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(29/01/2007 17:42:08)

SAP, partenaire de recherche en sécurité logicielle de l'école d'ingénieurs Eurecom

Quatre thèses couvertes par un contrat Cifre (convention industrielle de formation par la recherche) et l'embauche d'un maître de conférence spécialiste de la sécurité (sous l'angle logiciel) : telles sont les premières composantes de l'accord de partenariat académique conclu en janvier 2007, et pour trois ans, entre SAP et l'institut Eurecom. L'école d'ingénieurs télécom accueille, à Sophia Antipolis, des étudiants de niveau master (160 élèves-ingénieurs issus des écoles du GET, Telecom Paris, ENST Bretagne, INT, de Polytechnique Lausanne, Zurich, Turin ou de l'université d'Helsinki) pour une ou deux années d'études (selon leur établissement d'origine). S'y ajoute une soixantaine de thésards, dont une quinzaine en contrats Cifre avec divers industriels. Par ce nouvel accord, Eurecom prolonge, en l'officialisant, une collaboration entretenue depuis 2002 avec le centre de recherche SAP Labs France. Installée depuis 2001 sur la technopole de Sophia Antipolis, l'antenne R&D de l'éditeur s'est rapidement impliquée dans l'animation et la collaboration de projets "académiques", tant avec l'université et les écoles d'ingénieurs locales qu'avec l'Inria. Pour les équipes de recherche d'Eurecom (19 enseignants-chercheurs et leurs doctorants), cette collaboration a pris forme au sein de plusieurs projets européens (Witness, Mosquito, eJustice, R4eGov), financés notamment par le PCRD (programme-cadre de la Commission). La nouveauté, dans cet accord qui couvre le co-encadrement de thèse (école et entreprise) comme le veut la convention Cifre, est de donner un peu plus d'assise encore au renforcement des échanges entre Eurecom et les universités allemandes (Munich, Darmstadt, Stuttgart, Manheim) mais aussi leurs partenaires industriels. Pour le professeur Ulrich Finger, directeur de l'institut Eurecom, lui-même originaire de Stuttgart, "ce partenariat s'inscrit dans une stratégie d'ouverture à l'Allemagne, afin de former des ingénieurs franco-allemands". Une ligne tactique qui vise notamment à décider l'Université technique de Munich à entrer dans le GIE de l'Institut dont font déjà partie sept écoles et universités européennes (France, Suisse, Italie, Finlande) et une dizaine d'industriels. (...)

(29/01/2007 17:39:13)

Antitrust : Vista, prochaine cible de Bruxelles ?

Les ennuis de Microsoft face à la Commission européenne pourraient rebondir avec la sortie de Vista. Alors que le géant du logiciel n'a pas clos le dossier Windows XP et l'abus de position dominante pour lequel il a été condamné à payer 497 M€, il se voit reprocher par un regroupement d'éditeurs concurrents d'avoir cuisiné Vista à la même sauce antitrust. « Microsoft a choisi d'ignorer les principes fondamentaux de la décision prise par la Commission [européenne] en 2004 », déplore Simon Awde, le président de l'ECIS (European Committee for interoperable systems). Dans le communiqué, publié le 26 janvier, l'association estime que Microsoft va même plus loin avec Vista qu'avec ses précédents OS en cherchant à profiter de sa puissance pour s'accaparer le marché Internet. L'ECIS - qui regroupe des grands noms de l'IT comme Adobe, Oracle, Nokia, Sun, etc. - a déposé une plainte contre Microsoft auprès de l'exécutif communautaire il y a un an. Ce dernier avait indiqué, à l'époque, qu'il examinerait la requête attentivement. L'ECIS presse désormais Bruxelles de « prendre une décision aussi vite que possible [et] de mettre fin aux pratiques qui préservent le monopole actuel de Microsoft et menacent d'étendre sa domination à d'autre sphères, dont les services en ligne et les serveurs ». Selon l'ECIS, Vista « est le premier pas de la stratégie de Microsoft pour étendre sa prédominance à Internet ». Le langage XAML, propre à la couche graphique du nouvel OS et pas interopérable avec d'autres systèmes, est conçu pour succéder au standard HTML, estime le groupement. Autre grief : le groupe de Redmond cherche à imposer le format Open XML dans Vista et Office 2007 pour supplanter le standard ODF : « Avec XAML et OOXML, Microsoft cherche à imposer ses propres standards dépendants de Windows et à mettre de côté ceux qui ont été largement validés par l'industrie, qui sont multi-plateformes et qui autorisent la concurrence et l'innovation ». La date choisie par l'ECIS pour se rappeler au bon souvenir de l'éditeur américain ne doit rien au hasard : Vista et Office 2007 sortent en effet ce 30 janvier, en grande pompe, dans leurs versions destinées au grand public. Microsoft n'a apporté aucun commentaire : le feu d'artifice prévu à la Grande Arche de la Défense et l'illumination de l'Atomium de Bruxelles auront bien lieu. (...)

