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(30/08/2006 18:20:04)

Le bénéfice net de LogicaCMG recule malgré la hausse du CA

LogicaCMG a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 1,24 Md£ au premier semestre, contre 891,7 M£ pour la même période l'an passé. Cette progression n'a cependant pas permis à la SSII de faire sensiblement progresser son résultat opérationnel : pour la période, il s'établit à 42 M£ contre 40,8 M£ au premier semestre 2005. Suite au rachat d'Unilog en septembre dernier, LogicaCMG a dû notamment faire face à des frais de restructuration élevés, de 23,6 M£. Au final, le bénéfice net de LogicaCMG au premier semestre affiche un important recul par rapport au premier semestre 2005, à 10,3 M£ contre 23,7 M£. Néanmoins, LogicaCMG affiche un optimisme marqué pour le second semestre : « la demande pour les services continue de s'améliorer. Nous prévoyons une croissance du chiffre d'affaires pro forma de 5,3 % en 2006. Unilog réalise de bonnes performances et les économies liées à son acquisition auront un effet marqué au second semestre. » (...)

(30/08/2006 18:16:21)

Après Novell, Sun publie officiellement son projet open source de gestion d'identités, OpenSSO

Suivant l'exemple de Novell, qui avait publié en juin dernier son projet de gestion d'identités open source Bandit (voir à ce propos notre article du 14/06/2006), Sun a profité de l'été pour publier le code source de son propre projet de gestion d'identité de Single Sign-On (authentification unique), OpenSSO. OpenSSO est conçu pour fournir des services d'authentification, d'autorisation et de gestion de session pour les applications Java, les applications Web et les applications orientées services. Il fournit aussi des services de fédération d'identité (Liberty Alliance et ID-WSF). Le code, publié sous la licence open source CDDL (Sun Common Development and Distribution License), est basé sur celui de la version 7.0 du logiciel Sun Java System Access Manager. Sun entend maintenir un lien entre Open SSO et Access Manager, puisque ce dernier utilisera le code du premier, un peu comme Solaris avec Open Solaris ou StarOffice avec OpenOffice. Une façon de s'engager à soutenir le projet, de la même façon que Novell entend intégrer le code de Bandit à sa distribution serveur. (...)

(30/08/2006 18:18:50)

Eric Schmidt rejoint le conseil d'administration d'Apple

Eric Schmidt, PDG de Google, a été élu au conseil d'administration d'Apple. "Comme Apple, Google est focalisé sur l'innovation et nous comptons sur la vision et l'expérience d'Eric pour aider Apple à se guider dans les années à venir", a déclaré Steve Job, PDG d'Apple, dans un communiqué. "Eric réalise un incroyable travail en tant que PDG de Google, et nous attendons beaucoup de ses contributions au conseil d'administration d'Apple". Eric Schmidt a rejoint Google en 2001 après avoir passé six ans au poste de PDG de Novell. Auparavant, il occupait un poste de directeur technique chez Sun . Il siège également au conseil d'administration de Google et à celui de l'université de Princeton. (...)

(30/08/2006 18:17:53)

Emulex acquiert Sierra Logic

Emulex va racheter Sierra Logic pour un montant de 180 M$. Avec cette acquisition, Emulex entend renforcer sa position sur le marché des composants embarqués pour le stockage. Le fondeur prévoit en effet d'intégrer la gamme de ponts et de routeurs embarqués de Sierra à sa gamme de commutateurs et de contrôleurs d'entrées/sorties. Mike Smith, vice-président exécutif d'Emulex en charge du marketing international, estime pouvoir devenir ainsi plus compétitif pour ses clients (notamment Sun, Hitachi et Network Appliance). Selon l'analyste Arun Taneja, la technologie de Sierra Logic devrait, en outre, permettre à Emulex de proposer des solutions de stockage SATA plus fiables. L'acquisition de Sierra Logic doit être finalisée fin septembre. Elle fait suite au rachat d'Arohi Communications, constructeur de plateformes réseau pour centres de calcul et de stockage, en mai dernier pour 39 M$. (...)

