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(06/03/2007 17:18:17)

Innovation et technologies de l'information contribuent à la croissance de la productivité... et de l'emploi

Plus les entreprises utilisent les technologies de l'information, meilleure est leur productivité. Et plus elles innovent, plus elles contribuent à la création d'emplois. Cette fois, ce sont les données chiffrées qui le disent. Selon les études du Sessi (Service des études et des statistiques industrielles) de la Direction générale des entreprises, la productivité des entreprises croît effectivement avec la sophistication des équipements. Entre firmes équipées de progiciels, d'extranet, de centres d'appels, et celles qui s'en passent, le différentiel de productivité est net (environ 11%). Les entreprises dont plus de la moitié des salariés utilisent le courrier électronique ont une productivité supérieure de 17% (en 2004). Le recueil d'information sur les clients via un site Web procure un avantage de performance allant jusqu'à 5%. Cette analyse économétrique porte sur 2312 entreprises sur la base de neuf indicateurs « TIC » : de l'utilisation d'un outil logiciel avancé (ERP, outil de travail collaboratif, outil décisionnel, etc.) jusqu'à l'utilisation des réseaux (Internet, intranet, site Web, commerce électronique, etc.). Selon une autre étude de la même Sessi (comparaison de données recueillies auprès de 8000 entreprises entre 2002 et 2004), un bon tiers des entreprises industrielles (36%) de dix salariés et plus ont été engagées dans des activités d'innovation de produit ou de procédé. Le taux monte même à 54% s'il est tenu compte des innovations organisationnelles et de marketing. Et là encore, le recours aux technologies de l'information et de la communication est omniprésent. Sans surprise, les secteurs de l'automobile, de la pharmacie, des équipements électroniques et électriques sont parmi les plus innovants. La taille de l'entreprise joue en faveur de la capacité à innover. Toutefois, les PME qui fournissent un effort en R&D comparable à celui des grandes entreprises (environ 5% du chiffre d'affaires) réussissent à transformer cet effort en innovation puis en chiffre d'affaires, avec un rendement similaire à celui des grandes. Fait corrélatif, selon la DGE, les petites entreprises bénéficient moins souvent d'aides fiscales à l'innovation (8% d'entre elles) que les grandes. Un constat en forme d'aveu (insuffisance de considération pour les PME) d'autant plus que, statistiques à l'appui, les entreprises innovantes (toutes tailles confondues) créent davantage d'emplois. Entre 2002 et 2004, l'emploi a progressé de 2,3% dans les entreprises industrielles reconnues comme innovantes (selon les critères de la DGE/Sessi) et de 0,7% pour les entreprises en panne d'innovation. Ce qui, en plus, ne prend en compte ni les entreprises qui ont disparu (pour avoir pris un risque trop grand ou pour avoir été distancé par les concurrents), ni celles créées durant cette période. (...)

(06/03/2007 17:12:26)

Antivirus : NOD32 classé premier, OneCare lanterne rouge

Le projet AV-comparatives.org soumet régulièrement les antivirus du marché à une série de tests de très longue durée dont les résultats sont publiés trimestriellement. Dans le dernier rapport, la palme revient à NOD32 d'ESET, élu meilleur antivirus dans les catégories «Général», «Détection proactive à la demande» et «Vitesse d'analyse à la demande». « Quand vous combinez la vitesse, la fiabilité et les capacités heuristiques avancées de NOD32, vous êtes clairement face à la plus performante des solutions antivirus actuellement sur le marché », affirme Andreas Clementi, responsable du projet. NOD32 est basé sur un moteur d'analyse unique, ce qui évite d'avoir recours à des solutions complémentaires du type antispyware. Le produit est compatible avec les versions X64 de Microsoft Vista, Windows XP et Windows 2003 Server. Notons à ce propos que OneCare, l'antivirus de Microsoft, obtient le plus mauvais score avec seulement 82 % de virus détectés. Le dernier venu sur le marché de la sécurité a donc encore beaucoup de progrès à faire. A l'opposé, AVK 17.0 de G Data et Antirivus Workstation 2.5 de TrustPort se classent en haut du tableau avec chacun 99% de malwares repérés. Composé d'étudiants de l'université d'Innsbruck en Autriche, le projet AV-comparatives.org est exclusivement financé par des dons. (...)

