été mis en Open Source. »
« Une opération de drague évidente envers la communauté des développeurs Mozilla »
Les différents éléments du SDK devraient être libérés et placés dans une structure ad hoc permettant le reporting de bugs et la soumission d'innovations vers la fin de l'année, précise Jeff Whatcott. La balle sera alors dans le camp des développeurs Open Source. Et plus particulièrement la communauté Mozilla, estime Frédéric Cavazza : « Nous sommes face à une opération de drague évidente, non pas envers Mozilla mais envers la communauté des développeurs Mozilla, un peu comme Ségolène Royal drague non pas François Bayrou mais ses électeurs. Adobe leur fait confiance pour faire évoluer Flex, ce qui lui permet de concentrer ses propres forces sur ses autres batailles avec Microsoft, sur les outils de développement [alors que Microsoft vient de sortir Expression, NDLR], les lecteurs vidéos et les RDA [Rich desktop applications, NDLR]. » A la différence des RIA, les RDA ne s'appuient pas sur un navigateur, ils fournissent une interface complète. Adobe travaille ainsi sur Apollo, déjà retenu par SAP pour son interface Muse. « Et c'est sur Apollo qu'Adobe se focalise », estime Frédéric Cavazza. (...)
Google détrône aussi Microsoft dans le palmarès des audiences en mars
Selon l'AFP qui reprend une étude du cabinet d'étude américain Comscore, Google aurait évincé Microsoft de la tête des sites les plus visités au monde en mars. Un second pied de nez cette semaine, la pieuvre Google ayant déjà détrôné Microsoft dans le classement Millward Brown des marques les plus puissantes. Selon Comscore, les services frappés de la marque Google auraient totalisé 528 millions de visiteurs uniques en mars, contre 526,9 millions pour les services de Microsoft. La hausse de fréquentation de 13% de Google est attribuée par le cabinet au large succès de YouTube qui a reçu sur la seule période 160,8 millions de visiteurs uniques (soit une hausse de 630% en un an). Notons que YouTube, avant le rachat de Google en mars 2006, n'enregistrait qu'un faible 22 millions de visiteurs uniques. Microsoft de son côté connaît une faible hausse de 4% de sa fréquentation en mars. Au palmarès Comscore siègent les sites Yahoo en troisième position (avec 473,3 millions de visiteurs uniques), devant ceux de Times Warner (dont AOL, avec 272 millions) et d'eBay (256 millions). (...)
(26/04/2007 16:03:29)Présidentielle : Le Munci sonde les candidats avant de s'engager
A dix jours de l'élection du prochain chef de l'Etat, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) adresse une lettre ouverte aux deux prétendants. Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy y sont invités à exprimer leurs positions sur vingt points, très concrets, concernant l'emploi IT en France et, plus généralement, le monde du travail. Après avoir envoyé un épais document de position aux aspirants élyséens le mois dernier, le Munci renouvelle donc l'expérience en tirant les leçons de sa première tentative : « On n'a pas reçu de réponse de qualité, explique Régis Granarolo, le représentant du Munci, simplement des réponses de politesse, suite à notre document de position envoyé avant le premier tour. La méthode employée n'était certainement pas la bonne : le document ne comportait pas de question précise. Cette fois, on interroge les candidats sur des points précis et importants. Sur les vingt thèmes abordés, on veut une réponse pour au moins dix. C'est ce qu'on a expliqué à Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy dans un courrier personnel. » Ces dix points concernent : - la discrimination à l'encontre des séniors, pour lesquels le syndicat réclame l'instauration de quotas à l'embauche ; - les prestations de service dans lesquelles il faut « remettre de l'ordre », selon Régis Granarolo ; - les délocalisations des prestations intellectuelles qu'il convient de combattre en excluant des appels d'offres publics , par exemple, les entreprises qui y ont beaucoup recours; - la sécurisation du contrat de travail et la mise en place de gardes-fous contre les licenciements abusifs ; - l'encadrement de la mobilité géographique ; - la facilitation de l'accès au marché pour les petites structures ; - l'encadrement des transferts de personnels dans le cadre de procédures d'externalisation ; - la mise en place de mesures visant à éviter le dumping social ; - la promotion du syndicalisme de masse ; - l'exercice facilité du droit syndical. Le Munci a déposé sa lettre ouverte directement dans les QG de campagne des deux postulants à la magistrature suprême et espère recevoir des réponses la semaine prochaine. « Quand on voit que tous les candidats ont répondu à l'April, on serait très vexé si on ne recevait rien », reconnaît Régis Granarolo. Si le syndicat se veut apolitique, il « se réserve le droit d'apporter [son] soutien à l'un des deux candidats », selon les réponses qui lui seront communiquées. En savoir plus : Téléchargez la letter ouverte du Munci aux deux candidates (en PDF) (...)