(29/01/2007 17:38:18)

IBM renforce son offre de stockage en se payant Softek

IBM vient d'acquérir Softek Storage Solutions - un de ses partenaires depuis plus de dix ans - pour un montant non communiqué. Big Blue s'appuiera sur la technologie « data mobile » de Softek pour bâtir des systèmes de stockage plus flexibles au sein de sa division Global Technology Services. La ligne de produits Transparent Data Migration Facility de Softek permet de conserver une accessibilité des données alors même qu'elles sont en cours de transfert d'une unité de stockage vers une autre, et quels qu'en soient les constructeurs. Avec cette opération, IBM poursuit une agressive politique d'acquisitions. En décembre 2006, Big Blue mettait la main sur Consul Risk Management. En août, il se payait Internet Security Systems et FileNet pour une facture cumulée de près de 3 Md$. (...)

(29/01/2007 17:13:37)

IBM propose à Eclipse un outil de cryptage des données envoyées sur le Web

Le laboratoire IBM de Zurich vient de mettre au point Identity Mixer, une solution bâtie sur XML et les certificats numériques X.509 destinée à sécuriser l'envoi d'informations confidentielles sur le Web. Aujourd'hui en effet, un certain nombre de données (origine, taille et fréquence des transactions) circulent sur le Net, permettant à des personnes malintentionnées de remonter à la source. Il s'agit donc de rendre lesdites transactions anonymes grâce à un certificat crypté. Du point de vue de l'utilisateur, il s'agira d'un plug-in pour son navigateur, qui générera un jeton numérique, une « iCard » incrémentée par un tiers de confiance (banque, assurance....) et lisible à l'autre bout à l'aide d'un logiciel approprié. Développé pour favoriser l'e-commerce, ce système permettra également de sécuriser les transferts d'informations (âge, nom, numéro de sécurité sociale...) notamment vers les administrations ou les établissements hospitaliers. Pour faciliter la diffusion d'Identity Mixer, les responsables de Big Blue parient bien entendu sur l'open source. En effet le logiciel et son outillage, développés dans le cadre du projet Higgins (initié l'an dernier par IBM, Harvard et Novell), seront aussi bien distribués via le portefeuille de solutions Tivoli qu'à travers la Fondation Eclipse, créée en 2001 à l'initiative du géant américain pour favoriser l'émergence d'une plate-forme de développement standardisée. (...)

(29/01/2007 16:41:03)

