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(19/03/2007 15:49:41)

Cebit 2007 : L'Europe veut imposer le DVB-H

A l'occasion du Cebit de Hanovre, Viviane Reding s'est prononcée en faveur de l'adoption par les Européens de la norme DVB-H. "Avec un marché mondial estimé à 11,4 milliards d'euros en 2009, la télévision mobile offre à l'Europe la possibilité de combiner ses atouts en communications mobiles avec la richesse et la diversité de son secteur audiovisuel", a déclaré la commissaire européenne en charge des Télécoms. Celle-ci s'est déclarée déçue par les travaux de l'European Mobile Broadcasting Council (mis en place par la Commission en juillet 2006) qui n'ont pas permis à ses membres de se mettre d'accord sur une norme commune. "Je m'attendais à mieux en termes de solutions proposées", a déclaré la commissaire européenne. Rappelant ensuite que la Bruxelles avait investi 40 millions d'euros dans la recherche en ce domaine et que l'Europe avait déjà réussi à imposer la norme GSM, Viviane Reding s'est dite convaincue que seule la DVB-H permettrait de réaliser les économies d'échelle nécessaires pour assurer le succès commercial de la télévision mobile « en Europe et partout dans le monde". Selon elle, les essais effectués en Allemagne pendant la Coupe du monde de football 2006 ainsi que le lancement des premiers services commerciaux en Italie et en Finlande sont des exemples à suivre. La Commission souhaite gagner la course de vitesse qui l'oppose à l'Asie et aux Etats-Unis. La Corée du Sud tente d'imposer sa propre norme (DMB pour Digital Multimedia Broadcasting) tandis que la Chine développe la sienne en vue des JO de Pékin. De son côté, l'Américain Qualcomm a pris pied en Grande-Bretagne où BSkyB teste la technologie MediaFlo. C'est pourquoi Viviane Reding s'est fixé comme objectif l'adoption de la norme DVB-H avant l'Euro 2008. (...)

(19/03/2007 14:36:48)

SaaS Summit 2007 : Microsoft reprend le refrain SaaS

Même si Microsoft n'est pas encore au centre de l'arène Saas (Software as a service) dans laquelle évoluent les éditeurs qui fournissent leurs applications en ligne et à la demande, comme un service, l'éditeur de Windows envisage cette façon de vendre ses logiciels comme un bon moyen d'augmenter son chiffre d'affaires. C'est en substance les propos tenus par l'un de ses représentants, à l'occasion du SaaS Summit 2007 qui s'est tenu à Monterey (Californie), du 14 au 16 mars. Cliff Reeves est responsable chez l'éditeur de l'équipe chargée de découvrir de nouveaux gisements de développement. Pour lui, Microsoft est bel et bien un acteur de la sphère SaaS. Entre des applications comme la plateforme Office Live, les services hébergés autour de la messagerie Exchange et le futur Dynamics CRM Live (présenté au même moment par le PDG Steve Ballmer à la conférence utilisateurs Convergence), Microsoft possède déjà un ensemble important de produits délivrés sous forme de services. « Un éventail plus significatif que la plupart des autres acteurs intervenant sur le marché SaaS, juge Cliff Reeves. C'est une source de croissance financière énorme pour nous. » Il évoque aussi une autre piste qui conduirait Microsoft à développer des versions hors-ligne pour les applications SaaS. Microsoft prévoit des partenariats pour fournir d'autres types de services applicatifs. Cliff Reeves cite des accords avec Rearden Commerce qui propose de gérer les achats de fonctionnement (procurement) en ligne, ainsi qu'avec