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(12/02/2007 17:14:22)
Cinven convoite la maison mère de Free
Selon la Lettre de l'Expansion, le fonds d'investissements Cinven souhaiterait lancer une OPA amicale sur Iliad, la maison mère de Free, via le câblo-opérateur Numericable Noos dont il est l'actionnaire majoritaire. L'opération valoriserait Iliad et ses 2,27 millions d'abonnés à environ 5 Md€. Pour l'heure, les intéressés n'ont fait aucun commentaire. La faisabilité de l'offre de rachat, si elle est avérée, repose avant tout sur l'accueil que lui réservera Xavier Niel, détenteur des deux tiers du capital d'Iliad. En 2006, le chiffre d'affaires annuel d'Iliad s'élevait à 950 M€, en progression de 31,2% par rapport à 2005. Suite à la révélation de l'information par la Lettre de l'Expansion, le titre Iliad a enregistré une croissance de 4,72% à 81 € (14h00). (...)
(12/02/2007 17:27:31)Les chercheurs (re)prennent date avec les candidats à la présidentielle
«Sans appartenance politique partisane», les docteurs es sciences cherchent à faire entendre leur cause dans le concert d'interpellations faites aux présidentiables. Donnant ainsi écho aux promesses électorales de relance des investissements dans l'innovation et la recherche en tant que vecteurs essentiels du développement économique, un colloque est organisé par la confédération des jeunes chercheurs (CJC) vendredi prochain, 16 février, à Strasbourg, auquel est annoncée la participation de François Bayrou, de Corinne Lepage, de Ségolène Royal et, sous réserve, de l'UMP. Alors qu'un jeune docteur sur quatre (seulement) trouve place dans la recherche publique et l'enseignement supérieur, cette relance implique de toute évidence de ne pas cantonner le débat au seul financement par l'Etat de la recherche. Ni même aux suites à donner au « Pacte pour la Recherche » et à la mobilisation des chercheurs (Etats généraux de Grenoble de 2004). Comme le rappellent les chercheurs du mouvement «Sauvons la recherche », «le retard de l'innovation et de la recherche industrielle en France et en Europe est indiscutable... En proportion du PIB, la dépense nationale de R&D des entreprises a baissé de 7% depuis 2002 ». Une lettre ouverte de l'association nationale des docteurs es sciences (Andès, partenaire de la conférence du 16 février) enfonce le clou du retard de la France dans tous les domaines ayant grand besoin du recours de la médiation scientifique (services fondés sur la gestion de la connaissance, ou Knowledge-Intensive-Based-Services). Plus généralement, cette faiblesse aux interfaces du monde de la recherche et de l'entreprise et ce retard français ont «des causes multiples», comme le commente le collectif Sauvons la recherche. «Très peu de nos cadres et dirigeants industriels ont eu une formation par la recherche. Ce sont en général des ingénieurs, qui préfèrent recruter d'autres ingénieurs sortis des mêmes écoles professionnelles plutôt que des docteurs, alors qu'au niveau international, l'expérience en recherche est valorisée par le simple fait que le diplôme de référence est le doctorat. Plus généralement, il y a une dichotomie marquée entre les cultures de recherche et d'entreprise dans notre pays ». Mais que peuvent les politiques à cette relative indifférence du monde des entreprises? Aux uns et aux autres d'esquisser des réponses lors de ce colloque. En poste en entreprise Les «bac+8 et plus» en informatique, électronique et autres disciplines scientifiques associées (sciences de l'ingénieur, maths appliquées), plutôt mieux lotis que d'autres spécialités, puisque 51% se retrouvent en poste en entreprise trois ans après la thèse (étude Cereq 2005), n'échappent cependant pas à la menace de sous-emploi. Concernant ce secteur, l'Andès a répondu favorablement à la sollicitation de la fédération Syntec: « Nous prévoyons de participer avec le Medef à une opération « tour de France de l'innovation", qui s'étalera sur 3 ans, et qui devrait permettre de communiquer largement et efficacement auprès des entreprises sur l'intérêt de la recherche et des docteurs», confie Benoît Braïda, vice-président de l'Andès. A suivre. (...)
