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(11/04/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Jean-Pierre Corniou Président d'EDS Consulting Services France.

Propos recueillis par Philippe ROSE, Rédacteur en chef de CIO (...)

(10/04/2007 18:21:35)

Marvell licencie la technologie 10 Gbit Ethernet de Sun

Sun Microsystems vient d'accorder à Marvell, une licence pour l'exploitation de sa technologie réseau Ethernet 10 Gigabit (10 GbitsE Networking Technology) basée sur les processeurs UltraSPARC. Annoncée en février dernier, cette technologie, plus connue sous le nom de Neptune, est destinée à optimiser les performances des applications en dopant le débit des entrées/sorties dans les environnements utilisant des threads parallèles. En offrant un environnement CMT (Chip Multithreading Environment) haute performance complet sur l'ensemble de la pile de réseau (depuis le système d'exploitation Solaris jusqu'aux câbles), Sun entendait ainsi répondre aux besoins de services comme le datawarehousing, la reprise après incident ou encore la virtualisation. La technologie accélère également les performances des systèmes x64 tournant sous Linux ou Windows, la tendance du marché des serveurs étant de doubler le nombre de coeurs de processeur par socket. Marvell va également fournir Sun en équipements basés sur la nouvelle technologie. Les deux fabricants envisagent ensuite de développer ensemble des produits multithreads grimpant jusqu'à 40, voire 100 Gigabit/s. Cet accord est le premier signé depuis le retour dans le giron le 27 mars du constructeur du Scalable Systems Group, le département microprocesseurs de Sun, à l'origine de la technologie SPARC. Ce dernier avait joui d'une certaine indépendance sous la houlette de David Yen, un des architectes des processeurs UltraSPARC. Il vient d'ailleurs d'être nommé vice président de Sun Microelectronics, nouvelle version. D'autres accords de licence avec d'autres fabricants pourraient être signés d'ici peu. (...)

(10/04/2007 18:02:40)

La Linux Standard Base automatise les tests pour toutes les distributions

Il n'y a pas un mais des Linux. Un vrai casse-tête pour la certification des applications, du moins jusqu'à aujourd'hui : la Linux Standard Base (LSB) se préoccupe désormais d'automatiser les tests pour toutes les distributions. C'est le Free Standard Group qui a lancé en 2001 la Linux Standard Base, un ensemble de règles à suivre (quelles bibliothèques utiliser, comment organiser les fichiers, la gestion de l'impression et des différentes extensions, etc.) afin de s'assurer que toutes les distributions Linux resteraient compatibles entre elles. Dans cette mise à jour de la LSB, la Linux Foundation, consortium issu du Free Standard Group et de l'Open Source Development Labs, a inclus des outils de tests automatiques : le LSB Distribution Toolkit. Une version 'light' pour les développeurs indépendants Le but est de permettre aux développeurs de créer des applications pour Linux et de les certifier en une fois pour toutes les distributions qui suivent la LSB (Red Hat, Suse, Debian, Ubuntu, Mandriva, Xandros, etc.), au lieu de passer le test pour chaque distribution une à une. « Pour qu'un standard soit efficace, il doit avoir une infrastructure de test puissante et utilisable », explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. Ces outils ne sont qu'une première étape d'un projet plus important visant à offrir aux développeurs une infrastructure de test et de développement en ligne. La Linux Foundation propose également une version moins lourde, dite LSB Application Testkit, pour permettre aux développeurs indépendants de vérifier si leur application est compatible avec les standards LSB. A charge pour eux par la suite d'entrer dans l'ensemble du processus de certification. (...)

(10/04/2007 17:33:54)

Debian libère enfin la version 4 de sa distribution Linux

Après 21 mois d'une feuille de route chaotique, la très attendue version 4 de Debian, nom de code Etch, voit enfin le jour. La distribution Linux devait initialement éclore le 4 décembre 2006. La sortie d'Etch avait été notamment retardée par le projet de collecte Dunc-tank. Inaugurée le 19 septembre 2006, cette initiative visait à rassembler des fonds sous forme de dons pour accélérer les développements d'Etch. Mais avait été, dans un premier temps, décriée par la communauté, puis identifiée comme l'une des causes du retard de la sortie d'Etch. A l'époque, Julien Blache, président de l'association Debian France, rappelait la part de responsabilité de Dunc-tank dans le décalage d'Etch, mais reconnaissait également que ce dernier était lié à des problèmes techniques. "Nous avons environ 140 bugs à fixer dans Etch à l'heure actuelle, dont une partie est déjà corrigée et en attente de migration. Il nous faut encore une nouvelle version de l'installeur" avait-il déclaré à la rédaction. Outre un support de onze architectures et un moteur graphique Gnome mis à jour, Etch embarque également Iceweasel et Icedove, des versions respectives de Firefox et Thunderbird, mais dépourvues de la marque Mozilla. Debian considère en effet que la politique de marque de Mozilla autour des logos, notamment de ces deux produits, n'est pas en adéquation avec le contrat Debian. Rappelons également que la distribution Debian sert de socle à d'autres Linux, tel que Ubuntu, dont la version serveur est supportée par Sun sur ses serveurs Sun Fire T1000 et T2000 - et prochainement UltraSparc T1. Ian Murdock , fondateur de Debian, a par ailleurs été recruté par le constructeur en mars dernier. (...)

