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(21/03/2007 12:13:15)

La Belgique invente le virement SMS sécurisé

La Belgique se lance à fond dans le paiement par SMS sécurisé. Nos voisins peuvent même choisir entre deux systèmes, tous deux agréés par les banques. Le premier, baptisé Tunz, est une évolution du porte-monnaie électronique puisqu'il faut charger le téléphone par virement ou par carte de crédit. Le client dispose alors d'une somme de 150 € maximum qu'il peut utiliser à sa guise. S'il souhaite effectuer un achat, il envoie un SMS comportant le montant de la transaction, le numéro de téléphone du vendeur ainsi que le code confidentiel fourni par Tunz. Si le bénéficiaire est un nouvel utilisateur, Tunz lui créera automatiquement un porte-monnaie qu'il pourra à son tour utiliser instantanément. Chaque SMS est facturé entre 0,15 et 0,40 € par l'opérateur mobile. Les versements entre porte-monnaie peuvent toutefois se faire gratuitement à partir du site Internet de Tunz. L'autre système, proposé par Banksys (m-banxafe), est réservé aux titulaires d'un compte courant dans une banque belge. Ici c'est le commerçant qui initie l'opération. L'acheteur reçoit ensuite un SMS comportant le montant de la transaction. Il lui suffit alors d'entrer son code secret pour accepter le paiement. Quelques secondes après, les deux parties reçoivent un SMS de confirmation. Comme il s'agit d'une opération entre comptes, le montant maximum est celui associé à la carte bancaire, soit généralement 2 500 €. Chaque opération est facturée 0,25 € TTC pour le client et 0,49 € HT pour le commerçant. Cette somme est ensuite répartie entre l'opérateur, les banques et Banksys. M-banksafe est également disponible sur Internet pour les titulaires de compte ne disposant pas de carte bancaire. Tunz et m-banksafe fonctionnent sur les réseaux des trois opérateurs mobiles belges : Proximus, Mobistar et Base. (...)

(21/03/2007 10:50:53)

Selon l'Afom, la croissance des opérateurs mobiles français ralentit

L'association française des opérateurs mobiles (Afom) publie les résultats d'une étude visant à «mesurer la contribution du secteur de la téléphonie mobile à l'économie française en général et l'apport aux consommateurs en particulier». Cette première édition a notamment été l'occasion pour l'Afom de faire un point sur l'évolution du marché de la téléphonie mobile. Plus de 51 millions de français détiennent aujourd'hui un téléphone portable, contre 500 000 en 1992. Depuis 2001, la croissance évolue à un rythme moyen de 7% par an, soit près de 3 millions de nouveaux abonnés chaque année. Même si le marché arrive à saturation en termes de pénétration, sa croissance est tirée vers le haut grâce aux innovations technologiques, telles que les offres HSDPA, convergentes ou encore illimitées ainsi que l'introduction des opérateurs mobiles virtuels (MVNO). Un paysage concurrentiel plus dense En 2005, Bouygues Telecom, SFR et Orange se partageaient le marché de la téléphonie mobile. Ils sont aujourd'hui 30 acteurs. Les MVNO représentent 63% de l'augmentation du parc de clients en 2006. La part de marché de ces nouveaux acteurs augmente de 1 point en moyenne par trimestre, depuis ces 18 derniers mois. En plus de l'arrivée des nouveaux opérateurs mobiles virtuels, les offres technologiques et les modèles économiques évoluent. Tant attendue, la convergence fixe-mobile se matérialise avec les terminaux dual-mode GSM / WiFi. De plus, les offres illimitées prolifèrent et de nouveaux services (télévision, musique, paiement, etc.) sont désormais accessibles. Vers un ralentissement de la croissance En 2006, le chiffre d'affaires consolidé du secteur est estimé par l'Idate à 21 Md€, dix fois plus qu'il y a dix ans. Entre 1995 et 2006, les opérateurs ont investi 30 Md€ au total. Parallèlement, ils ont dépensé plus de 2 Md€ par an (10% du chiffre d'affaires consolidé du secteur) pour acquérir de la clientèle d'une part, et réduire le taux de désabonnement d'autre part. Malgré ces résultats et investissements, la croissance ralentit. Elle était de 1,4% entre 2005 et 2006. C'est la plus faible augmentation enregistrée depuis plus de dix ans. Entre 2000 et 2005, elle était en moyenne de 10,6% par an. L'utilisateur français mieux loti que ses voisins européens Globalement, la mutation du marché de la téléphonie mobile s'est faite à l'avantage du consommateur, indique le rapport de l'Afom (qui n'allait pas dire le contraire, de toute façon). Le prix moyen de la minute «voix sortante» aurait baissé de 26% entre 2002 et 2006. Aujourd'hui, le budget mensuel mobile d'un ménage est de 24,1€ HT par mois, hors achat de terminaux et services à valeur ajoutée. L'Afom conclut son rapport en précisant que «le consommateur français bénéficie d'une position dans l'ensemble avantageuse par rapport aux autres grands pays européens (Allemagne, Royaume-Uni, Italie et Espagne)». Peut-être aussi parce que le Conseil de la concurrence veille ? (...)

