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(04/01/2007 16:39:53)

Ventes de portables : HP reprend la première place

Dell n'est plus le plus gros vendeur d'ordinateurs portables, selon une étude Display Search. Le constructeur texan vient ainsi, au troisième trimestre 2006, d'être détrôné par HP à la première place mondiale. Le nouveau numéro un récupère la place qu'il avait occupée exactement un an auparavant, au troisième trimestre 2005. Si HP détient la palme des ventes en volume au T3, il n'arrive que de très peu devant Dell. Le groupe présidé par Mark Hurd totalise ainsi 17,7% de parts de marché, contre 17,5% pour Dell. Acer confirme sa vitalité en se classant à la troisième position, avec près de 12% du marché. Suivent Toshiba et Lenovo. Plus spectaculaire en revanche est la progression séquentielle de HP : le constructeur voit ses ventes croître de 36% d'un trimestre à l'autre, et dépasse allégrement les 19% de croissance du marché sur le même intervalle. Parallèlement, les ventes de Dell n'augmentent que de 16%. Une hausse des ventes de 29% en un an D'une année à l'autre, les ventes mondiales d'ordinateurs portables ont bondi de 29%. Sur les cinq principaux constructeurs, seul Acer s'est révélé être en mesure de dépasser ce taux, avec une progression de 49% entre les 3e trimestres 2005 et 2006. Plus spectaculaire est l'évolution d'Apple - 63% - ou d'Asus - 68%. Enfin, Sony semble ne pas avoir souffert de son programme de rappel de batteries et enregistre une progression annuelle de 47%. La prédominance de HP ne se vérifie pas sur l'ensemble de la planète. Le Californien domine les marchés Asie-Pacifique et Amérique Latine mais est devancé par Dell en Amérique du Nord. Acer s'arroge quant à lui la première place européenne. (...)

(04/01/2007 16:35:30)

Cisco débourse 830 M$ pour IronPort

830 M$. Le spécialiste des réseaux Cisco signe son plus gros rachat en valeur depuis plus d'an en se payant IronPort Systems, spécialiste de la sécurité des messageries d'entreprise. Une acquisition qui suit celles de Tivella (vidéo IP) et de Meeting Data Communications (sécurité sans-fil), deux "petits" rachats en 2006 en ligne avec la stratégie d'acquisition de start-up chère au groupe. IronPort, société californienne de 408 employés, est notamment connue pour ses filtres intelligents anti-spams ainsi que pour ses solutions d'anti-spywares, sous forme de boîtiers autonomes. La société deviendra une division autonome de la branche Sécurité de Cisco. La transaction devrait être finalisée au troisième trimestre 2007. Par ce rachat, l'éditeur entend peaufiner son offre de sécurité des réseaux - et notamment de son framework Self-Defending Network - en dopant ses technologies de routeurs et de commutateurs avec les outils d'IronPort. Au premier trimestre de son exercice fiscal 2007, Cisco affichait un chiffre d'affaires de 8,2 Md$, en progression de 24,9 % sur un an, assorti d'un bénéfice net de 1,6 Md$. (...)

(05/01/2007 09:35:54)