(30/08/2006 18:21:44)

Un premier prototype de puce à 45 nm

IBM, Infineon et Samsung viennent de parvenir à produire leurs premiers circuits gravés en 45 nm, avec l'aide de Chartered Semiconductor Manufacturing. Les puces ont été façonnées sur des galettes de silicium de 300 mm, sur la chaîne de production d'IBM de East Fishkill, dans l'Etat de New York. Parmi les éléments gravés avec succès, on compte notamment la mémoire embarquée et les composants d'entrée/sortie, précise Big Blue, sans indiquer si la gravure d'autres composants avait quant à elle échoué (*). Lisa Su, vice-présidente d'IBM chargée de la recherche et développement pour semi-conducteurs, estime que les puces gravées en 45 nm devraient pouvoir afficher des performances de 30 % supérieures à celles des puces gravées en 65 nm. Chartered, IBM et Samsung prévoient d'utiliser leur procédé de gravure en 45 nm de manière industrielle d'ici à la fin 2007. Déjà, les partenaires ont rendu disponible des kits de conception de puces en vue d'une gravure selon le procédé qu'ils mettent au point. (*) Lors d'une gravure imparfaite, les puces ne sont pas jetées mais sont recyclées vers du matériel d'entrée de gamme. (...)

(30/08/2006 18:19:39)

Proxinvest s'oppose à la fusion Lucent / Alcatel

A quelques encablures du vote des actionnaires, prévu le 7 septembre, censé approuver la fusion entre Alcatel et Lucent, Proxinvest, cabinet de conseil pour les actionnaires du Français, a rendu un avis négatif sur les termes de la transaction. Si le cabinet approuve la fusion sur le fond, il la rejette sur la forme, invoquant des "conditions financières et de gouvernance trop défavorables pour les actionnaires d'Alcatel". Un avis à contre-courant de son homologue américain Institutional Shareholder Services (ISS) -conseiller des actionnaires de Lucent- et de la Commission européenne qui ont, quant à eux, donné leur feu vert. Au c?ur de la polémique, Proxinvest cite notamment une parité trop en faveur de Lucent ainsi qu'un panel de règles encadrant la sélection du PDG. Le cabinet est notamment opposé au retrait d'une clause définissant une limite d'âge pour le poste de dirigeant et désapprouve les modalités définissant la démission du PDG. Pour rappel, si la fusion était définitivement approuvée par les actionnaires des deux groupes, Patricia Russo, actuelle dirigeante de Lucent, prendrait le poste de PDG de Alcatel Lucent -nom de la nouvelle société-, et Serge Tchuruk celui de directeur exécutif. La fusion entre Alcatel et Lucent avait été officialisée en avril dernier. (...)

(30/08/2006 18:20:31)

WebObjects bascule dans l'open source

Après dix ans d'existence, WebObjects, premier serveur d'applications orienté web racheté -et porté sur Java- par Apple à NeXT, devrait basculer dans l'open source dès sa prochaine version 5.4 (prévue pour l'année prochaine). L'équipe de développeurs travaillant sur le projet a affirmé sur une mailing-list qu'Apple se bornera désormais à faire évoluer l'environnement d'exécution (Runtime), et non plus le framework, alors livré à la communauté open source. Selon eux, en offrant WebObjects à l'open source, Apple compte s'appuyer sur les méthodes communautaires pour accélérer les développements du serveur d'applications, en proie à la stagnation chez Apple. Selon des sources proches, seule une petite équipe s'attelait au projet chez l'éditeur. En décembre 2005, WebObjects était 10e du classement annuel des serveurs d'applications réalisé par BZ Research, avec une part de marché de 1,8% (à comparer aux 37% d'IBM et de JBoss et aux 27% de BEA et Oracle). Apple compte collaborer avec la communauté en leur fournissant notamment le support technique ainsi que les spécifications. (...)