(21/03/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Pascal Buffard, Directeur général AXA France Services

Propos recueillis par Philippe Rosé, Rédacteur en chef de CIO (...)

(20/03/2007 17:33:42)

Sun TechDays : Simon Phipps, pas de GPL pour OpenSolaris, pour le moment

C'est à l'occasion des Sun TechDays (19 au 21 mars) de Paris que Simon Phipps, gourou de l'Open Source chez Sun, venu faire l'éloge du modèle de développement participatif et communautaire, a expliqué, pendant le sempiternel jeu des questions-réponses, pourquoi OpenSolaris n'était pas complètement ouvert. Pas totalement Open Source. Ironie du sort, après un long exposé vantant les mérites du "cercle vertueux de l'Open Source" et de son écosystème, Simon Phipps a déclaré qu'"il existait dans OpenSolaris des binaires fermés, notamment des drivers vidéos", qui sont la propriété de constructeurs. "La raison est que le code source de ces lignes est breveté et que le constructeur ne nous laissera jamais la liberté de le livrer", poursuit-il. Et de relancer : "il existe deux solutions : soit le récrire, soit travailler avec d'autres constructeurs qui font moins de discriminations dans l'Open Source. Une autre difficulté est que nous employons en interne des gens qui connaissent les technologies brevetées et ne sont pas ainsi "qualifiés" pour développer un composant alternatif". Pas sous GPL 2 ni 3 pour le moment C'est pour ces raisons que le code d'OpenSolaris ne pourra pas être partagé avec la communauté Linux. Du moins en l'état. Si Sun admet avoir considéré un rapprochement avec la communauté Linux, il reconnaît que les fragments de code dit fermé d'OpenSolaris lui ont également fermé la porte de la GPL2. "Il faut donc créer une exception à la GPL2, mais malheureusement cette exception ne pourra pas être étendue à nos clients. Si nous utilisons la GPL2, la seule société qui pourra faire fonctionner OpenSolaris est Sun." "Et ce sera également le cas avec la GPL3", rajoute-t-il. "Je suis vraiment désolé, mais c'est ce qui se passe dans une période de transition entre des modèles fermés vers des modèles ouverts", conclut-il. Et pour finir sur une note d'optimisme: "Avec de moins en moins de binaires [fermés, ndlr] cela deviendra plus facile et on pourra utiliser CDDL [la licence Open Source de Sun, ndlr] à côté de la GPL. Et nous allons y parvenir avec les contributions de la communauté". Notons au passage que Ian Murdock, l'un des principaux fondateurs de Debian, a rejoint Sun ce 20 mars. Sa tâche sera, selon Simon Phipps, de " construire une nouvelle stratégie pour faire évoluer à la fois Solaris et GNU/Linux au sein de l'entreprise". (...)

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