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(25/01/2007 15:54:19)

Première exhibition publique de la méthodologie SOA Praxeme

Praxeme, méthodologie publique pour réformer un système d'information selon les préceptes des architectures orientées services (SOA), a passé un cap mardi avec sa première présentation publique. Une vingtaine de participants, représentants d'entreprise de toute taille, mais aussi du secteur public (administration, armée), avaient payé 1450 E HT pour une journée au contenu extrêmement dense. Praxeme est la première initiative destinée à offrir un cadre de réflexion global pour la mise en oeuvre des SOA, en-dehors bien sûr des différentes méthodes propriétaires proposées par tel ou tel cabinet. Chaque cabinet ou SSII a en effet élaboré une méthode, ce qui peut poser souci lorsqu'un client fait travailler plusieurs intervenants. En outre, Praxeme va plus loin qu'une simple méthode technique, puisqu'elle analyse en profondeur le modèle conceptuel, logique, ainsi que le modèle organisationnel de la DSI. L'objectif des promoteurs de Praxeme, qui se sont réunis en association Loi 1901, est justement d'aller au-delà de cet aspect propriétaire, en échafaudant un cadre adaptable aux différentes situations, donc utilisable par tous. « La première qualité d'une méthode, c'est d'être partagée », a insisté Dominique Vauquier, principal concepteur de la méthodologie. Un participant remarquait toutefois en privé que si les concepts de Praxeme étaient intéressants, le nombre et la variété des profils impliqués risquaient de la rendre impraticable hors d'un grand compte. Suite au succès de cette première manifestation, la journée devrait être rééditée courant juin. De son côté, l'Adeli, association pour la maîtrise des systèmes d'information, prévoit une rencontre « autour d'un verre » le 12 février consacrée à Praxeme. (...)

(25/01/2007 15:41:43)

L'axe franco-chinois se renforce pour la formation de cadres high-tech

La croissance à deux chiffres de la Chine, et les 50 milliards d'euros (63 milliards de dollars) d'investissements étrangers qu'elle suscite, donnent du relief à la multiplication des partenariats entre structures d'enseignement et de recherche chinoises et françaises. Dernier accord en date, annoncé ce 24 janvier, celui de l'INT (école d'ingénieur télécom et école de management) vise l'accompagnement à l'international de jeunes entreprises innovantes, assuré conjointement par l'incubateur d'INT et par le HTIBI (Hi-Tech International Business Incubator) de Beijing, le premier de la république populaire qui a contribué à la constitution d'un réseau de 500 incubateurs à travers le pays. Par ailleurs, c'est en profitant du programme européen Asia Link que l'école des Mines de Paris et l'Insa Lyon ont mis sur pied, avec l'université de Tsinghua (Pékin), un cursus menant à un double diplôme franco-chinois (Mastère spécialisé pour la France, master of engineering à Pékin) en management de l'environnement. Pour une quinzaine d'étudiants de part et d'autre, et sur une durée de 14 mois, dont 4 mois d'enseignement en France, 4 en Chine, puis 6 mois de mission en entreprise. Le groupement des écoles des Mines (GEM) et le réseau des INSA qui veillent, l'un et l'autre, à renforcer la visibilité internationale de leur offre en fédérant les initiatives de coopération hors frontières de leurs établissements (7 pour le GEM, 5 pour les INSA), concrétisent ainsi un degré de synergie supplémentaire au niveau national. Parmi les autres cursus à connotation informatique (au sens large) d'écoles d'ingénieurs ayant lancé courant 2006 de nouveaux liens avec des établissements chinois, l'Esigelec, l'Isep, l'ECE (dans le domaine des systèmes et électronique embarqués), l'école des Mines de Nantes (en génie logiciel, avec l'université de Bruxelles). Dans chaque cas, les échanges d'étudiants, et les relations entre enseignants-chercheurs, notamment pour le volet pratique du programme (projet en équipe hybride et/ou en entreprise) font également l'objet de partenariats avec des grands industriels. (...)