PDF soumis à l'ISO pour devenir un vrai format ouvert

Adobe a annoncé son intention de soumettre son format PDF au vote de l'ISO, afin de lui conférer le statut de standard international. Standard de facto, le Portable Document Format est largement utilisé, grâce notamment à la généralisation de son lecteur gratuit, multi-OS et (de moins en moins) léger. Dans une conférence de presse téléphonique, Pam Deziel, directrice marketing produits d'Adobe, a ainsi invité les journalistes à effectuer un « test non scientifique : une requête de documents PDF sur Google » pour évaluer la diffusion du format. Test effectué, le moteur retourne 271 millions de liens. Avec une telle emprise, Adobe aurait pu se contenter de rester sur sa stratégie actuelle, avec un format propriétaire mais « ouvert » au sens de documenté (ce qui permet de développer des générateurs de PDF sans payer de royalties). Il semble toutefois que les discussions sur les formats ouverts, nées principalement de la diffusion des concepts de l'Open Source, aient provoqué une prise de conscience chez les utilisateurs. « De plus en plus d'administrations et d'industries spécifient qu'ils veulent un standard ouvert », a indiqué Pam Deziel. « Ouvert », dans le sens cette fois d'un format dont les spécifications dépendent d'une institution internationale indépendante. Un contre-feu avant l'arrivée de Microsoft XPS Pour Robert Raïola, directeur marketing senior pour Adobe Europe, ce mouvement vers les formats ouverts s'inscrit dans la continuité de ce qu'Adobe pratiquait déjà avec des sous-ensembles de PDF. PDF/A (format d'archive) et PDF/X (pour des échanges) sont ainsi déjà des standards ISO, et deux autres formats dérivés sont en cours de normalisation. La soumission de l'ensemble du format représente donc « l'étape naturelle suivante ». « Ces dernières années, explique Robert Raïola, il y a eu une grande accélération de l'usage du PDF par les grandes administrations pour les projets de mise en relation avec les citoyens. Tant pour les administrations centrales que pour les collectivités territoriales. Nous n'allions pas encore soumettre un sous-ensemble pour ce type d'utilisation. » C'est donc le format entier qui cette fois est soumis à la standardisation formelle, ce qui est aussi une manière de couper l'herbe sous le pied de Microsoft et de ses velléités d'imposer un nouveau format d'échange de documents, basé sur XML : XPS. « Là c'est clair, s'amuse Robert Raïola, non seulement PDF est un standard de fait, mais en plus il est normalisé. » Aucune intention de faire de même pour Flash Bien évidemment, la soumission à l'ISO implique qu'Adobe perdra le contrôle des évolutions du format, même si l'éditeur compte bien participer à ses futurs développements. Cette perte de contrôle ne l'inquiète pas. « Après 13 ans d'évolutions, explique Robert Raïola, PDF est capable de véhiculer n'importe quel type de contenu de façon fiable et sécurisée, il y a donc peu d'urgence sur les futures évolutions. » A l'inverse, Adobe n'envisage toujours pas de proposer Flash comme standard ouvert. « Il s'agit d'une technologie Internet, lequel est en mutation rapide, ce serait donc négatif pour le format, car il pourrait avoir besoin d'évoluer rapidement dans les trois ou quatre ans à venir. Le format a beaucoup évolué ces dernières années, et il y a encore beaucoup à faire, nous avons plein d'idées dans les labos. » (...)

(29/01/2007 14:02:50)

L'ISO ratifie la norme SMI-S pour simplifier le stockage

L'International Organization for Standardization (ISO) vient d'approuver en tant que standard une spécification présentée par la Storage Networking Industry Association (SNIA) visant à faciliter l'interopérabilité des systèmes de stockage. Après avoir été ratifié par l'institut national américain des standard (ANSI) en 2006, la norme SMI-S (Storage Management Initiative Specification) vient donc de recevoir l'aval de l'ISO et devient, de fait, « le premier standard d'administration de stockage spécifique aux technologies SAN », explique Wayne Adams, un membre du conseil d'administration de la SNIA. Plus d'une vingtaine d'acteurs de l'industrie du stockage - EMC, IBM, HP, etc. - intègrent déjà la spécification SMI-S 1.0 dans leurs produits. SMI-S permet aux applications d'administration de stockage de communiquer entre-elles et de gérer les périphériques d'archivage de différents constructeurs. Les profils SMI-S restent cependant relativement pauvres : ils permettent au mieux de faire du management mais s'avèrent limités face à des tâches plus compliquées, obligeant alors les utilisateurs à basculer vers des interfaces propriétaires. La SNIA se penche désormais sur la version 1.1 du standard SMI-S, qui définira les interfaces entre les périphériques NAS et iSCSI. (...)

