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(21/03/2007 18:06:11)
Ventes de PC : pas d'effet Vista en 2007 selon Gartner
La sortie de Vista, en janvier 2007 pour le grand public, n'impactera pas les ventes de PC cette année, le nouvel OS de Microsoft « ne dopant, au mieux, que de façon limitée » les quantités qui seront écoulées en 2007, selon le Gartner. L'institut table sur une progression des ventes en volume de 10,5% par rapport à 2006, soit 255,7 millions d'unités de machines. Gartner révise donc sa précédente estimation, publiée fin 2006, dans laquelle il estimait la croissance à 9,9%. La hausse des revenus devrait s'avérer, en revanche, moindre : le Gartner n'anticipe qu'une progression de 4,6%, à 213,3 Md$. Comme en 2006 donc, la guerre des prix que se livrent les constructeurs aidera les ventes à bondir en volume mais affectera leur valeur. Selon le cabinet d'études, seule une petite part des consommateurs et des PME se laissera séduire par la sirène Vista, préférant adopter l'OS au fur et à mesure du renouvellement de leurs machines au cours des années à venir. Si Vista renferme des fonctionnalités intéressantes, elles ne sont pas suffisantes, explique Gartner, pour inciter les utilisateurs à s'équiper d'une nouvelle machine. Du côté des grandes entreprises, le constat est encore plus simple : Vista n'aura « virtuellement aucun impact » sur les ventes de PC en 2007. Les professionnels travaillant dans les grandes structures devraient reporter les migrations d'envergure à 2008, et ainsi prendre le temps de s'assurer de la comptabilité de l'ensemble de leurs applications avec Vista. Enfin, les marchés émergents et les PC portables continueront de constituer les meilleures opportunités de croissance. (...)
(21/03/2007 17:32:24)OpenLaszlo 4.0 disponible
Laszlo Systems, la société derrière le projet OpenLaszlo, a annoncé lors de la conférence AJAXWorld, la disponibilité de la version 4.0 d'OpenLaszlo sur http://www.openlaszlo.org/download . OpenLaszlo est une plateforme de développement Open Source qui permet de générer des applications internet riches en Flash ou en Ajax, sans connaître ni Flash, ni Ajax. L'IDE utilisé est basé sur Eclipse et on écrit une combinaison de XML et d'ECMAscript (appelée LZX) pour construire l'interface utilisateur. La grande nouveauté de cette version est de pouvoir, à partir du même code source, générer l'application en Flash ou en Ajax/DHTML, ou les deux. Cette version d'OpenLaszlo est construite sur une nouvelle architecture noyau qui s'abstrait des différences des plateformes. Le système de classe a basculé sur le standard émergent ECMAscript 4, ce qui signifie qu'OpenLaszlo est prêt pour les futures évolutions des standards JavaScript. Outre les centaines d'améliorations concernant tous les aspects de la plateforme et de la documentation, de nouvelles fonctionnalités sont apparues comme le support du streaming de media. Le processus Open Source a été également amélioré, avec l'utilisation de Subversion pour la gestion des sources, la création de nouveaux outils tels que lztest pour le test automatique. OpenLaszlo entre évidement en concurrence avec la technologie Flex 2 d'Adobe qui ne génère lui que du Flash. OpenLaszlo semble séduisant par son côté Open Source et son aspect multi-cibles, mais la sortie d'Apollo d'Adobe, le runtime multiplateforme compatible Flash, PDF et HTML relance l'intérêt pour Flex, qui est son complément idéal côté serveur . (...)
