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(13/04/2007 00:00:00)

Micro trottoir, paroles d'informaticiens, leurs attentes des candidats sur les 35H, l'offshore..

Propos recueillis par Marc Di Rosa, journaliste, Le Monde Informatique (...)

(12/04/2007 18:15:16)

Dataflux accélère la qualification des informations

Représenté en France depuis le début de cette année par le biais d'un partenariat avec l'intégrateur Solveo, Dataflux vient d'annoncer le lancement de CDI Accelerator, un module d'accélération des processus de qualification des données clients, à mettre en oeuvre dans le cadre d'un projet de CDI (Customer Data Integration). Filiale à 100 % de SAS Institute qui en a fait l'acquisition en 2000, l'éditeur Dataflux est spécialisé sur la gestion de la qualité des données. Les solutions qu'il développe permettent de construire des référentiels offrant, pour l'ensemble des applications de gestion utilisées dans une entreprise, une vue unique et cohérente des données se rapportant aux clients, aux fournisseurs ou aux produits. « Le module CDI Accelerator résulte d'une capitalisation du savoir-faire de Dataflux, explique Grégoire Leynaud, président de Solveo. Il regroupe sous une forme packagée un ensemble des traitements standards ayant déjà été mis en flux dans des entreprises clientes afin d'obtenir une vue à 360° des données sur les clients, c'est-à-dire une vision transversale aux différentes applications exploitées. » CDI Accelerator va en particulier permettre d'identifier les qualités et les défauts d'un patrimoine de données par l'intermédiaire d'états, de comptes-rendus et de tableaux de bord pré-packagés. Rappelons que les solutions de Dataflux couvrent les différents domaines de la gestion des données : le profilage (analyse des données), la qualification (reconstruction et correction), l'intégration et l'interconnexion entre les différentes sources, l'enrichissement des données avec des informations extérieures et, enfin, le contrôle de l'intégrité des données dans le temps. Ce type d'outils est particulièrement en vogue en ce moment, avec le développement des projets de MDM (Master Data Management) visant à constituer des plateformes centralisées de données de référence. « Des référentiels qui peuvent être logiques et pas obligatoirement physiques », rappelle Grégoire Leynaud, de Solveo. (...)

(12/04/2007 18:03:15)

IBM empile les composants pour accélérer l'accès aux données

Plus que la vitesse de calcul, le frein majeur à la puissance des serveurs et des mainframes actuels reste la vitesse à laquelle le processeur accède aux données en mémoire. Pour IBM, la solution est simple : il faut réduire le trajet de l'un à l'autre. Le constructeur a annoncé la fabrication prochaine de puces « empilées » pour résoudre ce problème. A la différence de ce que proposent déjà certains fondeurs, la solution n'implique pas d'empiler simplement un processeur sur de la mémoire, puis de relier le tout par des câbles. Il s'agit au contraire de créer ce montage dès que les pièces sont fondues dans le silicium. A ce stade, de minuscules trous sont créés dans le processeur et la mémoire, puis remplis avec un alliage métallique conducteur. Un transfert 1000 fois plus rapide Selon Lisa Su, responsable du développement processeur chez IBM, ce système offrira 100 fois plus de chemin d'accès aux données, permettant un transfert de la mémoire vers le processeur 1000 plus rapide qu'avec les techniques actuelles. « Aujourd'hui, la plupart des puces ont deux à quatre coeurs, et les gens parlent déjà de les étendre jusqu'à 8, 16 ou 32. Mais en réalité, ce qui bloque la fabrication des processeurs est la distance entre la mémoire et les coeurs. Cette technique nous donne un nouvel espace de liberté», affirme Lisa Su. IBM délivrera les premiers processeurs utilisant cette technologie dès le second semestre 2007, avant de se lancer dans une réelle commercialisation en 2008. Ils seront d'abord utilisés dans les réseaux sans fil et les téléphones cellulaires, avant d'intégrer les processeurs Power pour serveurs et Blue Gene pour mainframes. Pour Dave Lammers de VSLI Research, IBM ne devrait pas rester longtemps seul sur ce secteur. Selon lui, Intel et AMD devraient sortir leurs propres versions de puces empilées d'ici 2010 : « C'est une grande avancée. La bande passante va augmenter, et cela pourrait aider à résoudre les problèmes de consommation électrique et de dissipation de chaleur. » (...)

