Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 23101 à 23110.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(21/09/2006 17:41:31)

IBM ouvre ses centres d'innovation aux jeunes pousses et aux investisseurs

IBM continue sa politique d'ouverture vis-à-vis des jeunes pousses et des investisseurs qui les soutiennent : Big Blue prévoit de leur proposer un accès privilégié aux produits et experts de ses centres d'innovation. Le principe est de permettre aux start-up d'utiliser le matériel d'IBM - serveurs lames, processeurs etc. - pour leur permettre de développer des logiciels ou des applications. Big Blue prodigue également des conseils pour la commercialisation des produits, notamment hors de leur marché domestique et dans les pays émergents. Cette aide profite également au géant américain. L'industriel y gagne la confiance et de potentiels clients, mais également une connaissance géostratégique de premier ordre. La proximité et les liens tissés avec les jeunes pousses lui permettent de connaître, dès la source, ce que les développeurs réalisent et donc les futurs besoins en matériel d'une région donnée. IBM dispose de trente deux centres d'innovation à travers le monde, dont huit sur le continent américain, dix huit en Europe et Moyen Orient et six en Asie-Pacifique. Un trente troisième centre devrait ouvrir ses portes la semaine prochaine en Irlande, à Dublin. L'ouverture de ce centre devrait être concomitante à celle d'un centre d'investissement pour la région. (...)

(21/09/2006 17:39:27)

Bilan BSA France: en 2005, près des trois quarts des logiciels installés en entreprises contrôlées sont dans l'illégalité

Près des trois quarts des logiciels installées dans les entreprises françaises contrôlées par la BSA (Business Software Alliance) sont piratés, vient de publier l'organisme dans son bilan 2005. Un constat alarmant pour le BSA qui compte parmi ses membres les plus gros éditeurs du secteur (tels que Microsoft, Adobe, McAfee, Symantec et Apple pour les plus connus). Selon l'étude, 71,1% des logiciels audités ne seraient pas en conformité avec le droit de la propriété intellectuelle, bien que le BSA ne cite pas le nombre total de contrôles effectués. L'organisme se base sur un recensement millimétré des sommes perçues : par rapport à 2004, les montants versés par les sociétés épinglées auraient explosé de 189 %. La BSA reste muette quant à la somme totale déversée sur la période. On apprend toutefois qu'en moyenne, les entreprises pincées auraient payé "en moyenne 45 000 euros aux éditeurs au titre du préjudice matériel et du préjudice d'image". Le plus mauvais élève aurait versé 150 000 euros, pour la détention de 2563 licences piratées, soit 91% de son parc. Quant au "moins mauvais", cela ne porterait que sur 40% de son système. La faute pourrait notamment venir d'intégrateurs indélicats, démontre Microsoft. Sur son dernier exercice fiscal, l'éditeur aurait réalisé 1527 contrôles auprès d'assembleurs de PC français. Résultat, 219 revendeurs se sont fait épingler pour « incitation à l'illégalité », en conseillant notamment à leurs clients de se procurer une licence d'OS par des moyens détournés (comme le mentionne www.distributique.fr, (groupe IDG) dans son article: Plus de 20% des intégrateurs de PC flirtent avec l'illégalité). Les contrôles du BSA devraient encore progresser. Dans un communiqué, Eric Beaurepaire, porte-parole de l'organisme, confirme "qu'une intensification des contrôles dans les mois à venir ainsi qu'une communication axée davantage sur les risques encourus" (*). Et il reste beaucoup à faire : le cabinet IDC, en mai 2006, estimait à 47 % la part des logiciels piratés dans les entreprises françaises. Lui conférant une brillante troisième place des pays symbolisant le plus gros manque à gagner, derrière les Etats-Unis et la Chine. Quand bien même la méthodologie de l'étude reste sujette à caution. Pendant ce temps, la BSA contrôle et menace de représailles judiciaires, sans qu'on sache bien comment elle choisit ses victimes. En juillet dernier, l'organisme épinglait une PME strasbourgeoise riche d'un parc de neuf ordinateurs. (*) jusqu'à 1,5 Md'E d'amende (...)

