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(07/03/2007 15:26:56)

L'Université met la pression sur les présidentiables

"La France doit faire le choix de soutenir enfin ses universités pour se donner une chance de rester un pays qui compte dans le concert des nations." Ces mots ouvrent le rapport de la CPU (Conférence des Présidents d'Université), avec une pique qui n'aura échappé à aucun observateur : "enfin" semble nuancer fortement le travail des ministres qui se sont succédés à la tête de l'Enseignement supérieur. Puis, avant de détailler 20 propositions, la CPU rappelle 4 missions indissociables des universités : - la recherche (fondamentale et finalisée). "L'université est et doit rester la référence et l'opérateur majeur de la recherche. Le seul véritable enseignement universitaire est celui fondé sur la recherche." - La formation générale et professionnelle. "Cette mission de formation exige de faire de l'insertion professionnelle un des objectifs majeurs des universités et de réformer totalement l'accueil et le suivi des étudiants." - La valorisation économique et sociale au plus près du territoire. "L'université doit pouvoir être un acteur majeur de l'émergence des PME innovantes dont notre pays a cruellement besoin." - L'internationalisation et la contribution au rayonnement et à l'attractivité de la France. "Un contrat individuel de réussite" et une majoration des droits d'inscription La France voudrait-elle combler son retard présumé sur les autres nations en matière de recherche ? Il y a quelques mois, le rapport Hetzel insistait sur la nécessité de rapprocher l'enseignement supérieur de l'entreprise et il y a quelques semaines, François Loos annonçait vouloir faire des Ecoles des Mines un exemple sur le plan international. Aujourd'hui, les présidents d'université font preuve d'indépendance par rapport à leurs autorités de tutelle en demandant une enveloppe budgétaire de "10 milliards d'euros pour l'ensemble des activités de l'université, notamment pour assurer une dépense globale de 12 000 € par an et par étudiant. La part de l'Etat doit rester prépondérante dans ce financement." Mais ils font également preuve d'une réflexion à l'égard du système ambiant, en demandant "une majoration et une modulation des droits d'inscription accompagnée d'une révision globale du système d'aides aux étudiants", et la mise en oeuvre d'un contrat individualisé de réussite (CIR) pour chaque étudiant. Une revalorisation de la licence La CPU demande la revalorisation de la licence pour qu'elle devienne "la référence d'un post-bac réorganisé assurant une réelle égalité des chances." Jean-François Giret, chercheur au Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications) et co-auteur de l'ouvrage Des formations pour quels emplois ? (La Découverte, 2005) a analysé le parcours de 25 000 étudiants du CAP au doctorat, sortis du système éducatif en 2001 et interrogés en 2004. Il aboutit aux mêmes conclusions que les présidents d'université : "les formations professionnelles sont très appréciées par les employeurs. Par exemple, les diplômés de DUT ont un taux de chômage de 6% comparable à celui des diplômés d'écoles d'ingénieurs. De même, la licence professionnelle confère un net avantage sur le marché du travail au niveau bac +3 : moins de 5% des jeunes qui avaient obtenu ce diplôme dans une spécialité industrielle en 2001 étaient au chômage en 2004." Reste à savoir comment les équipes pédagogiques, les étudiants, les collectivités territoriales et l'Etat parviendront à discuter de ces propositions pour transformer cette équation à plusieurs inconnues, en intégrant les jeunes au marché de l'emploi sans les priver de l'érudition, l'une des spécificités de l'université française ! (...)