(12/02/2007 17:00:09)Avec Open Client, IBM package Lotus pour le desktop Linux
Offensive officielle sur le marché du bureau Linux chez IBM. Big Blue, dans un esprit d'alléger les coûts de maintenance sur le poste de travail, inaugure une solution desktop Linux multi-plateforme, qui embarque une partie de la gamme Lotus Notes. Un package développé en collaboration et supporté par Red Hat et Novell. L'initiative, baptisée Open Client, combinera les fonctionnalités collaboratives issues de la gamme Lotus au portail WebSphere, tous ces services et applications fonctionnant sous Windows et Linux (et certains sur Mac, notamment Sametimes et Notes). Notons que Lotus Notes est ouvert à Linux depuis juillet 2006. Dans sa première mouture, Open Client combinera Lotus Notes en guise de messagerie et plateforme collaborative, le client de messagerie instantanée Sametime et Websphere Portal pour l'accès aux applications Web. Il embarquera également Lotus Expeditor, la plateforme middleware de création de client riche basée sur Eclipse, qui sert de socle technologique à l'ensemble. Dès la sortie de Lotus Notes 8, la solution devrait également recevoir Lotus Connections (blog et réseau social), Lotus Quickr, pour la création d'espace de travail, ainsi qu'une suite bureautique respectueuse des standards (notamment ODF). "Nous avons d'abord construit Open Client en interne, explique Philippe Bournhonesque, directeur de la stratégie Software d'IBM France, et nous l'avons déployé depuis 2 ans sur quelque 15 000 postes de travail. Il s'agit d'une image qu'on charge depuis le réseau, qu'on provisionne et qu'on déploie sur le poste". L'idée était alors d'en faire bénéficier les clients et d'en associer une offre de service. Lotus Expeditor, la brique middleware pour le multi-plateforme Open Client (actuellement en version 1.2) s'adosse à Lotus Expeditor, "un socle technologique bâti sur Eclipse sur lequel repose notamment Sametime et Lotus", poursuit-il. Outre le fait de fournir des possibilités de développement d'applications métiers, Expeditor donne à Open Client son caractère multi-plateforme". Selon le site IBM, Expeditor met concrètement à la disposition des employés "un bureau composite qui intègre et unit dans un tout de multiples applications, y compris les logiciels Microsoft ActiveX, Java Swing, SWT, IBM WebSphere Host Access Transformation Services, IBM WebSphere Portal IBM et Workplace Forms". Une solution que PSA, qui vient d'annoncer passer 20 000 postes de travail sous Novell (Sled) et grand utilisateur de Lotus en interne, pourrait d'ailleurs convoiter. IBM vise surtout les projets de migration. Les entreprises pourraient s'y intéresser pour son coût allégé lors d'une migration localisée. "Ce n'est pas pour tous les utilisateurs, précise Philippe Bournhonesque. Mais au regard de la progression des compétences Linux en interne, [Open Client] pourrait servir une partie des effectifs." (...)
