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(14/02/2007 17:17:27)

Des acteurs du Libre se réunissent dans l'OSA

A l'occasion de l'Open Solutions Summit, qui se tient à New York les 14 et 15 février, plusieurs acteurs du monde du Libre annoncent la création de l'Open Solutions Alliance (OSA), une organisation à but non lucratif visant à promouvoir l'adoption de solutions Open Source par les entreprises. La création de l'OSA repose sur un constat : le marché Open Source est encore balbutiant et n'atteindra son plein potentiel que lorsque les produits des uns et des autres pourront être associés dans des suites facilement déployables. Pour y parvenir, les tenants du Libre doivent mettre l'accent sur l'interopérabilité de leurs solutions et la promotion des logiciels Open Source en règle générale. Les premiers membres de l'OSA sont donc des éditeurs comme JasperSoft, Talend ou CentricCRM (on notera l'absence de Novell et Red Hat, déjà associés dans des partenariats avec Microsoft), mais l'alliance indique être ouverte à tous les revendeurs, les utilisateurs, les développeurs et les communautés qui entretiennent un rapport avec le Libre. Si d'autres groupements spécialisés dans l'Open Source existent déjà, l'OSA veut imposer sa différence en soulignant que ses membres ne se focalisent pas sur une technologie en particulier. L'Open Solutions Alliance s'est, pour l'heure, fixé trois buts : la définition et la promotion des outils, frameworks et bonnes pratiques qui favorisent le déploiement et l'interopérabilité des solutions Open Source ; la construction de méta-communautés au travers de partenariats avec des sociétés, des particuliers et d'autres groupements ; la mise en place de campagnes marketing communes. L'OSA procèdera à l'élection de son conseil d'administration le 5 avril. D'ici là, les adhésions sont ouvertes pour des montants s'étalant entre 5 000$ (pour les intégrateurs) à 10 000$ (pour les revendeurs). La cotisation est gratuite pour les membres des communautés Open Source. (...)

(14/02/2007 16:48:18)

IBM modifie la DRAM pour accélérer ses puces

Dans un document présenté à la conférence ISSCC (International Solid State Circuits Conference) à San Francisco, IBM a dévoilé un prototype de mémoire embarquée (eDRAM) plus petite qui, selon lui, pourrait doubler les performances des processeurs. Le principe, décrit Big Blue dans le document, vise à remplacer la mémoire SRAM (Static RAM), type de composant utilisé pour la mémoire cache de chaque puce, par de la DRAM (Dynamic RAM) modifiée. Un mécanisme qu'IBM exploite déjà dans ses puces gravées à 65nm. Mais qui devrait pleinement se révéler, en termes de rapidité d'accès aux données, avec les processeurs gravés à 45 nm, dont la sortie est prévue pour 2008. Pour cela, IBM prévoit de développer un type de DRAM plus rapide. Big Blue indique que cette nouvelle méthode permettra également de réduire l'espace de stockage du cache d'un tiers tout en multipliant la quantité de données stockées. Et cela en consommant cinq fois moins d'énergie. Dans un entretien donné au Herald Tribune, les chercheurs d'IBM ont déclaré avoir réussi à réduire le cycle d'accès à 2 nanosecondes, soit 10 fois plus rapide qu'une DRAM classique utilisée sur un PC. La technologie pourrait améliorer considérablement les performances des processeurs multi-coeurs et des applications sollicitant des données graphiques, comme le jeux ou le multimédia. Rappelons au passage que les puces IBM - Power ou Cell - motorisent notamment les consoles PlayStation 3 (Sony) et la Wii (Nintendo). (...)

(14/02/2007 16:46:48)

DevCamp: les «pros» du logiciel libre préparent un système pré-configuré pour Emmaüs