(07/03/2007 14:48:25)

La sécurité des passeports britanniques remise en cause

Quatre heures seulement ! C'est le temps qu'il a fallu aux équipes du journal anglais pour craquer la sécurité des nouveaux passeports biométriques anglais. En cause, une faille dans la puce radio-fréquence du passeport. Celle-ci contient en effet de façon encryptée toutes les informations imprimées sur le passeport. Pour le Daily Mail, l'expert en sécurité Adam Laurie a pu lire ces information grâce à un petit lecteur sans contact et en devinant le bon code. En effet, la clé d'encryptage n'est pas décidée aléatoirement sur ces passeports, elle est constitué du numéro du-dit passeport, de la date de naissance du détenteur et de la date d'expiration du passeport, soit 10 ans jour pour jour après sa délivrance. Des informations assez faciles à se procurer, et une fois le contenu de la puce lu, il peut alors être réintégrer dans un passeport cloné, mais aussi servir à ouvrir un compte en banque, à toucher des allocations gouvernementales ou effectuer différentes sortes de transactions dans un pays où la carte d'identité n'existe pas pour vérifier l'identité d'un individu lors d'une transaction. (...)

(07/03/2007 14:42:11)

Geomarketing : Asterop renforce ses analyses prédictives et donne accès au GeoPortail de l'IGN

Spécialiste du géomarketing, l'éditeur français Asterop développe des solutions décisionnelles pour les entreprises gérant des réseaux de points de vente (grande distribution, chaîne de franchisés, mais également les secteurs de la banque et de l'assurance). L'éditeur vient de renforcer les fonctions d'analyse prédictive de son offre et de lui ajouter un nouveau module d'analyse de territoires. Ces améliorations sont disponibles depuis quelques semaines, Asterop ayant déployé fin décembre la version 2007 de sa suite de marketing stratégique et opérationnel, Asterop GeoIntelligence, accessible notamment en mode hébergé. A la suite d'un accord avec l'IGN (Institut Géographique National), l'éditeur a par ailleurs créé un service en ligne donnant aux utilisateurs de sa suite un accès à la cartographie vectorielle de l'IGN Geoportail, ainsi qu'à ses photos aériennes géoréférencées. Celles-ci offrent une précision de 50 centimètres pour les communes de plus de 5 000 habitants et de 2,5 mètres pour les autres communes. Asterop met lui-même à disposition de ses clients une base de données détaillée sur le maillage d'implantations de points de vente et sur les typologies d'habitants, par zones géographiques. Une plateforme de calcul pour les simulations complexes A la fois proposé sous forme de licence traditionnelle et accessible en ligne, Asterop GeoIntelligence 2007 peut en outre mixer les deux modes d'utilisation. Certaines simulations dynamiques nécessitent des calculs massifs lorsqu'elles prennent en compte quelques milliers d'éléments, en incluant l'influence de la concurrence. L'entreprise ayant installé le logiciel en interne pourra alors accéder à des fonctions externes, fournies sous forme de services Web, et bénéficier de la puissance de la plate-forme utilisée par l'éditeur (calculs répartis sur plusieurs dizaines de serveurs quadriprocesseurs, précise Christophe Girardier, PDG d'Asterop). Dans la nouvelle version de la suite, le module d'analyse de territoires sert, par exemple, à identifier sur une zone géographique les secteurs concentrant les profils de consommateurs les plus intéressants pour une enseigne donnée. Quant au module d'analyse prédictive, il permet, à l'aide de modèle probabilistes, d'effectuer des simulations pour estimer, par exemple, le potentiel théorique d'un projet d'implantation de magasin. Parmi les autres applications possibles, on pourra évaluer la performance théorique d'un magasin et identifier des leviers susceptibles d'améliorer les ventes globales et les ventes par familles de produits. Sur l'ensemble d'un réseau, on peut ainsi révéler que tel magasin qui semblait performant est en fait au-dessous de son potentiel, alors que tel autre, qui n'atteignait pas ses objectifs, réalise en fait de très bons résultats compte tenu de la zone géographique où il est installé et de sa clientèle potentielle. La version hébergée d'Asterop GeoIntelligence s'adresse également aux PME (commerçants indépendants tels que les responsables de supermarché, notamment). Le service est facturé à la transaction (de 500 à 1 000 euros pour une étude) ou bien proposé sous forme d'abonnement annuel illimité, par exemple à une chaîne de franchisés, au prix de 15 000 euros par an. Asterop a également ouvert, pour les Etats-Unis, un site proposant des études d'implantation dans les quelque 50 000 centres commerciaux répartis sur le territoire américain. La base installée de l'éditeur compte environ 300 clients. (...)