(25/01/2007 14:41:53)

AMD compte sur Barcelona pour se relancer

Après une fin d'année difficile liée à l'absorption d'ATI, AMD compte sur « Barcelona », son futur processeur quadricoeur, pour doper l'exercice fiscal 2007. Si son rival Intel a sorti, en novembre dernier, son propre processeur quadricoeur et séduit le marché des serveurs haut-de-gamme, AMD espère que Barcelona lui permettra d'augmenter le nombre de ses clients, depuis les centres de calcul hautes performances jusqu'aux PME. Quitte à s'installer dans des serveurs d'entrée de gamme, ou même des PC faisant office de serveurs. « Nous ne sommes pas encore sur le marché des PME », explique Kevin Knox, vice-président d'AMD. « C'est une formidable opportunité commerciale pour nous, vu que notre part de marché sur ce secteur est très faible ». Et face à son concurrent Intel, AMD n'aurait même pas à se lancer dans une guerre des prix ravageuse puisque, selon le groupe, Barcelona a des performances largement supérieures aux Xeon bicoeurs ou quadricoeurs. « Au départ, nous avions un écart de performance en lançant les Opteron. Woodcrest a réduit cet écart, mais avec Barcelona nous allons à nouveau creuser l'écart, voire l'élargir », affirme Kevin Knox. Randy Allen, responsable de la partie serveur et station de travail chez AMD, est même plus précis : « Dans un grand nombre de situation, Barcelona a des performances de 40 % supérieures à son rival chez Intel ». Il faudra désormais le prouver, d'autant plus qu'AMD sera confronté à Intel chez la plupart des fabricants de serveurs depuis que Sun a annoncé son intention de vendre des serveurs Xeon dès juin. (...)

(25/01/2007 14:37:02)

Une mémoire de la taille d'un globule blanc

Si les méthodes classiques de fabrication des processeurs devraient atteindre leurs limites d'ici 10 à 20 ans, certains chercheurs réfléchissent à une électronique moléculaire. C'est ainsi que James Heath du California Institute of Technology et Fraser Stoddart de l'UCLA ont réussi à stocker 160 000 bits d'informations sur une puce de la taille d'un globule blanc. Réalisant au passage le processeur le plus dense du monde : 100 milliards d'informations au centimètre carré, soit vingt fois plus que les mémoires actuelles. A la place du silicone actuel, cette puce utilise des nanofibres de rotaxanes rassemblés dans une grille de 400 x 400 fils. Même si la puce ainsi obtenue n'est opérationnelle qu'à 30%, il est possible d'y stocker et de lire des informations. « Notre but n'est pas de montrer une technologie robuste », explique James Heath, mais de démontrer que des circuits électroniques fonctionnels peuvent être réalisés à une densité qui selon les projections les plus optimistes n'aurait pu être atteinte avant 10 ou 15 ans ». (...)

(25/01/2007 14:31:29)

Ricoh en discussions pour le rachat des activités d'impression d'IBM

Le spécialiste japonais des imprimantes Ricoh aurait entamé des négociations pour l'acquisition des activités d'imprimantes numériques professionnelles d'IBM. La transaction serait sur le point d'être conclue et un accord pourrait aboutir très prochainement, a indiqué une source proche du dossier à nos confrères d'IDG News Service. La presse nipponne mentionnait ce matin une possible finalisation dès le mois d'avril et estimait le montant du rachat à 700 M$. Les activités Impression de Big Blue ne représentent, avec un CA annuel de 995 M$, qu'un faible pourcentage des revenus du groupe. En se séparant de ces activités, IBM confirme son intention de se concentrer sur le marché des serveurs et des services. Un stratégie débutée avec la revente de sa division PC au Chinois Lenovo en décembre 2004. (...)

(25/01/2007 12:46:09)

INEO réalise le premier réseau de surveillance vidéo intercommunal de France

INEO Infracom, filiale de Suez Energie Services, associé à France Télécom et à Tonna, spécialiste français des systèmes de sécurité, a été choisi par la Communauté d'Agglomération de la Vallée de Montmorency (CAVAM) pour installer un réseau de vidéo protection. Première intercommunalité à piloter un tel projet, la CAVAM souhaitait s'appuyer sur les réseaux urbains existants, pour minimiser les coûts, tout en assurant une homogénéité du système. Réalisé en partenariat avec le ministère de l'Intérieur, le projet prévoit de déploiement de 96 caméras réparties sur les zones sensibles des huit communes de la communauté d'agglomération ainsi que la création d'un centre intercommunal de supervision urbain fonctionnant 24 h/24. Ce dernier se chargera de renvoyer les images vers les huit polices municipales et vers les trois commissariats de la Police Nationale du secteur. La valeur du contrat avoisine 1,7 million d'euros H.T. (...)

