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(13/02/2007 17:15:44)

Microsoft et Novell feront serveurs communs, et plus si affinités

Windows et Linux peuvent-ils cohabiter en paix ? Selon Steve Ballmer, PDG de Microsoft, et Ron Hovsepian, PDG de Novell, la réponse est oui. Les deux sociétés ont annoncé une série de développements logiciels afin d'assurer que les deux systèmes d'exploitations puissent se partager un même serveur physique sans friction. Ainsi, Windows Virtual Server 2005 service pack 1, attendu pour le printemps, permettra la virtualisation sous SuSE Linux Enterprise Server 10. Et la prochaine version de Windows Server, le fameux Longhorn, non seulement permettra la virtualisation sous SuSE Linux, mais l'acceptera avec son hyperviseur intégré. Ce qui devrait lui permettre de tourner plus vite qu'avec une émulation classique. En retour, l'hyperviseur Open Source Xen, intégré à SuSE Linux Enterprise Server 10, reconnaîtra également Longhorn comme un système d'exploitation invité privilégié. « Nos clients voulaient des méthodes pour faire fonctionner Linux et Windows ensemble », explique Bob Tenczar, directeur produits pour Windows Server chez Microsoft, « Et la consolidation de serveurs était l'une de leurs premières préoccupations. » Ce n'est pas la seule, et la virtualisation n'est que l'un des quatre axes de collaborations futurs entre Novell et Microsoft. La gestion des services Web, l'interopérabilité des annuaires et des formats de documents sont également au menu des discussions. Cette alliance, et en particulier le fait que Novell accepte de payer pour utiliser les brevets et licences de Microsoft, n'est pas du goût de tous. Certains membres de la Free Software Foundation (FSF) ont même été si choqués qu'ils ont retardé la sortie de la GPL (General Public Licence) v3. Ils voudraient que celle-ci puisse restreindre les facultés de Novell pour distribuer certaines mises à jour faites sur des secteurs clés de Linux (ou de Xen). Interrogé par Reuters, le porte-parole de la FSF Eben Moglen a indiqué que la version 3.0 devrait être disponible avec un mois de retard en mars, mais sans indiquer si des restrictions seront mises en place. (...)

(13/02/2007 17:04:31)

Droit d'auteur : la condamnation de Google confirmée par la justice belge

La justice belge vient de donner, une nouvelle fois, raison aux éditeurs de presse du Plat Pays dans le cadre de l'affaire les opposant au gargantuesque moteur. Réunis au sein de la société Copiepresse, les journaux belges reprochaient au moteur de recherche la mise en ligne d'extraits d'articles sans autorisation dans Google News. De fait, prétendaient les plaignants, le groupe californien contreviendrait aux droits d'auteurs. En septembre 2006, les juges du fond avaient donné raison à Copiepresse et condamné Google à retirer de ses pages belges les articles des membres de la société de gestion des droits d'auteurs. L'astreinte, en cas de manquement à cette obligation, s'élevait à 1 M€ par jour de retard. Absent le jour du procès, Google avait obtenu qu'une nouvelle audience soit tenue, en novembre 2006. L'occasion pour le moteur de s'offusquer contre le montant des astreintes et de clamer son droit à la publication d'extraits d'articles, arguant notamment qu'il participait à l'enrichissement de l'audience des sites d'où étaient tirés les-dits articles. L'ordonnance rendue ce 13 février réaffirme que « Google ne peut se prévaloir d'aucune exception prévue par la loi relative au droit d'auteur et aux droits voisins ». Mais, si le moteur doit retirer de son site d'actualités - et du cache - les articles incriminés, le montant de l'astreinte a été revu à la baisse. Le groupe californien ne devrait plus payer 1 M€ par jour de retard, mais seulement 25 000 €. Ce qui apparaît comme un coup sur la tête du géant Google pourrait également avoir des conséquences sur d'autres grands acteurs du Web. Ainsi, Microsoft et Yahoo, qui aspirent eux aussi à enrichir leurs pages d'actualités avec des articles issus des membres de Copiepresse, pourraient voir leurs ardeurs refroidies par la décision de la justice belge. Google devrait faire appel de la décision. (...)