(10/04/2007 17:33:01)

TomorrowNow, peu bavard sur les accusations d'Oracle

Deux semaines après l'offensive juridique d'Oracle contre SAP, TomorrowNow, filiale de SAP au coeur de la polémique, a décidé de commenter l'affaire dans un très succinct, et plutôt vide, communiqué de presse. La filiale de l'Allemand réaffirme ce que SAP, sa maison-mère, a déclaré : nous allons nous défendre agressivement. "Nous sommes toujours en train d'analyser les faits et à moins que nous ayons la possibilité de mieux comprendre les allégations [d'Oracle, ndlr], il se serait pas prudent de commenter le litige en instance, autrement qu'en précisant à nos clients, nos prospects, nos investisseurs, nos employés et nos partenaires que SAP se défendra agressivement contre les attaques d'Oracle." Le 22 mars, Oracle déposait une plainte contre SAP et sa filiale TomorrowNow, les accusant d'avoir volé des données depuis le système de support client d'Oracle. Parmi les larcins constatés par Oracle, un au moins était dirigé depuis la société TomorrowNow. (...)

(10/04/2007 17:18:13)

Salesforce.com fait son entrée dans la gestion de contenus

Salesforce.com, l'éditeur d'applications en ligne de GRC (gestion de la relation client), s'introduit sur le marché de la gestion de contenu en proposant sur sa plate-forme et sous sa bannière les applications qu'il a acquises avec le rachat de Koral Inc, une start-up de neuf personnes. La transaction s'est opérée le mois dernier. « A partir d'aujourd'hui, nous sommes un acteur de la gestion de contenus », a déclaré Bruce Francis, vice-président de Salesforce. Sous le nom de Salesforce Content, l'éditeur va proposer à ses utilisateurs, d'une part Salesforce ContentExchange, un service Web 2.0 pour gérer les contenus d'entreprise (informations structurées et non structurées) et, d'autre part, Apex Content, une extension à sa plate-forme de développement. Cette extension permettra aux éditeurs indépendants qui conçoivent des logiciels complémentaires à Salesforce d'ajouter à leurs applications des fonctions de gestion de contenus. Salesforce ContentExchange permet de stocker des informations en ligne, de partager des documents avec des collègues, des partenaires ou des clients, d'effectuer des recherches sur les contenus et d'organiser la mise à jour de ces informations (par synchronisation des données). Il est possible d'attribuer des mots-clés à certains contenus, d'y ajouter des commentaires, de s'abonner à des documents, thèmes ou auteurs. Un nouveau débouché pour les éditeurs dans la gestion de contenu Pour Bruce Francis, le logiciel a été conçu pour rendre la recherche d'informations plus aisée et plus rapide qu'avec les produits concurrents. Il cite notamment ceux d'EMC Documentum ou encore le portail SharePoint de Microsoft. « Dans Salesforce, on ajoutera un mot-clé à un document aussi simplement qu'on le fait sur des images dans Flickr ou des vidéos sur YouTube. » Le prix et la disponibilité de ContentExchange et Apex Exchange n'ont pas encore été communiqués. Pour Rob Bois, analyste du cabinet d'études AMR Research, l'entrée de Salesforce sur le terrain de la gestion de documents pourrait amener des éditeurs ayant recours à un mode de distribution traditionnel à s'intéresser d'un peu plus près au modèle SaaS (software as a service), par exemple pour toucher de nouvelles populations d'utilisateurs. Rappelons que Salesforce.com est l'un des leaders du marché SaaS. Il héberge lui-même ses applications de GRC (gestion des contacts et des opportunités commerciales, automatisation des actions de marketing et gestion du service au client) et propose à ses clients de les exploiter en ligne, sur la base d'un abonnement mensuel. Autour de son offre s'est constituée une communauté de développeurs qui bâtissent des fonctions complémentaires à exploiter sur la plateforme Salesforce.com. (...)