(07/03/2007 13:47:05)

Résultats en hausse et offre FTTx pour les Parisiens chez Neuf Cegetel

Neuf Cegetel vient de présenter ses résultats financiers de l'année 2006. Tiré par les marchés Grand Public (872 M€, + 18% par rapport à 2005) et Entreprise (971 M€, + 7%), le CA atteint 2,897 Milliards d'euros. Le résultat net, négatif en 2005, atteint cette fois 213 M€. Il en va de même pour le cash flow opérationnel qui atteint 212 M€, en amélioration de 407 M€. Enfin, avec une marge d'EBITDA (revenus avant intérêts, impôts et taxes) de 20% hors frais liés à l'introduction en bourse du groupe, Neuf Cegetel réalise ses objectifs. Ces excellents résultats poussent le groupe à relever ses ambitions pour 2007. Une hausse du CA de 40 % pour l'activité Grand Public ainsi qu'une augmentation de 5 à 10 % pour le marché Entreprise sont désormais à l'ordre du jour. Le cash flow opérationnel devrait quant à lui doubler, l'EBITDA grimpant de son côté de 5%. L'opérateur a profité de cette annonce pour définir sa stratégie future. Il se donne pour ambition d'avoir raccordé un million de logements et d'avoir connecté 250 000 clients avant fin 2009. Les zones de déploiement devraient inclure Paris et sa banlieue, des quartiers de grandes villes et des zones sur les années 2007 à 2009. Le rachat le mois dernier d'Erenis, permettra au groupe de proposer le mois prochain aux parisiens une offre très haut débit pour 29,90 € TTC/mois., incluant les appels illimités vers les fixes en France et plus de 30 destinations internationales, un bouquet de chaînes de télévision, Le débit annoncé est de 50 Mbit/s symétriques. Parallèlement Neuf Cegetel poursuivra sa politique de dégroupage. (...)

(07/03/2007 13:40:48)

Création d'un comité pour accélérer la standardisation informatique de l'administration

Le décret d'application portant sur le référentiel général d'interopérabilité (RGI) et le référentiel général de sécurité (RGS) est paru au Journal Officiel. Une étape supplémentaire dans la mise en place de ce qui doit constituer le socle des bonnes pratiques de l'administration, notamment en matière d'échange de documents. Reste maintenant à constituer le comité créé par ce même décret et réunissant des représentants des administrations centrales et décentralisées ainsi que "des personnalités qualifiées choisies pour leur compétence et leur expérience dans le domaine de l'administration électronique et des technologies de l'information et de la communication". Il sera censé valider le document de base (voir ci-dessous), commenté durant l'été 2006. Ensuite, le référentiel - nécessairement évolutif dans le temps - permettra d'avoir un socle commun en matière de normes bureautiques (le choix s'est porté sur le standard Open Document d'OpenOffice), d'archivage, de présentations multimédias, de communications (messagerie électronique, messagerie instantanée), de sécurité, etc. Cette version officielle devrait être validée courant 2007. (...)

(07/03/2007 13:02:03)

Droits d'auteur : on ne peut pas faire confiance à Google... selon Microsoft

Microsoft a profité du discours d'un de ses dirigeants devant l'Association of American Publishers (AAP, regroupant les éditeurs américains) Pour tacler Google, accusé de profiter des violations sur les droits d'auteur. Thomas Rubin reprenait pour le compte de l'éditeur de Windows une étude publiée le mois dernier, faisant état des profits incidemment réalisés par Google dont le service de recherche indexe entre autres des sites de téléchargements illégaux. Selon lui, "Google encourage uniquement l'usage de mots clés et de textes de prévention concernant la copie illégale de film ou de musique protégés par les droits d'auteur. Ces actions n'impressionnent pas les sites dédiés au piratage d'oeuvre et Google a gagné 800 000 $ de revenus publicitaires avec seulement quatre de ces sites". Et Thomas Rubin d'en profiter pour mettre en avant Live Search Books, projet de bibliothèque numérique de Microsoft s'honorant de respecter la protection des droits d'auteur et concurrent de Google's Book Search, projet phare et au long cours du moteur de recherche. (...)

