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(20/03/2007 00:00:00)

Les Rencontres CIO du Décisionnel 2007 - 6 mars 2007

L'importance du décisionnel dans le suivi de la transformation des risques : Patrick Le Nôtre, Directeur de la Stratégie Finance chez SAS (...)

(20/03/2007 00:00:00)

Les Rencontres CIO du Décisionnel 2007 - 6 mars 2007

Optimiser la gestion des risques opérationnels par Philippe Wartel, Associé - Consultant en gestion des risques chez EIDIS (...)

(19/03/2007 18:03:26)

Accès Internet : 51% de plaintes supplémentaires en 2006

L'Afutt (Association française des utilisateurs des télécommunications) publie son observatoire annuel (2006) des plaintes et des insatisfactions dans le secteur des communications électroniques (fixe, mobile et internet). En 2006, l'association a reçu près de 12 000 plaintes, en hausse de 35% par rapport à 2005 et 106% par rapport à 2004. « Incontestablement, ces chiffres sont le reflet d'une certaine dégradation de la qualité de service » relève l'Afutt. Tous secteurs confondus, les litiges portent prioritairement sur la qualité de fonctionnement, la livraison, l'installation et les interruptions de services (voir tableau). Les FAI mauvais élèves Peu de surprise, la majorité des griefs porte sur les services triple play des FAI (64%), suivi de loin par les plaintes envers les opérateurs mobiles (21%) et les services fixes traditionnels (15%). Le secteur Internet est en forte hausse. Le sujet apparaît comme « préoccupant » selon l'Afutt. La téléphonie mobile quant à elle, en baisse depuis quelques années, repart à la hausse tirée par les plaintes envers les MVNO (+ 555% !). Alice, peut mieux faire Sur l'Internet et services IP associés, l'essentiel des plaintes porte sur la qualité de service (débit, qualité audio, indisponibilité du service...) et les problèmes d'installation. L'Afutt relève notamment de graves dysfonctionnements sur les procédures de dégroupage et comptabilise de nombreux « écrasements à tort ». Viennent ensuite les problèmes de résiliation, de facturation, de vente forcée et de services clients. Alice se classe première du podium des générateurs de plaintes (ratio plaintes/parc de 2,80), suivie de près par Free (1,98) et Club Internet (1,92). Orange fait figure de bon élève (0,26). Les plaintes sont diluées dans le nombre d'abonnés. Alice a dû notamment faire face à une évolution technique de son réseau et à une croissance exponentielle de son activité. Les choses devraient s'améliorer courant d'année. Polémique sur le 100% illimité de France Télécom Sur le fixe classique (réseau téléphonique commuté), les litiges portent essentiellement sur les problèmes de facturation, notamment les fraudes des kiosques micro (ou "dialers"). L'Afutt relève aussi des contestations contractuelles, dues notamment à l'offre « 100% illimité » de France Télécom, commercialisée puis subitement retirée du marché. La vente forcée, comme toujours, revient régulièrement chez les opérateurs alternatifs. Les MVNO plombent les résultats du mobile Afin de dégager des tendances globales par secteurs (fixe, mobile, internt), l'Afutt a calculé un ratio plaintes/parc qui permet de faire ressortir les mauvais élèves de chaque groupe. Sur le mobile, pas de surprise, les MVNO tous confondus arrivent en tête (18,8) suivis de très très loin par Bouygues Télécom (1,015), SFR (0,671) et Orange (0,666). Les motifs sont principalement liés aux conditions de résiliations anticipées, les litiges sur les contrats (notamment chez NRJ Mobile), les facturations non justifiées, le recouvrement et le SAV. Globalement, l'Afutt critique des pratiques commerciales trop agressives et des technologies pas toujours bien maîtrisées. (...)