(10/04/2007 16:37:17)

Présidentielle : seules deux candidates prennent position sur l'enseignement et les TIC

L'association Enseignement public et informatique (EPI) n'a rencontré qu'un maigre succès avec sa lettre ouverte aux candidats à la présidence de la République. L'EPI demandait aux prétendants à la magistrature suprême leurs positions sur trois questions : l'introduction de l'enseignement d'une discipline directement liée à l'informatique, la formation des enseignants aux TIC et l'augmentation des effectifs, ainsi que la place des logiciels libres à l'école. Sur les douze candidats à l'Elysée, seules Marie-Georges Buffet et Ségolène Royal ont manifesté leur intérêt pour l'enseignement de l'informatique en répondant à l'EPI. Et si les deux postulantes se disent, naturellement, préoccupées par les questions qui leur sont soumises, force est de reconnaître que les réponses qu'elles apportent diffèrent. Là où Marie-Georges Buffet se fend de propositions concrètes, la candidate socialiste se contente de quelques généralités. Marie-Georges Buffet préconise des clés USB embarquant un espace de travail Pour la représentante de la gauche antilibérale « l'informatique et les technologies de l'information et de la communication [doivent être] traitées comme les mathématiques et le français, c'est à dire enseignées pour elles-mêmes ». Cela doit au préalable passer par un « plan de formation d'urgence des enseignants et des élèves » et par le recrutement de 150 000 profs et 45 000 personnels d'accompagnements sur cinq ans. En ce qui concerne les contenus pédagogiques, Marie-Georges Buffet préconise le pluralisme des sources et prévoit de doter chaque élève d'un ordinateur et d'une clé USB embarquant son espace de travail, le tout sous licences libres. Un équipement censé être financé par le transfert de budget des licences propriétaires. De son côté, Ségolène Royal ne s'embarrasse pas de mesures concrètes, se contentant d'indiquer « qu'il faut encourager l'introduction à l'école de logiciels libres », tout en précisant cependant « pour autant que leur valeur pédagogique aura été reconnue ». Sur la création d'une discipline entièrement consacrée aux TIC, la candidate socialiste se fend d'un laconique « l'idée mérite d'être étudiée » et rappelle qu'elle n'envisage pas d'imposer une nouvelle réforme des programmes. Enfin, elle se déclare « favorable au développement de toutes les formations destinées aux enseignants dans ce domaine », sans rentrer davantage dans les détails. (...)

(10/04/2007 16:33:35)

Microsoft planifie l'arrêt de FoxPro malgré la pétition

Même si son support devrait continuer jusqu'en 2015, FoxPro devrait voir son évolution stopper dès cette année. La base de données de Microsoft bénéficiera d'une dernière mise à jour cet été, un Service Pack 2 pour Visual FoxPro 9, Microsoft jugeant les investissements disproportionnés par rapport à ce que rapporte le produit (sachant qu'une licence de FoxPro permet aux développeurs de l'intégrer dans un nombre illimité de logiciels). Après l'annonce de l'arrêt des développements le mois dernier, une pétition a débuté, sous forme d'un Wiki initié par deux développeurs espagnols, et a recueilli plus de 2400 signatures. Beaucoup de développeurs aiment en effet la simplicité de cette base. Jay Roxe, qui dirige les développements de Visual Studio, explique que « pour que Microsoft continue à faire évoluer FoxPro, nous devrions créer un environnement de développement 64 bit, ce qui impliquerait une réécriture quasi-complète du coeur du produit ». Du coup, FoxPro pourrait bien être donné à la communauté, sur CodePlex, le site d'hébergement de projets Open Source de Microsoft. Pour mémoire, FoxPro a été créé en 1984 par l'éditeur Fox Software, qui voulait concurrencer dBase II. Il avait été racheté par Microsoft en 1992, l'éditeur cherchant à s'implanter rapidement sur le marché des bases de données. La première version graphique, FoxPro 3.0, date de 1995. (...)

(10/04/2007 15:52:08)

Google et l'AFP enterrent la hache de guerre sur les droits d'auteur

Google et l'Agence France Presse ont signé un accord mettant un terme à deux ans de procédures judiciaires. Une entente qui autorise désormais le moteur de recherche à publier sur Google News les actualités ainsi que les photos de l'AFP. Les détails financiers n'ont pas été communiqués. En mars 2005, l'AFP entamait, en France et aux Etats-Unis, des poursuites contre Google pour violation de copyright, pour avoir publié sans autorisation du contenu estampillé AFP sur son outil de recherche d'actualités, Google News (Google Actualités, en français). Dans un communiqué, l'AFP explique que l'accord porte sur la signature d'une licence entre les deux parties. En d'autres termes, Google devra désormais payer les contenus fournis par l'AFP. Ce que le moteur de recherche avait refusé de faire une première fois. L'AFP s'engage par ailleurs à retirer sa plainte. AFP rappelle également qu'elle licencie ses contenus auprès d'AOL, Yahoo et MSN. En août 2006, Google a conclu un même type d'accord avec l'Associated Press, autre agence de presse mondiale. (...)

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