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(11/10/2006 00:00:00)
Convergence VoIP, ToIP - Quelle place pour les nouveaux services ? (part 2)
Table Ronde : '' Quels services au-delà de la ToIP ?'' Animée par Olivier Coredo, Rédacteur en Chef, reseaux-telecoms.net (...)
(11/10/2006 00:00:00)Convergence VoIP, ToIP - Quelle place pour les nouveaux services ? (part 1)
Table Ronde : ''Quels services au-delà de la ToIP ? Animée par Olivier Coredo, Rédacteur en Chef, reseaux-telecoms.net (...)
(11/10/2006 00:00:00)Convergence VoIP, ToIP - Quelle place pour les nouveaux services ? (part 2)
Table Ronde : ''Quel RoI pour la ToIP ? Animée par Olivier Coredo, Rédacteur en Chef, reseaux-telecoms.net (...)
(11/10/2006 00:00:00)Convergence VoIP, ToIP - Quelle place pour les nouveaux services ? (part 1)
Table Ronde : ''Quel RoI pour la ToIP ? Animée par Olivier Coredo, Rédacteur en Chef, reseaux-telecoms.net (...)
(10/10/2006 17:51:02)IBM lancera son Power6 entre 4 et 5GHz
A l'occasion du forum microprocesseur d'automne qui se tient actuellement à San Jose, Brad McCredie, l'ingénieur en chef pour la puce Power6 d'IBM a confirmé que Big Blue prévoit d'atteindre la barre des 5 GHz avec son prochain processeur pour serveurs. Malgré cette fréquence de fonctionnement élevée, Big Blue estime que sa puce devrait offrir un profil thermique similaire à celui de ses concurrents chez Intel ou Sun, tout en offrant des performances doublées par rapport aux actuels Power5+. La voie suivie par IBM est d'autant plus intéressante qu'Intel et Sun semblent avoir choisi de ne plus poursuivre la course à la fréquence. Le plus récent des Itanium 2 plafonne à 1,6 GHz tandis que le plus récent des UltraSparc IV+ a une fréquence de fonctionnement de 1,8 GHz. Selon IBM, l'un des intérêts de cette fréquence élevée est de permettre de fournir des coeurs rapides pour les applications se prêtant mal aux multi-coeurs ou n'ayant pas été optimisée pour ces architectures. Attendu pour la mi-2007, le Power6 sera une puce bi-c?ur dont chaque c?ur sera vraisemblablement capable d'exécuter plusieurs threads en parallèle. Disposant de 750 millions de transistors, elle sera gravée en technologie 65nm sur tranches SOI (Silicon on Insulator) et accédera aux I/O et à la mémoire des serveurs dans lesquels elle sera insérée aux travers de multiples bus à 75 Go/s. Pour réduire la consommation énergétique, la puce fonctionnera à des voltages pouvant descendre jusqu'à 0,8 volts. Parmi les "innovations", la puce disposera d'une unité de calcul avancée en virgule flottante et fixe et devrait embarquer des capacités d'assistance matérielle à l'hypervision. Le Power6 devrait aussi embarquer une ou plusieurs unités de calcul vectoriel VMX (ex-Altivec chez Apple). Big Blue annonce aussi une amélioration des capacités "d'automédication" de la puce. Certaines rumeurs prêtent à IBM le projet d'utiliser le Power 6 comme base de ses serveurs séries i et p, mais aussi pour une nouvelle génération de mainframes de la série z. La puce ferait ainsi partie d'un projet baptisé eCLipz (enhanced Core logic for iSeries, pSeries and z Series) " dont l'objectif serait de concentrer la R&D processeur pour l'ensemble des serveurs IBM sur une seule architecture, en l'occurrence Power. Big Blue devrait progressivement lever le voile sur ses intentions au cours du premier semestre 2007. Titre de l'encadré: (...)
(10/10/2006 17:55:10)50% des DNS mondiaux seraient mal configurés
Selon une étude conduite par "The Measurement Factory" pour Infoblox, un fournisseur d'appliance DNS, plus de la moitié des serveurs DNS sont configurés incorrectement et susceptibles d'être utilisés dans le cadre d'attaque à grande ampleur contre l'infrastructure DNS mondiale. Globalement, sur une échelle de notation de A à E, la sécurité du système DNS à l'échelle mondiale reçoit une note D+. Pour Rick Kagan d'InfoBlox, le rythme et la sévérité des attaques liées à des problèmes de configuration de l'infrastructure DNS a progressé au cours de l'année écoulée. L'un des problèmes principaux est que plus de la moitié des serveurs DNS permettent l'usage de services de noms récursifs. Cette forme de résolution de noms de domaines requiert souvent qu'un serveur de nom relaie la demande d'un client vers un autre serveur de nom. Selon Infoblox, ces services récursifs laisse les réseaux perméables à des attaques par empoisonnement de cache, dans lesquelles un utilisateur peut être redirigé vers un site web différent de celui qu'il cherchait à atteindre. Le problème est que par défaut, BIND 9 est configuré pour activer les services de DNS récursifs. Un autre problème courant selon Infoblox est que 29% des DNS sont configurés pour autoriser les transferts de zones vers des demandeurs arbitraires. L'étude permet aussi de disposer d'une photo du système DNS public mondial, qui compterait aujourd'hui 9 millions de serveurs (+20% sur un an) . L'essentiel de la croissance est lié à la présence de serveurs DNS embarqués dans des passerelles ou modem-routeurs. Le nombre de serveurs faisant tourner BIND 9 représente désormais 61 % du total des serveurs DNS mondiaux contre 8% en 2005. seulement 2 serveurs sur 1000 supportent IPv6 et quasiment aucun ne supporte le standard de sécurisation DNSSEC. (...)