(12/04/2007 17:37:46)

BMO 2007 : 36 325 ingénieurs et cadres de l'informatique recherchés en France

L'enquête Besoins en Main-d'oeuvre (BMO) 2007 est une initiative de l'Unédic, réalisée avec l'ensemble des institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc. Cette 6ème vague d'enquêtes fait état de 1 223 300 projets de recrutement pour 2007 dans l'ensemble des 371 bassins d'emploi. Avec 11 500 projets d'embauche, le conseil et l'assistance aux entreprises est le premier pôle de recrutement. Les activités de conseil et d'assistance aux entreprises enregistrent ainsi une progression spectaculaire des intentions d'embauche, principalement concentrée dans les activités informatiques (+9 300 projets), d'ingénierie technique (+2 800), de conseil administratif et financier (+2 600). Selon le BMO 2007, il en résulte une progression importante de la demande en ingénieurs informaticiens (+7 000). Par rapport à 2006, les PME seraient davantage prêtes à recruter Selon l'enquête, orientée à la baisse depuis 4 ans, près de 22% des employeurs prévoient de réaliser au moins une embauche au cours de l'année 2007, soit 0,6 point de plus que l'an dernier. Cette hausse est davantage marquée dans les entreprises de 10 salariés ou plus, le ratio progressant de 4 points dans les établissements de 50 à 200 salariés. A noter encore des différences selon les secteurs industriels : l'augmentation des besoins en main d'oeuvre est majoritairement concentrée dans le BTP (+20% par rapport à 2006) et à l'inverse, la fabrication de matériel de transport présente un déficit de 5 400 projets d'embauche par rapport à 2006, en particulier dans les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique. 56% d'ingénieurs et de cadres en informatique difficiles à recruter Parmi les métiers rassemblant le plus grand nombre de projets de recrutement figurent les ingénieurs et cadres de l'informatique (sauf technico-commerciaux), avec une estimation qui s'élève à 36 325 (dont 354 emplois déclarés comme « activité saisonnière »). Les difficultés de recrutement atteignent un niveau de 56%. L'enquête souligne encore que parmi les fonctions d'encadrement, les ingénieurs informaticiens et les cadres commerciaux constituent les deux professions les plus recherchées. Autres projets de recrutement : - 19 400 « ingénieurs et cadres d'études et de recherche » (38,4% seraient difficiles à recruter) - 7 433 « programmeurs et autres informaticiens (sauf ingénieurs et cadres) » (31,1% recrutements déclarés difficiles), - 2 840 opérateurs de saisie informatique (27,7% de recrutements avec difficulté) - 9 722 techniciens, agents de maîtrise de l'électricité, de l'électronique et des télécommunications (50% seraient recrutés avec difficulté) - 5 407 ouvriers qualifiés de l'électricité et de l'électronique (57,6% pourraient être recrutés avec difficulté) - 1 593 ouvriers non qualifiés de l'électricité et de l'électronique (38,8% recrutements difficiles) A noter encore de fortes disparités régionales par type de métier : dans les intentions d'embauche dans le secteur «ingénieurs et cadres de l'informatique (sauf technico-commerciaux)», les Hauts de Seine arrivent en tête avec 6 465 projets de recrutement en 2007, 9 régions se disputant la lanterne rouge avec 2 embauches prévues. Enfin, si cette enquête est très précieuse pour évaluer les besoins en main d'oeuvre en 2007, il faut la considérer avec toutes les précautions d'usage : le conditionnel est de rigueur, car ce sont les intentions et non les réalisations qui y sont répertoriées. Sur le même sujet : - Enquête sur les besoins en main d'oeuvre en 2007: les cadres en informatique seront-ils davantage recherchés ? -Recrutement: embellie et difficultés confirmées par l'Unedic (...)