L'OLPC programme son ordinateur humanitaire pour août 2007

C'est officiel. Presqu'un an après avoir dévoilé le premier prototype d'ordinateur émanant de son programme One Laptop Per Child, l'organisation humanitaire OLPC prévoit de démarrer enfin la fabrication de masse - par le taiwanais Quanta Computer - au troisième trimestre 2007. Le projet d'ordinateur portable destiné aux enfants des pays les plus pauvres serait bien en voie de finalisation, confirme Christopher Blizzard, en charge du projet chez Red Hat. "L'OLPC entend finaliser son troisième prototype pour début avril". Le projet, actuellement au premier stade de son développement, "devrait entamer sa deuxième phase dès la fin janvier". Les premiers modèles devraient progressivement arriver en Argentine, au Brésil et au Nigeria, quelques pays dont les gouvernements ont montré leur engagement face au projet. Initialement fixé à 100$, le prix de l'OLPC a été revu à la hausse, à environ 150$. Un tarif qui devrait toutefois baisser dès 2008, comme l'espère l'organisation, avec l'augmentation de la production des machines. Sugar, une interface orientée collaboration En parallèle à l'annonce du calendrier final, l'OLPC a également dévoilé les premières images de Sugar (nom de code), l'interface utilisateur Open Source qui équipera les modèles OLPC XO. Développé en collaboration avec Red Hat et Pentagram pour le design, Sugar s'appuie sur une version modifiée de la distribution communautaire Fedora Core 6. Dans un communiqué, l'organisation rappelle que Sugar est "la première interface destinée à être utilisée dans un environnement éducatif ". Et dans cet esprit , Sugar "doit mettre en valeur les relations d'enfants à enfants et d'enfants à professeur". Sugar propose alors quatre espaces qui correspondent plus ou moins à l'activité que souhaite lancer l'utilisateur. Au démarrage apparaît "Home" qui s'apparente au point de départ personnel et permet notamment de configurer les préférences de la configuration (comme la couleur), et de naviguer sur le réseau mis en place - un réseau de type Mesh (chaque ordinateur connecté constituant un noeud). L'espace "Friends", de son côté, permet de visualiser quels "amis" sont sur le réseau et à quelles activités ils participent. "Neighborhood (voisinage en français) offre quant à lui une vision globale des personnes connectées au réseau. Enfin, l'espace "Activity" déploie le spectre des applications disponibles, notamment un navigateur (Firefox), un outil de chat, un traitement de texte, un lecteur RSS (Penguin TV) et un outil de création graphique. L'ensemble est placé dans le "Frame" qui constitue la barre des tâches et d'actions disponibles pour chaque espace et application. Sugar reste encore à l'état de prototype et "si le code fonctionne plutôt bien, il reste encore beaucoup à polir", nuance Christopher Blizzard. (...)

(04/01/2007 16:34:04)

La virtualisation installe le grid en entreprise

Traditionnellement réservé aux milieux universitaires et scientifiques, le calcul de grille fait peu à peu son entrée en entreprise grâce à la virtualisation. Selon Steve Wallage et Williams Fellows, analystes au cabinet 451 group, la virtualisation des serveurs sera la clé de son succès. « La virtualisation fournira un calcul de grille idéal, si l'on considère que le calcul de grille est la mise à disposition de ressources de calcul, à la demande, en provenance de différentes sources », écrivent-il dans leur étude V for Virtualization parue mi-décembre. Pour utiliser un grid à l'heure actuelle, il faut d'abord définir les plates-formes capables d'y être intégrées, avec le bon système d'exploitation, les librairies correctes, etc. La virtualisation efface cette étape. « Au lieu de chercher à savoir quelles sont les ressources disponibles et d'y adapter ensuite ses besoins, l'utilisateur peut décrire un environnement de travail et le déployer sur le grid, expliquent-ils. Les machines virtuelles seront capables de coller cet espace virtuel sur des ressources physiques. » De plus, sans machines à préinstaller, il deviendra plus facile de tester la configuration nécessaire. « En assemblant des 'grid virtuels', les utilisateurs pourront ajuster leurs configurations avant de finaliser l'allocation des ressources. » Cette facilité d'installation a également pour conséquence d'ouvrir d'autres applications au calcul de grille. Ayant étudié l'usage du grid dans différentes industries (du monde des médias à la pétrochimie, en passant par le secteur financier ou les entreprises pharmaceutiques, Steve Wallage et Williams Fellows pensent que, loin d'être confiné au calcul pur, celui-ci pourra servir de point d'appui à une SOA (architecture orientée services) globale. Quitte a devenir quasiment invisible au sein du système d'information. (...)