(13/02/2007 16:48:36)

Microsoft livre des outils d'analyse pour Dynamics CRM

Microsoft propose aux utilisateurs de Dynamics CRM 3.0, son logiciel de gestion de la relation avec les clients (GRC, en anglais CRM), de télécharger gratuitement des outils d'analyse de données. Disponible sur le site du projet CodePlex, l'ensemble Analytics Foundation est livré sous forme de code source documenté, accompagné de modèles et de composants préconfigurés avec lesquels les clients et les partenaires de Microsoft pourront construire des solutions analytiques personnalisées à partir des données gérées dans Dynamics CRM. Analytics Foundation comprend notamment des indicateurs clés de performance (KPI), un cube OLAP, ainsi que des exemples d'analyses prédictives (datamining) et de tableaux de bord appliqués aux ventes. Il est prévu que ces outils d'analyse s'appuient sur les autres logiciels de la suite de Business Intelligence (analyse des données de gestion) de l'éditeur : la base de données relationnelle SQL Server 2005, bien sûr, mais aussi Business Scorecard Manager, le portail SharePoint et le tableur Excel 2007. L'utilisation des outils de développement Visual Studio 2005 est également requise. Un exemple d'analyse prédictive Pour illustrer les applications possibles d'Analytics Foundation, Christian Pederson, responsable de l'offre Microsoft Dynamics CRM, a fourni l'exemple d'un scénario mettant en oeuvre une démarche d'analyse prédictive. Pour proposer à un client de compléter sa commande avec des produits supplémentaires (cross-selling ou up-selling), un commercial pourra récupérer dans le logiciel de GRC l'historique des achats déjà effectués par ce client auquel il associera les comportements d'achat constatés chez d'autres clients. Analytics Foundation est actuellement disponible dans sa version bêta 1.0. Toujours dans le domaine de l'analyse de données, Microsoft prévoit également de lancer PerformancePoint Server, plus tard dans le courant de l'année. En version bêta depuis novembre dernier, ce produit combine les technologies de Business Intelligence acquises en rachetant ProClarity en 2006 avec celles de Microsoft. Il doit permettre aux utilisateurs de placer leurs données et leurs règles métiers sur un serveur central afin de les exploiter avec un ensemble de fonctions d'analyse incluant des outils de mesure de performance de l'entreprise (planification, simulations budgétaires, scorecarding...). (...)

(13/02/2007 16:41:21)

Microsoft France expose - et exporte - son programme d'aide aux start-up

C'est dans le cadre prestigieux du Sénat que Microsoft a présenté ce matin le bilan de son programme Idées, un an après son lancement. Né en France sous l'impulsion de Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème, Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up) affiche déjà des chiffres impressionnants. Plus de 300 entreprises ont en effet demandé à profiter du programme l'année dernière, et cette année ce sont près de 400 qui se bousculent au portillon. Conçu à l'origine pour 25 start-up, le programme a été étendu à 50 : la cinquantième vient juste d'adhérer au programme, il s'agit de Criteo, éditeur, dit-il, « d'un moteur de recommandations personnalisées en temps réel à destination des sites de e-commerce ». Toujours côté chiffres, la moitié des start-up a trouvé un financement après avoir adhéré au programme. C'est, de fait, un des avantages majeurs de l'initiative. Une entreprise qui signe pour Idees se voit attribuer, selon ses besoins, un accès aux salles de conférence dans les locaux de Microsoft rue de l'Université, du temps dans le Technology Center (un atelier permettant de reproduire divers environnements pour mener des tests), l'aide des consultants présents, ainsi que le soutien de l'éditeur en matière de marketing : édition de brochures (en anglais notamment), présence dans les salons, visibilité accrue pour la presse, les clients (en France mais aussi à l'étranger, partout où Microsoft est implanté), les sociétés de capital-risque...

