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(20/03/2007 17:33:01)
Annuels GFI : bons résultats sur fond d'ouverture du capital contestée
Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 633,1 M€ (+16%) Résultat net : 18,9 M€ (+69%) Comme GFI Informatique l'avait annoncé en février, ses revenus ont atteint 633,1 M€ au cours de l'exercice 2006, soit 16% de plus qu'un un auparavant, ou 7,4% en organique. GFI profite des acquisitions d'Adelio et d'Actif pour doper sa croissance, même si l'ajout de ces filiales a pesé sur la marge opérationnelle, qui recule très légèrement à 7,3%. Sans tenir compte des deux filiales nouvellement acquises, la rentabilité aurait représenté 8% du chiffre d'affaires. GFI se félicite cependant de l'amélioration de la marge de ces deux entités : alors qu'elles réalisaient une marge de 2,2% au premier semestre, celle-ci passait à 4,8% sur la deuxième moitié de l'année. L'international représente environ le tiers de l'activité du groupe, et progresse de 11,7%. Enfin, le résultat net bondit de 69%, à 18,9 M€. L'heure est désormais à l'augmentation de capital, d'une hauteur de 56 M€, qui doit être discutée lors de la prochaine assemblée générale. Une levée d'actions, à 8 € le titre, qui profiterait à Apax Partners et que Jacques Tordjman, le PDG de GFI, présente comme étant susceptible d'offrir « des leviers sur [la] croissance organique, sur [la] politique d'acquisitions et sur [la] profitabilité ». Néanmoins, plusieurs actionnaires minoritaires se montrent pour le moins sceptiques devant cette augmentation de capital, jugeant la valorisation du titre trop faible. (...)
(20/03/2007 17:30:37)Marché des portables : HP confirme sa première place
DisplaySearch vient de publier les chiffres des ventes de PC portables pour le dernier trimestre 2006. Les 78,8 millions d'unités écoulées au cours de la période (+27,7% sur un an) confirment la tendance esquissée l'année dernière par les principaux instituts de recherche pour l'ensemble des ordinateurs - PC de bureau et portables : Dell est bel et bien devancé par HP. Les deux constructeurs affichent du reste des dynamiques très contrastées. Alors que HP s'arroge 20% de parts de marché et voit ses ventes s'envoler de 29% par rapport au quatrième trimestre 2005, Dell affiche des ventes en recul de 2% et n'occupe que 15% du marché. Sur la troisième marche du podium, Acer confirme qu'il est l'acteur en forme du moment. Le constructeur progresse de 29% en volume et se paye le luxe de dépasser pour la première fois la barre des 3 millions d'unités vendues. Il talonne désormais Dell avec 13,3% de parts de marché. (...)
(20/03/2007 17:13:45)Microsoft prépare un système de téléphonie pour les petites entreprises
Microsoft vient de dévoiler un système de téléphonie exploitant la reconnaissance vocale afin d'offrir aux petites entreprises une alternative aux autocommutateurs. La primeur du « Microsoft Response Point » a été réservée au Small Business Summit, la conférence organisée par l'éditeur de Windows pour les petites structures, du 1er au 05 mars. Cette manifestation présente l'originalité de se tenir à la fois au siège de Microsoft (Redmond, état de Washington) et sur le Web. Entre les entreprises qui se connecteront au site de l'événement et les partenaires associés, l'éditeur compte sur quelque 30 000 participants. Le Response Point comprend le logiciel et les téléphones, ainsi qu'une console d'administration sur PC. Microsoft met en avant la facilité d'utilisation de sa solution. Les appels sont lancés en pressant le bouton « Response Point » sur le téléphone et en indiquant à haute voix le nom de la personne à contacter, ses coordonnées figurant dans l'annuaire du système : « Appelle John au bureau ». Selon Jeff Smith, responsable du produit chez Microsoft, l'application peut être