(04/01/2007 15:57:21)

Falcon, le moteur Open Source de MySQL, bientôt en version alpha

La version alpha du moteur de stockage Open Source de MySQL devrait être disponible sous peu. Connu sous le nom de code Falcon, il sera compatible avec la version 5.1 de la base de données. Les données devront être migrées sur ce nouveau moteur, si toutefois l'utilisateur choisit de l'adopter, sachant que MySQL propose une interface de programmation lui permettant de fonctionner avec différents moteurs. Le projet Falcon a été initié par l'éditeur suédois à la suite du rachat fin 2005 d'Innobase par Oracle, qui éditait InnoDB, le moteur de stockage transactionnel de MySQL. Oracle, qui avait de son côté indiqué qu'il continuerait d'honorer ce partenariat, a continué ses emplettes en 2006, en reprenant SleepyCat, éditeur notamment du moteur BerkeleyDB. Lui aussi utilisé par MySQL. La version alpha doit permettre aux utilisateurs d'évaluer les fonctionnalités et les performances de Falcon, tandis que la bêta, à suivre (sans date fixée pour l'heure), s'attellera à corriger les bugs. (...)

(04/01/2007 14:26:54)

Mozilla publie enfin ses comptes 2005

Mozilla vient de publier ses comptes pour 2005. L'éditeur Open Source a enregistré des revenus s'élevant à 52,9 M$ en 2005. Sur cette somme, 29,8 M$ proviennent des activités de la fondation, le reste est issu de Mozilla Corporation, la branche commerciale chargée de guider le développement des produits et d'assurer leur promotion. A titre de comparaison, et pour souligner la remarquable croissance du chiffre d'affaires, Mozilla avait réalisé en 2004 un CA de 5,8 M$ et avait engrangé, en 2003, des revenus de 2,24 M$. Les dépenses cumulées de la fondation et de Mozilla Corp. atteignent 8,2 M$, dont 3M$ pour la fondation. Au final, le bénéfice de l'éditeur s'élève donc à 44,7 M$. Nul doute que ces chiffres ne manqueront pas de ranimer la polémique née en novembre 2006. A l'époque du lancement de Firefox 2, de nombreux observateurs s'étaient émus de ce que l'éditeur puisse gagner des dizaines de millions de dollars tout en clamant son but non lucratif. D'extravagantes théories avaient surgi des imaginations les plus fertiles sur l'origine forcément suspecte des rentrées d'argent de Mozilla et sur l'utilisation certainement louche qui en résulterait. L'absence de publication de résultats entretenait certainement ces suspicions. 40 M$ inutilisés, pour assurer la stabilité Mitchell Baker, la présidente de Mozilla Corp., semble avoir entendu certaines remarques faites à l'encontre de l'organisation et s'est fendue d'un long article sur son blog pour fournir certaines précisions sur l'origine des rentrées d'argent de Mozilla, et l'utilisation qui en est faite. Selon elle, les revenus de l'éditeur de Thunderbird et Firefox ont véritablement décollé avec le lancement, en novembre 2004, de son navigateur : «le bon produit, au bon moment». Un succès qui a rendu possible l'augmentation du nombre de salariés et les innovations qui en ont découlé. A ceux qui s'interrogeaient sur le modèle économique de Mozilla, Mitchell Baker explique que les rentrées d'argent proviennent, dans leur grande majorité, des accords passés avec les moteurs de recherche - sans que davantage de détails ne soient fournis, sur la relation tissée avec Google par exemple - auxquels s'ajoutent les contributions, les ventes réalisées par la boutique, les intérêts des placements, etc. Si les dépenses de Mozilla atteignent environ 8 M$ - essentiellement en frais de personnel - plus de 40 M$ restent inutilisés. Là encore, cette somme est susceptible de faire grincer quelques dents. Pourtant, l'un des buts de Mozilla est bel et bien de gagner de l'argent, l'absence d'actionnaires n'étant pas incompatible avec la volonté de constituer des réserves. La présidente de MoCo précise ainsi que «les revenus non dépensés constituent un fond de réserve offrant à la fondation Mozilla flexibilité et stabilité». Une stabilité financière qui permet «d'attirer et de retenir des talents, des gens qui ont voulu tourner le dos au monde des start-ups et des stock options pour promouvoir nos orientations et l'innovation sur Internet au bénéfice de tous». Si le couplet semble sincère, les peu de détails communiqués sur l'utilisation effective de la réserve de guerre constituée par l'éditeur donneront, à coup sûr, du grain à moudre à ses détracteurs. (...)