Aucun lien capitalistique présent ou futur avec les sociétés parrainées

Où est le piège, se demande-t-on bien évidemment. Difficile de croire en effet sur parole Eric Boustouller, le PDG de Microsoft France, qui affirmait en introduction de la conférence que l'objectif de l'éditeur est en premier lieu « d'apporter sa contribution à la prospérité de la France », de « créer des emplois moins délocalisables », et qu'en aucun cas il n'est demandé aux start-up de travailler exclusivement sur les technologies Microsoft. La question a donc été posée - plus délicatement - lors de la table ronde organisée ce matin, qui réunissait notamment, aux côtés de Marc Jalabert, des représentants d'organismes de recherche et de financement. Marc Jalabert a rappelé que Microsoft ne prenait aucune participation dans les sociétés partenaires, n'avait aucune intention de les racheter, et qu'il n'y avait à aucun moment de négociation sur la propriété intellectuelle. « Nous n'avons pas de critère de retour sur investissement », a encore souligné Marc Jalabert. Qui a tout de même précisé « qu'il est évident que quand Excentive gagne des affaires, nous en gagnons aussi », la solution étant basée sur des technologies uniquement Microsoft, notamment la base SQL Server. On pourrait aussi citer Miyowa, qui a porté Messenger sur i-Mode, chaque pack Bouygues Telecom rapportant aux deux éditeurs.

Des conventions spécifiques pour attaquer les marchés chinois et américains

Vingt-cinq éditeurs adhérents étaient invités à exposer leur entreprise et leur technologie au sortir de la conférence. Parmi eux, Didier Rochereau, DG de Sparus (logiciel de gestion de terminaux communicants), se disait ravi de la visibilité que lui apporte ce partenariat : « Nous étions par exemple sur le stand Microsoft au salon Mobile Office ». Jean Ferré, DG de Sinequa (moteur de recherches sémantique), estime de son côté avoir pu entrer chez un client comme Bouygues Construction « grâce au poids de Microsoft, de Steve Ballmer qui nous présente comme un partenaire à forte valeur ajoutée ». De même, l'éditeur a levé 4 ME après avoir été intégré au programme. Fort de ce bilan, Microsoft France commence à exporter son initiative dans d'autres filiales, sous le nom Ideas. Les premiers concernés sont des pays où les éditeurs de logiciels présentent également une grande vitalité, comme l'Inde, la Chine et Israël. L'éditeur pense d'ailleurs établir des programmes d'échanges, par exemple en accueillant trois start-up chinoises à condition que trois start-up françaises bénéficient elles-mêmes du soutien de Microsoft en Chine pour pénétrer le marché. Une action spécifique, enfin, est prévue pour aider les jeunes éditeurs français à s'implanter aux Etats-Unis : Microsoft vient d'annoncer son soutien à FBIA (French business & innovation accelerator), un programme soutenu par le gouvernement français aidant les entreprises à s'installer dans la Silicon Valley. A noter pour conclure que Marc Jalabert se dit tout prêt à exposer le fonctionnement d'Idées à toute grande entreprise qui voudrait s'en inspirer. (...)

(13/02/2007 16:30:59)

3GSM Barcelone : AMD se relance dans l'embarqué et les téléphones mobiles

A côté du battage médiatique lié à son futur processeur quadri-coeurs Barcelona, AMD n'oublie pas de développer son offre dans certains secteurs où la concurrence avec Intel est moins forte. Ainsi lors du 3GSM Congress à Barcelone, le fondeur a présenté trois nouveaux processeurs pour téléphone mobile. Ceux-ci, les Imageon 2298, 2294 et 2192, ne serviront pas de puce principale, mais de co-processeurs pour toutes les activités multimédia du téléphone : supporter une résolution DVD, encoder en simultané l'audio et la vidéo et restituer le son en polyphonie. Ces processeurs seront commercialisés d'ici l'an prochain par d'autres fondeurs, tels ST Microelectronics qui a souscrit une licence à AMD. Du côté de l'embarqué, AMD vient de lancer une version plus rapide de son processeur Geode. Consommant 1,5 watt pour une fréquence de 667 MHz, ce processeur ne dissipe pas assez de chaleur pour nécessiter l'ajout d'un ventilateur. Il peut donc s'intégrer à des appareils aussi petits qu'un PDA ou un terminal de paiement, à un décodeur télévisé ou à un client léger. (...)

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