(19/03/2007 17:23:18)

Citrix s'offre un outil de test de montée en charge

Citrix a racheté un éditeur écossais, ThinGenius, qui avait commencé en 2002 à développer un outil de test de montée en charge pour les environnements Citrix. TLoad Technology peut simuler un nombre variable d'utilisateurs, afin de tester le dimensionnement d'une architecture ICA (le protocole utilisé par Citrix pour déporter les interfaces applicatives sur les postes utilisateurs). Citrix ne disposait jusqu'à présent que d'un outil de surveillance, EdgeSight. Par ses capacités de simulation, TLoad offre la possibilité de réaliser des tests en amont, avant la première mise en production, puis avant toute modification de la configuration. (...)

(19/03/2007 17:02:02)

Ecoles d'ingénieurs : mutualiser ses forces pour rester dans la course

Par un drôle de paradoxe, d'un côté le secteur de l'informatique est extrêmement tendu et les prévisions osent chiffrer 600 000 informaticiens à horizon 2015, de l'autre les jeunes diplômés sont très recherchés mais il y a pléthore de formations dont certaines semblent souffrir. Deux raisons majeures peuvent être avancées : une rude concurrence entre les écoles et la désertion annoncée des jeunes qui conduit le Syntec Informatique à promouvoir l'image des métiers de l'informatique dans une campagne intitulée « changeursdemonde ». Lors de son lancement, Thierry Siouffi, vice-président du Syntec Informatique, a martelé « qu'il fallait en finir avec l'image de l'informaticien », représenté dans l'imaginaire collectif comme solitaire, voire autiste... L'heure semble donc relativement préoccupante pour qu'au moins deux écoles de renom et d'expérience, l'Esigetel (Ecole supérieure d'ingénieurs en informatique et génie des télécommunications), et Supmeca pensent aux meilleurs moyens pour se démarquer et parviennent à une conclusion similaire à l'issue d'une réflexion qui a commencé en 2006 : rester seule revient à se condamner à disparaître.

Des filières suivant l'évolution de l'emploi


L'Esigetel a fêté ses 20 printemps quelques mois après avoir fait le choix de se constituer en association. Son directeur Nacef Berkoukchi en a profité pour dessiner l'avenir en quatre axes : formation ; rayonnement international ; recherche appliquée ; ancrage avec les entreprises. « En termes de formation, nous réfléchissons aux nouvelles filières qui suivent l'évolution de l'emploi. 60% de nos cours sont assurés par des professionnels, nous allons proposer deux masters spécialisés en 2010 qui concernent les réseaux et télécoms ainsi que les services. » L'Esigetel n'est pas encore adhérente à la Conférence des Grandes Ecoles mais elle met tout en ?uvre pour entrer dans ce cercle très fermé et suit à la lettre les préconisations du rapport Hetzel et des ministres de l'Enseignement supérieur et de la Recherche d'une part et de l'Industrie d'autre part, qui ont pris conscience des lacunes de la recherche française et multiplient les actions en ce sens : François Loos (ministre de l'Industrie) a annoncé vouloir donner une visibilité internationale aux écoles des Mines et avec François Goulard (ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche), ils ont signé un contrat quadriennal avec l'Inria. Au-delà des symboles, les ministres ont rappelé l'importance d'une visibilité sur le plan international d'une part, et d'autre part, la nécessité de rapprocher davantage encore les entreprises du secteur high-tech des écoles ou des universités pour mutualiser la recherche en vue d'être performantes et innovantes.