(06/03/2007 17:11:40)

Le Syntec Informatique propose un pacte au futur président de la République

La lettre ouverte a été portée ce matin « à tous les candidats déclarés à la présidence de la République ». Le Syntec Informatique, chambre syndicale des SSII et éditeurs de logiciels français, a ensuite convoqué la presse ce midi pour lui présenter ce catalogue de mesures à inscrire dans un programme gouvernemental afin de « gagner un demi-point de croissance annuelle en plus » et de « créer 200 000 emplois dans les 5 ans à venir ». Pour faire ses comptes, Jean Mounet, président du Syntec, est parti de diverses estimations réalisées par des économistes, et a comparé la croissance européenne avec la croissance américaine. « Sur 1,5 point d'écart, on considère qu'il y a entre 0,7 et 1 point de croissance dû aux technologies de l'information. Dont un tiers dû au dynamisme du secteur lui-même, et deux tiers à l'usage de ces technologies. » Pour Catherine Gabay, directrice de l'innovation et de la recherche au Medef, qui assistait au déjeuner de présentation, le chiffre de 0,5 point de croissance supplémentaire avancé dans la lettre ouverte est même conservateur. Bien sûr, tout dépendra de l'accueil réservé aux mesures proposées. S'il a applaudi le travail de plusieurs ministres, tels François Loos ou Thierry Breton, Jean Mounet demande « une politique extrêmement volontariste, tel que cela s'est fait en Inde [...] qui est aujourd'hui une puissance considérable. » Cela passe d'une part par une prise de conscience « au plus haut niveau de l'Etat, alors que dans la campagne présidentielle, personne ou presque n'en parle », pouvant prendre la forme d'un ministre chargé de la coordination. Classiquement, le Syntec plaide aussi pour une plus grande souplesse accordée aux entreprises : relever la limite du nombre de jours travaillés au maximum (218 jours actuellement), abroger la loi sur le prêt illicite de main d'oeuvre (Eric Hayat, vice-président de Steria, a dénoncé les situations ubuesques, selon lui, provoquées par cette loi censée lutter contre le délit de marchandage, tandis que Jean Mounet, désignant Jean-François Pépin, délégué général du Cigref, soulignait : « nos clients ont la même demande »), relever les « plafonds sociaux » de façon à ce qu'une PME qui cherche à se développer n'ait pas peur du seuil des 50 employés à partir duquel elle devra composer avec un Comité d'entreprise... Afin de contrebalancer l'aspect libéral de ce programme, Jean Mounet a parsemé son discours de quelques informations sur l'emploi dans les entreprises que le Syntec représente : « dans notre monde, 97% des gens sont en CDI », « nous sommes de très loin le premier recruteur de cadres en France, avec 80% de cadres sur 300 000 personnes » ou encore « le taux de chômage sur notre segment est de seulement 2% ». L'Etat devrait montrer l'exemple Le document, sous-titré « Croissance et plein emploi : les entreprises du conseil, du logiciel, des services informatiques et du conseil en technologies s'engagent », demande surtout beaucoup d'efforts à l'Etat. Pour favoriser les PME et les éditeurs de logiciels (qui sont souvent les mêmes, en France), Jean Mounet demande à l'Etat de cofinancer les start-up, d'exonérer d'impôt sur le revenu pendant deux ans les ingénieurs de haut niveau recrutés par les PME, de transformer le crédit impôt recherche en crédit impôt innovation (à la définition plus large, permettant d'y inclure le logiciel) et de pouvoir appliquer nombre de mesures de type « loi Dutreil sur les gazelles » ou « jeunes entreprises innovantes » à l'ensemble des éditeurs de logiciels, regroupés sous un label particulier. Le Syntec demande également à l'Etat de montrer l'exemple, en accélérant son informatisation, en incitant les entreprises à faire de même, et en lançant de grands programmes industriels - qui feront largement appel aux nouvelles technologies. Christophe Stener, vice-président exécutif d'Alliance Tics (Union des syndicats de l'industrie des technologies de l'information, de la communication et des services associés), est venu appuyer le discours. Son propre catalogue de mesures, « un rapport d'une cinquantaine de pages », sera présenté dans quelques jours. Il reprend plusieurs des points développés par le Syntec, et souligne comme Jean Mounet la nécessité de ne pas rater le virage du très haut débit. (...)