(25/01/2007 12:22:15)

Les Boeing 787 n'auront pas de réseau sans fil, trop lourd

Boeing n'équipera pas son futur 787, surnommé Dreamliner, d'un réseau sans fil pour la diffusion des divertissements destinés aux passagers. La décision d'abandonner l'idée du sans fil a été prise il y a quelques jours alors que le constructeur américain faisait face à deux difficultés majeures. D'une part, un système wireless embarqué nécessite l'accord des autorités de régulation d'une centaine de pays pour l'utilisation de certaines fréquences. Un problème insurmontable, selon Boeing, qui refuse d'indiquer quels Etats n'acceptent pas de lui accorder le droit d'utiliser les fréquences nécessaires. En l'absence d'un tel accord, les appareils auraient été contraints de suspendre le fonctionnement du système lors du survol des pays récalcitrants. Deuxième difficulté : un réseau sans-fil impliquerait un surpoids conséquent - de l'ordre d'une centaine de kilogrammes - dû à l'installation d'antennes et de points d'accès pour chaque rangée de siège. En repassant à un système filaire, Boeing explique que l'installation ne pèse plus qu'un quart du poids initialement prévu. Le poids d'un appareil est un facteur crucial en aéronautique et a notamment contribué - ainsi que des problèmes de câblage - au retard du lancement de l'A380. (...)

(25/01/2007 11:35:47)

Trimestriels Sun : premiers bénéfices publiés depuis plus d'un an

A peine annoncée la conclusion d'un partenariat stratégique avec Intel, Sun se fait de nouveau remarquer avec la publication de ses derniers résultats. Et pour cause, après 5 trimestres consécutifs dans le rouge, le constructeur a renoué avec les profits au second trimestre de son exercice 2007 (clôture au 31 décembre dernier). Durant cette période, il a ainsi dégagé 126 M$ de bénéfices contre une perte nette de 223 M$ un an plus tôt. Un retour dans le vert qui se fait dans des proportions surprenantes pour les analystes qui tablaient sur un résultat à l'équilibre sur un chiffre d'affaires de 3,52 Md$. Les revenus se sont avérés également légèrement supérieurs à 3,56 Md$, en croissance 7%. «La performance financière de Sun prouve que la stratégie et les efforts que nous avons déployés ont été payants», a commenté Jonathan Schwartz, le PDG de Sun. Successeur de Scott Macneally (qui reste président de Sun) en avril 2006, Jonathan Schwartz a mené une restructuration importante de l'entreprise qui a entraîné la suppression de 5000 postes. Sous sa houlette, Sun a également fait l'acquisition de Storage Tek pour prendre pied sur le marché du Stockage. A l'occasion de la publication de ses résultats, Sun a également indiqué que le fond d'investissement KKR Private Equity Investors avait placé 700 M$ dans son activité. Une somme qui vient s'ajouter au 2,6 Md$ de trésorerie dont dispose Sun et que ce dernier devrait utiliser pour procéder à des « opérations de croissance stratégiques » Le seul bémol à l'annonce des résultats de Sun auront été les perspectives annoncées par le constructeur pour le troisième trimestre de son exercice. Sun s'attend en effet à une baisse de ses revenus de l'ordre de 3 à 5% comparé au second trimestre. (...)

(25/01/2007 11:13:40)

OpenOffice veut faciliter l'utilisation d'ODF

OpenOffice.org vient de livrer un ensemble de ressources censé faciliter l'intégration du format bureautique ODF dans des applications tierces. Selon le site Openoffice.org, ODF Toolkit Project donne la possibilité d'utiliser "Openoffice.org en tant que framework pour développer des méthodes de création et de sauvegarde au format ODF, au lieu d'une application desktop". L'idée, résume Louis Suarez-Potts, responsable de la communauté de la suite Open Source, est de permettre "de simplifier l'ajout de procédure de sauvegarde au format ODF, sans avoir à y intégrer un bout du code d'OpenOffice, comme précédemment". Rappelons par ailleurs que Microsoft, à travers son programme Office Business Applications, a publié un ensemble de bonnes pratiques et d'exemples de code pour faciliter l'intégration d'Office 2007 et de ses composants au back-office des entreprises. L'éditeur de Redmond a, dans cet même ordre d' idée, décidé de licencier gratuitement l'interface de son prochain système Office, baptisé "ribbon", le "Ruban" en français. (...)

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