(21/09/2006 12:24:53)

L'alliance OpenAjax publiera ses spécifications au début 2007

L'alliance OpenAjax, un consortium de sociétés, dont l'objectif est de développer et de promouvoir la technologie de client riche web Ajax (Asynchronous JavaScript and XML), a présenté aujourd'hui un calendrier pour la publication d'OpenAjax Hub, son implémentation de référence du modèle de programmation Ajax. L'alliance, qui compte déjà parmi ses membres les plus grands éditeurs de la planète (Adobe, BEA, Borland, Google, IBM, Ilog, Mozilla, Novell, Opera, Oracle, Red Had, SAP, Software AG, Sun, Tibco, Zend...) -à l'exception notable de Microsoft -, a parallèlement annoncé le doublement de son nombre de membres depuis sa fondation en février 2006. L'alliance dispose désormais d'un site Web qui présente ses objectifs et détaille sa stratégie en matière de technologie. La version 1.0 de son OpenAjax Hub est désormais attendue pour le début 2007. Le Hub devrait servir de référence d'interopérabilité pour les membres de l'alliance. (...)

(21/09/2006 12:25:12)

Espionnage : légitime pour 73 % des membres de conseils d'administration américains

Près des trois quarts des membres de conseil d'administration d'entreprises américaines estime que le président du conseil devrait avoir le pouvoir d'utiliser tous les moyens légaux pour identifier l'origine de fuites concernant l'entreprise. C'est le principal résultat d'un sondage récemment conduit par l'institut Ponemon auprès de 226 membres de conseils d'administration outre Atlantique. Pour 71 % des sondés, il est légitime que le président du conseil puisse surveiller les correspondances électroniques de ses collègues, de même que tout autre donnée confidentielle stockée dans les ordinateurs de l'entreprise. La moitié des personnes interrogées trouve tout aussi légitime l'emploi d'écoutes téléphoniques, dans les limites de la légalité. Enfin, plus de la moitié des sondés accepte que l'on puisse suivre ou faire suivre des personnes à l'extérieur ou à l'intérieur de l'entreprise. Pour Alan Chapell, membre de l'institut Ponemon, la situation est claire : « dans ce cas [d'investigation pour trouver l'origine de fuites au sein de l'entreprise], l'intégrité de l'entreprise prime sur la vie privée - du moins en ce qui concerne les membres du conseil d'administration. » D'ailleurs, 85 % des sondés estiment que la protection des informations confidentielles de l'entreprise est plus importante que celle de la vie privée des membres du conseil. Ce sondage a été inspiré par le scandale qui éclabousse actuellement Hewlett-Packard : Patricia Dunn, présidente du conseil d'administration de HP avait demandé la surveillance de membres du conseil après des fuites provenant de l'un d'entre eux. (...)

(21/09/2006 12:24:28)

Jet Multimedia déçoit au premier semestre

Résultats premier semestre Chiffre d'affaires : 129 M€ (+15%) Bénéfice net : 2,1 M€ (-29%) Jet Multimedia, le spécialiste du contenu et des services pour téléphone mobile, sort d'un premier semestre délicat, marqué par une dégringolade du résultat opérationnel et du résultat net. Au chapitre des bonnes nouvelles, le chiffre d'affaires progresse de 15% en organique et atteint 129 M€. Sur les seules activités de Jet Multimedia (c'est à dire en excluant TJM - filiale commune avec TF1, crée fin 2005 - et Mediaplazza), l'activité du groupe progresse de 16%, à 121,4 M€. Le constat est moins réjouissant en ce qui concerne la profitabilité. Le résultat opérationnel chute ainsi de 37% pour atteindre 3,6 M€. Il pâtit d'une perte de 1,2 M€ dans la filiale TJM - un chiffre conforme aux attentes - et d'une forte concurrence sur le secteur d'activité de Mediaplazza. Ce dernier, spécialisé dans la distribution de contenu pour mobile, souffre également "d'un retard dans le déploiement de nouvelles technologies permettant de proposer de nouveaux services", explique le groupe. En conséquence, la filiale perd 1,3 M€ sur la période. Si l'on ajoute à ce constat des charges exceptionnelles sur stock-options de 1,4 M€, le résultat net s'inscrit à 2,1 M€, soit 29% de moins qu'un an auparavant. En dépit de ces médiocres chiffres, le groupe se veut rassurant pour la suite de l'exercice. Il prétend ainsi que Mediaplazza retrouvera l'équilibre dans la seconde moitié de l'année et que "la montée en puissance de TJM devrait lui permettre d'atteindre l'équilibre d'exploitation avant la fin de l'année". (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >