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(21/07/2006 16:46:25)

L'ancien PDG de Brocade menacé de prison pour avoir antidaté des stock-options

Le scandale de la pratique de l'antidatage de stock option, qui a permis à de grands dirigeants de sociétés américaines de s'assurer de confortables profits en se garantissant un différentiel optimal entre le prix d'achat de leurs titres et leur prix d'exercice, vient de faire une première victime de choix aux Etats-Unis avec l'inculpation des ex PDG et directeur des RH de Brocade. Gregory Reyes et Stephanie Jensen sont accusés d'avoir monté un système d'antidatage de stocks-options afin d'assurer des profits garantis à des cadres de haut niveau lors de leur embauche. La pratique a permis à Brocade d'attirer des dirigeants de haut niveau sans débourser de cash mais en lésant indirectement ses actionnaires. Les mises en accusation de Reyes et Jensen, qui risquent jusqu'à 5 ans de prison, ne sont que le début d'une vaste opération de la SEC américaine et du FBI pour nettoyer les écuries d'Augias des start-ups et des grands de la high-tech américaine. Plus de 80 sociétés seraient ainsi concernées par les enquêtes des deux institutions. Parmi celles-ci 40 feraient l'objet d'enquêtes criminelles dont Broadcom, CNET, Intuit, Juniper Networks et VeriSign. D'autres grands noms comme Activision, Apple, Mercury Interactive, Rambus, Take Two Interactive ou Xilinx seraient également dans le viseur du gendarme de la bourse US. (...)

(21/07/2006 16:46:59)

Microsoft : CA en hausse, bénéfice en recul

Résultats quatrième trimestre(21/07/2006 12:47:12)

Cegid recrute 70 collaborateurs

L'éditeur lyonnais Cegid lance un programme de recrutement sur 2006 visant à s'attacher les services de 30 ingénieurs commerciaux, 20 consultants formateurs et 20 développeurs. Le but est de renforcer les équipes commerciales dans l'optique du lancement du PGI Cegid Business édition 2007 mais également d'accroître les effectifs destinés à assurer le déploiement des solutions et la formation. Les profils recherchés incluent des jeunes diplômés, notamment pour les postes d'ingénieurs commerciaux. Les formateurs devront justifier d'un cursus bac+2 à 5 en gestion ainsi que d'une expérience de 2 à 5 ans dans le déploiement de solutions ou dans un des secteurs d'activité du groupe (mode, industrie, hôtellerie, BTP). Enfin, les développeurs désireux de rejoindre Cegid sont censés avoir reçu une formation bac+2 à 5. Cette dernière catégorie est ouverte aux débutants pour peu qu'ils maîtrisent Forms 9 ou 10, PL/SQL ou Delphi. (...)

(21/07/2006 10:08:40)

Un Télé 2 bien convoité

De nouveaux acteurs viennent allonger la liste des acquéreurs potentiels de Télé 2 France. Après Neuf Cegetel, c'est au tour de Free et de SFR d'étudier le dossier, rapporte notre confrère Les Echos. L'intérêt de SFR pour Télé 2 n'est pas si étonnant. L'opérateur mobile a en effet annoncé vouloir devenir FAI mais devait dans un premier temps revendre l'adsl de Neuf Cegetel. Dans tous les cas, la branche mobile (MVNO) de Télé 2 ne fait pas partie du panier. Peut-être parce qu'il s'agit d'une activité en forte croissance ou sans doute parce qu'Orange, fournisseur du réseau mobile, n'aimerait pas beaucoup voir passer Télé2 mobile dans les mains d'un concurrent. La vente de Télé 2 devrait être finalisée pour la rentrée. (...)

(21/07/2006 10:07:41)

L'UE valide la baisse des prix SMS

La Commission européenne donne son accord pour que l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) adopte son projet de baisse des prix de gros des SMS. La France devient ainsi le premier pays européen à pouvoir imposer un prix de SMS aux opérateurs. Selon les propositions de l'Arcep, le prix de gros, actuellement fixé à 4,3 centimes, devrait passer à 3 centimes pour Orange et SFR et à 3,5 centimes pour Bouygues Telecom. Cette baisse pourrait se répercuter sur les prix facturés aux particuliers alors que les associations de consommateurs militent depuis des mois pour réduire le prix de la terminaison d'appel SMS. Le prix de gros ou de terminaison d'appel est la facturation par un opérateur A à un opérateur B lorsque ce dernier emprunte le réseau de l'opérateur A pour envoyer un message. Côté marché, l'Arcep dénonçait les pratiques des opérateurs contraires au jeu concurrentiel. Le prix de gros, qui représente 50% du prix de détail, est resté quasiment stable depuis six ans. Cette baisse permettra ainsi de libérer le secteur et d'envisager le SMS au-delà de l'univers mobile. (...)

