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(10/04/2007 15:41:00)
Des cursus pour le DIF orientés SOA
Le DIF (droit individuel à la formation) se décline pour les architectures orientées services (SOA), chez Softeam. La SSII, spécialisée dans les technologies objets et les nouvelles architectures logicielles, propose également de nombreuses formations (notamment en UML, Java/J2EE, .Net) dans ses centres de Paris, Nantes, Rennes et Sophia-Antipolis. Souhaitant répondre à la réglementation sur le DIF pour ses propres collaborateurs, Softeam a élaboré des cursus orientés SOA et frameworks J2EE. Elle les propose désormais en intra-entreprise ou dans ses centres. Selon François Salaun, président de Softeam, « les entreprises sont à la recherche de formations qui permettent aux ingénieurs de travailler en cycle court. Nous avons choisi des solutions pro-actives. Le DIF offre cette possibilité de former en permanence les informaticiens. Nos cursus correspondent à des besoins identifiés, très demandés ». D'où la mise en place de cycles courts de deux jours : méthodologie pour SOA (formation généraliste présentant les fondamentaux de la démarche SOA et les bonnes pratiques à mettre en ?uvre) et architecture SOA (acquisition des connaissances indispensables pour établir une stratégie de mise en place de SOA en entreprise et son impact sur les infrastructures existantes). Softeam propose également des framewoks J2EE avec une journée par framework : Struts, Spring, JSF (interface homme-machine) et Hibernate (base de données). Les formateurs sont des consultants qui ont la connaissance du terrain et Softeam, qui voudrait également continuer à recruter « entre 8 et 10 collaborateurs par mois sur un an », planche sur un cursus DIF autour de l'UML, « qui existe en formation normale en 4 ou 5 jours, mais qui sera synthétisé en 2 jours ». (...)
(10/04/2007 15:39:53)A la Sorbonne, des économistes s'interrogent sur « la révolution du Web 2.0 »
« L'économie française face à la révolution du Web 2.0 » était le thème choisi par l'Andese (Association nationale des docteurs es sciences économiques et en sciences de gestion) ce 4 avril, pour débattre, à la Sorbonne, d'un phénomène véritablement pris en compte par les entreprises et le secteur public. Et même si les analyses divergent quant au futur, deux idées ont fait l'unanimité : le Web 2.0 est une prise de pouvoir de l'utilisateur et il est urgent de renforcer les investissements français pour ne pas prendre davantage de retard par rapport aux autres puissances. Où sont les nouveaux modèles économiques ? Qui seront les leaders de demain ? Comment l'industrie informatique va-t elle relever ses nouveaux défis ? Comment les pouvoirs publics peuvent-ils réagir ? Quels nouveaux usages vont émerger ? Comment saisir les nouvelles opportunités ? Quels sont les impacts sur les métiers, la recherche et l'éducation ? Ce sont autant de thèmes soulevés par la question du Web 2.0, qui a vu se succéder dans le temple de l'académie que représente la Sorbonne, un intéressant panel de personnalités du monde public et privé, experts ou chefs d'entreprises, visiblement conscients d'une réalité rappelée par les chiffres de l'OCDE : sur 2 964 Md$ représentés par les dépenses en TIC en 2005 (source : perspectives des technologies de l'information, édition 2006), la France ne compte que pour 135 Md$. Derrière le Royaume-Uni (162 Md$), l'Allemagne (170 Md$) ou encore le Japon (342 Md$) ou les Etats-Unis (1 185 Md$). S'il paraît acquis que les entreprises du monde entier sont de plus en plus en concurrence sur le marché mondial des services, l'innovation a été le mot le plus employé pour souligner la nécessité de se positionner efficacement sur un marché en pleine expansion. Les modèles classiques remis en cause Les intervenants ont toutefois fait part de leurs difficultés à quantifier les investissements réels dans le secteur par des méthodes de calcul reconnues, même si la relation entre l'investissement informatique et la croissance économique ne fait, pour eux, aucun doute. Si la bonne volonté semble bien présente, cela ne suffit pas : la faiblesse des investissements dans les entreprises et dans la R&D a été largement dénoncée, l'un des intervenants indiquant « qu'en