American Express qui complète cette offre avec des outils d'analyse de données. Etre capable de transformer un essai d'utilisation en abonnement payant Pour preuve de l'intérêt des grandes fournisseurs pour les applications en ligne, alors que le SaaS Summit battait son plein, Cisco annonçait son intention de racheter, pour 3,2 milliards de dollars, la société WebEx qui délivre des services de collaboration en ligne sur le modèle SaaS. « La démarche SaaS va plus loin que la simple fourniture de logiciel à un client, estime Treb Ryan, PDG d'OpSource, organisateur du SaaS Summit et lui-même hébergeur et pourvoyeur de services pour les éditeurs souhaitant proposer leurs produits en ligne. Selon lui, un fournisseur de solutions SaaS doit penser comme une entreprise dont le modèle d'activité repose sur le Web, c'est-à-dire être sans cesse à la recherche de meilleurs modes de fonctionnement, recourir aux développements itératifs, mettre l'accent sur le marketing et la recherche de nouveaux utilisateurs. « Les meilleurs éditeurs SaaS sont ceux qui offrent le plus de facilités aux entreprises et aux utilisateurs pour accéder à leurs produits et les tester et qui, ensuite, sont capables de transformer cet essai en abonnement payant. » Le mode SaaS permet aussi aux utilisateurs de se conformer aux réglementations légales ou administratives (celles imposées par la loi Sarbanes-Oxley, par exemple). Treb Ryan pointe aussi l'intérêt du concept SaaS 2.0 qui permet aux applications SaaS d'être reliées à d'autres services sur le Web pour disposer de fonctions comme la facturation et la gestion de documents. « Cela permet aux éditeurs de logiciels en ligne de se concentrer sur les domaines qu'ils maîtrisent le mieux ». Distribution indirecte : des services à la clé Pour Ken Rudin, PDG fondateur de LucidEra, fournisseur de fonctions décisionnelles en ligne, le modèle SaaS, ou « à la demande », dépasse largement la notion d'hébergement de logiciel. L'hébergement consiste simplement à déplacer le lieu d'exploitation du logiciel, des locaux de l'entreprise à ceux de l'hébergeur. Or, fournir un logiciel « à la demande » ne se limite pas à cela. Ce type d'application se doit avant tout d'être simple dans sa mise en route, dans son utilisation et dans son mode d'achat. Quand on lui demande quels sont les logiciels qui conviennent le mieux à ce mode d'utilisation, il répond par une question : « je demanderais plutôt, quels sont les produits dont l'exploitation ne se ferait pas plus facilement sous forme de service ? ». Argument que réfute Mark Binford, responsable du développement commercial chez BMC. « Je ne partage pas l'idée selon laquelle n'importe quelle solution serait plus facile à utiliser sous forme de service. Les logiciels installés de façon classique, dans l'entreprise, vont continuer à être utilisés sous cette forme pendant très longtemps, selon moi. » BMC édite des logiciels de gestion des services et voit surtout dans le mode SaaS un moyen d'accéder au marché des PME. Sur le plan de la commercialisation des logiciels, enfin, le modèle SaaS pose quelques problèmes lorsqu'il s'agit de s'appuyer sur un réseau de distribution indirect. Les revendeurs ont l'habitude de vendre le logiciel en réalisant une marge. Or, dans un monde SaaS, il faut passer de la vente de licence classique à la fourniture d'un contrat de valeur globale. Pour s'y retrouver, les revendeurs doivent donc apporter en plus des prestations de conseil. (...)

