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(24/01/2007 18:25:12)
REALbasic 2007, une alternative multiplateforme
L'éditeur texan REAL Software a annoncé la nouvelle version de REALbasic 2007 Release 1, un environnement de développement RAD cross plates-formes pour Windows, Mac et Linux. L'environnement de développement de REALbasic ressemble à celui de Visual Studio : édition d'un formulaire, glisser-déposer d'objets graphiques, édition du code en double cliquant sur l'objet, etc. Ici pas de colorisation syntaxique ou de complétude automatique, mais les développeurs Visual Basic ne devraient pas être dépaysés. Les langages REALbasic et Visual Basic sont également très similaires. REAL Software fournit un outil Visual Basic Project Converter qui, selon l'éditeur, permettrait de migrer un projet Visual Basic en REALbasic en quelques heures ou quelques jours, plutôt qu'en semaines ou en mois avec les autres environnements de développement. REALbasic permet donc avec des compétences Visual Basic de générer, outre la version Windows, des versions Mac et Linux de ses applications, en s'affranchissant des problèmes de DLL, de frameworks ou de machines virtuelles. Le compilateur REALbasic génère des exécutables en code natif utilisant pour chaque plate-forme les objets natifs qui donnent le rendu approprié sur Windows, Mac et Linux. Les développeurs Java ou C++ devraient pouvoir s'adapter assez rapidement. REALbasic est un langage moderne orienté objet. Tout est objet et tout hérite d'autres objets par héritage simple, les fichiers et les E/S utilisent les flux, les interfaces sont générées avec des objets et les exceptions peuvent être gérées selon une logique try/catch. REALbasic supporte les concepts de polymorphisme, les références aux objets... Avec le plugin SDK de REALbasic, il possible d'utiliser son propre code C++ existant. REALbasic supporte les standards du marché : XML, SOAP, SSL, UDP, POP3, SMTP, SQL, ODBC... Il s'interface avec Oracle, Sybase, MySQL, PostgreSQL, FileMaker Server et toutes bases ODBC. Il supporte l'API MS Office Automation pour créer applications Office sur Windows et Mac. REALbasic Release 1 est compatible avec Windows Vista et Office 2007. La version Professional qui permet le développement cross plates-formes est disponible à 399 euros. (...)
(24/01/2007 18:22:37)Eclipse est utilisé par deux tiers des développeurs
Selon une étude récente conduite par le cabinet BZ Research en novembre 2006 sur l'adoption d'Eclipse, deux tiers (66,3%) des développeurs en entreprise utilisent Eclipse. Selon BZ Research, filiale du groupe BZ Media éditeur du magazine SD Times, la pénétration d'Eclipse a progressé lentement mais sûrement depuis que l'étude a été menée. La pénétration d'Eclipse était de 53,9% en septembre 2004 et de 62,5% en novembre 2005. Pourquoi les développeurs utilisent-ils Eclipse ? La première raison choisie par 64,7 % des sondés est le prix. Eclipse est une solution bon marché. Pour 61,5%, c'est parce qu'Eclipse est une solution Open Source. Pour 60,4%, c'est le large choix de plugins. Puis viennent l'extensibilité (47,6%), la facilité d'apprentissage et d'utilisation (40,3%) et le support cross plateforme (37,4%). Mais les avis ne sont pas unanimes. Pour certains, il existe certes un grand choix de plugins, mais à un coût non négligeable si l'on cherche la qualité. Pour sa part, Sun Java Studio Enterprise 8 est fourni en standard avec bon nombre de fonctionnalités qui au final reviennent nettement moins cher, surtout depuis que Sun a rendu Java Studio gratuit. Pour quel usage adopte-t-on Eclipse ? Pour 81,5%, c'est pour développer en Java. Le développement Web rassemble 57,4% et les Web services 42,2%, des chiffres similaires à la précédente étude. La fondation Eclipse essaye de promouvoir depuis quelques années la plate-forme Eclipse RCP (Rich Client Platform) permettant de construire des applications natives riches. Il semble cependant que son adoption stagne. Seuls 6% des sondés déclarent avoir construit et déployé une application Eclipse RCP (en 2005, ils étaient 4,8%) et 4,2% ont construit des applications RCP mais ne les ont pas déployées (5,3% en 2005). Si on additionne ces chiffres, l'utilisation d'Eclipse RCP a progressé de 10,1%, à 10,2% en un an, ce qui est négligeable. (...)