(12/02/2007 17:01:13)Avec son super-processeur, Intel entre dans l'ère du téraflop
En faisant tenir 80 coeurs sur 275 mm², les ingénieurs d'Intel ont réussi à créer un processeur avec une puissance de calcul d'un téraflop (capable d'effectuer mille milliards d'opérations à la seconde). Le tout, en ne consommant que 62 watts, moins qu'un ordinateur de bureau. Selon Jerry Bautista, directeur du programme de recherche Terascale chez Intel, cette puce, surnommée Polaris, n'a pas vocation à être commercialisée en l'état. Elle servira avant tout d'outil de travail pour permettre aux ingénieurs d'Intel de travailler sur une nouvelle façon d'empiler les coeurs, la consommation d'énergie et les échanges d'information au coeur du processeur. En effet, au-delà de 16 coeurs travaillant en parallèle, leur multiplication et l'augmentation des fréquences n'accroissent pas la puissance du processeur. Celle-ci se dégrade au contraire. À partir de 32 coeurs, « le trafic des données ne s'effectue plus correctement, et les coeurs se gênent mutuellement », explique Jerry Bautista. « C'est comme avoir trop de cuisiniers en cuisine ». Plusieurs solutions ont déjà été envisagées pour pallier ce désagrément. Ainsi, les coeurs inactifs restent éteints pour éviter la confusion et économiser de l'énergie, chaque coeur est associé à un routeur, et un planificateur et de la mémoire supplémentaire a été ajouté dans le silicium pour fluidifier le flux de données, d'un coeur à l'autre mais aussi de la mémoire vers les coeurs. Encore très spécialisé, ce processeur ne fait que des calculs basiques, et n'utilise pas le jeu d'instruction x86, mais une architecture VLIW (Very Long Instruction Word) plus simple à utiliser. À terme, ce problème devrait être résolu et Jerry Bautista estime que ce type de puce changera la façon dont les utilisateurs se servent de leurs PC. Il permettra entre autres d'affiner les outils de recherche pour ressortir, par exemple, dans une compilation de photographies toutes celles où un individu précis est souriant. Pour cela, il faudra également développer des logiciels capables de gérer une telle puissance de calcul, alors que les développeurs commencent à peine à s'atteler aux processeurs bi- et quadri-coeurs. (...)
(12/02/2007 16:34:55)Ilog met son moteur de règles à la sauce SOA
Ce n'est pas une mise à jour de son produit, mais la version 6.5 du moteur de règles métier d'Ilog marque néanmoins une inflexion de la stratégie. En direction des architectures orientées services (SOA). Le recours à un moteur de gestion des règles métier dans le cadre d'une SOA n'est pas nouvelle. La mutuelle d'assurances du bâtiment SMABTP avait ainsi témoigné de son utilisation lors de notre SOA Forum en octobre dernier. De fait, un BRMS (Business rules management system) permet d'externaliser la logique métier, et donc de produire un code moins susceptible de changement. « Gartner a identifié cela comme une bonne première étape sur la voie de la SOA », note Christophe Bordes, chef de produit chez Ilog. Alors que jusqu'à présent il fallait reprendre le code à la main, la version 6.5 de JRules propose d'exposer les fonctions de gestion de règles sous forme de services, et de générer automatiquement le code WSDL correspondant, afin de l'exploiter comme un service Web. Pour le reste, la 6.5 s'inscrit dans la continuité de la 6.0, avec un plug-in Eclipse pour le développement et un système collaboratif pour la gestion des règles. Plus, aujourd'hui, des capacités de recherche améliorées. La complémentarité avec Office, pour l'écriture de règles par les non-informaticiens, aujourd'hui disponible avec la version .Net de Rules, est prévue mais à plus long terme. Les efforts porteront d'abord sur Office 2007 pour la version de Rules for .Net prévue cet été. (...)
