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(25/08/2006 17:54:57)
Marché des serveurs : HP toujours leader en Europe au T2 06
Selon les chiffres du Gartner, IBM vient de passer d'une courte tête Dell sur le marché des serveurs de la zone EMEA. Big Blue, avec 101 551 unités vendues dépasse le Texan de seulement 1 000 machines, et se hisse à la deuxième place (en volume) du classement, occupée au premier trimestre par Dell. Devant, HP conserve sa place de n°1 avec une hausse de 15,5% de ses ventes, à 223 872 unités commercialisées. En valeur, HP et IBM maintiennent péniblement leurs positions de leader. HP, n°1, enregistre une légère baisse de 0,1% de son CA à 1,26 Md$. IBM affiche quant à lui, un chiffre d'affaires de 1,16 Md$ en légère progression de 1,7%. Les deux constructeurs creusent toutefois l'écart. Sun et Dell - respectivement 3eme et 4eme place - qui enregistrent les plus fortes croissances ( + 8,5% pour Sun à presque 557 M$ et + 11,3% à 334 M$ pour Dell)- restent loin derrière. Globalement, le marché européen des serveurs au deuxième trimestre stagne, enregistrant un CA en baisse de 0,1%, à 3,9 Md$, et une faible progression de 9% des ventes en volume. Les serveurs lames et x86 tirent le marché Avec une hausse de 61,4% en volume, les ventes de serveurs lames dans la zone EMEA ont, quant à elles, explosé au deuxième trimestre 2006. Une bonne santé qui se répercute à l'échelle mondiale, comme le soulignait IDC dans son étude trimestrielle d'IDC sur le marché mondial des serveurs. Selon le cabinet, les ventes mondiales de serveurs lame au deuxième trimestre auraient enregistré une hausse de 29,7% en nombre d'unités. Les serveurs X86, deuxième plus forte croissance selon Gartner affiche une progression de 10,4%. Derrière, explique Adrian O'Connell, les serveurs à base de puces RISC ou Itanium dégringolent de 3,1% en nombre d'unités et de 5,1% en valeur. (...)
(25/08/2006 11:23:47)Microsoft publie la RC1 d'IE 7 pour XP
Internet Explorer 7 pour Windows XP se rapproche à grand pas de sa version finale. Jeudi 24 août, Microsoft a publié la première version Release Candidate (RC1) du navigateur, ultime étape dans la feuille de route du logiciel avant sa sortie définitive prévue pour la fin de l'année. Peu de nouveautés toutefois depuis la publication de la bêta 3 d'IE 7 le 26 juin. Pour faciliter les tests du logiciel, Microsoft y a notamment intégré une procédure de désinstallation automatique et francisé son application. L'éditeur de Redmond demande aux développeurs de tester leurs applications sur cette mouture, afin d'en vérifier la compatibilité avant sa livraison finale. Microsoft, par ailleurs, a expliqué que cette dernière serait distillée par son service de mise à jour automatique (Automatic Update). L'éditeur mettra à disposition un outil permettant aux entreprises d'annuler la mise à jour. (...)
(25/08/2006 10:56:10)Oracle s'avance dans le décisionnel en temps réel
Oracle a acheté la propriété intellectuelle des outils de prise de décision en temps réel édités par Sigma Dynamics, dans un double but : parfaire son offre analytique et enrichir son progiciel d'un outil d'analyse. Contrairement aux outils décisionnels classiques qui effectuent des requêtes sur des données passées et stockées, les logiciels de Sigma Dynamics analysent les données au fil de l'eau pour en dégager des tendances. L'intérêt étant de prendre les décisions le plus rapidement possible, de réagir avant les concurrents. L'offre de Sigma serait également capable d'auto-apprentissage, pour s'adapter plus finement aux besoins de l'entreprise. Sigma Dynamics était déjà partenaire de Siebel depuis début 2005. L'éditeur d'outils de gestion de la relation client, racheté depuis par Oracle, avait basé son offre analytique RTD (Real Time Decisions) dessus. Désormais, Oracle pourra intégrer l'offre de Sigma Dynamics également dans ses propres outils décisionnels, Oracle Business Intelligence Suite. L'éditeur entend par ailleurs développer des offres prépackagées d'analyse de données (optimisation pour les forces de vente, détection de fraude...) qui seront intégrées dans la suite progicielle Fusion, attendue en 2008. (...)