(04/01/2007 12:05:29)

Une faille dans l'Acrobat Reader

Deux chercheurs en sécurité tirent la sonnette d'alarme sur une faille d'Acrobat Reader (Adobe), plug-in intégré aux navigateurs Internet, permettant de visualiser les fichiers PDF. La vulnérabilité a été repérée dans les versions 6.0.1 (pour Internet Explorer 6) et 7.0.8 (pour Firefox 2) de l'application pour Windows. Le spécialiste danois Secunia, qui classe la faille "less critical" (faible risque), prévient que d'autres versions seraient susceptibles d'être touchées. Et recommande de migrer vers le version 8.0 (la dernière en date) du plug-in. Selon le rapport des chercheurs, la faille dans le Reader autoriserait une attaque de type "Cross Site Scripting", qui permet notamment de passer à travers l'URL d'un fichier PDF hébergé un code malicieux javascript pouvant nuire à un système vulnérable. (...)

(04/01/2007 11:51:26)

OpenVZ disponible pour les processeurs UltraSparc T1 de Sun

Le logiciel open source de virtualisation OpenVZ fonctionne désormais avec les processeurs UltraSparc T1 de Sun Microsystems. Ce portage a été effectué à la demande d'un client : Jonathan Kinney, d'Advantagecom Networks, un hébergeur et fournisseur d'accès à Internet américain. « Nous avons déjà installé plusieurs environnements virtuels Debian et ils fonctionnent tous parfaitement », affirme-t-il. Il a même fourni un serveur équipé d'UltraSparc T1 aux développeurs du projet OpenVZ. Pour l'instant, la seule version disponible reste en test et ne fonctionne qu'avec des distributions Debian de Linux. Virtuozzo, la version commerciale d'OpenVZ, ne supporte pas encore ce portage, et son éditeur Swsoft n'a pas annoncé officiellement son intention de supporter cette combinaison de processeurs Sparc T1 et de Debian Linux dans sa prochaine mise à jour. (...)

(04/01/2007 11:09:43)

La localisation géographique fait exploser le nombre de mashups

Le blog de ProgrammableWeb.com, qui suit l'actualité des « mashups » (agrégation de services applicatifs directement utilisables par l'internaute), a recensé 1404 mashups à la fin de 2006, contre 245 au début de l'année. La majorité est liée à la géolocalisation (45%), devant la recherche d'informations, la photo et le shopping (9% chacun), et plusieurs autres thèmes (voyages, vidéo, immobilier...). De même, le nombre d'interfaces de programmation a explosé, passant de 92 à 352 dans l'année, la plus utilisée étant, sans surprise au vu de a liste des mashups, celle de Google avec son service de cartographie GoogleMaps (51%), loin devant celles de Flickr, Amazon ou YouTube. (...)

(04/01/2007 08:45:48)

France Télécom rationalise son informatique

Depuis 3 ans, l'opérateur historique agit pour alléger sa facture des systèmes d'information. Pour cela, il a réduit le nombre de ses prestataires informatiques. Leur nombre est passé de 63 en 2003 à moins de 50 en 2006. France Télécom n'a gardé que les prestataires ayant réalisé un volume d'affaires certain avec le groupe. De plus, ils devaient montrer leur capacité à assurer leurs services auprès des divisions internationales de l'opérateur. D'autre part, France Télécom mise sur la standardisation de ses outils logiciels et de son parc informatique. Ce poste de dépense a d'ailleurs représenté plus de la moitié des coûts d'exploitation de l'entreprise en 2005. Ainsi, le nombre de centres de données chutera de 80 en 2004 à 17 d'ici à 2008. Selon le quotidien Les Echos, «les infrastructures informatiques ne devraient plus représenter que 22% des investissements informatiques entre 2006 et 2008 et 35% des dépenses de fonctionnement». (...)

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