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(13/03/2007 00:00:00)
Interview vidéo de Patrick Bertrand, Directeur général du groupe Cegid
Propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en chef, lemondeinformatique.fr (...)
(12/03/2007 17:11:26)Un serveur lame pour les débuts de l'alliance Sun-Intel
Quatre ans après l'échec de ses serveurs lames en 2003 et le lancement de serveurs avec ses processeurs UltraSPARC, Sun revient sur ce marché avec un nouveau partenaire. Cette fois-ci, Intel fournira le processeur. En effet, les deux compagnies ont choisi ce type de serveur pour être le premier exemple concret de leur partenariat annoncé en janvier dernier. Selon David Simmons, directeur des produits X64 de Sun, ce premier serveur devrait être suivi par deux serveurs en rack, l'un avec deux processeurs et l'autre avec quatre. Sur un marché dominé à 80% par IBM et HP, Sun compte sur les processeurs d'Intel pour fournir un serveur lame plus compétitif, avec plus d'entrées/sorties et de mémoire pour un prix dans les standards du marché. Toutefois pour Jon Clabby, du cabinet Clabby Analytics, « le retard de Sun sur le marché des serveurs lames ne lui permet pas d'être parmi les trois premiers vendeurs pour l'instant. Il faudra des années pour qu'ils y arrivent. » D'autant que pour l'instant, aucun détail n'a été donné sur ce nouveau modèle attendu pour juin, en même temps qu'un serveur lame basé sur un processeur SPARC maison. (...)
(12/03/2007 16:45:06)Les ordinateurs américains passent sans souci à l'heure d'été
Pas de souci informatique majeur pour le passage à l'heure d'été aux Etats-Unis (daylight-saving time), qui s'est effectué dans la nuit de dimanche à lundi, avec trois semaines d'avance sur le calendrier habituel. Ce petit changement de date aura néanmoins coûté beaucoup. Aux éditeurs pour distribuer les mises à jour nécessaires, et aux entreprises clientes pour tester leurs environnements et appliquer les rustines le cas échéant. Si les DSI américains se félicitent en effet du travail accompli depuis plusieurs mois par leurs équipes pour faire de ce jour un non-événement, ils regrettent d'avoir dû consacrer du temps et détourner des ressources humaines de projets métier afin de régler cela, d'après plusieurs témoignages recueillis par IDG News Service. Cameron Haight, analyste de Gartner, explique qu'en fait les politiciens, qui ont adopté cette mesure en 2005, n'avaient pas du tout conscience des problèmes que cela allait engendrer. Il raconte qu'un des principaux soutiens de la mesure, député démocrate du Massachusetts, expliquait sur son site Web que cela ne représenterait pas de grand souci pour les utilisateurs d'ordinateurs. « Le site dit de pointer son navigateur sur la page de Microsoft où télécharger le patch, ce qui est bien trop simpliste pour une salle de serveurs. Clairement, [les politiciens] ne comprennent pas tous les effets en cascade, particulièrement dans le monde professionnel. » Du côté du député démocrate, on répond que même si les changements ne sont pas si simples pour les départements informatiques des grandes entreprises, « les bénéfices en termes d'économie d'énergie en valent la peine ». Les Américains devraient ainsi économiser 4,4 Md$ d'ici à 2020, éviter la construction de trois centrales électriques et épargner à la planète 10,8 millions de tonnes d'émissions de CO2. (...)
(12/03/2007 16:19:53)La Nasa a fourni le processeur derrière l'ordinateur quantique
L'annonce en février dernier de la mise au point du premier ordinateur quantique par la start-up D-Wave avait fait grand bruit. Certains universitaires doutaient de la validité de l'expérience lorsque la démonstration s'était faite à distance, l'ordinateur restant dans les locaux de la société à Vancouver. La Nasa (National aeronautic and space administration) a décidé de lever les doutes en révélant avoir construit pour le compte de D-Wave le processeur au coeur de cet appareil. D-Wave a conçu le processeur et les ingénieurs du Microdevices Laboratory (MDL), qui fait partie de la division Jet propulsion de la Nasa, l'ont construit. « Le MDL travaille sur la technologie quantique, y compris le calcul quantique, depuis une dizaine d'années. La fabrication de superconducteurs à ce niveau requiert des appareils et des températures extrêmement basses (de l'ordre du millikelvin) tout comme la plupart de nos capteurs », explique Alan Kleinsasser, responsable du département de technologie quantique au MDL. (...)