(21/03/2007 17:31:47)Microsoft rejoint l'Alliance OpenAjax
Alors qu'il s'apprête à fêter son premier anniversaire, le consortium OpenAjax annonce l'arrivée de Microsoft et de 30 autres organisations, portant ainsi le nombre de ses membres à 72. Microsoft rejoint ainsi Adobe, BEA, Eclipse, IBM, Novell, Oracle, Sun entre autres pour favoriser l'adoption et travailler sur l'interopérabilité des technologies web basées sur Ajax. Créée en février 2006, l'initiative OpenAjax regroupait 15 organisations incluant BEA, Borland, Dojo, Eclipse, Google, IBM, Laszlo Systems, Mozilla, Novell, Openwave Systems, Oracle, Red Hat, Yahoo, Zend et Zimbra. Entre février et mai de l'année dernière, une quinzaine d'autres organisations avaient rejoint le consortium. Aujourd'hui, l'arrivée de Microsoft donne du poids à l'Alliance et montre la volonté du géant de Redmond de s'engager dans des technologies cross-navigateurs et cross-plateformes. « Évidemment, Microsoft est un acteur très important dans le monde Ajax parce qu'il possède le navigateur dominant sur les ordinateurs de bureau et une part significative dans le monde des serveurs et avec les serveurs .NET », constate Jon Ferraiolo, leader de l'Alliance OpenAjax et architecte Web pour les technologies émergentes chez IBM Software Group. Finalement, la présence de Microsoft au sein de cette organisation est un juste retour des choses, dans la mesure où la technologie dans le développement Ajax trouve ses origines chez Microsoft. Adam Bosworth, vice-président chez Google et ancien architecte logiciel chez Microsoft, décrivait le processus de création d'Ajax chez Microsoft il y a 10 ans de cela. Ainsi naissait XMLHttpRequest, un objet ActiveX dans Internet Explorer 5.0 en 1998, depuis standardisé par le W3C en avril 2006 et sur lequel se base les échanges de données en Ajax. Surfant sur la vague Web 2.0, Microsoft pousse maintenant Ajax à travers la technologie et le framework ASP.NET AJAX (connu sous le nom d'Atlas). Parallèlement à cette annonce, dévoilée lors de la conférence AJAXWorld à New York, l'Alliance annonce également que les membres suivants ont gagné les certificats OpenAjax Interoperability pour leur support de l'OpenAjax Conformance : Apache XAP, Dojo Foundation, ICEsoft, ILOG, Isomorphic, IT Mill, Lightstreamer, Open Link, Open Spot, Nexaweb, Software AG et TIBCO. Ces toolkits s'intègrent dans le modèle de programmation défini par l'Alliance avec l'OpenAjax Hub 1.0, l'implémentation de référence de l'interopérabilité Ajax. (...)
(21/03/2007 17:09:52)Ellison : Unbreakable Linux va bien
"Notre programme de support de Red Hat Entreprise Linux connaît un très bon départ", a déclaré Larry Ellison, à l'occasion d'une conférence entre analystes financiers. Ellison a inauguré son offre Unbreakable Linux 2.0 en octobre à l'occasion d'OpenWorld à San Francisco et, depuis, s'était refusé à commenter sa progression ainsi que le nombre d'utilisateurs intéressés. Unbreakable Linux propose une version recompilée de l'OS de Red Hat ainsi qu'une offre de support associée pour un prix inférieur à celui proposé par Red Hat. "Et ce n'est qu'un début. Nous n'allons pas bâtir un marché Linux du jour au lendemain, mais [assurément, ndlr], nous y parviendrons. Nous sommes déterminés à offrir le meilleur support au monde ", martèle-t-il. Puis d'avancer quelques exemples. Yahoo, présent à OpenWorld, a déjà basculé et pris Oracle comme fournisseur de support pour Red Hat. Et de citer aussi Dell et HP, présents au travers d'enregistrements vidéos, qui pourraient redistribuer l'offre d'Oracle. Sans citer d'autres grands comptes, Ellison souligne que certains contrats de supports Linux signés par Oracle avoisineraient les 500 000$. (...)