(12/02/2007 16:24:52)Objectif Mars : la Nasa teste les puces RFID dans l'espace
Les puces RFID peuvent-elles supporter un séjour hors de l'atmosphère ? C'est la question à laquelle la Nasa va tenter de répondre à partir de l'été prochain en envoyant des puces à radio-fréquence dans l'espace. La finalité est de déterminer si les futures missions vers Mars pourront embarquer la technologie RFID. La navette Endeavour, dont le lancement est prévu en juillet à destination de la station spatiale internationale, embarquera plusieurs modèles d'étiquettes, sur supports papiers et plastiques, explique Fred Schramm, responsable R&D à la Nasa. Une fois arrivées à destination, elles seront entreposées à l'extérieur de l'ISS et y resteront environ un an. L'objectif de l'agence spatiale est d'étudier leur résistance aux températures extrêmes, aux ultraviolets ou autres poussières solaires. La prochaine étape consistera à mener d'autres batteries d'essais à destination de la Lune. Le gouvernement américain ayant relancé un programme d'exploration sélène, une navette décollera dans 27 mois pour préparer le retour des astronautes sur notre satellite et emportera des puces RFID. « La plupart des choses qui fonctionneront sur la Lune fonctionneront aussi sur Mars », indique Fred Schramm. Les étiquettes à radio-fréquence devraient être utilisées pour surveiller et assurer la maintenance des engins spatiaux et pour suivre les conditions environnementales pendant les missions extra-terrestres. Elles pourraient aussi palier l'incapacité des astronautes à renseigner des systèmes en données collectées lors de sorties hors d'un véhicule. Et « s'il sont à l'intérieur, nous préférons les occuper à faire d'autres choses, poursuit Fred Schramm. Nous voulons automatiser l'enregistrement d'informations ». Ainsi, si un paquet de nourriture est transporté d'une cabine à l'autre pour être consommé, le système RFID pourrait enregistré de façon autonome son déplacement et le fait qu'il n'est plus disponible. Si les tests se rélèvent concluants, et si les puces RFID supportent les conditions extrêmes auxquelles elles seront exposées, elles pourraient être disposées sur chaque partie d'une navette - à l'intérieur comme à l'extérieur - et permettre une collecte d'informations globale via un réseau local puis un réacheminement vers la Terre. Les étiquettes qui seront utilisées lors des prochains essais sont conçues par la société américaine Intermec. Son porte-parole estime que les puces construites à base de plastique ont de grandes chances de résister aux conditions spatiales. A noter que la Nasa contrôle déjà ses installations au sol grâce à la RFID. (...)
(12/02/2007 14:08:54)Séminaires sur la protection des données personnelles au carrefour de la technique et du juridique
Biométrie, cryptologie et autres dispositifs (logiciels) exigés par la protection des données à caractère personnel, dont le droit à l'oubli, suscitent abondance de débats inter-disciplines, à la jonction de la technique et du juridique. Le Forum Atena, association de professionnels qui se veut située «à la convergence de l'industrie télécom et de l'enseignement supérieur», en fait l'objet de son premier séminaire gratuit, ce jeudi 15 février, à l'INT d'Evry. Au programme de cet après-midi (de 14h à 17h30), l'état de l'art en cryptographie (vers une 3G de la «crypto»), les limitations de la «crypto» embarquée dans les composants mobiles (à l'heure de la mise en cause de la RFID), et les avancées des techniques de biométrie, dont la multimodalité. Mais aussi, en seconde partie du séminaire, le point de vue du juriste sur les enjeux et la réglementation liés à ces technologies, et celui des fournisseurs de solutions, avec priorité accordée au débat avec les participants et non à une présentation de leurs produits. Une semaine plus tard, durant la matinée du 22 février à Paris (cercle d'affaires Kadrance), la société Princeton Softech propose un point sur l'obligation faite aux entreprises de protection et de sécurisation de l'accès aux données à caractère personnel (CNIL, directives européennes, Payment Card Industry Data Secure Standard). A l'intervention de l'avocate Marie-Laure Laffaire (du cabinet Lexvia), auteur d'un guide sur la question, fait écho, selon l'éditeur de logiciels organisateur de ce séminaire, l'exigence de proactivité des entreprises. Et cela, dès les phases de test des applications (possibilités de masquage, d'anonymisation, d'échantillonnage, dispositif de purge nécessité par le droit à l'oubli, etc). Une exigence qui fait par ailleurs l'objet d'un livre blanc des experts de Princeton Softech. (...)