(12/03/2007 16:06:01)La gestion du risque mise en chaires à Polytechnique, Dauphine et l'Ecole des statistiques
Avec la Fondation du risque, inaugurée le 7 mars à Paris, c'est à la fois la communauté de la science du risque (cindynique) et l'école française de mathématiques appliquées et d'informatique, bien connue des salles de marché et de l'actuariat des compagnies d'assurances (application de méthodes statistiques pour la simulation, la modélisation, etc.), qui prennent position pour assurer « un rôle pérenne dans le développement et le rayonnement de la recherche française » dans ce domaine. Et ce, sous le statut privé de fondation qui garantit une certaine souplesse d'initiative et l'apport de moyens conséquents. A la dotation en capital d'un million d'euros constituée par les quatre firmes fondatrices, AGF, Axa, Groupama et la Société Générale, s'ajoute une dotation pour le fonctionnement de 5 millions d'euros par an. De quoi organiser, dans un premier temps, quatre chaires d'enseignement et de recherche orientés vers la finance et l'assurance, qui pourront ensuite s'étendre à d'autres types de recherche (environnement, gestion des risques sur les territoires, etc.). Ces chaires concrétisent la mise en commun des savoirs et savoir-faire amorcée, depuis 2004, entre quatre institutions : le Centre d'études actuarielles, l'Ecole nationale de la statistique et de l'administration économique (Ensae), l'école Polytechnique et l'université Paris-Dauphine. Au programme, la multidisplinarité et la transversalité. Finances, santé, risques majeurs, comportements Les travaux sur le risque nécessitent en effet la contribution de compétences en mathématiques, en droit, en économie, en sciences de la vie et sciences de l'ingénieur, comme l'illustrent, d'ailleurs, les thèmes des chaires. A savoir : - les « risques financiers » ou la prise en compte des fluctuations des marchés qui donnent lieu, déjà, à deux masters organisés par Polytechnique et l'université Paris-VI, et par l'Ecole des Ponts et Chaussées et l'université de Marne la Vallée ; - « l'évaluation et la gestion des risques » qui vise une formation organisée au Centre d'études actuarielles, ouverte à des étudiants et des professionnels ayant une solide culture mathématique et économique ; - la chaire « assurance et risques majeurs » (catastrophes naturelles, terrorisme, risques sanitaires) qui concerne le management des entreprises d'assurance (calcul des réserves, etc.) et les mécanismes de capitalisation associés ; - « les particuliers face aux risques : analyse et réponse des marchés », un thème impliquant des capacités de modélisation et d'analyse des comportements, qui associe des compétences en math/informatique, en psycho-sociologie, en marketing et en économie ; - la chaire « santé, risques et assurance » qui a son siège à Paris-Dauphine, sous la direction du professeur Claude Le Pen. Dans sa vocation de diffusion des connaissances et de la pédagogie du risque, cette fondation s'apprête déjà à accueillir de nouvelles contributions, établissements d'enseignement supérieur (Idei, institut d'économie industrielle de l'université de Toulouse-1, les écoles de Paristech) et entreprises (dont la Scor, société de réassurance). A noter que se prépare également, dans la même lignée de prise en compte du risque, un rapprochement entre l'Ecole nationale d'administration (ENA) et l'EISTI (école d'ingénieurs en informatique de Cergy Pontoise) pour le lancement à la rentrée de septembre 2006 d'un mastère spécialisé en « gestion des risques sur les territoires et cindynique urbaine appliquée ». Cette formation s'inscrit dans le cadre d'un pôle européen d'administration publique (PEAP) dont l'ENA est membre fondateur, auquel sont associés une vingtaine d'instituts, universités et organismes publics de divers pays de l'Union. (...)
(12/03/2007 15:57:41)Gartner peu optimiste pour les telcos européens malgré leurs bons résultats
Malgré leurs bons résultats financiers, les opérateurs télécoms présents sur les marchés matures doivent encore améliorer leurs modèles économiques afin de faire face au déclin des services traditionnels, estiment les analystes de Gartner dans une nouvelle étude. Ceux-ci ont analysé les performances des principaux opérateurs présents en Europe, en Amérique du Nord ainsi que dans la zone Asie-Pacifique, en les comparant à six indicateurs de performance (performance financière, cash-flow, endettement, coûts structurels, investissements pour le futur et création de valeur pour les investisseurs). Il en ressort que les opérateurs des pays développés sont moins rentables que ceux des pays émergents. Parmi ces derniers, France Telecom se distingue par sa vision « contrainte » du futur. Le cabinet conseille d'ailleurs aux opérateurs d'adopter une vision à long terme, de basculer rapidement vers le tout IP et d'automatiser la mise en place de nouveaux services. Parmi les autres préconisations de l'étude, citons la réduction de l'endettement afin de conserver le maximum de flexibilité et la diminution des coûts structurels, notamment en externalisant les activités non stratégiques. (...)