(21/03/2007 17:05:39)DNV inaugure sa filiale IT consacrée à la gestion du risque
DNV, le spécialiste norvégien de la gestion du risque opérationnel, lance ce 21 mars son pôle IT Global Services, consacré à la maîtrise des risques informatiques. La branche est basée à Paris et emploie quelque 300 consultants à travers l'Europe, avec des petites équipes aux Etats-Unis et en Chine. Le nouveau pôle est le fruit d'une série d'acquisitions commencée en 1996 avec la moitié des parts de Q-Labs, un spécialiste de l'amélioration de processus. En 2006, DNV se paye la totalité du capital de Q-Labs et met la main sur le Hollandais Cibit (gestion des informations et des connaissances), l'Allemand Tireno (amélioration des processus) et l'Anglais Echelon (sécurité de l'information). Une vague d'achats destinée à accélérer le passage de DNV vers le monde IT « car cela aurait pris trop de temps d'acquérir nous-même les connaissances nécessaires », confie Henrik Madsen, le PDG de DNV, au mondeinformatique.fr. DNV IT Global Services s'adresse à cinq grands segments de marché avec celui de la finance, qui représente un quart des activités du pôle lancé ce jour. Le secteur IT et Télécoms pèse pour environ 20%, le reste étant partagé à parts égales entre le secteur public/défense, l'aérospatial et l'automobile. En 2007, le pôle IT de DNV devrait réaliser un chiffre d'affaires d'environ 40 M€ et dégager un bénéfice opérationnel. Il s'appuiera pour cela sur ses clients basés un peu partout dans le monde : « nos clients cibles sont les grands acteurs implantés dans plusieurs pays », explique Henrik Madsen. Citons, parmi eux, EDF, Nokia, KLM, Alcatel ou encore Total. DNV entend adopter un rythme de croissance rapide : « notre but est de doubler le chiffre d'affaires d'ici à 2010 », indique le PDG du groupe. Une ambition qui s'appuiera sur le développement en interne des activités, et sur de nouvelles acquisitions, probablement l'année prochaine. Dans trois ans, DNV IT Global Services devrait compter plus de 500 salariés. (...)
(21/03/2007 17:38:48)PGI : RWD Technologies fait le pari de diminuer les coûts de ses clients de 35%
Se situant « entre le grand cabinet de conseil et la SSII », RWD Technologies (ex-Cadra), société en conseil autour des PGI (progiciels de gestion intégrés), préconise une stratégie différente de celles développées traditionnellement, pour permettre à ses clients d'économiser environ 35% de leur note globale. « Nous voulons révolutionner le marché, il est fini le temps des grands projets et de l'opulence », annonce en préambule Lionel Vigne, directeur Business Unit de RWD Technologies France. Et de développer sa stratégie en 3 points dont le maître mot est pragmatisme. « Nous maîtrisons parfaitement 'l'événement métier' par l'ingénierie pédagogique, l'implication de la direction générale et la formation de 'super-users'. Par expérience, nous savons que la nature humaine n'aime pas beaucoup le changement et que dans les PGI, le risque de rejet est très élevé. Notre démarche opérationnelle place donc l'utilisateur final au centre du dispositif ; nous identifions les changements induits et élaborons un plan pour projeter l'utilisateur dans l'avenir. » Le but est de bien préparer les formations et d'éviter aux formateurs de revenir, situation trop souvent classique au coût non négligeable pour le client. Deux autres outils pour maîtriser les coûts : Info Pak et un « performance center » situé en France Pour éviter la multiplication d'errances dues aux nouveaux SI, à la formation de base, succèdent d'autres périodes. Ainsi, « Info Pak », sur SAP principalement, est destinée à développer et pérenniser la compétence des utilisateurs de PGI. Elle permet notamment d'industrialiser la création de la documentation utilisateurs (outil et métier) et de la rendre disponible sous forme d'aide en ligne. « C'est une documentation conçue sur-mesure pour les métiers de l'entreprise. Avec l'aide en ligne contextuelle, l'utilisateur peut s'autoformer dans le contexte de sa société », souligne Lionel Vigne. Autre avantage : RWD Technologies travaille en permanence avec SAP pour faire évoluer l'outil, sans que les entreprises soient dans l'obligation de changer constamment de système ou imposent à leurs utilisateurs de nouveaux et fastidieux apprentissages. Enfin, pour travailler à distance avec ses clients afin d'éviter les frais de déplacement qui peuvent monter jusqu'à 15% du total d'un projet, RWD Technologies réinvente le « performance center ». « Nos consultants peuvent travailler en amont sur le site, créer la documentation, intervenir à distance lorsque c'est possible. Des plateformes d'autoformation à distance par exemple sont envisageables, tout comme les phases de tests ou les simulations. Le client fait une économie notable sur les consultants et les déplacements. De notre côté, après une mission, nous apprécions que notre personnel se retrouve dans les murs de son entreprise. En termes de ressources humaines, ce n'est pas négligeable », indique Lionel Vigne qui insiste également sur l'aspect local du site, et non pas dans une perspective d'offshore déguisée. Cette analyse, doublée d'un intéressant chiffrage économique, rompt avec les codes de nombreuses SSII qui militent en faveur du « tout consultant » par la multiplication de missions en régie, et qui prennent le double risque de favoriser le turn-over d'un personnel parfois démotivé et en perte de repères, ainsi qu'une augmentation des coûts pour le client final. Reste à déterminer quelles évolutions permettra ce modèle économique, qui devrait prochainement être testé à plus grande échelle. (...)