(19/03/2007 12:23:15)

Un nouveau test pour les bases de données

Après 14 ans de bons et loyaux services, le standard de test de base de données TPC-C est devenu trop lourd et trop cher. Le Transaction Protocol Council vient de le remplacer par un nouveau standard appelé TPC-E. Comme son prédécesseur, ce test mesurera la vitesse des transactions des différentes bases de données du marché. Pour cela, il simule l'activité de courtiers sur une bourse d'échange, en appellant des informations contenues dans 33 bases de données différentes, au lieu d'une seule pour l'ancien TPC-C. Le TPC-E sera moins coûteux à implémenter car il devrait demander moins de puissance matérielle. Et car le Transaction Protocol Council fournira le code nécessaire aux éditeurs pour l'utiliser, au lieu de leur demander de développer individuellement suivant ses spécifications. (...)

(19/03/2007 14:34:52)

Cebit 2007 : les organisateurs se félicitent d'une affluence en hausse

Irrités de voir la presse titrer sur un éventuel déclin du Cebit, les organisateur de la grand-messe de Hanovre ont tenu à faire le point à mi-parcours. Intervenant lors d'une conférence de presse, Ernst Raue, du conseil d'administration de la Deutsche Messe, a indiqué qu'avec bien plus de 200 000 visiteurs en trois jours, le Cebit avait déjà battu un record d'affluence par rapport à l'an dernier : « Nous sommes heureux de vous dire que le Cebit a démarré de façon très forte. Nous avons un bon nombre de visiteurs, 10% de plus qu'au même moment l'année dernière. » L'absence de certains grands noms de l'industrie ainsi que l'annonce d'un plan de restructuration par les organisateurs ont pu laisser penser que le Cebit allait suivre la même voie que d'autres expositions géantes comme le Comdex, qui ont fini par imploser de leur gigantisme ; à force de tout embrasser, le Comdex de Las Vegas avait fini par perdre son positionnement professionnel et donc toute légitimité aux yeux des principaux exposants. Les exposants se disent agréablement supris A quelques heures de l'ouverture du salon, le Dr Sven-Michael Prueser, vice-président senior du Cebit, avait confié à Network World (groupe IDG) que les exposants indiqués comme « manquants » étaient en réalité présents au travers des différents stands de leurs partenaires. Et que si certains salons comme le 3GSM de Barcelone étaient bons pour y faire la fête, le Cebit restait le lieu pour faire de vraies affaires. Avis partagé par des acteurs locaux qui ont choisi d'être présents. « Pour être vraiment honnête, quand nous avons pris la décision de nous rendre au Cebit cette année, nos attentes n'étaient pas immenses, car d'après ce que nous lisions dans la presse, nous pensions que ce serait moins animé que l'an dernier, raconte Stefan Engel, directeur général d'Acer Allemagne. Mais quelques jours sont passés, et ils ont été bien plus occupés que l'année dernière. » « C'est le salon le plus grand et le plus important pour le marché européen, ainsi que de loin le plus grand salon du monde, donc nous restons ici, explique Achim Berg, directeur général de Microsoft Allemagne. Pour nous, ainsi que pour nos clients et nos partenaires, c'est très important d'être là. » « Beaucoup de journalistes sont ici, tous les revendeurs importants sont là, il y a beaucoup de public, plus que ce à quoi nous nous attendions, indique de son côté Franck Bolten, directeur général de Shard Allemagne. Le Cebit 2007 est plutôt une réussite pour nous. » Pas un lieu pour annoncer de nouveaux produits Stefan Engel reconnaît toutefois que le Cebit devient davantage un lieu pour rencontrer des clients potentiels que pour lancer de nouveaux produits. Si des habitués nous confiaient en effet voir beaucoup moins de monde lors des premiers jours, plutôt réservés aux professionnels, les allées se sont noircies dès le samedi matin, par une foule venue tester les derniers jeux vidéos, voir les derniers téléphones mobiles ou lecteurs MP3, et faire le plein de « goodies », ces petits objets promotionnels distribués par poignées entières. Sharp dit avoir attiré énormément de monde grâce à sa télévision LCD Full HP de 108 pouces, « la plus grande du monde » dans cette technologie. En 2008, le Cebit se tiendra sur six jours, soit un jour de moins, et, au lieu de commencer le jeudi, démarrera le mardi pour se terminer le dimanche. (...)

(19/03/2007 10:05:46)

IBM renouvelle ses solutions décisionnelles avec Dynamic Warehouse

IBM livrera à la fin de ce mois les produits issus de sa stratégie Dynamic Warehouse qu'il décrit comme la troisième génération de solutions bâties autour des entrepôts de données (datawarehousing), après les outils de requête/reporting et les logiciels d'analyse multidimensionnelle (OLAP, online analytical processing). Le fournisseur vient d'en faire l'annonce au Gartner Business Intelligence Summit qui s'est tenu à Chicago, du 12 au 14 mars. Dynamic Warehousing s'appuie sur une nouvelle version de l'entrepôt de données DB2 Warehouse, qui repose sur la base de données DB2 9 « Viper », conçue pour supporter les montées en charge d'utilisation sur les applications décisionnelles. DB2 9 apporte ses fonctions avancées de partitionnement et sa technologie de compression de données permettant de réduire les coûts de stockage. DB2 Warehouse fournit les fonctions d'ETL (extraction, transformation, loading) permettant de constituer l'entrepôt à partir de sources multiples en réalisant l'extraction des données, leur transformation et leur chargement dans la nouvelle base. La nouvelle version de DB2 Warehouse est proposée en plusieurs déclinaisons : Starter, Intermediate et Advanced, s'ajoutant aux actuelles Base Edition et Enterprise Edition. Des packages incluant logiciel et matériel pour les PME IBM vient également d'annoncer, sous le nom générique d'IBM Balanced Warehouse (une évolution de l'offre Balanced Configuration Unit), une gamme de solutions préconfigurées comprenant le logiciel, le matériel et le système de stockage. Il la décline en trois lignes : C-Class pour les PME, E-Class pour la grande entreprise et D-Class pour des entrepôts départementaux sous Linux. Comme nous l'avions annoncé au début de ce mois, les versions PME de cette offre ont été réalisées en partenariat avec Business Objects. Le produit IBM Balanced Warehouse C1000 comprend des solutions matérielles et de stockage préconfigurées comprenant DB2 Warehouse Starter Edition d'IBM ainsi que la solution Crystal Reports Server de Business Objects. Quant à l'offre IBM Balanced Warehouse C3000, elle est proposée avec Business Objects Crystal Decisions, la toute nouvelle plate-forme mise au point par Business Objects pour le marché des entreprises de taille moyenne. Celle-ci apporte des outils de reporting ad-hoc, de requête, d'analyse et de tableaux de bord, ainsi que ses capacités d'intégration aux logiciels bureautiques Microsoft Office et au portail Microsoft Sharepoint. (...)

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