utilisée en mode voix sur IP (VoIP) de même qu'avec des lignes téléphoniques classiques. Faciliter l'ajout et le déplacement de postes La société Comenity (Washington), l'un des premiers utilisateurs du produit, estime que celui-ci simplifie l'ajout de nouveaux postes dans l'entreprise, de même que le déplacement des postes déjà en service. En réception d'appels, les communications sont dirigées vers l'interlocuteur demandé, même en dehors des heures de permanence du standard. La personne qui reçoit l'appel voit apparaître les coordonnées de l'appelant sur une fenêtre de son écran. L'une des particularités du Response Point est d'avoir été développé par une équipe qui, au sein même de Microsoft, a travaillé comme l'aurait fait une start-up, sans collaborer avec d'autres départements produits de l'éditeur. Selon Bill Gates, le fondateur de Microsoft, en se mettant dans les conditions de fonctionnement d'une start-up, cette équipe a pu mieux comprendre les besoins des petites entreprises, et principalement, la nécessité de simplifier les tâches quotidiennes. L'utilisation de la reconnaissance vocale est l'une des réponses apportées. Selon Jeff Smith, seulement un tiers des petites structures a recours à un autocommutateur en raison du coût trop élevé de ce type d'équipement et de la difficulté à l'installer et à le gérer. Le responsable produit aimerait rendre le Response Point aussi accessible aux PME que le sont les PC. Cette offre sera disponible cette année. Aucun prix n'est encore communiqué mais Jeff Smith indique tout de même qu'il sera compétitif (par rapport à un autocommutateur pour petites structures coûtant entre 5 000 et 10 000 dollars). (...)
(20/03/2007 17:07:11)Les pouvoirs publics vont aider au déploiement de la fibre
A l'occasion de la réunion du Crip (Comité des Réseaux d'Initiative Publique) qui rassemble opérateurs, collectivités territoriales et institutions concernées par l'aménagement numérique du territoire, Patrick Devedjian a plaidé pour le déploiement rapide de la fibre. « L'idée que les besoins en débit des particuliers plafonneraient à 1 mégabit par seconde est fausse. L'idée que seules certaines entreprises de pointe justifient des besoins de 100 mégabits par seconde l'est tout autant », a estimé le ministre délégué à l'Industrie en rappelant que 30% des blogs actifs dans le monde étaient français et que « la diversification accélérée des usages appellera nécessitera plusieurs dizaines de mégabits par seconde, ce que seule permet aujourd'hui la fibre ». Evoquant le coût d'un déploiement au niveau national, le ministre a affirmé que celui-ci « représenterait un investissement total de plusieurs dizaines de milliards d'euros, étalé sur plus de 10 ans », avant d'ajouter : « Il est peu probable qu'un seul opérateur puisse envisager dans des délais raisonnables l'équipement de l'ensemble de notre territoire ». Le génie civil et les infrastructures occupant une place prépondérante dans ces coûts, il a rappelé que les pouvoirs publics avaient un rôle décisif à jouer aussi bien au niveau national qu'au niveau local. L'attentisme, le « laisser-faire », que certains appellent le « regulatory holiday», prôné au nom de la promotion de l'investissement » risquant selon lui de recréer des petits monopoles locaux « difficilement accessibles aux opérateurs concurrents ». Il a toutefois précisé « qu'initiative publique ne voulait pas dire financement à 100% public et qu'il fallait au contraire accorder une part minimale de la subvention dans le coût total du projet ». Fin 2006, 45 projets de réseaux (toutes technologies confondues) initiés par les collectivités locales et couvrant chacun plus de 60 000 habitants étaient engagés, ce qui représente un investissement de plus d'un milliard d'€,tandis que 35 nouveaux déploiements étaient à l'étude. (...)