(06/03/2007 17:09:02)

France Télécom plombé par des éléments exceptionnels

France Télécom termine l'année 2006 sur un résultat net en baisse de 27,3% à 4,139 milliards d'euros (5,709 milliards d'euros en 2005). Cette contre performance s'explique par des éléments exceptionnels (résultat de cession d'actifs, activités cédées, perte de valeur des écarts d'acquisition et des immobilisations, charges d'impôt différé et charges financières non récurrentes). Abstraction faite de ces éléments, le bénéfice net aurait stagné à 4,152 milliards d'euros. Le chiffre d'affaires est par ailleurs en hausse de 7,5% à 51,7 milliards d'euros. L'opérateur dégage un cash flow organique de 7,15 milliards d'euros, une marge brute opérationnelle de 18,54 milliards d'euros et continue d'investir avec un CAPEX de 6,73 milliards d'euros (13% du C.A.). Le groupe abaisse sa dette de 5 milliards d'euros pour la porter à 42 milliards. Tous ces résultats sont en ligne avec les objectifs. Des résultats en ligne avec les objectifs « La performance réalisée par le groupe valide totalement notre stratégie : nous affirmer comme leader Européen du Haut-Débit fixe et mobile notamment grâce à des offres de services convergents, et nous développer fortement dans les pays émergents grâce à nos fortes positions mobiles» se réjouit Didier Lombard, PDG de France Télécom. Il ajoute «Je tiens en particulier à souligner les performances réalisées en France en 2006, avec la confirmation de notre leadership dans les mobiles et la stabilisation de nos revenus dans le fixe grâce au succès du Haut Débit. Cette performance sur notre marché historique, l'un des plus concurrentiels aujourd'hui en Europe, témoigne de l'avance que nous avons prise dans la transformation de notre métier, en réponse aux évolutions règlementaires et technologiques du secteur ». Le haut-débit et la ToIP compensent la chute de la téléphonie fixe classique L'opérateur enregistre une croissance de 15,1% (12,8 millions) du nombre de clients (sur les services de communications personnels), portant ainsi leur nombre à 97,6 millions de clients (hors MVNO). Le nombre de clients Haut Débit Mobile (Edge/UMTS) a été multiplié par 3 en 2006 (5,8 millions dont 3,6 millions en France). La base MVNO en Europe s'élève à un peu plus d'un million de clients. D'autre part, le repli des services de téléphonie fixe classique est à peu près compensé par la forte progression des services adsl (9,656 millions d'accès en hausse de 30,45%). L'engouement pour la ToIP est réel. Le nombre de clients a bondi de 970 000 (31/12/2005) à 2,536 millions fin 2006. Les services d'IP TV connaissent aussi un certain engouement : 590 000 abonnés contre 200 000 un an plus tôt. Le poids du marché Français sur ces progressions est important : 5,92 millions d'abonnés adsl, 2,1 millions de clients ToIP et 577 000 clients à l'IP TV. Le C.A. entreprises est en baisse Le chiffre d'affaires des services de communications entreprises s'élève à 7,653 milliards d'euros en baisse de 1,7%. Les services de données et de téléphonie classique sont en recul de 14%. De plus en plus d'entreprises migrent vers les réseaux IP en voix et en data. Le nombre d'accès IP VPN bondit de 39,1% à 256 000 accès. En mobile, Business Everywhere enregistre 486 000 utilisateurs, en hausse de 19%. Pour finir, les services d'intégration et d'infogérance se portent bien : +11%. Objectif 2007 : le maintien Pour 2007, le groupe vise le maintien de son cash-flow à 6,8 milliards d'euros (ajusté avec la cession des pages jaunes), le maintien du taux d'investissements à 13% et le maintien de la politique de distribution (dividendes). France Télécom réaffirme pour finir sa politique « prudente et sélective » de cession/acquisition et vise principalement les marchés à fort potentiel. (...)