Durant une semaine, du 18 au 23 février, une trentaine de développeurs venus des quatre coins d'Europe prend ses quartiers à Soissons pour un DevCamp inédit, destiné à mettre la touche finale à un projet déjà bien avancé. A savoir: la production et la diffusion (libre) d'un système pré-configuré adapté aux besoins des écoles et des enseignants (animation, production de documents multimédia, bureautique, découverte de l'informatique, etc). Une première étape de production est déjà franchie, sous la bannière de Debian-edu/Skolelinux, communauté de bénévoles à l'origine de la diffusion en milieu scolaire d'outils Gnu-Linux autour du système noyau Linux. L'association hôte de cet atelier intensif, le Cetril (centre européen de transfert et de recherche en informatique libre), a aussi organisé la suite de l'opération en y associant les communautés Emmaüs de Soissons et de Forbach (un autre haut-lieu de la production de logiciels libres avec le groupe SchlossGul). Car, précise Matthieu Duplouy, organisateur technique de la semaine (pour le Cetril), «l'atout majeur de ce projet est de viser la réutilisation de matériel informatique ancien, en tant que client léger, et de le faire fonctionner avec des performances identiques à des postes tout neufs ». Autant dire, rendre accessible cet équipement à tous types d'écoles, même et surtout sans grands moyens. Mais pour mettre la touche finale à ce projet, multilingue et soumis à de nombreuses contraintes logistiques (production d'un CD d'installation plug and play, documentation), les développeurs-concepteurs, rompus au travail collaboratif à distance, ont besoin de se rencontrer. Dont acte. Ce DevCamp de cinq jours, accueilli à Sainte-Croix de Belleu, est financé par les partenaires de Cetril (un budget de moins de 10000 euros, selon Marie-Laure Daïnesi, directrice du centre). Et dans la foulée, les trente comparses pourront poursuivre leurs échanges au Fosdem (Free & OpenSource developer European Meeting) à Bruxelles, les 24 et 25 février. (...)

(14/02/2007 16:43:01)

Pour l'emploi informatique, l'année 2007 s'annonce plus chaude encore que 2006

«Mieux encore qu'en 2006» : selon le panel Apec (11 000 employeurs interrogés en fin d'année), les entreprises prévoient de recruter de 38 000 à 45 000 informaticiens cette année. L'an dernier, la fourchette était de 36 800 à 39 800. Estimation qui s'est concrétisée avec 35 300 embauches effectives. Soit une hausse des recrutements réalisés de 28% sur 2005. Cette année, les plus optimistes envisagent de poursuivre à ce rythme (+27%), les plus mitigés se fiant à une progression de 8%. C'est d'ailleurs la tonalité du marché de l'emploi pour l'ensemble des cadres, atteignant des records historiques en volume d'embauches cadres (plus de 200 000 en 2006), et dont la croissance s'avère «solide et durable», estime l'Apec. Divers facteurs concordent en ce sens. D'abord, une fourchette basse de prévision de postes ouverts pour 2007 nettement supérieure aux embauches réalisées en 2006. «Comme dans les années 1999-2000», précise l'Apec. En informatique, durant ces années de surchauffe, les prévisions allaient jusqu'à 55 000 embauches pour près de 45 000 postes effectivement pourvus. Mais cette année, l'offre d'emploi cadres est orientée à la hausse pour tous les secteurs et presque toutes les fonctions. Et, l'effet retard jouant, en 2007, c'est la fonction « Etudes, Recherche et développement » (porte d'entrée traditionnelle des débutants) qui devrait le plus progresser (jusqu'à +30%, haut de la fourchette de prévision d'embauche). La phase ascendante d'un cycle La confiance des entreprises en cette relance solide se manifeste aussi dans la nette remontée d'intérêt pour les jeunes cadres (de +9% à +25%) et surtout pour les profils débutants (jusqu'à 10% de postes ouverts en plus par rapport à 2006). Et ce n'est qu'un début. Selon l'Apec, au vu des deux précédents cycles qu'a connu depuis vingt ans le marché de l'emploi, la phase ascendante de ce troisième cycle qui a débuté en 2004, progresse régulièrement vers de niveaux élevés. Elle semble beaucoup moins erratique que lors des précédentes bouffées (celle de 1999-2000, notamment) et pourrait bien, du coup, durer encore quelques années. Mais non sans le retour d'une certaine tension. Car, rappelle Catherine Martin, présidente de l'Apec, « dans ce contexte porteur, le risque reste de voir coexister un chômage alimenté par des formations de base insuffisantes, et des difficultés croissantes à recruter les compétences voulues... sur un marché plus que jamais hyperconcurrentiel ». Pour le secteur informatique (accaparant le quart des prévisions d'embauche cadres), c'est déjà le cas. (...)