(24/01/2007 18:21:38)La version finale de ASP.NET AJAX 1.0 (Atlas) est disponible
Annoncé sur le blog de Scott Guthrie alors que personne ne s'y attendait, Microsoft annonce la disponibilité de la version finale de ASP.NET AJAX 1.0 (anciennement Atlas) le framework Ajax pour ASP.NET. ASP.NET AJAX 1.0 permet aux développeurs de construire des applications Web s'intégrant avec le framework .NET et la plate-forme ASP.NET. Ils peuvent construire des interfaces utilisateur avec des composants AJAX réutilisables et enrichir des pages Web existantes avec des contrôles AJAX. Ils peuvent également accéder à des services distants et à des données à partir du navigateur sans avoir à écrire des scripts trop compliqués. Les développeurs peuvent utiliser AJAX avec Visual Studio, mais Visual Studio n'est pas un pré-requis. ASP.NET AJAX 1.0 inclut toutes les fonctionnalités des précédentes versions CTP et rajoute des fonctionnalités avancées de training. Il fournit une bibliothèque de composants AJAX côté client et une bibliothèque côté serveur qui permet d'intégrer des fonctionnalités AJAX dans ASP.NET. Microsoft fournit également un ensemble de plus de 30 contrôles ASP.NET AJAX gratuits, le ASP.NET AJAX Control Kit. Il s'agit d'un projet shared source qui permet d'enrichir ses applications. Parmi les nouveautés, on citera les contrôles AutoComplete, Calendar, MaskedEdit et Tabs. En plus de fournir le code des contrôles ASP.NET AJAX Control Toolkit, Microsoft fournit également le code source de la bibliothèque AJAX côté client sous la licence Microsoft Permissive License. Pour le futur, les fonctionnalités de ASP.NET AJAX 1.0 seront intégrées dans la prochaine version de ASP.NET (nom de code Orcas). Visual Studio « Orcas » fournira l'IntelliSense pour le JavaScript client, le contrôle de la compilation JavaScript et le support du débogage JavaScript. (...)
(24/01/2007 17:32:35)Après Intel, Sun confirme son intérêt pour les Power d'IBM
"Nous adorerions travailler [également] avec IBM", a déclaré Scott McNealy, président de Sun, à l'occasion d'une conférence entre partenaires. Fort de l'accord passé avec Intel, le constructeur souhaiterait dans la foulée nouer pareille alliance avec IBM et ses puces Power. Lundi 22 janvier, Intel et Sun annonçaient avoir signé un accord de commercialisation mutuel portant sur l'optimisation de Solaris sur les processeurs du premier ainsi que sur l'intégration de puces Xeon dans les serveurs et stations de travail du second. Toujours dans un esprit d'offrir à ses clients "plus de choix et d'options de plateformes", McNealy ajoute sans ambages que le lent processus de développement de Solaris pour Power se fera, "avec ou sans l'aide d'IBM". "Solaris symbolise une formidable cartouche que se doit d'avoir la division serveur Power, et je pense que cela ouvrirait de façon significative le marché aux processeurs Power". En novembre 2005, John Loiacono, patron de la division logiciel chez Sun, avait confié à nos confrères d'IDG News Service travailler en collaboration avec la communauté des développeurs Open Solaris sur le portage de l'OS Open Source sur Power. (...)