(12/04/2007 17:26:01)

Près de la moitié des entreprises françaises peineraient à recruter des candidats qualifiés

Selon une étude de Manpower menée à l'échelle mondiale en janvier 2007 (27 pays et près de 37 000 entreprises interrogées), 41% des employeurs déclarent avoir des difficultés à recruter les bons candidats. Avec 40% de réponses allant dans le même sens, la France se trouve dans la moyenne mondiale, en nette augmentation par rapport à 2006 (+10 points). Les pays qui avouent avoir le plus de difficultés à recruter les employés adéquates sont le Costa Rica (93%), le Mexique (82%), la Nouvelle-Zélande (62%), ainsi que l'Australie et le Japon (61%). Sans surprise, les pays qui sont réputés comme les plus dynamiques ont moins de souci de recrutement, l'Inde étant en tête avec 9%, tandis que deux pays européens, l'Irlande et les Pays-Bas sont à égalité (17%) et précèdent de peu la Chine (19%). L'étude montre également que l'augmentation des difficultés de recrutements déclarée en France est proche des pays scandinaves, Suède et Norvège, une sorte d'exception dans la zone Emea (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Ailleurs en effet, on constate une baisse, comme en Allemagne (53% des entreprises avaient des difficultés à recruter en 2006 contre 27% cette année), au Royaume-Uni (42% en 2006, 34% en 2007), en Espagne (57% en 2006, 24% cette année) et en Italie (32% en 2006 contre 23% en 2007). Quant aux USA, 41% d'entreprises déclaraient avoir des difficultés à recruter les bons profils en janvier 2007 contre 44% l'an dernier. En France, les maçons sont plus difficiles à recruter que les ingénieurs L'étude de Manpower établit également un « Top 10 » des métiers les plus demandés. Contre une idée largement répandue, ce ne sont pas les ingénieurs (ils arrivent en dixième position) qui sont les plus demandés, mais les travailleurs manuels (surtout maçons, électriciens, menuisiers), suivis par les chauffeurs routiers et les techniciens. Cette enquête rejoint celle du BMO 2007 (besoins en main d'oeuvre) où la proportion des recrutements jugés difficiles s'établit à 46% en 2007, en hausse de 1,8 point par rapport à 2006. L'analyse est conforme à celle faite par Manpower : pour certains métiers qualifiés du bâtiment (maçons, plombiers, plâtriers), cette proportion reste toujours aussi élevée. Les résultats publiés par Manpower confirment également l'inadéquation entre les profils recherchés par les employeurs et les qualifications effectives des candidats. Ils relativisent par ailleurs les annonces alarmistes de « pénurie » sur certains profils d'ingénieurs, même si des tensions existent sur un marché des SI en pleine expansion et dans lequel les bons candidats sont en poste. De plus, ils posent de façon aigüe la question de la qualification, du rapport entre les études en France et le débouché professionnel réel. Enfin, cette étude montre l'état des professions dites à fort potentiel intellectuel, leur avenir dans un monde mondialisé et, corrélée à cette mondialisation, leur répartition géographique. Il y aurait suffisamment de chercheurs en R&D en France, mais pas assez en Asie En guise de comparaison, ce sont les ingénieurs qui sont les plus « pénuriques » en Inde (suivis d'« IT staff » et techniciens). Plus proche de la France, « IT Staff » arrive au troisième rang des métiers pour lesquels les entrepreneurs allemands peinent le plus à recruter, et au cinquième en Irlande (les ingénieurs occupant la deuxième position des métiers les plus recherchés). Quant aux chercheurs, les entreprises n'ont aucune peine à les recruter en France puisqu'ils n'apparaissent même pas dans le Top 10. Peut-être les chercheurs français au chômage devraient-ils se tourner vers l'Asie (!) : à Taiwan et en Chine, la difficulté de recruter dans la R&D arrive respectivement en troisième et septième position. (...)