Rapprochement avec les entreprises


Sur le premier point, Nacef Berkoukchi annonce « vouloir faire venir davantage d'Erasmus à l'Esigetel et qu'en 2010, 30% de nos étudiants soient trilingues, étape nécessaire pour rayonner dans le monde. Aujourd'hui, tous nos étudiants doivent faire un stage à l'étranger mais ces stages sont malheureusement encore trop courts. » Quant au rapprochement avec les entreprises, le directeur souligne la nécessité « d'accentuer l'implication des entreprises du 77. Nous allons également lancer un contrat en alternance et créer un club de partenaires autour des métiers émergents. » Dernier axe, la recherche. « L'Esigetel est membre du polytechnicum de Marne-la-Vallée. Nous sommes également partenaires avec l'université de Marne-la-Vallée pour que nos élèves puissent obtenir des licences en informatique ou en électronique par équivalence. Nous souhaitons que 10% de nos étudiants soient inscrits en thèse de doctorat en 2012 et allons poursuivre des partenariats avec des laboratoires de recherche. Nous avons 12 personnes en recherche appliquée et l'ambition de monter ce chiffre à 24 en 2012 », conclut Nacef Berkoukchi.

Des synergies dans l'aéronautique et l'informatique


L'enthousiasme du directeur de l'Esigetel est partagé par Supmeca (Institut supérieur de mécanique de Paris, un demi-siècle cette année) et l'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information). Le rapprochement des deux écoles a été officialisé en avril 2006 dans le but de créer, à terme, un INP (Institut National Polytechnique). D'ailleurs, à la rentrée 2007, l'Eisti intègrera le même concours que Supméca (Concours Communs Polytechniques). L'opération s'avère « une opération très réussie » pour les deux parties qui ont échangé et partagé leurs compétences pour proposer à leurs étudiants une plus grande diversité de formations et d'opportunités à l'international. Elle a également permis d'effectuer des travaux de recherche pointus dans le domaine de l'aéronautique, à la demande d'un acteur issu de l'industrie aéronautique française. Associées à l'Ensea (Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications), Supméca et l'Eisti ont collaboré à la réalisation d'un système de commandes électriques destiné aux avions de tourisme. Le prototype devrait être présenté au Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace de Paris (le Bourget du 18 au 24 juin 2007). Enfin, le rapprochement a permis une meilleure coopération en matière d'enseignements informatiques : les étudiants de Supméca ont suivi des cours dispensés par les enseignants de l'Eisti sur des thématiques non enseignées à Supméca (l'option « ingénierie financière » est prévue pour 2008) et de leur côté, les élèves de l'Eisti se verront proposer la possibilité de suivre les options « systèmes de production » et « mécatronique » qu'ils pourront suivre à Supméca. (...)

(19/03/2007 17:00:15)

Les crèches d'entreprises et le coaching pour se sentir mieux au travail

Les analyses sur le management se multiplient au même rythme que les salons qui réunissent les professionnels du recrutement, et une tendance semble se dégager : faire le bonheur du salarié dans l'entreprise afin qu'il soit plus performant ! Cette évidence revêt plusieurs aspects : pour Futur Telecom, opérateur télécom spécialisé sur le marché des entreprises qui s'est installé à Marseille en 2001 et compte aujourd'hui plus de 100 salariés, cela passe par une participation à la crèche inter-entreprise du pôle d'affaires Euroméditerranée. Futur Telecom anticipe une situation qui existe - comment faire garder un enfant non-scolarisé lorsqu'on travaille - mais qui risque de s'aggraver dans les prochaines années, en raison de l'évolution démographique, du taux d'activité croissant des deux parents, de la constante progression du travail en horaires décalés et de l'augmentation des familles monoparentales. Autre initiative : une prime de 500 E que L4-Logistics (éditeur de solutions logicielles et prestataire logistique pour le e-commerce, la VAD et les réseaux de distribution) donnera à ses salariés qui ont arrêté de fumer (49% de fumeurs sur un site de 85 collaborateurs au total), suite à l'opération « Ensemble contre le tabac ». Cette initiative vise à accompagner les salariés qui souhaitent arrêter la cigarette dans le cadre de l'adoption du décret sur le tabac entré en vigueur le 1er février 2007. Quant à Horses Coaching, cette structure propose tout simplement de manager un cheval pour mieux manager ensuite les hommes dans l'entreprise. C'est, selon ses dirigeants, « une expérience vivante où le cheval intervient comme un révélateur fiable des comportements, un effet miroir. Il s'agit ni plus ni moins d'utiliser les capacités du cheval à percevoir et à réagir de manière immédiate aux attitudes de leader en instituant un rapport de confiance et en gommant tout sentiment de défiance ou d'appréhension ! Et contrairement au chien... il ne s'agit pas de rapport dominant/dominé ! » Tous ces apports semblent montrer une innovation des cabinets de conseil et de coaching qui anticipent la démotivation des salariés et tentent de la juguler ! (...)