(14/02/2007 14:39:53)

La start-up D-Wave prévoit de commercialiser son ordinateur quantique dès 2008

L'ordinateur quantique sort-il enfin des romans de science-fiction pour entrer dans le domaine commercial ? C'est en tout cas la promesse de D-Wave Systems, une start-up canadienne forte d'un financement de capital-risque de 20 M$, qui a fait une démonstration mardi dernier d'Orion, son ordinateur quantique. Il est constitué d'une paire de super-conducteurs - aluminium et niobium - portés à une température proche du zéro absolu (- 273,15° C). A un tel froid, les métaux peuvent se trouver dans les positions électriques 0 et 1 simultanément. Permettant ainsi d'obtenir de véritables bits quantiques (qubits). A la différence d'un bit classique se basant sur la physique traditionnelle, un bit quantique peut être soit un 0, soit un 1, soit un 0 et 1 en même temps. En pratique, cela permet de résoudre beaucoup plus rapidement certains problèmes. Comme l'explique Geordie Rose, directeur technique de D-Wave : « si vous écrivez un 0 et un 1 sur une surface classique comme un transistor ou une mémoire magnétique, l'information va se comporter d'une certaine façon. Si vous découvrez une façon d'écrire de l'information sur un objet quantique, cette information va se comporter d'une autre façon. Et vous pouvez exploiter cette différence pour accélérer drastiquement le temps de calcul au point que certains problèmes par principe insolvables jusqu'ici peuvent désormais se résoudre facilement. » Lors de la démonstration, Orion a ainsi résolu un problème de sudoku, arrangé un plan de table par affinités de personnes et - plus utile - vérifié une correspondance moléculaire en quelques minutes. Le calcul quantique est également mis en avant pour résoudre les problèmes de cryptographie : casser une clé ne prendrait que quelques heures, contre des centaines d'années avec les ordinateurs actuels. « Si les scientifiques pouvaient construire un tel instrument, celui-ci effectuerait les calculs à une telle vitesse qu'il ravalerait les superordinateurs modernes au rang de bouliers », écrit Simon Singh dans son Histoire des codes secrets (éditions Lattès). D-Wave commencera par louer du temps de calcul Avec seulement 16 qubits de puissance de calcul, Orion n'est pas si impressionnant, mais il peut, selon son concepteur, effectuer 64 000 opérations simultanées (environ 2 puissance 16). Et D-Wave compte lancer une version à 32 qubits d'ici à la fin de l'année, puis des versions à 512 qubits et 1024 qubits en 2008. En attendant une commercialisation directe, D-Wave propose de louer le temps de calcul d'Orion et de lui envoyer les problèmes à résoudre par Internet. Toutefois, avant de remplacer les data centers traditionnels par des ordinateurs quantiques, il va falloir résoudre au moins trois problèmes. Comment faire tenir les « frigos » nécessaires au refroidissement des composants dans une même salle ? Puisqu'il s'agit de physique quantique, comment augmenter le nombre de qubits sans générer d'interférences nuisibles au calcul ? Et enfin l'éternel problème, comment programmer ces ordinateurs. Pour Orion, D-Wave a utilisé un système nommé Adiabatic Quantum Computation, conçu avec l'aide du professeur Lloyd du Massachusetts Institute of Technology, qui lie profondément logiciel et matériel. (...)

(14/02/2007 14:21:49)

La répression des fraudes donne une dernière chance aux FAI

Plus aucun doute n'est permis. Les FAI sont dans le collimateur de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes). Pendant 3 mois, l'organisme va les recevoir pour leur demander des comptes. Le premier opérateur convoqué le 1er février 2007 a été Télécom Italia (Alice). La DGCCRF adresse plusieurs reproches aux FAI: d'abord, leur qualité de service est largement perfectible. Ensuite, leurs services d'assistance ne sont pas suffisamment disponibles. La Répression des Fraudes a reçu 31 000 plaintes en 2005. Parmi ces plaintes, 30 % concernaient des problèmes techniques, 25 % des difficultés à résilier le contrat. Au premier semestre 2006, la DGCCRF n'a noté qu'une légère amélioration : les plaintes ont très légèrement reculé (14 500) alors que le nombre d'abonnés a cru. Elle ne s'en contentera pas : « Des actions de contrôle sont d'ores et déjà programmées pour le premier trimestre 2007 ». La DGCCRF s'est donc engagée dans une phase d'intimidation. Mais si elle n'obtient pas de réelle avancée, elle compte passer à la deuxième phase : la répression. « La DGCCRF continue d'exercer une vigilance accrue sur ce secteur et n'hésitera pas à s'engager dans une voie répressive à l'encontre des acteurs à l'origine de pratiques commerciales agressives ou déloyales ». Une bonne nouvelle pour les nombreuses victimes de la malhonnêteté de certains FAI. (...)