(12/03/2007 15:49:53)HP prêt pour le futur label Energy Star 4.0
HP annonce que trois de ses PC satisfont dès à présent à la norme environnementale Energy Star 4.0 qui entrera en application au mois de juillet. Les machines concernées, Compaq dc5700, 5750 et 7700, toutes destinées à un usage en milieu professionnel, devraient faire bénéficier leurs utilisateurs d'économies d'énergies, essentiellement grâce à un basculement plus précoce vers l'état de veille et donc une meilleure gestion de la consommation d'énergie. C'est en octobre que l'Environmental Protection Agency (ESA), l'agence américaine de protection de l'environnement, a annoncé qu'elle s'apprêtait à mettre à jour son standard Energy Star pour la première fois depuis 2000. Une raison motivée par le fait que 98% des produits présents sur le marché satisfont à la norme actuelle. Il s'agit donc de placer la barre plus haut et, in fine, de donner une valeur supérieure au label Energy Star en ne l'attribuant qu'au quart le plus méritoire des serveurs, PC portables et de bureau, stations de travail et consoles de jeu. La plupart des constructeurs ont jugé opportun de lancer des produits « verts », une démarche leur permettant d'être de bons citoyens et, par conséquent, d'améliorer leur image de marque. La semaine dernière, Dell annonçait qu'il élargissait l'étendue de son programme « Plant a tree for me » (plante-moi un arbre), permettant aux Américains de compenser les émissions de carbone liées à la fabrication et à l'usage de leurs produits IT par des dons à divers organismes environnementaux. Le groupe texan prévoit également de modifier plusieurs de ses ordinateurs pour qu'ils satisfassent, eux aussi, à la norme Energy Star 4.0. (...)
(12/03/2007 15:24:40)Une feuille de route à 5 ans pour les 98 000 emplois du logiciel embarqué
Le logiciel embarqué a tenu ses premières assises en France. C'était le 7 mars dernier, à l'instigation du Syntec, tout à sa volonté de montrer à tous le dynamisme du secteur. Aujourd'hui atomisée, cloisonnée par grands secteurs (aéronautique, automobile, défense, télécommunications, loisirs numériques, équipement électrique, etc.), mais particulièrement prometteuse, et cruciale pour la compétitivité de la plupart des secteurs d'activité, l'industrie du logiciel embarqué aborde un épisode critique de son essor en France. Selon la cartographie du secteur dressée à la demande du ministère délégué à l'Industrie, de Syntec informatique et du réseau RNTL (Technologies logicielles), aux côtés des grands industriels (63 000 emplois concernés par les systèmes embarqués), s'activent quelque 2100 entreprises, éditeurs de logiciels et prestataires de services inclus, qui emploient 35 000 personnes. Pour autant, le secteur fait preuve d'un réel dynamisme avec un chiffre d'affaires en croissance de 13% en 2006 (750 ME pour les 400 éditeurs, 3300 ME pour 1700 sociétés de services). Un secteur jeune, porteur de forte croissance Près de la moitié de ces entreprises (42%) sont nées après 1995. Autant dire que la plupart de ces entreprises ne disposent pas de la taille critique qui leur permette d'investir pour accéder à la visibilité internationale. Mais « contrairement à l'industrie du logiciel traditionnelle, les grands industriels y jouent encore un rôle déterminant », précise le rapport accompagnant cette cartographie. Vis-à-vis du foisonnement de fournisseurs de technologie, ces grands donneurs d'ordre et contributeurs se posent en promoteurs d'un décloisonnement (transversalité des solutions) qui doit porter autant sur les outils de développement que sur les systèmes d'exploitation (OS), le middleware, les bases de données. Poussé par la standardisation des composants de base (processeurs, mémoires, bus), ce décloisonnement n'est encore qu'embryonnaire. D'où la feuille de route envisagée pour les cinq ans à venir par les animateurs de ce secteur, dont les réseaux de recherche et d'innovation technologique (RNTL), les pôles de compétitivité (douze pôles cités dans la cartographie), les pouvoirs publics et Syntec informatique. Selon le Livre blanc publié le 7 mars, les cinq plans d'action qui seront élaborés d'ici à la fin de l'année 2007 portent sur : - l'ouverture et le développement du marché (décloisonnement, exigences d'interopérabilité, etc) ; - la structuration et la consolidation des fournisseurs de technologie (renforcement des fonds propres, soutien juridique, organisation des réseaux d'acteurs, etc) ; - les transferts technologiques et essaimages ; - les compétences et la formation (adéquation et/ou écart entre l'offre de formation existante et prévue à moyen terme, attractivité du secteur) ; - l'anticipation des ruptures technologiques (renforcer l'écosystème de R&D, depuis la recherche publique jusqu'à la participation aux programmes européens). (...)