(24/08/2006 18:08:34)BEA commence à s'émanciper de Systinet
Dans un monde dominé par les concepts des architectures orientées services (SOA), il est normal de penser qu'au coeur du dispositif figure un référentiel de ces services, afin de pouvoir s'y retrouver. Ces dispositifs sont pourtant seulement en train d'émerger, comme le témoigne le rachat par BEA de Flashline, éditeur d'un outil de gestion des actifs logiciels basé sur les métadonnées. Le produit, « Flashline for SOA », sera intégré au référentiel inclus dans la ligne de produits Aqualogic, la suite middleware de BEA qui doit servir de fondation à une SOA. Il s'agit de faciliter les déploiements à travers toute l'entreprise, explique le directeur technique de BEA, Rob Levy. De tels référentiels permettent de tenir à jour la liste et la nature des logiciels et des services déployés dans une entreprise, ainsi que leurs interrelations et les règles qui les gouvernent. C'est cette gestion des règles que BEA recherche en rachetant Flashline. Cela permettra, indique l'éditeur, de gérer le cycle de vie complet des applications déployées en SOA : analyser les interdépendances, les plates-formes, les versions, les règles de gestion, et recueillir les métriques sur le fonctionnement des services, le tout depuis un point central unique. Du travail pour délimiter les zones de recouvrement Jusqu'alors, l'offre de référentiel d'Aqualogic reposait uniquement sur Systinet, qui s'est fait racheter par Mercury en janvier dernier, lequel vient lui-même d'être absorbé par HP. Sachant qu'IBM est en train de développer son offre, et qu'un concurrent comme WebMethods vient de racheter Cerebra, il devenait urgent pour BEA de disposer d'une offre en propre. Pour l'heure, souligne Jess Thompson, vice-président de la recherche à Gartner, BEA va avoir du pain sur la planche pour définir les aires de compétences de chaque produit : « Il y a des zones de recouvrement, en terme de métadonnées sur les règles de gestion ; dans ce cas, où doivent-elles être stockées ? Dans l'annuaire, dans le référentiel ou dans les deux ? » Pas assez complet pour se passer de Systinet Ensuite, il s'agira probablement de couper définitivement le cordon avec Systinet, ce qui demandera soit d'améliorer l'offre, soit de procéder à un autre achat, dans la mesure où, commente Ronald Schmelzer, analyste senior de Zapthink, le produit de Flashline ne remplit pas toutes les fonctions : « D'autres éditeurs comme Infravio ou LogicLibrary ont une offre plus complète en matière de référentiel, de management des métadonnées et de gouvernance de la SOA. BEA devra donc se mettre au niveau de ces capacités, ou bien conserver ses relations avec Systinet. » Dans tous les cas, poursuit Jess Thompson, de Gartner, cette annonce montre bien que les jours des fournisseurs indépendants de référentiels sont comptés. L'heure de se revendre a sonné. (...)
(24/08/2006 18:12:01)Capgemini France licencie dans son activité Outsourcing
Le CCE (comité central d'entreprise) de Capgemini et le CE(comité d'entreprise) d'Outsourcing Services, sa filiale consacrée à l'Outsourcing, assignent la direction de la SSII en justice. Il ont lancé une action en référé pour demander l'annulation ou du moins le report, de la procédure du plan de sauvegarde de l'emploi lancée le 17 juillet dernier. Cette requête sera examinée le 29 août par le juge des référés. Celui-ci devra se prononcer sur la procédure du plan baptisé « sauvegarde de la compétitivité d'Outsourcing Services » par Capgemini, qui prévoit la suppression de 210 postes au sein de la division IM (Infrastructure Management ) d'Outsourcing Services, sur 720 emplois au total. Le centre IM de Lille (33 personnes) devrait notamment fermer ses portes. La SSII affirme, par la voie de son DRH France, Jean-Michel Estrade, que ces mesures visent à résorber le sureffectif de cette activité pour préserver sa compétitivité. Il ajoute que ce projet s'inscrit dans le plan global de redressement de la rentabilité de l'infogérance annoncé par la direction générale de Capgemini, il y a quelques mois. Selon Les Echos du 10 novembre 2005, Paul Spence, responsable de l'infogérance, prévoyait que ce plan permettrait de dégager « entre 5 et 7 points de marge à moyen terme ». Face à cette situation, Capgemini lance un appel aux départs volontaires. Jean-Michel Estrade affirme qu'il n'est pas question d'atteindre ses objectifs de baisse d'effectifs autrement que par un appel aux volontariats. Les personnes qui évoluent sur le centre IM de Lille et qui ne souhaitent pas quitter la société devraient se voir proposer des reclassements sur une autre antenne. Le CCE et le CE OS rejettent le plan proposé par la direction. Ils souhaitent rallier les partenaires sociaux à l'action qu'ils ont lancée. Ils dénoncent le principe du volontariat comme étant galvaudé, ainsi que la non application par les directions du groupe et d'Outsourcing Services d'une partie de l'accord GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) signé en mai 2005. « Celui-ci prévoyait justement des mesures destinées à maintenir l'employabilité des salariés, notamment sur les métiers à risque et à éviter des licenciements », souligne Frédéric Boloré, délégué syndical CFDT UES Capgemini. Quelques soient les suites de la procédure, la priorité sera pour ce dernier de s'assurer que les personnes qui partent soient en situation de retrouver un emploi au plus vite en obtenant des conditions de reclassement qu'il souhaite plus favorables que lors du dernier plan social. (...)
(24/08/2006 18:09:59)Citrix et Microsoft préparent une appliance pour réseaux étendus
Les bonnes relations entre Microsoft et Citrix accoucheront fin 2007 d'un nouveau produit : une appliance (serveur spécialisé) pour accéder à des applications Windows au travers d'un réseau étendu. Le serveur, basé sur Windows Server 2003, embarquera Internet Security and Acceleration, produit de Microsoft servant de passerelle de sécurité. Surtout, il bénéficiera de la technologie d'optimisation des flux réseau que Citrix a acquise avec l'absorption d'Orbital Data il y a deux semaines. Généralement, l'offre Citrix est utilisée pour accéder depuis un client léger à des applications basées sur un serveur centralisé sur le réseau local. L'accès au travers d'Internet est soumis à des ralentissements pas forcément prévisibles, puisqu'on ne maîtrise pas le réseau. D'où la nécessité de techniques spécifiques, comme la compression, mise au point par Orbital Data. L'appliance sera co-développée par les deux partenaires, mais commercialisés sous la marque Citrix. (...)
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