(07/03/2007 11:26:05)

Fidji, un standard ouvert pour structurer les données immobilières et juridiques

Fédérer les données issues des professionnels de l'immobilier dans un unique format d'échange. C'est la problématique à laquelle les sociétés Taliance et IPD France ont décidé de s'atteler en développant le standard ouvert Fidji (Format d'interéchange de données juridiques et immobilières). En gestation depuis plusieurs années dans l'esprit de ses concepteurs, Fidji est enfin disponible en version 1.0 depuis la fin février 2007. A la source du projet, la simple constatation que l'immobilier se « financiarise », explique Guillaume Fiastre, directeur général délégué de Taliance, spécialiste d'applications pour le secteur de l'immobilier. Dans la chaîne de valeur, on trouve beaucoup d'intervenants (comme les sociétés de gestion ou les experts immobiliers) qui échangent des fichiers notamment Excel ou Pdf qui doivent encore être retraités. Une industrialisation intolérable ». Si le projet germe depuis plusieurs années, le marché, de son côté, ne semblait pas prêt. Des initiatives similaires ont bien été mises en place en Angleterre (aveec PISCES) et aux Etats-Unis, mais avec de fortes contraintes locales. L'arrivée des premiers OPCI (Organisme de Placement Collectif dédié à l'Immobilier), un placement immobilier se rapprochant des Sicav dont le lancement est prévu cet année, sera alors le point départ en France. « Il s'agit d'un investissement qui rapproche l'immobilier du marché de la Finance, commente Guillaume Fiastre, lui donnant par la même occasion une forte contrainte de valorisation ». D'où un besoin de standardisation dans la structure des documents et de leurs échanges. Une structure juridique pour sensibiliser les SSII Une vingtaine d'acteurs du marché, toute banche représentée, se sont alors réunis autour de vingt groupes de travail. Si Guillaume Fiastre reconnaît que pour l'heure, les déploiements sont peu nombreux, il espère que la prochaine structure juridique donnera l'impulsion nécessaire au projet auprès de sociétés de services et des intervenants du secteur . « On invite les SSII à venir s'approprier le format et rejoindre le groupe de travail », lance-t-il. Elle devrait également amorcer la création d'une communauté. Prévue pour mars ou avril 2007, l'entité promet de « protéger le standard et de le faire évoluer », confie Guillaume Fiastre. Elle sera représentée par trois collèges : un premier réunissant un collectif d'investisseurs, un deuxième des associations de professionnels et un troisième des experts immobiliers. Son financement sera, à l'image de l'Open Source, assuré par les adhérents ou les éditeurs qui souhaitent certifier leurs outils. Vers une évolution métier Entièrement XML, Fidji, dans sa version 1.0, décrit de quoi est constitué un immeuble (tels que les baux ou les locataires) ainsi que les domaines d'expertises nécessaires à sa valorisation (comme l'état locatif ou les charges). «Le format devrait évoluer vers davantage de briques métiers liées à la comptabilité et au budget », commente enfin Guillaume Fiastre (...)

