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(26/03/2007 15:57:45)

PMI-DIAG : un prédiagnostic stratégique du système d'information subventionné par l'Etat

Conçu comme un outil de pilotage, pour évaluer en continu la cohérence du système d'information de l'entreprise avec sa stratégie, le référentiel PMI-Diag (ou prédiagnostic stratégique) a été mis au point par les consultants d'Ernst & Young à la demande de la Direction générale des entreprises. Depuis début mars 2007, il fait l'objet d'un guide diffusé gratuitement (en ligne) sous l'égide du ministère délégué à l'Industrie. Qui donne le ton, dès l'introduction de ce guide. Objectif : épargner aux PME (de 20 à 250 salariés) les errances d'un équipement informatique qui pénalise leur activité, parce qu'inadaptée à la réalité de leur fonctionnement et de leurs besoins, ou qui échappe à leur maîtrise sous la pression de « solutions toutes faites ». Mais au delà de la description de la démarche expliquée au long des 80 pages du guide, celle-ci prend vraiment sens lorsqu'elle passe par un « regard extérieur ». Le dispositif PMI-Diag inclut ainsi un audit de deux jours et demi. En huit modules, sont analysés qualitativement et quantitativement, sous le scalpel d'un consultant agréé par la Drire (direction régionale représentant la DGE), les ressources informatiques (au sens large) de l'entreprise, en regard de la vision du dirigeant (1er module), de ses produits, de ses marchés, de ses clients, des concurrents, de son organisation et de ses principaux processus. La consultation se termine par une demie-journée de restitution et de recommandation. Sachant que le coût du diagnostic est évalué à 5000€, dont la moitié est prise en charge par l'Etat. Pour relayer cette offre d'assistance, administrée par le réseau des Drire, chaque région est amenée à mobiliser un réseau de consultants de proximité (en général des petits cabinets de conseil qui connaissent bien le tissu local). La région Midi-Pyrénées a été la première à s'organiser en conséquence, avec pas moins de 18 cabinets de conseil en organisation proposés au choix des PME. (...)

(26/03/2007 12:33:27)

Un chercheur réussit à pirater une puce RFID placée sous la peau

Les puces RFID ne seraient pas sûres, estime Adam Laurie, un chercheur indépendant britannique spécialisé dans les systèmes de sécurité. C'est d'ailleurs ce qu'il a démontré lors de la ShmooCon Convention de Washington en réussissant à pirater la puce RFID qu'un membre de l'assistance s'était fait poser sous la peau. Ce dernier utilisait la puce en question pour déverrouiller son PC portable. Bien entendu, il n'a fallu que quelques minutes à Adam Laurie pour accéder au contenu de l'ordinateur et pour en fournir les identifiants, mot de passe compris, à l'assemblée. Il désirait ainsi mettre en garde certains responsables scolaires californiens qui souhaitent placer des puces sous la peau de leurs étudiants. La ShmooCon Convention peut être considérée comme la grand-messe hétéroclite et conviviale du piratage de la côte Est. On y croisait ce week-end aussi bien Johnny Long, fameux hacker responsable d'attaques violentes contre le site Google, qu'un spécialiste de la sécurité du gouvernement fédéral ou encore des chercheurs de Symantec. (...)

(26/03/2007 11:36:36)