(06/03/2007 17:04:03)

Douze formations-métiers de plus homologuées en informatique

C'est au journal officiel. Douze des cent treize formations-métiers nouvellement inscrites (depuis le 23 février) au répertoire national des certifications professionnelles concernent le secteur informatique et télécoms. Cela va de l'année de formation préparant au métier de cartographe géomaticien (à l'école nationale de sciences géographiques) jusqu'au cursus de cinq ans menant au grade de chef de projet logiciel et réseaux (Ecole polytechnique de l'université de Nantes) ou d'expert en ingénierie informatique (Epita, Paris). Cette homologation officielle vaut équivalence de diplôme qui, pour les métiers relevant des technologies de l'information et de la communication, se situe généralement à bac+3 (niveau II) ou à bac+5 (niveau I). Plusieurs de ces certifications concernent des parcours de formation proposés par le ministère de la Défense. C'est le cas pour la formation de chef d'équipe d'exploitation et de maintenance de systèmes d'information et de télécommunications (Marine nationale), ou de chef de cellule de cryptographie (centre de formation interarmées) ou encore de chef de projet en système d'information (Direction générale de l'armement, centre de formation de Bourges). Plus classiquement, la liste fait état de formations de développeur multimédia, de graphiste multimédia et d'infographiste (divers instituts ainsi homologués), de cursus d'analyste-programmeur et de chef de projet en informatique de gestion ou encore de responsable en ingénierie des logiciels (formations relevant du réseau des Cesi, Centre d'études supérieures industrielles, 24 sites en France). Chacune de ces certifications donne lieu, dans le répertoire national, à une description détaillée des pré-requis pour l'accès à la formation, des compétences acquises durant le cursus, ainsi que des précisions sur les débouchés, les secteurs d'activités et/ou types d'emplois accessibles. Le tout via un portail qui constitue une véritable mine d'informations régulièrement actualisée. (...)

(06/03/2007 14:52:39)

Le CSA autorise la « fibre à travers les airs » à Paris

Après la FTTH (Fiber To The Home), la FTTA (Fiber Through The Air) ? Le CSA vient en effet d'autoriser la société BluWan, spin off de Thalès, à tester un service MVDDS (Multi-Channel Video Distribution and Data Service) dans le quartier de La Villette à Paris, dans le cadre du projet Digital Life Lab. Parler de fibre est un abus de langage puisqu'il s'agit d'utiliser des fréquences satellitaires dans la bande 41,5/42,5 GHz. Développée à l'origine pour les militaires, la FTTA permet des débit s descendants jusqu'à 100 Mbit/s, ce qui explique le rapprochement linguistique avec la fibre. La portée est toutefois limitée à 3 Km et nécessite l'installation d'antennes directives. Néanmoins il s'agit là d'une solution peu coûteuse qui pourrait compléter l'infrastructure sans fil parisienne. Le projet a obtenu l'aval du CSA pour une période de neuf mois « sous réserve de ne diffuser que des mires, des signaux d'essai ou des chaînes dont la société aura obtenu l'autorisation formelle de diffusion et de respecter les caractéristiques techniques de l'émission ». Le programme Digital Life Lab s'inscrit dans le pôle de compétitivité parisien IMVN (Image, Multimédia et Vie Numérique) et concurrence des projets comme Kista Science City à Stockholm ou Digital Media City de Séoul. (...)