(20/03/2007 17:00:54)Dix mesures pour l'industrie française du jeu vidéo
Considérée comme une activité pionnière, qui défriche et popularise à la fois des avancées technologiques (la 3D, la modélisation, etc.) et des usages (comportements sociaux, réactions aux interfaces), l'industrie de la production et de l'édition de jeu vidéo a fait l'objet, à la demande du ministère de l'Industrie d'une étude de l'Idate visant à cerner les caractéristiques de la R&D de ce secteur : ses forces, ses faiblesses, ses risques et les opportunités de développement dans la compétition internationale. Sachant que la France se situe à la troisième place européenne pour cette activité (derrière le Royaume-Uni et l'Allemagne) avec près de 330 entreprises et 2500 emplois directs. Cet état des lieux a été présenté au ministère et aux professionnels concernés le 13 mars, avec une dizaine de préconisations que le ministère s'engage à prendre en compte rapidement, dès 2007. Après quelques mesures phares - comme le crédit d'impôt accordé aux éditeurs de jeu vidéo, la création d'un fonds d'aide à l'édition multimédia, le financement d'un réseau thématique ou encore la labellisation de deux pôles de compétitivité dédiés et de certains de leurs projets, finances à l'appui -, l'état des lieux de l'Idate montre en effet que ce secteur, bien que dynamique, reste particulièrement fragile. La concurrence est vive et certaines politiques publiques se montrent particulièrement volontaristes (au Canada, aux Etats-Unis, en Corée, en Chine) pour soutenir leurs acteurs nationaux. De plus, pour ce secteur soumis à des contraintes technologiques fortes, imposées notamment par les fabricants de terminaux, dont la R&D est encore peu structurée, faiblement collaborative entre industriels et avec les autres secteurs, et où les investissements en R&D ont tendance à se confondre avec les coûts de développement, il est quasiment vital de rechercher une certaine mutualisation de ces efforts. D'où les préconisations mises en avant par l'Idate : encourager les processus de standardisation ; soutenir la R&D des outils et processus communautaires ; développer une culture commune entre l'industrie et la recherche ; s'assurer de l'adéquation de la formation aux besoins des entreprises et de la recherche ; mettre en place une réflexion collective sur jeu vidéo et cultures... Parmi la dizaine de recommandations ainsi listée, le ministre François Loos a retenu dès à présent l'objectif concret de mettre en place un observatoire des marchés et des usages et un « Think tank » dédié au jeu vidéo. Au delà des mécanismes de soutien et de mutualisation générés par les deux pôles de compétitivité (Cap Digital en Ile-de-France et Imaginove en Rhône-Alpes) et par le réseau de recherche thématique Riam (Recherche et innovation en audiovisuel et multimédia), ce « nouveau » dispositif (observatoire, lieu d'échange) fédérateur devrait être présenté à Bercy, avec sa feuille de route, « dans les tous prochains mois », dixit le ministre. Autre suggestion retenue, pour une mise en pratique dès que possible, l'organisation d'un « carrefour annuel de l'innovation » destiné à valoriser la recherche, la formation et l'innovation industrielle des diverses branches du secteur. Affaire à suivre. Sur le même sujet : - L'adoption officielle, en février 2007, du crédit d'impôt pour les éditeurs de jeux vidéo -L'industrie des jeux vidéo dessine l'informatique de demain (...)
(20/03/2007 16:50:14)Plus d'écologie au bureau souhaité par 82% des employés français
Avec une moyenne de 35 pages imprimées par jour par salarié, les bureaux français consomment moins de papier que leurs voisins méridionaux (43 pages pour les italiens et les espagnols) et septentrionaux (40 pages pour les britanniques et les allemands). Selon une étude commanditée par Lexmark, fournisseur de solutions d'impression, les mentalités ont effectivement évolué quant à la nécessité de prendre en compte l'impact de l'activité quotidienne au bureau sur l'environnement. Selon l'enquête, réalisée par Ipsos auprès d'un échantillon de 500 employés français (7100 salariés dans neuf pays d'Europe), dans l'Hexagone, plus de huit salariés sur dix estiment déjà adopter un comportement écologique au bureau. Ainsi, 88% d'entre eux disent lire souvent leurs e-mails et autres documents à l'écran plutôt que de les imprimer. Et 90% d'entre eux disent éteindre la lumière en quittant leur bureau, ainsi que leur ordinateur et leur écran. Des employeurs mis en cause Pourtant, une bonne part des personnes interrogées remarque que leur entreprise ne leur facilite pas la tâche. 