(07/03/2007 11:23:19)

Spam : la Russie submergée

A la lecture de certaines statistiques, quelques administrateurs de messagerie vont se sentir moins seuls. Kaspersky, éditeur russe d'outils de sécurité, vient de publier son rapport annuel sur l'état du spam en Europe de l'Est : 70 à 80% du volume de trafic smtp moyen est constitué de spam. L'étiage le plus bas a été constaté le 4 janvier 2006, avec « seulement » 44% du volume de courriels échangés, et la crue la plus violente a été mesurée à 91% du trafic le 26 novembre dernier. Et, déplorent les statisticiens moscovites, c'est qu'une bonne partie de ce spam provient directement de Russie, devant les autres grands pays spammeurs que sont les Etats-Unis et la Chine (respectivement 22, 20 et 11% du volume). Le contenu desdits pourriels est d'une affligeante banalité : 16% de « viagra », 14% de phishing et emails d'escroquerie assimilés, 13% de propositions commerciales de formation, 8,6% d'offres de boursicotage et de spéculations douteuses, et 8% de propositions concernant des ventes de logiciels et accessoires (cartouches d'imprimantes, etc.) à des prix défiant toute concurrence. La conclusion du rapport n'est guère plus originale, et nous laisse présager un millésime 2007 encore plus florissant, malgré les « énormes progrès faits en la matière par les logiciels de filtrage de courriers non sollicités ». A la seule idée que toute personne privée, toute entreprise, soit obligée de payer un abonnement d'accès Internet dont la valeur marchande est à 70% exploitée par des commerçants douteux et des escrocs patentés, on se demande véritablement où se situe le progrès en question. Un antispam ne supprime pas le spam, il le masque, tout comme un emplâtre ou un bandage ne peut éradiquer la gangrène qui ronge un membre. Les techniciens de l'équipe Kaspersky notent également une autre tendance, déjà signalée par de nombreux autres spectateurs du monde du cybercrime : la localisation de plus en plus soignée des attaques en phishing. « English-language spam will be adapted for a Russian audience ». Si la croissance en volume du spam risque bientôt d'atteindre son asymptote, l'on risque de constater hélas que l'évolution de son chiffre d'affaire n'est pas prête de s'infléchir. (...)

(07/03/2007 11:21:35)

Les dépenses IT du service public atteindront 7 Md€ en 2008

Selon Markess International, le marché des logiciels et des services IT dans le secteur public devrait progresser de 9% d'ici à 2008. Il atteindrait ainsi 7 Md€ contre 5,9 Md€ l'an passé. Pour établir cette prévision, le cabinet d'étude et de conseil a analysé 200 nouveaux projets jugés comme prioritaires par une centaine de responsables d'administrations centrales et d'organismes publics. Dans le détail, l'analyse montre que les applications orientées vers la numérisation des documents, leur gestion électronique et vers la gestion de contenu associée arrivent en tête des projets prioritaires avec 13% des chantiers IT identifiés. Les chantiers liés à la conservation, l'archivage électronique et les projets de stockage affichent eux aussi un fort dynamisme. Ils devraient totaliser 10% des réalisations entre 2006 et 2008. La part des projets touchant aux RH devrait se stabiliser (8% du nombre total des projets prioritaires) tandis que le nombre de ceux orientés vers les infrastructures devrait diminuer de moitié environ (7%). Pour mettre en oeuvre et opérer ces différents chantiers, de nombreux acteurs interagissent sur le marché. En 2006, Atos Origin et Capgemini occupaient la place de premiers prestataires du secteur public. Un segment de marché sur lequel ces SSII ont réalisé chacune 300 M€ de chiffre d'affaires. IBM Global Services est arrivé en troisième position avec 250 M€. (...)

(07/03/2007 11:20:13)

Un groupe de travail sur les équipementiers télécoms

Le gouvernement met en place le tant attendu groupe de travail sur les perspectives du secteur des équipementiers télécoms. Ce comité est initié par la profonde restructuration d'Alcatel Lucent (12 500 suppressions d'emplois dont 1500 en France). Il est présidé par Pascal Faure, vice-président du Conseil Général des Technologies de l'Information, et rassemble des représentants des principaux acteurs européens et des experts du secteur. Il remettra son rapport à François Loos, ministre délégué à l'industrie, et Gérard Larcher, ministre délégué à l'emploi. Rendez-vous début avril pour les premières conclusions. (...)

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