(21/03/2007 16:59:19)NetAcad, le programme de Cisco destiné à mettre les TIC à la portée de tous
NetAcad, programme de formation de Cisco, veut s'inscrire dans une initiative de développement durable par l'emploi en marquant son soutien des femmes d'Europe Centrale et de l'Est, du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Amérique du sud. Lors de la journée internationale de la femme, le 8 mars dernier, Cisco a développé plusieurs initiatives allant dans ce sens : la maison numérique et les petites entreprises (partenariat entre sa filiale Linksys et le Women's College de Dubaï afin de favoriser la compréhension des technologies et le développement des projets entrepreneuriaux) ; le projet « F-email » pour aider les femmes de Hongrie, de Serbie et de Turquie en recherche d'emploi, à développer leurs compétences en informatique. Enfin, les activités menées de concert avec le Fond de développement des Nations Unies pour la femme (Unifem) en Afrique et au Moyen-Orient pour favoriser la formation des jeunes femmes aux technologies qui ont permis de créer 34 académies dans lesquelles plus de 500 femmes ont reçu une qualification. Des partenariats avec les pouvoirs publics en France pour lutter contre « la pénurie d'ingénieurs réseaux à venir » NetAcad, lancé en 1997 aux USA, est un projet original : à but non lucratif et sans obligation de rejoindre Cisco à l'issue de la formation, il est destiné à « pallier la pénurie d'ingénieurs réseaux à venir ». D'où sa présence en France depuis 2000. Il offre la possibilité aux étudiants ou à des personnes en reconversion d'acquérir les connaissances nécessaires pour concevoir, mettre en place et maintenir un réseau informatique. NetAcad, qui se veut une école de reconversion professionnelle, a signé en France des partenariats avec le ministère de l'Education nationale, notamment avec des lycées (Léonard de Vinci à Melun, Ampère à Marseille, Jacques Prévert à Combs la Ville), universités (Luminy à Marseille, Toulouse, Nancy), IUT (Nancy, Valence), écoles d'ingénieurs (Centrale Paris, Lille, Supinfo) ainsi qu'avec les Greta (Groupements d'établissements publics locaux d'enseignement) et le Cnam (Conservatoire national des arts et métiers). D'autres accords ont été conclus avec l'Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), l'Afpi (Association de formations professionnelles de l'industrie) et des programmes de formation pour les TPE sont mises en oeuvre. Directeur de programme NetAcad, Christophe Dolinsek souligne que cette formation « est généraliste, qu'elle ne se fait pas seulement sur du Cisco. Elle se donne pour objectif de favoriser l'employabilité des jeunes et des moins jeunes. D'après une étude d'IDC, le différentiel entre l'offre et la demande sur les nouvelles technologies est de 16%, ce qui représente 40 000 personnes à former environ. Notre ambition est de poursuivre notre action, nous allons lancer d'autres cours, notamment sur les réseaux sans fil pour attirer davantage de monde. » En 2007, avec près de 14 000 étudiants répertoriés dans l'Hexagone (en progression de 15% par rapport à l'année dernière), au sein de 268 académies dont 50 à Paris, NetAcad qui s'inscrit dans une démarche d'emploi durable commence à être (re)connu par les institutions et ceux qui veulent évoluer dans les nouvelles technologies. (...)