46% d'entre elles avancent que leur employeur ne se préoccupe pas plus du gaspillage de papier que de la «chasse au gaspi » énergétique. Ce qui tranche avec le constat des employés allemands et britanniques qui se révèlent moins critiques quant à l'attitude de leur employeur, alors que deux tiers d'entre eux affirment que leur entreprise prend le gaspillage de l'énergie (65%) et du papier (62%) très au sérieux. La palme de la sensibilité « écolo », tant au bureau que sur le plan domestique, revenant selon cette étude aux Autrichiens. En France, 38% des salariés pensent que le passage à la pratique peut relever de mesures gouvernementales (ou de l'Union européenne) qui incitent voire contraignent à changer les méthodes de travail. Près d'un tiers (29%) estiment que les constructeurs devraient jouer un rôle plus important dans l'information des employés de bureau en les informant sur ce qu'ils doivent acheter et pour quelles raisons. Concernant l'aspect sécurité du comportement à l'égard de l'impression, selon une autre étude présentée le 6 mars par Lexmark à l'occasion d'une présentation sur son site francilien de Suresnes, (étude TNS Sofres, septembre 2006), 60% des salariés admettent qu'il leur est arrivé, au moins une fois d'oublier ou de trouver un document sensible sur une imprimante réseau. De plus, 80% d'entre eux reconnaissent que leur réputation peut souffrir de cet oubli et 20% avouent que cela peut leur coûter leur emploi. Les documents sensibles les plus fréquemment trouvés sur une imprimante sont des informations personnelles sans rapport avec le travail (63%, contre 21% des informations confidentielles sur les clients et 5%% des informations relatives à l'entreprise). (...)
(20/03/2007 13:43:05)Le père de Debian s'installe chez Sun
« C'est avec regret que je quitte la Linux Foundation, mais si vous ne l'avez pas encore compris Sun est une entreprise que j'ai toujours aimée, et en faire partie est une occasion que je ne pouvais pas rater. » En ces termes, Ian Murdock, l'un des pères de la distribution Debian, a annoncé sur son site Web son arrivée chez Sun Microsystems en tant que responsable de la stratégie pour les systèmes d'exploitation. Un emploi plutôt vague sur lequel il ne donne guère plus d'explication. « Vous pouvez deviner, d'après mon passé, que je défendrais l'idée que Solaris doit se rapprocher de Linux pour rester compétitif. Et que si je pense que Solaris doit évoluer, je crois aussi profondément à la rétro-compatibilité, et même en mettant Solaris en première position, Linux doit jouer un rôle plus clair dans la stratégie plateforme de Sun. » Des déclarations qui apportent de l'eau aux moulins de ceux qui prédisent une distribution Linux estampillée Sun pour bientôt. D'autant que Simon Phipps, responsable Open Source chez Sun, a précisé sur son site personnel, que Ian Murdock « devra construire une nouvelle stratégie pour faire évoluer à la fois Solaris et GNU/Linux au sein de l'entreprise. » En effet, si Sun vend son propre Unix commercial Solaris, il en fournit également une version Open Source gratuite et ses serveurs et stations de travail sont également compatibles avec plusieurs distributions commerciales de Linux. (...)
(20/03/2007 13:41:33)Pas de nouvelle bulle Internet estiment les Américains
Sept ans très exactement après l'explosion de la bulle Internet, le magazine américain Computerworld (Groupe IDG) a interrogé un certain nombre de spécialistes pour savoir si un scénario semblable pouvait se renouveler aujourd'hui. Tous sont unanimes: aucun plan catastrophe n'est à prévoir malgré la nouvelle ruée sur les start-ups déclenchée par la révolution Web 2.0. Si les experts constatent bien une certaine effervescence, ils pointent surtout des différences. Le montant des investissements est beaucoup plus faible que dans les années 90 et les entreprises, qui bénéficient de levée de fonds, ont plus qu'un « business plan Power Point », estime Andrew Mac Afee, professeur associé de l'université d'Harvard. « S'ils n'ont quelquefois pas de revenus, du moins ont-ils un produit et des clients », insiste ce dernier. Quant à Gina Bianchini, co-fondatrice et CEO de la société californienne Ning (qui développe des outils de création de sites communautaires), elle estime que le coût du passage au Web 2.0 est sans commune mesure avec les droits d'entrée d'hier. « Ce n'est pas la même chose pour une société de gaspiller éventuellement 30 $ par mois pour un nouveau produit que d'en brûler 50 millions ». David Kirsch, assistant à l'université de Maryland, conclut de son côté: « les entreprises du Web 1.0 ont assuré la survie des jeunes pousses actuelles en ayant mis en place les infrastructures utilisées par le Web 2.0 ». (...)
