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(29/03/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Robert Raiola, Directeur marketing EMEA Adobe France

Propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en chef, lemondeinformatique.fr (...)

(28/03/2007 18:01:12)

Dell se lance dans le data center sur mesure

Dell ne se contente plus de vendre des serveurs. Le fabricant texan veut aller plus loin dans son offre de « sur-mesure » informatique, en créant une division dédiée aux salles de serveurs, baptisée Data Center Solutions. Elle devra fournir aux clients une solution « clé-en-main » pour leur salle de serveurs : conception de l'infrastructure physique des salles (alimentation électrique, climatisation) ; fourniture du matériel informatique, y compris des serveurs « prototypes » adaptés aux besoins du client ; fourniture de composants customisés pour chaque client ; et même la mise à disposition du personnel approprié pour maintenir ces salles, si le service informatique du client n'est pas assez étoffé. Avec cette division, Dell vise la nouvelle cible marketing de l'informatique : les sociétés Web 2.0, c'est-à-dire, selon le communiqué de Dell, « des sociétés qui ont besoin d'une puissance de calcul sur une large échelle, et où le déploiement en infrastructure se mesure en millions de serveurs, d'équipements réseau et de stockage ». Forrest Norrod, directeur de la division Data Center Solutions de Dell, précise : « Nous visons des sociétés où les technologies de l'information sont au coeur de leur business. Celles-ci ont besoin de déployer 1000 serveurs par mois, et doivent gérer leur parc tout en gardant un oeil sur leur TCO [Total Cost of Ownership, coût total d'exploitation, NDLR] ». Pour l'instant, Dell propose déjà ce type de services à une douzaine de clients. (...)

(28/03/2007 17:46:42)

L'ODF Alliance fête son premier anniversaire et livre ses ambitions

Un an d'existence et l'heure du bilan a sonné pour l'ODF Alliance, consortium en charge de la promotion du format ouvert OpenDocument (ODF). Une année rythmée au son de la guerre des formats bureautiques, de la normalisation et enfin de l'adoption. Un point primordial sur lequel l'ODF Alliance doit encore progresser, affirment certains observateurs du marché. Car, si le consortium a multiplié les encouragements auprès des administrations mondiales pour la mise en place du format, les supporters de l'ODF ont encore beaucoup d'effort à fournir pour détrôner Microsoft Office et OpenXML au sein des entreprises. "ODF doit pénétrer le flux des entreprises et pas seulement celui des administrations", déclare Marino Marcich, directeur de l'Alliance, résumant ainsi son année à convaincre les DSI de basculer vers son format. Son groupe s'est focalisé sur l'adoption au sein des gouvernements et "nous allons persévérer en ce sens dans un futur immédiat". Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, il reconnaît enfin que l'adoption par le secteur privé reste "la clé du succès du standard et des suites qui le supportent". Il faut dire qu'au cours de cette première année, les administrations mondiales ont été séduites et ont recommandé ODF pour leur futur chaînage de document. Dans un communiqué, le consortium cite ainsi 7 gouvernements, dont la France, et de nombreux Etats fédéraux américains, comme le Massachusetts, le Texas ou la Californie. Bien que l'ODF Alliance ait été le principal promoteur de l'engouement pour ODF et les formats ouverts, la normalisation ISO - un des gros succès du consortium - a contribué à convaincre les administrations. A l'origine un standard Oasis, ODF est devenu une norme ISO en mai 2006. Donnant alors au format un coup d'avance sur Microsoft et OpenXML, actuellement en attente de ratification auprès du même organisme de normalisation. La deuxième année pour transformer recommandation en implémentation Reste à confirmer, déclare en substance Marino Marcich. Car il ne s'agit pour la plupart que de recommandations. "L'objectif premier de cette deuxième année sera d'encourager les administrations à transformer la mise en place de politiques autour d'ODF, en de véritables implémentations technologiques [...]. C'est une chose d'identifier un standard et de recommander son usage, mais adopter un format c'est autre chose que d'éteindre ou d'allumer la lumière. C'est un défi sur le long terme." Créé en mars 2006 sous l'impulsion notamment d'IBM, Oracle et Sun, l'ODF Alliance réunissait à l'époque quelque 36 membres. Le consortium en compte désormais 370 issus de 51 pays différents. (...)