(12/02/2007 12:48:59)Le PDG de Sun France quitte ses fonctions mais garde sa confiance en Sun
Christian Hiller a démissionné officiellement vendredi de ses fonctions de PDG de Sun France. Son remplaçant n'étant pas encore désigné, la société est dirigée au niveau européen, tandis que le directeur commercial France assure la direction opérationnelle. Sun assure que la démission de son PDG « n'est en aucun cas un limogeage déguisé ». Christian Hiller nous a d'ailleurs lui-même affirmé qu'après six ans passés à la tête de l'entreprise, il était temps pour lui de bouger. « Ma carrière devait évoluer à l'étranger, dit-il, mais j'ai dû annuler, pour diverses raisons. Et il n'y avait pas de perspectives d'évolution à l'intérieur de Sun France. » Christian Hiller insiste sur le fait qu'il « garde confiance en Sun », et qu'il se permet de partir parce que les résultats de Sun France sont bons : « C'est la première filiale au niveau de la croissance depuis deux trimestres. C'est parce que Sun marche très bien que je peux me permettre d'être un peu plus égoïste. » Et donc d'accepter une proposition d'un autre grand groupe. Une rumeur cite EMC. « Mais il y a plein d'autres possibilités », souligne Christian Hiller. Réponse dans une semaine. (...)
(12/02/2007 12:46:17)Les acquisitions dopent les revenus de GFI Informatique
Chiffre d'affaires 2006 : 633,1 M€ Evolution : + 7,4% Les activités de GFI Informatique a l'international ont affiché une excellente santé au cours de l'exercice 2006, avec une croissance organique des revenus de 11,7% par rapport à l'année précédente. Le chiffre d'affaires réalisé à l'étranger représente le tiers des 633,1 M€ reportés pour l'ensemble du groupe en 2006. Tous pays confondus, ce CA a progressé de 16,4%, bien aidé par les acquisitions d'Adelior et d'Actif en cours d'année. A périmètre comparable, la croissance des revenus atteint 7,4%. Les principales filiales européennes du groupe ont toutes réalisé des progressions à deux chiffres : l'Espagne progresse ainsi de 21% en organique, l'Allemagne bondit de 24,1% et l'Italie gagne 14,5% (sur le deuxième semestre). Pour l'Hexagone, l'effet des acquisitions est encore plus notable. Ainsi, la croissance du chiffre d'affaires s'élève à 5,1% en organique alors qu'elle affiche 20,8% à périmètre courant. Le groupe profite également, pour la France, de l'arrêt de ses activités de revente de matériels à faible marge. Les résultats définitifs seront publiés le 19 mars prochain. (...)
(12/02/2007 12:48:10)La virtualisation séduit les data centers et les PME, indique Forrester
Née dans les années 60, la virtualisation - ou l'émulation de plusieurs applications ou systèmes d'exploitation sur un même ordinateur - séduit les data centers du 21e siècle. C'est en tout cas le résultat d'une étude menée par Forrester Research auprès de 1270 entreprises. Par rapport à 2005, l'intérêt pour la virtualisation s'est accru. Notamment en Amérique du Nord où 51 % des sociétés testent ou ont déjà déployé des technologies de virtualisation dans leurs data centers (contre 41 % seulement en 2005). En Europe, 35 % des sociétés ont des projets ou des déploiements de virtualisation (contre 30 % en 2005), et dans la zone Asie-Pacifique, elles sont 21 % (contre 23 % en 2005 ; selon Forrester cette baisse est due à un échantillon plus petit de sociétés asiatiques). Longtemps réservée aux grands comptes, la virtualisation - et ses économies d'échelle - suscite l'intérêt de toutes les tailles de sociétés. Ce sont même les plus petites d'entre elles qui s'y sont le plus intéressées en 2006. Ainsi 83 % des PME et 86 % des entreprises de taille moyenne ont déclaré étudier la virtualisation (contre respectivement 62 % et 60 % d'entre elles en 2005), alors que l'intérêt des grands comptes n'est passé que de 87 % à 92 % en un an. Une attraction bien comprise des éditeurs : VMWare comme XenSource ont des offres dédiées aux PME. (...)
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