(26/04/2007 14:44:17)Microsoft publie la première bêta publique de Longhorn
Microsoft a publié le 25 avril la très attendue bêta 3 de Longhorn Server, première version de test publique du successeur de Windows Server 2003. Une sortie en ligne avec la feuille de route. Cette mouture propose ainsi en test des fonctionnalités jusqu'alors disponibles en version autonome, non-intégrées à l'OS. C'est notamment le cas de Power Shell, une console de scripting et de ligne de commande permettant aux administrateurs d'automatiser des processus de l'OS. La bêta 3 dévoile également Server Manager qui permet notamment de contrôler le pare-feu - qui doit être 100% du temps opérationnel, promet l'éditeur - ainsi que Server Core, outil de configuration d'installation de composants. Le 6 avril dernier, Microsoft publiait une CTP (Community Technology Preview) auprès d'une sélection de testeurs. A cette occasion, Alain le Hégarat, responsable marketing de la division plateformes d'entreprises de Microsoft France, rappelait au mondeinformatique.fr la dernière feuille de route : « La RC (Release candidate) en août, la RTM (Release to manufacturers) en novembre, pour un lancement en grand planifié en février. » (...)
(26/04/2007 13:00:09)L'Europe planche sur un portail d'alertes de sécurité pour les PME
Créer un système d'alerte qui permettrait d'avertir les PME européennes des éventuelles menaces contre lesquelles prémunir leur réseau informatique et leur système d'information. C'est un projet sur lequel planche actuellement l'Union européenne. Le système d'alerte en question pourrait prendre la forme d'un portail Web intégrant des flux RSS (ces derniers permettant de restituer les actualités provenant de sites Web choisis, avec mise à jour automatique à chaque nouvelle information publiée). D'autres moyens d'alertes sont envisagés : messages SMS, listes de diffusion par courriels ou contacts par les médias. Une étude de faisabilité est en cours à l'Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (ENISA). Elle porte notamment sur la meilleure façon de rassembler les informations de sécurité et de les diffuser dans différentes langues vers les PME européennes, a précisé l'ENISA dans sa lettre d'information trimestrielle. (...)
(26/04/2007 12:36:19)Les Anglais inventent l'école virtuelle
La municipalité d'Oldham, près de Manchester, va déployer un réseau de visiocommunication reliant les 120 établissements scolaires dont elle a la charge. L'objectif de cette « passerelle d'apprentissage » (bridge for learning) est de permettre aux élèves, parents, enseignants, animateurs culturels et responsables municipaux, d'échanger et de partager des informations, de participer à des programmes, des réunions, des formations ou encore à des sorties virtuelles. Ainsi, des centaines d'élèves pourront assister à des spectacles sans se déplacer. « Ce moyen de communication doit être la partie intégrante d'un nouveau comportement de chacun, dans sa vie quotidienne d'élève ou d'enseignant », affirment les responsables de la municipalité qui souhaitent participer à l'essor d'une « culture vidéo ». Pour faciliter la conversion, ils ont décidé de nommer dans chaque établissement un « champion » chargé d'évangéliser élèves et professeurs. C'est l'Américain LifeSize (pour les équipements HD) et le Britannique Codian (pour les ponts) qui ont remporté le marché. (...)
(26/04/2007 12:35:23)MySQL s'associe à DB2 sur les System i d'IBM
IBM s'est déplacé à la conférence utilisateurs de MySQL en Californie pour annoncer un accord à la fois technologique et commercial avec l'éditeur de la base de données Open Source. Les deux acteurs prévoient de porter la base MySQL sur la plateforme i5/OS des minis d'IBM (anciennement appelés iSeries ou encore avant AS/400), en se servant de la base de données intégrée aux System i, DB2. Etant donné la structure modulaire de MySQL, la base peut s'appuyer sur plusieurs moteurs de stockage (on se souvient qu'Oracle a racheté l'éditeur d'un des moteurs les plus utilisés par MySQL, InnoDB). IBM a adhéré au programme MySQL Certified Storage Engine à cette fin. Pour IBM, il s'agit d'une ouverture importante pour sa plateforme, sachant que MySQL gagne du terrain, mais sur Linux et Windows. MySQL gagne de son côté une importante filière de distribution, principalement du côté des PME, puisqu'IBM revendra les offres de support et de service de MySQL. Un gain appréciable pour MySQL dans sa quête de clients payants. Marten Mickos, CEO de MySQL, a en effet expliqué lors de cette conférence utilisateurs que sa société avait un client payant pour 1000 utilisateurs non-payants. Un ratio à améliorer en vue de l'introduction en Bourse souhaitée de plus en plus fort par MySQL. (...)
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