(30/08/2006 18:19:10)

« Il faut savoir expliquer les risques liés à ses propositions d'action »

Entretien avec François Boucher, DSI de la Société Générale CIB (Corporate & Investment Banking, banque de financement international de la Société Générale, 10 000 collaborateurs environ). Ce dernier entend renforcer son département avec 200 personnes d'ici à la fin de l'année. Il insiste la nécessité d'avoir des collaborateurs qui soient capables de comprendre et de répondre aux besoins métier des utilisateurs. Quels profils composent la DSI que vous dirigez ? Le département que je dirige regroupe 2000 collaborateurs dans le monde, dont 1300 en France. Nous visons à accroître nos effectifs d'environ 10% d'ici à la fin de l'année pour atteindre 2200 personnes. Nous avons essentiellement des ingénieurs de niveau bac+5 qui occupent les métiers classiques que l'on trouve dans une direction des systèmes d'information: des spécialistes du support, de la production, des infrastructures, des architectes, des chefs de projet, des « business analysts » qui travaillent en maîtrise d'ouvrage. Nous avons également des pôles d'expertise sur des sujets comme « les données et les flux de marché », « l'accès aux bourses et aux marchés électroniques », « le Grid Computing », etc. La moyenne d'âge du service est de 32,5 ans avec une grande dispersion. Quelque soient les spécialités de nos collaborateurs, nous ne leur demandons pas d'être des experts techniques, mais d'avoir un intérêt pour les métiers de la banque. Ils doivent pouvoir parler le langage des utilisateurs pour comprendre leurs besoins et le traduire en solution informatique. Quelles sont les spécificités de l'activité informatique liées au métier de SG CIB ? Nous avons par exemple des activités qui démarrent sans que nous sachions à l'avance quels volumes de données seront traités. Dans chaque métier, des offres test sont régulièrement lancées. Si elles marchent et sont maintenues, nous devons créer leur chaîne de production en même temps qu'elles sont vendues, inventer le système qui permet l'industrialisation de leurs traitements, sachant que les volumes peuvent exploser très vite. Dans l'activité de courtage, nous sommes par exemple passés de quelques centaines de milliers à plus d'un million de passage d'ordres par jour sur la fin du semestre. Il faut donc savoir en peu de temps accroître la capacité de l'infrastructure, la performance des logiciels, etc. tout en gardant des temps de réponse qui soient acceptables et compétitifs. Ce contexte nous conduit à revoir constamment nos processus. Quels sont vos grands axes de travail ? Sur le plan technologique, l'un de nos principaux défis est d'améliorer en permanence nos capacités et nos performances de calcul. Cela se traduit par l'ajout de 1000 serveurs par an, la nécessité de résoudre les problématiques d'adaptation des infrastructures et de traitement des données associées, la maîtrise des risques liés à l'inflation des besoins, la capacité à trouver des solutions pour livrer le résultat attendu. L'autre défi est de renforcer nos systèmes de traitement des lignes métier, en livrant des systèmes mondiaux industriels, ce qui suppose d'intégrer et d'industrialiser davantage. Enfin, il nous faut apporter des réponses à l'ensemble de ces problématiques, tout en restant très réactif sans brider notre capacité d'innovation, et inscrire ces évolutions dans un cadre qui garantit une fiabilité et une sécurité sans faille. L'autre challenge est d'être à l'écoute des besoins des utilisateurs. Prenons l'exemple d'un métier que nous servons : les banquiers conseils. Ils constituent une population nomade qui a besoin de son environnement de travail informatique et d'accéder à des outils informatiques distants. Nous nous efforçons d'avoir un dialogue avec eux pour comprendre leurs besoins et leur proposer une package de services (par exemple comprenant PDA pour accéder à leur logiciel, bientôt la téléphonie sur IP, etc.) que l'on fait évoluer en permanence. Leurs demandes nous amènent à proposer des choses que nous n'aurions pas suggéré spontanément en raison des problèmes de sécurité que cela pose. Quelles compétences attendez-vous chez vos collaborateurs ? J'attends de mes collaborateurs qu'ils sachent comprendre des besoins, des enjeux, apporter des idées et faire preuve d'initiatives. Nous ne sommes pas dans une culture d'exécution. Nous avons besoin de personnes mûres, ayant le sens des responsabilités et qui savent expliciter les risques associés à leurs propositions. Nous gérons du risque en permanence. Lorsque nous n'avons pas le temps d'attendre pour une mise en production et que nous prenons un risque, alors nous le faisons en accord avec le client. Nous sommes à ce titre des vrais partenaires du business, nous travaillons dans une logique d'équipier, ce qui est passionnant. C'est pourquoi nous cherchons des collaborateurs qui ne soient pas des purs techniciens, mais qui aient cette ouverture à nos métiers. Quelle est votre politique de recrutement ? Traditionnellement, nous recrutions plutôt des personnes expérimentées car nous avions constaté que les jeunes ingénieurs ne savaient pas encore ce qu'ils souhaitaient faire. Aujourd'hui, nous remarquons au contraire, notamment via les stages, que les jeunes sont plus matures. Nous sommes donc plus agressifs sur le marché du premier emploi. D'ici à la fin de l'année, nous souhaitons recruter entre 30 à 50 jeunes diplômés et 60 à 70 jeunes expérimentés et experts. Les écoles d'ingénieurs et d'informatique constituent l'une de nos voies de recrutement privilégiées. Mais nous sommes aussi attentifs aux niches de compétences et aux profils issus des écoles de commerce par exemple, qui font partie des sources d'embauche de façon grandissante. Nous ne négligeons pas non plus la voix de nos prestataires informatiques, qui était historiquement majoritaire pour les recrutements. Ce n'est plus le cas à présent car nous ne souhaitons pas internaliser 100% de nos capacités informatiques. Il est intéressant d'avoir un équilibre entre des collaborateurs de SG CIB et des prestataires externes. (...)