(14/02/2007 14:15:41)

Le serveur familial de Windows en version béta

Annoncé lors du dernier Consumer Electronic Show (CES), le Windows Home Server est désormais disponible en version bêta. Marquant l'entrée des serveurs dans le grand public, Windows Home Server sert de plateforme de stockage multimédia pour toute la maison et se connecte aussi bien avec des ordinateurs sous Windows que sous Mac OS X ou Linux. La version finale de ce serveur devrait être commercialisée avant la rentrée scolaire et les fabricants recevront la RTM (Release to manufacture) d'ici juin. Contrairement aux autres systèmes d'exploitation grand public de Microsoft, Windows Home Server ne sera pas vendu seul. Il sera forcément packagé avec un ordinateur, comme le HP MediaSmart Server présenté à Las Vegas. Pour participer au bêta-test, il faut avoir un ordinateur doté d'au minimum un Pentium III 1 GHz (ou équivalent), de 512 Mo de RAM, 80 Go de disque dur et capable de booter directement à partir d'un lecteur DVD. (...)

(14/02/2007 12:36:03)

Démarrage en fanfare pour Office 2007

Le lancement d'Office 2007 est plus prometteur que celui de son prédécesseur. Une semaine après sa sortie grand public, la suite bureautique de Microsoft s'est ainsi deux fois mieux vendue en janvier 2007 qu'en octobre 2003, selon une étude du cabinet NPD Group. Les données recueillies par NPD auprès des principaux vendeurs américains -Amazon, Best Buy, Office Depot, Kmart, etc. - montrent que les ventes en valeur d'Office 2007 ont dépassé de 108% celles de la mouture précédente de la suite bureautique malgré un prix moyen légèrement inférieur. La même tendance avait été observée en décembre, lors du lancement de la version destinée aux entreprises, avec une hausse de 98% en valeur. Il faut cependant rappeler que le prix de vente moyen des produits dédiés aux professionnels a considérablement augmenté, passant de 245$ en 2003, à 301$ quatre ans plus tard, soit une croissance de 22%. Une des clés du succès d'Office 2007 - succès qui mérite encore d'être confirmé - repose sur la volonté de Microsoft de séduire les consommateurs en proposant une suite plus légère (amputée d'Outlook) et moins onéreuse. L'idée du géant du logiciel se basait sur l'engouement pour la version famille & étudiant de sa suite bureautique qui avait représenté 85% de l'ensemble des ventes l'an passé. (...)

(14/02/2007 12:17:38)

3GSM Barcelone : ARM et nVidia croient au "PC de poche »

ARM profite du salon 3GSM qui se tient en ce moment à Barcelone pour lancer officiellement sur le marché ses deux nouvelles puces graphiques. Parfait pour le jeu, le MALI 55 est un minuscule GPU (Graphic processing unit) 3D d'à peine 1,4 mm2, destiné au marché des terminaux d'entrée de gamme. Selon le constructeur, il donne à un écran QVGA (Quarter Video Graphics Array) de 76 800 pixels l'apparence d'un écran VGA haut de gamme. Plutôt destiné à la TV HD sur mobile et aux jeux de la nouvelle génération, le MALI 200 fonctionne, quant à lui, en mode anticrènelage 4x ou 16x et offre un rendu haute définition. « Les téléphones mobiles d'aujourd'hui rivalisent avec les PC d'il y a 10 ans », explique Ian Drew, vice président, Segment Marketing, d'ARM. Un slogan repris par nVidia pour le lancement dans la capitale catalane du GoForce 6100, un processeur applicatif destiné lui aussi au marché des smartphones. Il est vrai que selon IDC, en passant de 1,5 Md$ en 2006 à 3,3 Md$ en 2010, le marché des processeurs applicatifs devrait plus que doubler dans les quatre prochaines années. (...)

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