(24/01/2007 17:16:22)Les internautes détestent que leur candidature reste sans réponse
« Nous avons constaté que les internautes ne supportent pas de rester sans réponse à une offre publiée sur un site d'emploi. Ils redoutent aussi de répondre plusieurs fois à la même annonce et les plus expérimentés craignent l'absence d'anonymat. Rien de plus désagréable en effet, lorsqu'on est en poste et qu'on cherche ailleurs, d'apprendre que tout le monde est au courant ! » Michel Doric n'est pas sociologue mais il est à la tête de DGME Finances, société financière d'investissement capital risque, jusqu'alors positionnée chez les éditeurs de logiciels. Il y a trois mois, évolution de stratégie : DGME Finances fait l'acquisition de Contact-emploi, site d'emploi généraliste et orienté PME, quelques mois après l'annonce de la fusion géante Cadremploi/Keljob/Explorimmo et la reprise de E-recrut et RecruLex par Lesjeudis. Les deux entreprises sont en concurrence entre elles et avec un troisième acteur d'envergure internationale, Monster. Mais pourquoi les financiers s'intéressent-ils de plus en plus aux sites d'emploi ? « Le marché est encore très atomisé, répond Michel Doric, qui a pris la présidence du pôle emploi de DGME Finances et qui a également fait l'acquisition du site pharmaservice. Les analystes de Contact-emploi sont persuadés du retournement de l'emploi. Ces dernières années, il y avait davantage de candidats que de postes. La tendance va s'inverser. Et pour que ces sites remplissent leur rôle et que les candidats continuent à les fréquenter, il faut mettre en place des règles éthiques, refuser par exemple la multidiffusion et intensifier les annonces exclusives ». DGME Finance annonce que Contact-emploi a multiplié par 3,5 son audience depuis trois mois. En tentant de bousculer la hiérarchie par la carte de l'éthique pour séduire les professionnels, ce site entrera-t-il dans le tiercé gagnant des sites d'emplois reconnus ? (...)
(24/01/2007 15:48:50)Motorola présente sa nouvelle gamme DMR
A l'occasion du CRP 2007 (Congrès de la Radiocommunication Professionnelle) qui se tient actuellement Porte Maillot, à Paris, Motorola présente ses équipements de radiocommunication professionnelle basés sur la norme européenne DMR (Digital Mobile Radio). Cette nouvelle génération d'équipements permet de migrer de l'analogique vers le numérique en douceur. En effet, la gamme MOTOTRBO (portatifs, radio mobiles et relais) permet la coexistence de terminaux analogiques et numériques dans une même flotte. Par exemple, le relais DR 3000, qui peut prendre en charge simultanément deux transmissions (voix ou données) en mode numérique TDMA (Time Division Multiple Access), fonctionne également en mode analogique. La gamme MOTOTRBO offre une transmission simultanée et sécurisée voix et données ainsi qu'une localisation GPS intégrée. Rappelons que la norme DMR approuvée par l'ETSI (European Telecommunications Standards Institute) utilise la technologie TDMA avec deux canaux de 6,25 kHz (12,5 kHz). (...)
(24/01/2007 15:46:30)Nortel et IBM proposent un nouveau client multimédia
Nortel poursuit sa collaboration avec les principaux acteurs du marché des produits... collaboratifs. La démarche, inaugurée en 2005 avec Microsoft et son offre LCS, se poursuit aujourd'hui avec IBM. Lequel IBM semble poursuivre son ouverture sur le monde tous azimuts, et pas seulement en direction de l'univers du logiciel Libre. Les deux entreprises viennent ainsi d'annoncer l'intégration du MCS (Multimedia Communication Server) 5100 de Nortel à l'environnement Lotus Notes. Les utilisateurs du logiciel IBM peuvent ainsi accéder en toute transparence aux applications multimédia du MCS 5100, telles que la messagerie instantanée, le « clic to talk » depuis le journal des appels ou depuis le carnet d'adresses Lotus Notes et, surtout, la vidéo point à point ainsi que la vidéoconférence. Le nouveau Client Multimédia de Nortel pour Lotus Notes offre en effet à l'utilisateur un accès direct aux ponts de conférence. Ce qui permet par exemple d'envoyer par simple clic aux participants un rappel concernant une réunion. De plus, grâce à l'intégration des coordonnées de la conférence dans l'interface, les utilisateurs n'ont plus besoin d'ouvrir une première application pour accéder aux détails de la conférence, puis une seconde pour établir la communication. Installé sur un PC, le MCS 5100 est capable de communiquer avec la plupart des équipements SIP (Session Initiated Protocol) et ne nécessite donc pas la présence dans l'entreprise d'un PABX Nortel. (...)
(24/01/2007 13:02:26)HP continue à remanier ses activités logicielles
HP poursuit la réorganisation de ses activités logicielles en regroupant les offres dédiées aux serveurs et au stockage de la division Enterprise Storage and Server (ESS)dont Insight Manager, Storage Essential - issu des technologies acquises dans le cadre du rachat d'AppIQ en 2005 - Virtual Server Environment et proLiant Essentials. L'initiative de HP vise à donner une place prépondérante aux logiciels pour être mieux placé face à ses concurrents comme EMC, IBM et Sun. Elle vise également à redynamiser une activité stockage particulièrement atone au dernier trimestre, avec une croissance des revenus de seulement 1%. La semaine dernière, le groupe a crée l'entité Business Information Optimization (BIO), spécialisée dans la gestion des données. Le mois dernier, c'est la division Business Technology Optimization (BTO) qui a vu le jour, à la suite du rachat de Mercury. (...)