(29/01/2007 12:33:51)

Itway distribue la solution de convergence fixe/mobile de Nokia et Alcatel

Itway France, filiale du groupe italien spécialisé dans les solutions de sécurité, e-business et de mobilité, devient le premier distributeur français de la solution de convergence fixe/mobile Intellisync Call Connect de Nokia dans l'Hexagone. Ce produit est le fruit d'un partenariat entre Alcatel et Nokia annoncé en septembre dernier, et fait partie intégrante de l'Intellisync Mobile Suite du constructeur finlandais. Il intègre les téléphones mobiles professionnels Nokia Eseries sur le serveur de communication IP d'Alcatel OmniPCX Enterprise. L'utilisateur de ce type de solution a ainsi accès aux fonctions de téléphonie fixe courantes (gestion d'un numéro de téléphone professionnel unique avec possibilité de renvoi d'appel sur un autre appareil, organisation de conférences téléphoniques, fonction rappel et numérotation par nom...) sur son mobile. La gamme Intellisync est issue du rachat de la société californienne éponyme par Nokia en novembre 2005. Le groupe Itway, qui distribue ses solutions auprès de VAR (revendeurs à valeur ajoutée), d'intégrateurs et de SSII, fait partie des grossistes historiques de Nokia en France. (...)

(29/01/2007 12:21:24)

VMWare clone les serveurs à chaud

VMWare lance la version 3 de son outil de virtualisation VMWare Converter 3. Celui-ci automatise la conversion des serveurs virtuels en provenance d'autres machines virtuelles (V2V - Virtual to Virtual) ou de serveurs physiques (P2V - Physical to virtual), le tout sans redémarrer les serveurs à convertir. Appelée « Hot cloning », clonage à chaud, cette fonction est destinée plus spécialement aux data centers, pour leur permettre de transférer un serveur physique sur de multiples serveurs virtuels et de les mettre en activité, sans interruption de service. Le VMWare Converter 3 est disponible en deux versions. VMWare Converter Starter, destinée aux PME, est entièrement gratuit, mais il ne peut convertir qu'un serveur à la fois, et n'inclut aucun support. VMWarer Converter Enterprise permet les conversions simultanées de plusieurs serveurs, mais n'est accessible qu'aux clients ayant déjà une licence pour l'un ou l'autre des produits de la gamme ESX (VirtualCenter Management Server et P2V Assistant). (...)

(29/01/2007 12:04:42)

HP étend son offre de PC en lame à l'Europe

HP va étendre à l'Europe, ainsi qu'à la Chine et au Canada, son offre CCI (Consolidated Client Infrastructure) : un ensemble constitué de serveurs et de PC en lame ainsi que de clients légers et bien sûr du logiciel associé. Le concept défendu par le groupe CCI est proche de celui vendu depuis des années par Citrix : une entreprise réduit ses coûts d'exploitation en concentrant sa puissance informatique dans des salles serveurs et en faisant travailler les utilisateurs sur des machines indifférenciées. Soit des clients légers, auquel cas il s'agit de concurrencer des fabricants comme Wyse, soit des PC en lame, auquel cas cela se rapproche plutôt du concept défendu par Sun, qui regroupe toutes les données personnelles d'accès sur une carte. Dans tous les cas, le groupe CCI propose de stocker les données des utilisateurs sur des baies de stockage en réseau, NAS ou SAN. HP a accompagné cette annonce du lancement de deux nouveaux clients légers. Alternatives aux PC de bureau, les Compaq t5135 et t5530 sont de la taille d'un livre broché. Ciblant les institutions, les grandes entreprises et les établissements éducatifs, le t5135, vendu 200 $, fonctionne sous système d'exploitation Linux Debian alors que le t5530, 300 $, tourne sous Windows CE, avec la capacité d'utiliser un navigateur Web, un lecteur multimédia et un émulateur de terminal. Les deux modèles accueillent quasiment les mêmes caractéristiques matérielles, soit une mémoire flash de stockage de 64 Mo, une RAM de 128 Mo et un processeur Eden de chez VIA cadencé à 400 MHz pour le 5135 et 800 MHz pour le 5530. L'Europe devrait voir arriver ces machines au mois de mars. Le but avoué du constructeur est de bousculer le leadership de Wyse Technology, tout en devançant Neoware et ClearCube. Pour ce faire, « ces nouveaux clients légers peuvent fonctionner dans n'importe quel environnement de type client-serveur », explique Manoj Malhotra, responsable marketing produit pour les solutions clients légers chez HP. Aussi bien dans l'habituelle architecture client-serveur où plusieurs utilisateurs partagent un serveur, qu'avec un serveur lame où chaque utilisateur dispose d'un accès à un serveur, ou encore dans une infrastructure virtuelle, qui combine les deux. (...)

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