France, on préfère peut-être le béton et le bâtiment ! » L'assemblée s'est également interrogée sur cette révolution amenée par le Web 2.0. Selon les témoignages de chefs d'entreprises qui développent des nouveaux modèles, cela ouvre un nouveau champ économique : le vecteur Web abolit les classiques « B2B » ou « B2C » (des entreprises aux consommateurs professionnels ou grand public) pour voir triompher le « C2C » ou le « C2B » (le consommateur prenant la place du vendeur, à l'instar des sites de ventes de particulier à particulier). Il pose, entre autres, la question du devenir des vendeurs, des grandes surfaces-dépôts, des journalistes face aux créateurs de contenus et même... des informaticiens, chacun adaptant l'outil 2.0 à son propre modèle. Autre thème abordé : « les legacy » ou usages anciens qui permettraient à de grosses entreprises de conserver à court terme leur prépondérance, pourraient, selon Louis Naugès de Microcost, vivre dans un deuxième temps « un véritable tsunami ». Certes, cette mutation absolue n'est pas pour demain, mais peut-être pour après-demain. Qui peut dire jusqu'où ira cette « prise de pouvoir des utilisateurs » comme l'ont répété à l'envi les acteurs du colloque, pour quels usages et pour quelle économie ? Si la bulle précédente a été évoquée, aucun élément tangible ne semble montrer un rapport entre 2007 et 2000. Côté entreprises enfin, les plus en phase avec le Web 2.0 ont admis qu'elles s'adaptaient en permanence, n'extrapolant pas à plus de quelques semaines et avouant un autre business model : celui de l'écoute des nouveaux usages afin d'« accompagner ce marché de la demande ». (...)
(10/04/2007 15:05:41)Dadvsi : l'autorité de régulation des mesures techniques voit le jour
C'était au Journal Officiel du 6 avril : l'Autorité de régulation des mesures techniques (ARMT) est officiellement créée. L'institution est une conséquence directe de l'adoption de la loi Dadvsi (droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information), en juillet 2006, et participera à l'applicabilité de la loi, tant décriée au moment de sa discussion. L'une des principales missions de l'ARMT s'attachera à la copie privée. Le texte législatif avait fait grincer des dents en ne prévoyant pas de nombre minimum de copies autorisées par les mesures techniques de protection (MTP). L'autorité sera chargée de combler ce vide en fixant l'étendue et les limites du droit à la copie privée et, de façon plus générale, en en définissant les exceptions. Autre secteur d'intervention de l'ARMT : l'interopérabilité des MTP. L'autorité veillera à sa mise en oeuvre et pourra prononcer des injonctions aux éditeurs ou constructeurs pour les favoriser. En cas de non respect, elle sera en mesure de décider de sanctions pécuniaires à l'encontre des récalcitrants. Enfin, les consommateurs et les associations disposeront d'un droit de saisine dont les modalités restent encore peu claires. L'ARMT se compose de six membres, nommés pour six ans : Tristan d'Albis (président de la Commission de rémunération pour la copie privée), Christian Saguez (président de la Commission des technologies de l'information et de la communication de l'Académie des technologies), Patrick Bouquet (Cour des comptes), Jean Musitelli (conseiller d'Etat), Marie-Françoise Marais (Cour de cassation) et Pierre Sirinelli ( Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique). (...)
(10/04/2007 13:20:30)Restructuration en vue chez AMD
La guerre des prix a fait une victime : AMD. Le numéro deux du processeur estime réaliser 1,225 Md$ de chiffre d'affaires pour son premier trimestre fiscal 2007, bien en dessous du 1,7 Md$ attendu par les analystes financiers, et en net recul par rapport au 1,33 Md$ réalisé à la même période l'année passée. Ces mauvais résultats sont dus aux méventes de son processeur Opteron, qui souffre depuis novembre de la concurrence du Xeon « Woodcrest » d'Intel. Dans un communiqué publié lundi dernier, AMD a annoncé son intention de se restructurer. Le but est de diminuer ses dépenses pour 2007 de 500 M$, en limitant notamment les embauches qui ne seront réservées qu'aux postes critiques. La société présentera son plan de restructuration la semaine prochaine lors de l'annonce officielle de ses résultats. (...)