(12/04/2007 17:19:51)

Sage renforce ses solutions métier en rachetant Pro-Concept

L'éditeur britannique Sage, spécialiste des applications de gestion (comptabilité, gestion commerciale, progiciel de gestion intégré, solutions métiers), et familier des opérations de croissance externe, vient d'annoncer le rachat du Suisse Pro-Concept SA, éditeur d'une solution de gestion verticale pour les activités de mécanique de précision. Pro-Concept réalise un chiffre d'affaires de 14 millions d'euros avec 150 salariés. Son offre vise les moyennes et les grandes entreprises. L'éditeur compte 400 clients, principalement en Suisse romande. Ce rachat n'aura pas d'impact sur l'activité française de Sage puisque c'est la filiale Suisse du groupe britannique qui va gérer ce nouvel entrant. A noter que Pro-Concept dispose tout de même en France d'une filiale d'une vingtaine de personnes (principalement centrée sur la R&D) et d'une dizaine de clients. L'éditeur possède également une filiale et une vingtaine de clients en Chine. Par cette acquisition, Sage poursuit le renforcement de ses solutions métiers. L'application de gestion développée par Pro-Concept s'adresse à des secteurs tels que l'horlogerie, la microélectronique et plus généralement, la production et l'assemblage industriel. En France, Sage a également renforcé sensiblement son catalogue de solutions métiers au cours des dernières années, notamment avec des acquisitions comme Elit Group, en juillet 2006, un éditeur spécialisé dans les progiciels de gestion pour les métiers du transport, de la logistique et de l'agroalimentaire frais. En septembre 2005, Sage avait déjà acquis Cogestib et ses solutions de gestion destinées à la distribution automobile. (...)

(12/04/2007 17:05:11)

IBM veut promouvoir les réseaux électriques intelligents

IBM s'associe avec CenterPoint Energy, un distributeur de gaz et d'électricité basé au Texas, pour accélérer l'adoption de l'Intelligent Utility Network (IUN). Chaque consommateur d'électricité définit une enveloppe budgétaire à ne pas dépasser, le système ajuste alors la consommation en temps réel, en fonction de la production et de la fluctuation des prix, les deux étant liées aux Etats-Unis. L'intérêt des producteurs d'électricité est d'approvisionner ainsi l'ensemble des clients tout en réalisant des économies d'énergie de l'ordre de 25%. L'industrie électrique a en effet toujours en mémoire le fameux black-out qui a privé de courant une partie des foyers américains pendant l'été 2003, alors que les systèmes de climatisation tournaient à plein régime. Le système qui nécessite l'installation de compteurs/régulateurs chez les clients et d'un équipement sophistiqué chez les producteurs, convient aussi pour l'alimentation en gaz. Il permet également de rétablir le réseau en cas d'incident. CenterPoint Energy va dépenser 750 M$ dans les cinq prochaines années pour ce projet. Les deux partenaires espèrent associer à leurs travaux d'autres entreprises américaines, asiatiques et même européennes. L'alliance entre les deux sociétés n'est pas une nouveauté puisque Big Blue avait signé en juillet 2005 avec CenterPoint Energy un accord de partenariat pour distribuer des services à haut débit dans certains foyers de Houston à travers le réseau électrique. Les 2 entreprises font également partie du comité P1901 de l'IEEE chargé de définir un standard pour le CPL. (...)

(12/04/2007 15:42:17)

Premier anniversaire du .eu : les Français ont boudé le nom de domaine

Un an après l'ouverture des enregistrements par l'Eurid, les noms de domaine en .eu s'arrogent la troisième position des TLD (top level domain) en Europe. Un succès inégalement partagé entre les pays du Vieux continent, la France se montrant par exemple peu enthousiasmée par les .eu. En un an, 2,574 millions de .eu ont été enregistrés, selon Martin Selmayr, un porte-parole de la Commission européenne. Un chiffre qui place le TLD en troisième position des noms de domaines du continent, derrière le .de (près de 10 millions) et le .uk (environ 5 millions). Au niveau mondial, « nous sommes proches des .info et déjà à la moitié des .org », précise Martin Selmayr. A titre de comparaison, environ 50 millions de .com sont enregistrés. En ce qui concerne les pays qui ont choisi d'adopter le .eu, c'est l'Allemagne qui s'arroge la première place avec 31% des enregistrements (soit 769 000). Suivent le Royaume-Uni et les Pays-Bas avec respectivement 17% et 12% des .eu. La France n'arrive qu'en quatrième position, à égalité avec l'Italie, et ne compte que 5% des .eu déposés depuis un an. Ce faible succès hexagonal pourrait s'expliquer par l'ouverture du .fr aux particuliers en quelques semaines seulement après celle du .eu. Face à cette concomitance, les Français semblent avoir préféré se tourner vers l'extension nationale plutôt que vers le TLD européen. (...)