(20/03/2007 12:20:30)Europe : La mise en commun des empreintes ADN se précise
Le quotidien en ligne LeMonde.fr rapporte que l'Union européenne veut se doter d'une base de données d'empreintes digitales et génétiques. Dans leur article, nos confrères relayent une information publiée par le Times, selon laquelle Bruxelles envisage de transposer le traité de Prüm, qui organise cette mise en commun des empreintes, dans le droit européen. L'information n'est, en réalité, pas extrêmement fraîche : dès le mois de janvier, nous ouvrions nos colonnes à ce sujet et évoquions la volonté de l'Allemagne, qui occupe la présidence de l'UE depuis le début 2007, de voir les dispositions du traité de Prüm entrer dans le paysage juridique européen. Les ministres européens de la Justice et de l'Intérieur étaient réunis à Dresde, mi-janvier, pour discuter de ce projet. Un mois plus tard, les Etats membres parvenaient à un accord de principe. Rappelons que le traité de Prüm, signé en mai 2005, met en place une coopération policière renforcée entre ses sept signataires. Ceux-ci peuvent accéder mutuellement à leurs bases de données d'empreintes digitales et ADN, ainsi qu'aux fichiers des immatriculations de véhicules. Les polices des pays signataires peuvent également franchir les frontières sans autorisation, en cas d'urgence. (...)
(20/03/2007 11:55:23)Cebit 2007 : voix sur IP et messagerie unifiée en démonstration
Thème majeur du Cebit, qui se tient à Hanovre jusqu'au 21 mars, au côté du mode de vie numérique, le thème des communications est surtout articulé autour de la voix sur IP (VoIP). Autour d'un village intitulé IPcentral, accueillant pléthore de petits acteurs de ce marché, les grands acteurs déploient sur de grands stands leurs solutions pour la VoIP et ce qu'elle rend possible, en premier lieu la messagerie unifiée.
LG-Nortel et Alcatel-Lucent, par exemple, ont sorti tous leurs téléphones VoIP et organisent des démonstrations à tour de bras. Les appels entrants étant gérés par un logiciel serveur de messagerie commun, les messages vocaux peuvent être intégrés à des emails qui seront remis aux destinataires. Plus besoin d'interroger sa boîte vocale à distance. On peut de même définir des règles de routage pour les appels et courriels entrants à l'aide de la même interface. Et éventuellement se faire lire ses emails par un système de text-to-speech (synthèse vocale).
Test et supervision de la qualité de service
De leur côté, Polycom ou Snom présentent tout un éventail de terminaux, dont les plus évolués proposent, outre un mini-navigateur en guise d'écran, du son haute définition (HD), un port USB « pour de futures applications » ou encore la possibilité de se connecter en mode Power-over-Ethernet (l'alimentation électrique provenant alors du réseau local). Snom présente aussi des terminaux VoIP en mode DECT.
En sus des passerelles SMC Networks ou Funkwerk, on peut aussi croiser dans les halls consacrés aux communications des solutions de test, comme celle de JDSU, qui indique pouvoir analyser « les sept couches de service », ou des solutions « intelligentes » de gestion de la qualité de service, comme chez Meru Networks.
En revanche, pour constater de visu l'intégration des téléphones VoIP avec les nouvelles solutions de communication de Microsoft, Office Communications Server et Office Communicator, mieux vaut se rendre sur le stand principal de Microsoft. Ces produits, encore en versions bêta, intègrent la gamme Office, Exchange Server 2007 et la voix sur IP. A condition de disposer d'une passerelle de VoIP compatible, Dialogic ou Audiocodes. L'exemple le plus évident est donné avec Outlook 2007 - pour le côté client - et Exchange - pour le côté serveur. Les fonctions de messagerie unifiée s'y retrouvent et, à terme, il sera possible de dialoguer avec le serveur Exchange pour piloter sa boîte de réception et définir ses règles de routage.
Regardez notre reportage vidéo sur les solutions de VoIP et de messagerie unifiée au Cebit (...)
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