GRC : Salesforce.com ouvre ses applications aux clients de ses clients

Dans sa version de printemps (Spring'07), qui sera disponible en ligne courant avril, Salesforce.com permet à ses utilisateurs d'ouvrir des portails en self-service pour leurs clients depuis son application hébergée de GRC (gestion de la relation client). Ce modèle d'utilisation, baptisé AppSpace, inclut les logiciels publiés dans la plate-forme AppExchange, cette dernière rassemblant des applications complémentaires, développées par des éditeurs indépendants et certifiées par Salesforce.com. Dans le cadre d'AppSpace, les utilisateurs de Salesforce peuvent donc inviter leurs clients à partager certaines de leurs données. Les écrans qu'ils rendent ainsi accessibles combinent des informations issues de différents modules de la solution. A l'instar de Salesforce.com, AppSpace s'utilise entièrement en ligne, à partir d'une connexion Internet. Pour mettre au point cette version Spring'07, l'éditeur dit s'être inspiré des commentaires de sa communauté d'utilisateurs qui, depuis octobre dernier, lui suggère des améliorations fonctionnelles sur le site d'échanges http://ideas.salesforce.com. Parmi les apports de Spring'07 directement soutenus par le suffrage des utilisateurs, Salesforce cite la gestion chronologique des workflows. Cette fonctionnalité permet de mettre en place un système de validation pouvant générer des actions planifiées dans le temps. A noter que le logiciel d'automatisation des forces de vente (Salesforce SFA), l'une des briques les plus utilisées de Salesforce, bénéficie maintenant d'une fonction de recherche permettant de créer des filtres et de trier les résultats. Autre nouveauté, les informations issues des actions les plus récentes sont automatiquement proposées dans une fenêtre pop-up. La connexion avec la messagerie MS Outlook a également été renforcée. D'autres améliorations ont été par ailleurs apportées aux logiciels de gestion des services au client (Salesforce Service & Support) et de gestion des relations avec les partenaires (Salesforce PRM). Enfin, le connecteur ApexConnect pour Oracle permettra d'intégrer la solution avec les applications internes de l'entreprise exploitant la base de données Oracle 11i. L'utilisation de ce connecteur revient à 12 000 $ par an pour les clients de Salesforce Enterprise Edition et Unlimited Edition. (...)

(26/03/2007 13:40:36)

MySQL séduit 40 % des développeurs

Selon le cabinet d'études indépendant Evans Data Corporation, Oracle, IBM et les autres grands éditeurs de bases de données ont du souci à se faire. Loin d'être un jouet pour développeurs ou de se cantonner aux expérimentations pilotes, la base de données Open Source MySQL s'impose dans les entreprises. En l'espace de deux ans, sa part de marché est passée de 32 % en 2004, à 40 % en 2006. De plus, comme le nombre de développeurs utilisant des outils Open Source ne cesse de croître, cette part de marché est appelée à grandir. Et ce, d'autant plus que 69 % de ces développeurs Open Source sont satisfaits des bases de données libres disponibles actuellement. Il est à noter que l'étude Evans Data prend en compte aussi bien les projets pilotes au stade de développement, que ceux réalisés en production en entreprise. Pour John Andrews, président d'Evans Data Corporation, « dans un nombre croissant de nos catégories de classement, nous voyons les bases de données Open Source arriver au niveau des bases propriétaires, ou même les dépasser. » Selon le cabinet d'études, cette popularité de MySQL s'explique également par son rôle proéminent au sein de la plate-forme Web Open source LAMP (pour Linux, Apache, MySQL et PHP) dont l'usage se généralise également. Une popularité déjà soulignée par Anaska et Ib-Groupe Cegos dans leur Observatoire des logiciels libres, qui faisait état d'une progression de 50% en un an (2005-2006) des formations sur MySQL. Plus surprenant, nous raconte l'étude, est que "70% des stagiaires MySQL ne travaillent pas sur des projets associés au Web". La cabinet d'analystes Forrester rappelait de son côté que si MySQL restait la base de données Open Source la plus utilisée dans les projets d'entreprises, Ingres et PostgreSQL, autres bases Open Source, proposaient, quant à elles, un éventail de fonctionnalités plus complets. (...)

(16/03/2007 17:10:18)

Microsoft prêt à payer les grands comptes pour l'adoption de Live Search

Dans une tentative censée améliorer sa petite part de marché sur le segment des moteurs de recherche, Microsoft a décidé d'une politique d'incitation financière à destination des grands comptes. Il s'agit de proposer une ristourne à des entreprises triées sur le volet sur la base d'un certain nombres de requêtes sur Live Search, l'outil de Microsoft. Les incitations financières seront valorisées sous forme de crédits de formation ou de services. La stratégie de Microsoft est risquée : certes, elle s'appuie sur ses clients les plus fidèles, mais elle risque d'être perçue par les utilisateurs finaux comme une obligation supplémentaire liée à l'éditeur. Selon Greg Sterling, analyste indépendant, "in fine, vous devez quand même montrer la compétitivité de votre produit. Ce dernier doit reposer sur ses propres mérites technologiques." Sans remettre en cause Live Search, l'offensive musclée de Microsoft démontre l'inquiétude de l'éditeur sur ce segment de marché face à l'omnipotence de Google. En dépit d'efforts répétés, Microsoft n'a pu contrer suffisamment tôt la montée en puissance de son rival californien. En janvier, les requêtes via Google représentaient 47,5 % des recherches américaines contre 10,6 % pour Microsoft. (...)

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