(24/01/2007 12:52:17)Résultats Alcatel/Lucent : le produit d'une fusion dans la douleur
« Ces derniers mois, ces projets ont pu susciter de l'incertitude dans un premier temps parmi nos clients et nos équipes, alors que nous travaillions au nouveau portefeuille de produits et à la nouvelle organisation. Ces incertitudes, ainsi que le travail nécessaire pour finaliser notre rapprochement ont eu un impact significatif sur nos activités » commente Patricia Russo à la vue des résultats trimestriels d'Alactel Lucent et de la récente fusion des deux groupes. La toute nouvelle Directrice Générale du groupe ajoute « Le dernier trimestre de l'année a été difficile du point de vue du marché, avec notamment un report des investissements de nos principaux clients en Amérique du Nord, et une concurrence exacerbée sur le marché mondial mobile ». CA en chute de près de 19% Ainsi, les résultats financiers 2006 ajustés ont été impactés par ce dernier trimestre décevant. Le chiffre d'affaires pro forma trimestriel s'élève à 4,42 milliards d'euros, en baisse de près de 19%. La marge d'exploitation est quant à elle à l'équilibre, par rapport aux 570 millions d'euros du trimestre de l'année dernière. Le chiffre d'affaires annuel est en légère baisse, de 18,6 à 18,3 milliards d'euros, avec une marge d'exploitation en chute libre de 1,41 à 1,04 milliard d'euros. Une confiance intacte La directrice générale reste cependant confiante : « Malgré les défis que nous avons dû relever durant ce trimestre, des progrès considérables ont été réalisés dans la planification de la convergence des lignes de produits, dans l'optimisation des synergies et dans la préparation de réduction de coûts ». Le groupe relève ainsi ses prévisions de réduction de sa structure de coûts pour 2007 à 600 millions d'euros (+ 200 Millions). Alcatel-Lucent table d'autre part sur une croissance au moins égale à celle du marché, estimé à 5%. Une nouvelle ère commence pour un géant des télécoms. (...)
(24/01/2007 12:06:37)Le départ de NXP gêne le développement du projet Crolles2
Le projet Crolles2 pour le développement de nouveaux semiconducteurs survivra-t-il jusqu'au terme de son contrat en 2010 ? La décision prise mardi par l'un des co-fondateurs, le néerlandais NXP (ex-Philips Semiconductors), de quitter cette alliance d'ici la fin 2007 compromet sa survie. Fondé en 2002 par Freescape (ex- Motorola), ST Microlectronics et NXP, le projet Crolles2 a pour but de mutualiser les coûts de R&D pour obtenir des échelles de gravure plus fines (de 120 nanomètres en 2002 à 32 nanomètres en 2010) pour des processeurs CMOS (Complementary metal-oxyde semiconductor) et à moindre coût . Or, NXP veut poursuivre ces mêmes recherches seul avec TSMC (Taiwan Semiconductors Manufacture Co). Pour Frans Van Houten, PDG de NXP, ce retrait permettra à NXP « de se concentrer sur des options de fabrications plus créatives comme l'intégration de mémoire non-volatile au coeur du processeur en 45 nanomètres, tout en s'appuyant sur la ligne de fabrication de TSMC. » Et réduire ainsi sa masse salariale. NXP devrait se séparer de ses 200 ingénieurs sur le site de Crolles, près de Grenoble. NXP restera néanmoins sur le site jusqu'au 31 décembre 2007, afin de mener à bien les recherches sur la gravure à 45 nanomètres. Si le Franco-italien ST Microelectronics affirme vouloir continuer comme prévu au sein de Crolles2, l'autre société partenaire, Freescape, n'a pas encore pris sa décision. Pour l'instant, l'alliance cherche un remplaçant à NXP : soit IBM, soit ironiquement TSMC (qui a déjà un statut d'associé depuis 2001). S'ils ne trouvent pas de remplaçants, les deux partenaires pourraient dissoudre leurs projets de recherche et s'allier avec le centre de R&D indépendant IMEC en Belgique. (...)
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