(30/08/2006 12:11:23)

Google et le décisionnel : SAS s'y met aussi

Après Business Objects et Information Builders, c'est au tour d'un autre spécialiste du décisionnel, SAS, de signer un partenariat avec Google pour utiliser l'interface du moteur de recherches. Le package logiciel, OneBox for Enterprise, a l'ambition d'offrir à tous les utilisateurs d'une entreprise - et pas seulement aux spécialistes des requêtes décisionnelles - la possibilité de trouver les informations qui les intéressent dans la masse de données de l'entreprise. Bien entendu, précise SAS, l'information est transmise aux collaborateurs « en fonction de ses droits d'accès individuels ». L'offre est similaire à ce que BO et Information Builders ont déjà mis en place, dans le même but de s'ouvrir à davantage d'utilisateurs au sein de l'entreprise. De son côté IBM, qui a racheté Ascential en 2005 ainsi que plusieurs autres acteurs du management de l'information, défend une approche plus structurée de la recherche d'informations, jugée plus pertinente (voir l'interview de Steve Mills, vice-président senior du logiciel). (...)

(30/08/2006 11:47:54)

Google connecte ses liens commerciaux à eBay

Quand le numéro un des moteurs de recherche signe un accord publicitaire avec le numéro un des enchères en ligne, ça fait l'effet d'une citadelle qu'on ne pourra pas assiéger. Google devient en effet le fournisseur exclusif de publicité en ligne d'eBay en dehors des Etats-Unis. EBay, qui avait conclu un partenariat similaire avec Yahoo* pour le Web américain, a cette fois-ci choisi Google pour la pertinence de ses publicités contextualisées. Ce rapprochement est notamment destiné à promouvoir le « click-to-call », une fonction permettant aux usagers de Skype (racheté par eBay) et de Google talk de rentrer en conversation téléphonique avec un annonceur en cliquant sur son bandeau publicitaire. Pour Google, qui est rémunéré par les publicitaires au nombre de clics, ce système devrait faire gonfler ses recettes. Dans un communiqué, les deux groupes précisent cependant que les gains seront partagés. Alors que Microsoft est de plus en plus isolé sur Internet en dépit du succès de sa messagerie Windows Live, eBay crée des alliances stratégiques avec les deux géants de la recherche en ligne. Lors de son accord avec Yahoo en mai dernier, certains avaient cru qu'il s'agissait d'une offensive contre Google, une erreur d'appréciation aujourd'hui avérée. (...)

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