(21/03/2007 14:17:58)Virtualisation et multi-coeurs forcent IDC à revoir ses prévisions à la baisse
Moins 4,5 millions de serveurs vendus d'ici à 2010. Face à l'arrivée massive des processeurs multi-coeurs et de la virtualisation sur le marché des serveurs, IDC a dû revoir drastiquement à la baisse ses prévisions de vente de serveurs x86 pour les trois prochaines années. En retirant ces 4,5 millions de serveurs, IDC baisse aussi les estimations du chiffre d'affaires du secteur de 2,4 Md$. « Finalement, les ventes de serveurs x86 qui devaient initialement augmenter de 61% d'ici à 2010 doivent maintenant croître de 39% durant la même période, » explique IDC. En parallèle, 1,7 million des serveurs physiques vendus en 2010 devraient héberger des machines virtuelles, soit 14,6% du nombre total des serveurs vendus cette année-là contre 4,5% de ceux vendus en 2005. Michelle Bailey, présidente des tendances Data Center et Enterprise Platforms chez IDC, précise tout de même : « Les x86 restent les moteurs de croissance du marché, mais la façon dont les clients y dépensent leur argent est en train de changer. » Si en termes de revenu global, les serveurs x86 représentaient 51% du marché en 2006, ils devraient en représenter 56% d'ici à 2011, selon Michelle Bailey. D'ailleurs, les deux principaux vendeurs de serveurs ne sont pas inquiets de cette baisse à venir. Bien qu'il ait vu venir ce changement dans le marché depuis quatre ou cinq mois, Rich Palmer, directeur des stratégies technologiques chez HP, deuxième vendeur de serveurs x86, estime que « nos volumes ne déclineront pas. » Chez le numéro 1, IBM, l'heure est également à la confiance. Pour Rob Sauerwalt, directeur de la division des serveurs System x, « Cela réduit peut-être le nombre, mais les systèmes vendus deviennent plus riches, car la mémoire doit augmenter pour s'aligner sur les capacités de calcul et les entrées/sorties doivent également augmenter pour s'aligner sur la mémoire et les processeurs. » (...)
(21/03/2007 14:01:55)La cession de Tele2 à SFR pose des problèmes à Bruxelles
La Commission européenne vient de diligenter une nouvelle enquête au sujet de la cession de Tele2 France à SFR. Bruxelles devait initialement donner son aval le 5 mars à l'achat, pour 353 M€, des activités fixe et Internet de l'opérateur suédois en France. Ce délai avait ensuite été prolongé jusqu'au 19 mars. Or la Commission vient d'annoncer à Tele2 qu'elle lançait cette fois une enquête de phase 2. Cela lui donne un délai supplémentaire de 90 jours pour vérifier si l'opération n'a pas d'effets anticoncurrentiels sur le marché de la télévision payante en France. Bruxelles s'inquiète notamment de la position très forte de Vivendi (actionnaire de SFR), via sa filiale Canal+, dans le secteur de la télévision payante en France, tant sur le marché de la distribution que sur celui de l'acquisition des droits. Ce nouveau délai pose des problèmes de stratégie à SFR qui comptait profiter du vivier des quelque 300 000 abonnés à l'offre FAI de Tele2 pour lancer une offre triple play s'appuyant sur le réseau Neuf Cegetel. (...)
(21/03/2007 12:45:21)Décès du père de Fortran
John Backus, créateur américain du Fortran, le premier langage de programmation populaire, est décédé samedi 17 mars à l'age de 82 ans de causes naturelles. Après avoir rejoint IBM en 1950, John Backus débuta des travaux de recherche visant à simplifier la programmation. Et, dans cette perspective, fut encouragé par Big Blue à créer un groupe de travail. Les premiers jets de ce qu'allait devenir le compilateur Fortran aboutirent en 1957. Fortran (Formula Translating) devait offrir aux scientifiques et aux ingénieurs un langage plus accessible, car basé sur les formules mathématiques communes. Non seulement Fortran simplifiait le partage de code, mais également permettait de mieux formuler les programmes. Fortran est par ailleurs toujours très utilisé dans la sphère scientifique. Cet insatiable chercheur, qui estimait qu'on pouvait encore simplifier la façon de programmer, avait également collaboré avec le Danois Peter Naur autour d'une notation censée décrire la structure des langages de programmation, baptisée Backus-Naur Form (BNF). Au centre, l'idée de formaliser la programmation comme une grammaire linguistique, mais en remplaçant ses composants (verbes, noms, adjectifs) par les variables et des opérateurs. John Backus fut récompensé en 1977 d'un Turing Award. Il fut fidèle à IBM jusqu'à la retraite, qu'il prit en 1991. (...)
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