(21/07/2006 10:06:40)

Trimestriels Nokia : forte croissance dans les pays émergents

La part de marché de Nokia s'effrite : 34% contre 35% ! Pas d'inquiétude, ce n'est pas grand chose...mais le constructeur Finlandais doit faire face à l'ingéniosité de Motorola avec son Razr ou son « Q » (désolé c'est son nom) et à l'agressivité des asiatiques. L'équipementier a tout de même commercialisé 78,4 millions de téléphones ce trimestre, en hausse de 29% comparé à la même période en 2005. Les ventes nettes s'élèvent à 9,8 milliards d'euros en hausse de 22% et le bénéfice net grimpe de 43% pour atteindre 1,1 milliard d'euros. Les ventes aux US chutent (-13%). Par contre, la croissance est puissante dans les pays émergents : +58% en Chine, +79% en Asie Pacifique et +39% en Afrique et Moyen Orient. Ces pays sont plus avides de mobiles entrée de gamme que du dernier E61. Résultat, le prix moyen des téléphones vendus baisse de 105 à 102 euros sur la période. Sur ces derniers E-Series, Nokia compte monter en puissance ces prochains mois. (...)

(21/07/2006 10:01:20)

France Télécom et son ardoise d'1 milliard d'euros

En 2004, la Commission Européenne avait condamné France Télécom à rembourser une aide d'Etat de plus d'un milliard d'euros. La commission devait fixer, avec les autorités Françaises, le montant exact de l'aide. Mais les deux parties ne se sont jamais entendues sur le mode de calcul. Le ministère français de l'industrie conteste toujours les fondements initiaux de la décision de la Commission, estimant qu'il n'y avait pas eu de traitement de faveur en matière de taxe professionnelle. Résultat, depuis deux ans, la procédure s'enlise et la commission n'a rien perçu. Elle décide donc de renvoyer l'affaire devant le tribunal de Luxembourg. Les autorités françaises prennent acte et « feront valoir leurs droits en contestant devant le juge communautaire les fondements de ce recours ». En attendant, France Télécom n'a jamais provisionné la somme... révélateur. (...)

(20/07/2006 16:18:59)

Semestriels Cegid : les revenus reculent mais la marge progresse

:Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 106,5 M€ (-1,7%) Marge brute : 84,5% Si Cegid, l'éditeur lyonnais d'applications métiers et de PGI, publie un chiffre d'affaires en recul au cours du premier semestre, il ne déçoit cependant pas les analystes et voit même le cours de son titre progresser de 2% à la faveur d'une rentabilité améliorée. Les revenus du groupe présidé par Jean-Michel Aulas sont en baisse de 1,7% sur un an, à 106,5 M€. Ils pâtissent d'un recul des ventes de matériels et des prestations annexes de 4,4 M€, en partie compensé par la bonne tenue de la division progiciels (+4%). "L'évolution de la composition de notre chiffre d'affaires était prévue et décidée. La part du matériel dans notre revenu est passée en quelques années de 45% à moins de 15%. Entre temps, on a assisté à une montée en puissance des progiciels, nettement plus générateurs de marge", explique le directeur général Patrick Bertrand au mondeinformatique.fr. Et d'ajouter que la part du matériel devrait continuer à décroître. De fait, l'affaiblissement de ce secteur d'activité devrait conduire Cegid à voir sa rentabilité progresser sur l'ensemble de l'exercice. Au premier semestre la marge brute a déjà affiché une amélioration par rapport à 2005 : elle s'élève à 84,5% du CA, contre 81,8% en moyenne sur l'exercice précédent. Par ailleurs, l'éditeur a ouvert une ligne de crédit de 200 M€ sur cinq ans auprès de huit banques, "afin de nous donner les moyens de mener une politique de croissance externe", précise Patrick Bertrand. Si le DG reste prudent sur la nature des partenariats qu'il entend nouer, il rappelle que Cegid "veut rester dans le radar du top 5 des éditeurs du middlemarket européen". Et rappelle le positionnement de son groupe : "entre les ERP pour les grandes entreprise et les petites solutions type Best-of-breed il n'y a pas rien. Il y a Cegid". (...)

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