(10/10/2006 17:55:53)L'interface PCI Express 2.0 supportera la virtualisation
La virtualisation s'apprête à prendre un peu plus de place dans les postes de travail et à bénéficier de nouvelles optimisations au sein des serveurs. Elle est au menu de la version 2.0 de la spécification PCI Express qui sera finalisée d'ici deux mois. La version 2.0 de la spécification PCI Express intègre en effet une « suite de spécifications qui doivent permettre de virtualiser et partager des interfaces d'entrée/sortie». Ces spécifications sont au nombre de trois : Address Translation Services (ATS), Signe Root IOV et Multi-Root IOV. ATS définit les transactions supportées par les composants PCI Express pour l'échange de données en environnement virtuel. Single Root IOV permet la virtualisation des interfaces PCI Express d'entrée-sortie sur un poste de travail ou un serveur isolé. Les interfaces virtualisées peuvent, sans intermédiaire, agir sur la mémoire ou encore les interruptions des machines virtuelles qui les utilisent. Multi-Root IOV permet d'étendre ces possibilités à des ensembles de plusieurs interfaces d'entrées sorties partagées, via un commutateur spécifique, par plusieurs machines virtuelles installées sur plusieurs hôtes distincts. Ces mécanismes de virtualisation des entrées-sorties doivent notamment permettre de réduire la charge processeur liée au partage des entrées-sorties entre plusieurs machines virtuelles. En cela, ils viennent compléter les dispositifs de support matériel de la virtualisation intégrés par Intel et AMD à leurs processeurs. La virtualisation des entrées-sorties doit en outre permettre d'optimiser leur utilisation ainsi que la répartition de charge. La version 2.0 de la spécification PCI Express prévoit par ailleurs de porter la bande passante de l'interface à environ 500 Mo/s contre 250 Mo/s actuellement. Les interfaces PCI Express pourront en outre être connectées à une carte mère via un câble d'une longueur maximale de 10 mètres pour un débit maximum de 2,5 Gb/s. Enfin, PCI Express 2.0 devrait introduire le support de cartes graphiques nécessitant jusqu'à 300 W d'électricité pour fonctionner, contre un maximum de 150 W aujourd'hui. (...)
(10/10/2006 17:56:19)Microsoft éteint le support du SP1 de XP
C'est aujourd'hui mardi 10 octobre 2006 que Microsoft met officiellement un terme au support du Service Pack 1 de Windows XP. Selon l'éditeur, les mises à jour, tant de sécurité que d'ajout de composant, ne sont désormais plus assurées. Microsoft recommande aux utilisateurs encore sous cette version de migrer vers le SP2 de XP. Selon la politique mise en place par l'éditeur, la durée de vie d'un service pack court 24 mois après la sortie de son successeur. Le SP2 est sorti le 17 septembre 2004. Le SP1, quant à lui, a été rendu disponible en septembre 2002, et aurait dû "s'éteindre" le 17 septembre dernier. Mais Microsoft avait revu sa copie en janvier 2006, reprogrammant la date-butoir à aujourd'hui. Cet arrêt suit celui des éditions 98, 98 SE, et Me de Windows, intervenu le 11 juillet dernier. Les utilisateurs des systèmes avaient dû migrer également vers le SP2 de XP. Microsoft indiquait vaguement à l'époque que peu de postes étaient encore équipés de ces OS. Le nombre total de poste impliqués dans l'arrêt du support du SP1 n'a également pas été précisé. Un SP3 après Vista Selon la feuille de route de Microsoft, un Service Pack 3 de Windows XP devrait faire son apparition à partir de juin 2007, soit dans le sillage de Vista, prévu pour les particuliers en janvier 2007 (et pour les entreprises dans un mois, en novembre 2006). Programmant alors l'extinction du SP2 de XP à partir de juin 2009. (...)
(10/10/2006 17:53:08)Activation de Vista: Gartner encourage les grands comptes à demander des compensations à Microsoft
Les entreprises détentrices de licences en volume Microsoft devraient demander une forme de réparation à l'éditeur pour compenser les surcoûts liés à l'administration des systèmes d'activation et de validation dans Vista et Longhorn. C'est le conseil que vient de publier Michael Silver, consultant chez Gartner. Son constat est simple: les procédures d'activation imposées par le système "Software Protection Platform" ne font qu'augmenter la charge de travail des administrateurs -et donc le coût -, sans apporter de véritable mesure sécuritaire supplémentaire. Microsoft, qui essaie de barrer la route au piratage de ses outils, a annoncé qu'avec son nouveau système, les entreprises (détentrices de licences en volume) devront désormais activer puis valider leurs copies de Vista. Une opération dont elles étaient jusqu'alors exemptées avec les OS précédents, au profit d'une Volume License Key (VLK) globale. "Pour des raisons évidentes, commente Michael Silver, les entreprises n'ont pas envie d'une telle procédure lorsqu'il faut déployer 50 000 postes de travail". C'est ainsi pour éviter les fuites de ces clés que Microsoft a instauré les deux procédures, au choix, Multiple Activation Key (MAK) et Key Management Service (KMS). Si la première nécessite une unique activation par PC, KMS implique de ré-activer la copie de Vista tous les 180 jours, note Michael Silver. Avec quelle contre-partie en échange? A chaque activation, tant MAK que KMS, "un ensemble de composants du c?ur du système est analysé, une opération pouvant repérer toute forme de logiciel malveillant" explique-t-il. Et de conclure : "Pour nous, cela représente une bien maigre compensation au regard des dépenses en administration et en équipements". (...)
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