(19/03/2007 16:34:25)

Cebit 2007 : Moins d'oxygène pour des salles de serveurs plus sûres

Refroidir les salles de serveurs n'a pas que des avantages économiques et écologiques. La chaleur dégagée par des serveurs de plus en plus puissants accroît également les risques d'incendie. Pour ceux qui ne veulent pas investir dans des techniques de refroidissement ou qui préfèrent doubler les précautions, certaines sociétés proposent de retirer une partie de l'oxygène de l'air. En effet, ce gaz est indispensable à la combustion, et l'air en contient 21 % en temps normal. Si ce taux baisse, le risque d'incendie diminue voire devient nul. Au CeBit de Hanovre, deux sociétés allemandes ont montré des prototypes visant à abaisser ce taux d'oxygène, tout en maintenant une atmosphère respirable pour les employés. Wagner Alarm and Security Systems propose ainsi des compresseurs électriques pour abaisser la proportion d'oxygène dans l'air à 15% (équivalent à l'atmosphère de haute montagne). L'oxygène extrait est alors rejeté à l'extérieur de la salle. N2tellingence propose au contraire d'enrichir l'atmosphère avec de l'azote issu de générateurs à hydrogène qui produisent également l'électricité, le chauffage et l'humidité nécessaires à la maintenance d'une salle informatique. Chaque générateur contient deux réservoirs de cinquante litres d'hydrogène. Interrogées, les deux sociétés ont refusé de chiffrer le coût de leurs produits, prétextant qu'il varie d'une salle de serveur à l'autre. N2telligence a toutefois précisé que son système est plus particulièrement adapté aux petites salles. Sur le même sujet : -Retrouvez toutes nos actualités, nos photos et nos reportages vidéos dans notre dossier : Le Cebit 2007 comme si vous y étiez -De la terre et des arbres pour refroidir les datacenters -Un consortium pour que les datacenters passent au vert (...)

(19/03/2007 15:52:10)

Annuels Devoteam : les prévisions sont dépassées

Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 266,7 M€ (+34%) Bénéfice net : 16 M€ (+29%) Devoteam boucle son exercice fiscal 2006 en publiant un chiffre d'affaires supérieur aux attentes des analystes et à celui que le groupe prévoyait de réaliser à la fin du premier semestre. Le revenu s'élève ainsi à 266,7 M€ et progresse de 34% sur un an. La SSII profite notamment de l'arrivée dans son giron de nouvelles filiales acquises à l'étranger dont Tertio et Guidance en Angleterre et au Benelux, ainsi que d'autres sociétés situées en Scandinavie et au Maroc. Autant d'acquisition qui permettent aux activités réalisées à l'étranger de représenter 35% du chiffre d'affaires total, contre 25% un an plus tôt. L'exercice 2006 est également marqué par une progression de la rentabilité : la marge d'exploitation s'élève à 22,4 M€ - soit 57% de plus qu'en 2005 - et représente 8,4% des revenus, contre 7,2% au cours de l'exercice précédent. Même tendance en ce qui concerne le résultat net : il s'affiche en hausse de 29%, à 16 M€. Devoteam débute son exercice 2007 en estimant que « le contexte favorable du marché se poursuivra » au cours de l'année. La SSII table sur une progression de son chiffre d'affaires d'au moins 20%, et de sa marge opérationnelle de 25%. (...)

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