(28/03/2007 17:44:50)

Gmail frappé d'indisponibilité partielle pendant une journée

Gmail, le service de messagerie email de Google, aurait hoqueté durant la journée du mardi 27 mars et enregistré des problèmes de disponibilité. Selon un porte-parole de la société, l'incident a été remonté le mardi matin et est resté actif jusqu'au mardi soir. Les versions gratuites et payantes de Gmail, également intégrées dans Google Apps, sont concernées. "Un nombre d'utilisateurs Gmail ont rencontré quelques difficultés à relever et envoyer des emails et nous travaillons aussi rapidement que nous le pouvons à résoudre le problème. Quelques comptes Google Apps sont également touchés", a-t-il confirmé dans un email à nos confrères d'IDG News Service. L'incident a été une première fois communiqué sur le forum Google Apps vers 10h (heure de la côte est des Etats-Unis). Un responsable Google qui poste des messages sous le nom Google Guide a alors transmis l'information aux services concernées vers 13h10. Il publiait à 16h un message indiquant que l'incident perdurait. Les problèmes semblaient réglés vers 23h35 pour certains utilisateurs, selon un message de Google Guide. (...)

(28/03/2007 17:46:58)

Les représentants de 15 000 géomaticiens inquiets du manque de formation continue

Après l'enquête métier présentée en 2006 qui dressait le portrait de groupe des métiers associés à la géomatique, cette année, dans le cadre du salon Géo-Evénement, les secondes assises de cette profession en plein essor se pencheront sur la problématique de la formation. D'un côté, la sphère très active des géomaticiens pur sucre, concepteurs d'outils ou d'usages de la donnée géographique, producteurs de données, chez les éditeurs ou dans des sociétés spécialisées. De l'autre, le tissu de plus en plus fourni des utilisateurs, géomaticiens en titre ou qui intègrent dans l'exercice de leur métier un usage plus ou moins sophistiqué des SIG. Au total, ils seraient environ 15 000, selon l'Afigeo, Association française pour l'information géographique. Parmi lesquels un bon quart d'informaticiens de formation. Depuis l'enquête métier 2003-2005 qui révélait, de plus, que 30% de ces professionnels s'étaient formés sur le tas à la géomatique, c'est-à-dire à la collecte et à l'utilisation rationnelle de la donnée géographique, la situation n'a guère évolué. Certes le métier est référencé à l'ANPE dans une fiche spécifique. Mais l'émiettement de ce créneau professionnel, marqué par la large diversité de formations initiales dont sont issus les métiers utilisateurs (géographes, topographes, cartographes, urbanistes-aménageurs, spécialistes marketing, voire informaticiens), ne permet pas de cerner une filière à part entière. Une filière qui serait identifiable, notamment, par les organismes collecteurs des fonds de financement de la formation (OPCA). « Nous continuons de souffrir d'une erreur d'optique bien française, qui assimile la géomatique à la production de données, du haut - de l'IGN - vers le bas, alors que la filière s'est considérablement étoffée, du bas - collecte et usage des données - vers le haut », considère Yves Riallant, secrétaire général de l'Afigeo. Un côté « flashy » Pire, selon lui, le côté « flashy » (avec Google Earth et Géoportail, notamment) et la banalisation de l'usage des SIG et autre attirail technologique, ont tendance à aggraver cet émiettement. « Sur les chantiers de BTP, on voit des jeunes techniciens supérieurs, recevant et transmettant des données par GPS. Si leur positionnement était valorisé, en tant que géomaticien, ils pourraient s'assurer une évolution de carrière en or », ajoute ce dernier. D'où l'enquête menée cette année auprès des professionnels concernés afin de mieux cerner leurs attentes des métiers quant aux possibilité de formation, de validation des acquis de l'expérience (VAE) et de gestion des compétences. Avec pour premier constat, la difficulté à faire reconnaître un besoin spécifique de formation continue, compte tenu de l'absence totale de coordination, entre les filières de formation initiale, les organismes de formation, les dispositifs de financement et les représentants des pouvoirs publics, dont la fonction publique territoriale, grande consommatrice de géomaticiens. Les assises du 3 avril seront l'occasion d'en débattre, autour des résultats détaillés de cette enquête. (...)