(10/04/2007 13:14:56)Philips se retire complètement de la téléphonie mobile
Philips vient d'annoncer la cession totale de ses activités dans la téléphonie mobile au Chinois CEC (China Electronics Corporation). Cette opération - qui avait fait l'objet d'une lettre d'intention en octobre 2006 - vient de recevoir l'aval du gouvernement chinois, par ailleurs actionnaire principal de CEC. Le montant de la cession n'a pas été dévoilé. Philips a toutefois précisé que la branche téléphonie mobile avait généré un CA de 55 M€ au premier trimestre 2007, contre 100 M€ au premier trimestre 2006. Selon les termes de l'accord, CEC pourra utiliser la marque Philips pendant 5 ans. La société fournissait Philips en téléphones portables depuis 2002. Les deux entreprises avaient d'ailleurs créé Shenzhen Sanfei Consumer Communications, une coentreprise qui avait notamment hérité des activités R&D du Néerlandais, jusqu'alors basées au Mans. CEC occupe une position prédominante sur le marché chinois des microprocesseurs. Il compte parmi ses clients des entreprises comme Microsoft, IBM ou NEC. (...)
(10/04/2007 11:29:30)Alcatel-Lucent décroche un contrat UMTS majeur avec SFR
Alcatel-Lucent vient de signer un contrat avec SFR pour lui fournir des équipements UMTS, en France. L'équipementier déploiera des solutions UMTS/HSPA dès le mois de septembre prochain. Il s'agit du premier contrat en Europe de l'Ouest pour le Franco-américain, depuis l'acquisition des activités 3G de Nortel, en janvier 2007. «Ce contrat renforce la position de premier plan d'Alcatel-Lucent au niveau mondial dans le haut débit mobile, position acquise notamment grâce à l'acquisition des activités 3G/UMTS de Nortel», a déclaré Olivier Picard, président de la région Europe du Sud d'Alcatel-Lucent. Selon le quotidien Les Echos, Alcatel-Lucent aurait remporté ce contrat au terme d'une compétition très forte avec le chinois Huawei. L'équipementier devient ainsi le deuxième fournisseur de SFR derrière Nokia-Siemens Networks. Par ailleurs, SFR et Alcatel-Lucent ont conclu un partenariat technologique selon lequel l'opérateur de téléphonie mobile bénéficiera d'un accès privilégié au centre de compétences mondial 3G de l'équipementier. (...)
(10/04/2007 11:29:00)BEA revendra Amberpoint pour la gouvernance SOA
Le module de gouvernance de la plateforme SOA de BEA, Aqualogic, sera signé Amberpoint. Les deux éditeurs ont conclu un accord de revente permettant à BEA de distribuer Amberpoint SOA Management System sous le nom Aqualogic SOA Management. Même si les fonctions liées à la gouvernance ne sont pas indispensables pour mettre en place des architectures orientées services (SOA), elles deviennent nécessaires lorsque le système croît, afin de ne pas retomber dans le chaos - 'l'architecture spaghetti' - où il ne faut surtout toucher à rien de peur que tout l'édifice s'écroule. La technologie Amberpoint fournit des outils de découverte des services, de vérification des interdépendances, de suivi du niveau de service ou encore de gestion des règles. « Cela ajoute la visibilité et le contrôle nécessaires pour superviser et agir sur ce qui se passe dans un environnement SOA », explique Paul Patrick, architecte en chef pour Aqualogic. Amberpoint avait déjà plusieurs accords avec des éditeurs, dont un accord de revente avec iWay. Anne Thomas Manes, analyste et vice-présidente de Burton Group, fait en effet remarquer que « Amberpoint est le leader dans ce domaine pour une bonne raison : c'est un produit de très haute qualité. » Amberpoint avait été fondé par des anciens de Forté, peu après le rachat de ce dernier par Sun. A lire sur le même sujet : - iWay complète sa suite SOA avec Amberpoint - Seize éditeurs adhèrent à SOA Link (...)
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