(12/03/2007 15:03:30)IBM et Cisco partenaires pour la messagerie unifiée et la VoIP
IBM et Cisco annoncent pour le second semestre 2007 une plate-forme conjointe permettant de développer des solutions de communication, notamment des services voix et vidéo. L'Unified Communications and Collaboration Client Platform sera bâtie sur des technologies ouvertes telles qu'Eclipse et OSGI (Open Services Gateway initiative, qui simplifie le téléchargement et la mise à jour des modules). IBM y apportera un ensemble de fonctionnalités de son offre collaborative Lotus Sametime tandis que Cisco fournira les interfaces de communications ainsi que ses combinés téléphoniques IP. Les deux partenaires souhaitent ainsi accélérer la mise sur le marché de nouveaux services de communications unifiés. Ils envisagent d'ailleurs de mettre ultérieurement à la disposition de leurs partenaires des offres clés en main basées sur la nouvelle plate-forme. Cela permettra notamment de mettre en oeuvre la fonction « click-to-call » dans Sametime : la possibilité de cliquer dans l'application pour passer un appel voix. Il sera également possible de vérifier la présence d'un correspondant et d'engager des visioconférences. Les futures versions de Lotus Sametime et de Cisco Unified Personal Communicator seront également issues de ce programme. Une version bêta du produit sera proposée aux partenaires des deux constructeurs dès le deuxième trimestre. Pour faciliter l'adoption de la nouvelle plate-forme par le marché, IBM envisage de la mettre gratuitement à disposition, seul le support et les frais de distribution du produit étant facturés. Un programme de certification est également en cours. Citrix, Coca Cola Enterprises, Nokia, ou Research in Motion auraient déjà exprimé leur intérêt pour cette initiative. Une bataille épique en perspective entre Microsoft et IBM Big Blue et Cisco profitent de cette annonce pour renforcer leur alliance stratégique avec un accord de revente croisé. Dorénavant, les offres d'IBM intégreront les solutions Unified Communications Manager, Unity et Unified MeetingPlace de Cisco. La société de San José fera de même avec Lotus Sametime. Quelques heures avant cette annonce, Microsoft avait lui aussi profité de la conférence VoiceCon pour détailler ses ambitions sur le marché de la voix sur IP. L'éditeur y présentait des bêtas de ses premiers outils de messagerie unifiée : Office Communications Server et Office Communicator. Pour Rob Koplowitz, analyste de Forrester, on risque de se retrouver avec une nouvelle bataille « épique » entre Microsoft et IBM, « tout à fait similaire à la bataille de l'email ». Pour lui, les deux sociétés ont bien compris que ce qui différencierait les offres de PABX IP, ce serait le logiciel. Avis partagé par Mike Gotta, analyste du Burton Group. « Si vous regardez bien les annonces d'IBM, dit-il, elles renforcent le sentiment que la prochaine plateforme voix sera une abstraction logicielle, que de plus en plus de choses vont venir se loger dans la couche logicielle. [...] Les routes pour y parvenir passent par Microsoft et IBM. » La différence entre les deux routes réside dans la philosophie de chaque acteur : une plateforme ouverte aux acteurs des communications pour IBM, et une volonté de fournir un ensemble de bout en bout pour Microsoft. Avec, pour tous les deux, Cisco qui pourrait jouer le rôle d'arbitre. (...)
(12/03/2007 14:59:09)Cebit 2007 : Alcatel-Lucent sans patron européen
Alcatel-Lucent a annulé la conférence de presse que le constructeur devait tenir cette semaine lors de l'ouverture du Cebit de Hanovre, faute de combattant : son patron européen, Vince Molinaro, qui devait présider la manifestation, a démissionné. Cet ancien patron des ventes aux Etats-Unis de Lucent avait pris son nouveau poste début décembre. Mais il a finalement préféré rentrer aux Etats-Unis. Son remplaçant a été nommé, il s'agit du Français Christian Reinaudo, un ancien d'Alcatel qui travaille actuellement avec une homologue de Lucent à l'intégration des activités des deux groupes. Sachant qu'il conserve ses attributions actuelles, Christian Reinaudo n'aura pas le temps d'assurer l'engagement du groupe mercredi. Toutefois, tempère un porte-parole, « il n'y avait aucune grosse annonce prévue en particulier ». (...)
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