(28/03/2007 14:14:58)

Les DSI privilégient les relations clients dans le choix d'un opérateur

Dans son étude annuelle réalisée pour le compte de l'opérateur Vanco auprès de 219 DSI européens (dont 42 en France), ICM Research note une évolution des priorités en matière de réseaux chez ces derniers. Ainsi, la réduction des coûts n'est plus citée en tête que par 21% des DSI contre 28% en 2006. Figurent ensuite les solutions de sécurité réseau avec 13% de mentions (16% en 2006) et l'augmentation de la bande passante qui n'est plus souhaitée que par 10% de responsables (15% en 2006). La flexibilité, la disponibilité, la qualité de service ainsi que la gestion du réseau et de la relation client/partenaire figurent désormais parmi les raisons principales du choix d'un opérateur. « Il est intéressant de noter que de plus en plus de DSI européens commencent à accorder plus d'importance aux questions relationnelles », constate Michael Piddock, directeur marketing groupe de Vanco. Pour compléter le panel, ICM Research a également interrogé des responsables américains, australiens et asiatiques. Il en ressort qu'au niveau mondial, le facteur clé pour le choix de l'opérateur réseau reste le coût pour 74% des DSI (contre 76% en 2006). L'offre de service la plus large, avec 28% de citations, occupe pour la première fois la deuxième place de ce classement. La couverture géographique est toujours un facteur de choix important puisqu'elle est citée par 25% des DSI au niveau mondial (31% en 2006). Curieusement, la stabilité financière des fournisseurs ne préoccupe plus que 6% des personnes interrogées. Enfin, c'est en France, en Italie et en Australie que l'on constate le plus grand nombre d'entreprises désirant externaliser leur WAN. (...)

(28/03/2007 14:03:09)

Trophées entreprises et société de l'information : 7e édition

Les Trophées Entreprises et société de l'information, organisés par Le Monde Informatique et CIO (groupe IDG), en seront le mois prochain à leur septième édition. Au fil des ans, depuis 2001, les lauréats des Trophées entreprises et société de l'information ont tous connu un destin intéressant. Air-France, premier lauréat du Grand Prix, a réussi une formidable progression où la performance de son informatique a joué un rôle considérable. Service-Public.fr est devenu une référence incontournable des services en ligne. Et les exemples peuvent ainsi être multipliés. Les hommes n'ont pas été oubliés dans cette histoire : beaucoup ont connu une progression de carrière intéressante, à l'image de Cyril Garnier. Prenant le parti, dès le départ, d'associer le succès du service informatique à celui d'une direction métier voire de la direction générale, nous évitions « l'effet star » générateur de jalousies pour nous concentrer sur l'oeuvre, au sens des compagnons et des maîtres du Moyen-Age. Eh oui, les chefs d'oeuvre que nous avons mis en avant sont souvent superbes ! Quelles entreprises, associations et administrations auront-elles été jugées les meilleures cette année pour créer et partager l'innovation informatique ? Réponse le 5 avril. (...)

(28/03/2007 12:50:03)

Le Get, groupement des écoles télécom, membre fondateur de deux PRES

C'est signé. Et publié par décret. Depuis le 21 mars 2007, neuf PRES (pôle de recherche et d'enseignement supérieur) sont constitués sous le statut d'Etablissement public de coopération scientifique (EPCS). Et à l'égard des deux agrégats d'établissements intitulés ParisTech et Université européenne de Bretagne (UEB), le GET, groupement des écoles d'ingénieurs en télécommunications, s'est empressé de faire savoir qu'il est, par ses établissements (Télécom Paris, et ENST Bretagne), membre fondateur de ces pôles. Avec, notamment, un siège au conseil d'administration du pôle ParisTech, permettant « d'inscrire le GET dans une dynamique forte susceptible de porter à l'international l'image de la capitale dans l'enseignement supérieur et la recherche ». Le ton est également donné dans l'intitulé du pôle breton : européen ET régional. L'UEB se veut, en effet, porteur d'une stratégie qui positionne clairement la Bretagne parmi les régions de référence pour l'enseignement supérieur et la recherche high tech. Et, pour cela, le PRES breton regroupe les universités de Bretagne occidentale, de Bretagne Sud, de Rennes-1 et 2, l'Inra, l'Insa de Rennes, l'ENS Cachan (antenne de Bretagne), l'ENSC de Rennes, et le GET. De quoi contredire, par ailleurs, le constat de frustration d'une partie des états-majors d'écoles d'ingénieurs qui, selon une enquête de la CDEFI (conférence des directeurs d'écoles d'ingénieurs), se disent mal informés au sujet de la mise en place des PRES, inquiets (28% des 77 écoles ayant répondu à l'enquête), car non impliqués directement (15%), tenues à l'écart (9%) ou mal associés (8%). Une situation que Paul Jacquet, premier vice-président de la CDEFI, résume ainsi : "Les PRES ont tout simplement un effet détonateur là où les écoles et les universités s'ignorent depuis longtemps, et là où les universités ne s'accordent pas entre elles." (...)

(28/03/2007 12:31:33)

Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année

Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)

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