(12/04/2007 15:34:26)

Microsoft au prise avec trois failles dans Office 2007

Deux jours après avoir publié son sacro-saint "Patch Tuesday", Microsoft a été alerté par un panel d'experts en sécurité de trois bogues dans Word 2007. Percés au grand jour par Mati Aharoni, d'Offensive Security, les trois bogues ont également été publiés sur les listes de diffusion de Milw0rm et Securityvulns.com. Aharoni a également posté, en guise de preuves de faisabilité (proof of concept), des documents Word mal-formés. L'éditeur de Redmond, qui confirme enquêter sur le sujet, déclare dans un communiqué qu'aucun des trois "bulletins" soulevés par les experts ne démontrait des failles dans Word 2007, ou dans quelque produit Office que ce soit". Joint par email par nos confrères de Computerworld (groupe IDG), un porte-parole de Microsoft indiquait qu'aucun exploit utilisant les failles rapportées ne lui avait été communiqué, ou avait eu un impact sur ses clients pour le moment. Deux des trois failles dévoilées au grand jour autoriseraient, si exploitées, la montée en charge du processeur, propice à une attaque par déni de service. La troisième permettrait, quant à elle, la prise de contrôle à distance. Mardi 10 avril, Microsoft publiait sept rustines dans sa fournée mensuelle "Patch tuesday". (...)

(12/04/2007 13:04:30)

IBM facture le System i au nombre d'utilisateurs

IBM veut donner un coup de jeune au System i, autrement dit le vénérable AS/400, en proposant un prix d'entrée à moins de 8 000 €, avec une facturation en fonction du nombre d'utilisateurs. On connaît les immenses vertus du System i : un serveur vendu complet, avec en particulier sa base de données dB2 intégrée, sa capacité à supporter plusieurs systèmes d'exploitation et surtout son incroyable fiabilité. Si l'on ne parle - presque - jamais du System i, c'est qu'il n'y a rien à dire : il tourne comme une horloge et exige un minimum d'administration. Bref, une machine idéale pour les PME. Et, malgré son âge (le premier AS/400 a été lancé il y a dix-neuf ans), il reste un serveur moderne. Il disposait par exemple d'un système de virtualisation, bien avant que le monde Wintel n'en découvre les vertus. Aujourd'hui donc, avec le System i 515 Express, IBM propose un modèle à 7 895 € hors taxes, dans une configuration d'entrée de gamme mais utilisable (un gigaoctet de mémoire vive, deux disques durs de 70 gigaoctets), avec une licence pour cinq utilisateurs. Le processeur est quant à lui un excellent Power5+ à 1,9 Ghz. Le moteur de virtualisation, optionnel, est facturé environ 500 €. Jusqu'à présent, le modèle le moins cher, le i520 Express, était vendu 11 500 € (avec deux disques de 35 gigaoctets seulement, mais avec un système de sauvegarde sur bande), pour des performances inférieures (600 CPW, l'unité de mesure d'IBM pour calculer la « charge de travail commerciale », contre 3800 sur le i515). Bref, IBM propose au meilleur prix une machine performante. Et espère que, la satisfaction de l'entreprise utilisatrice aidant, il pourra ensuite vendre des extensions de licence : 1 300 € pour cinq utilisateurs supplémentaires. « Si l'entreprise cliente a une augmentation de ses besoins, il lui suffit d'acquérir des extensions de licence et, éventuellement, d'augmenter les capacités du System i, par l'ajout de mémoire et d'un deuxième processeur, argumente Thomas Stoltz, directeur System i. Le System i supportera sans difficulté l'augmentation de la charge. Les coûts d'administration, eux, ne bougent pas. Dans d'autres solutions, on vous proposera d'acheter de nouveaux serveurs. Mais la multiplication des serveurs augmente la complexité, et donc le coût de l'administration ». Le System i515 supporte jusqu'à 40 utilisateurs. Ensuite, le i525, autre nouveauté, prend le relais, avec un système de facturation analogue. (...)

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