(06/03/2007 11:59:18)

Novell lance son convertisseur Open XML pour OpenOffice

Novell vient de publier son traducteur Open XML pour OpenOffice.org, respectant ainsi sa promesse, faite en décembre 2006, d'adjoindre le format Office 2007 à la suite bureautique Open Source. Le traducteur, qui fonctionne avec les versions Linux et Windows d'OO.org, permet aux utilisateurs d'ouvrir et de sauvegarder des fichiers au format Word 2007 à partir du traitement de texte de la suite Libre. Open XML est le format de fichier utilisé par Office 2007. De son côté, OpenOffice repose sur l'Open Document Format (ODF), qui a été choisi par plusieurs administrations de différents pays comme un standard. Si les deux formats sont, de fait, en concurrence, les passerelles entre eux excluent une véritable guerre et imposent même une collaboration. Microsoft avait fait le premier pas en confiant au Français Clever Age le soin de réaliser son convertisseur Open XML/ODF, un produit publié le mois dernier sur Sourceforge. Pour Brian Jones, responsable au sein de la division Office de Microsoft, et en charge des formats de fichiers, l'initiative de Novell s'apparente à une victoire : « je pense qu'on peut admettre qu'il n'existe plus de guerre des fichiers, c'est terminé, et les deux parties [Novell et Microsoft, NDLR] sont gagnantes », estime-t-il sur son blog. (...)

(06/03/2007 10:46:14)

Palm, proche de la noyade

Palm n'en finit pas de boire la tasse ! Pour éviter la noyade, le fabricant de PDA serait à la recherche d'un partenaire financier, voire d'un acquéreur. Selon le site Web du Wall Street Journal, il travaillerait avec la banque d'investissement Morgan Stanley pour évaluer les options qui s'offrent à lui. Non seulement les rumeurs de rachat de Palm vont bon train depuis plusieurs semaines, mais le quotidien américain indique qu'il y a un an, Mark Nelson, important actionnaire du constructeur, avait demandé au conseil d'administration d'étudier la vente du groupe. La part de marché de Palm sur le secteur des smartphones se réduit comme une peau de chagrin. Fin 2006, il ne captait que 5,5% du marché, devancé par Nokia, Research In Motion (RIM) et Motorola. Même les Treo 650 et 750, sur lesquels le fabricant comptait pour se remettre à flots, n'ont pas séduit le marché. Au deuxième trimestre de son exercice fiscal, le chiffre d'affaires de Palm a perdu 12%. Son bénéfice net a quant à lui chuté de 95%. Les perspectives ne sont guère plus réjouissantes, elles ont été revues à la baisse. (...)

(06/03/2007 10:42:19)

Un programme de virtualisation qui se place sur une clé USB

VMware, spécialiste des logiciels de virtualisation pour les serveurs et postes de travail, teste en ce moment un programme qui pourra être inséré aussi bien sur une clé USB que sur un iPOD, ce qui permet son déplacement d'un terminal à un autre. Baptisé ACE 2 Entreprise Edition, ce programme est en réalité la nouvelle version d'ACE (version sécurisée de VMware Workstation), qui occupe depuis plus d'un an une position de leader parmi les produits permettant de partitionner un serveur physique en plusieurs machines virtuelles. L'objectif de VMware ACE est de fournir un environnement de travail complet (Système d'exploitation, applications, accès réseau, périphériques, ...) s'installant sur n'importe quel PC ou laptop, tout en restant isolé de celui-ci. Selon les responsables de l'entreprise, l'upgrade s'adresse aux travailleurs mobiles qui n'utilisent pas de PC portable. ACE 2 Entreprise Edition inclut également l'ACE Management Server qui permet de gérer et de contrôler l'accès des serveurs et machines virtuels à partir d'une interface centrale. Coïncidence ou pas, cette annonce intervient au moment où le concurrent Virtual Iron Software lance lui aussi une nouvelle version de son produit de virtualisation. Et au moment où le propriétaire de VMware - EMC, le poids lourd du stockage - décide de mettre 10% du capital de l'entreprise en bourse. Rappelons qu'EMC a vu son chiffre d'affaires grimper de 83% en 2006 pour atteindre 709 millions de dollars. (...)

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