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(23/03/2006 18:22:53)
Sage offre 585 M$ pour acquérir un éditeur norvégien
Sage vient de lancer une offre d'achat sur l'éditeur norvégien Visma ASA pour un montant de 585 M$. Appuyée par le directoire de Visma, l'offre valorise l'action de 19 % par rapport à son cours moyen sur les vingt derniers jours. Visma propose des solutions d'aide à la productivité, notamment des outils de recouvrement de créance ou de gestion des ressources humaines. La société s'adresse aux PME scandinaves et, de fait, s'inscrit parfaitement dans la stratégie mise au point par Sage et consistant à s'emparer de nouveaux marchés, a expliqué Paul Walker, le PDG de Sage. Visma compte 200 000 clients, a publié un chiffre d'affaires de 290 M$ et un résultat opérationnel de 38 M$ en 2005. Selon David Bradshaw, analyste pour Ovum, cette acquisition serait l'une des plus importantes réalisées par Sage. Elle permettrait à l'éditeur de mettre un pied en Suède, la principale économie de la région. (...)
(23/03/2006 18:18:37)Portage : le syndicat crée un observatoire pour accroître sa visibilité
Réglementer le portage salarial pour apporter un maximum de garanties à ses bénéficiaires, tel est l'objectif de l'observatoire paritaire du portage salarial, une entité que vient de créer le Sneps (syndicat national des entreprises du portage salarial). A travers son travail, le syndicat entend faire le point avec les partenaires sociaux sur les modalités d'exercice du portage dans les sociétés concernées. Son but est d'aboutir à des préconisations sur les bonnes pratiques à adopter en vue de les concrétiser par des accords collectifs. Si cette profession s'est édictée des règles comme la charte déontologique du Sneps, il lui reste en effet encore du chemin à parcourir pour bénéficier d'une reconnaissance statutaire auprès des pouvoirs publics. Les travaux de l'observatoire devraient donc contribuer à promouvoir cette activité dans cette optique. Cette initiative est de bonne augure pour les informaticiens qui sont assez nombreux à opter pour ce cadre de travail. 13% des quelque 10 000 portés que compte le Sneps chez ses adhérents seraient en effet issus de domaine informatique et multimédia. Une étude récente réalisée par la société de portage Kalifeye montrait par ailleurs que 35% des utilisateurs du portage salarial travailleraient dans les secteurs de l'informatique et des télécommunications. (...)
(23/03/2006 18:19:32)Management : « l'accueil de la diversité est une question de survie pour l'entreprise»
Les entreprises vont devoir sensibiliser leurs équipes à la gestion de la diversité culturelle, ethnique et sociale au sein de leur structure et aux enjeux de la non-discrimination. Tel est le principal enseignement de la conférence d'ouverture du congrès de la gestion de ressources humaines HR'2006 (23-24 mars), au cours de laquelle trois signataires de la charte de la diversité (un texte qui propose des engagements pour favoriser le pluralisme)ont exposé leur vision de sa gestion en entreprise, Claude Bébéar, président de l'Institut Montaigne et du conseil de surveillance du groupe Axa, Cathy Kopp, membre de la Halde (Haute autorité de lutte contre la discrimination et pour l'égalité) et DRH du groupe Accor et Yves de Talhouet, président d'Oracle France. Ces intervenants ont insisté sur la responsabilité qu'ont les entreprises en matière de lutte contre la discrimination pour refléter la diversité de la société dans laquelle elles sont implantées et ne pas risquer de se priver de grands talents. « La diversité est une grande richesse. C'est aussi une question de survie pour évoluer dans un environnement global et multiculturel et apporter des regards toujours plus créatifs, différents et innovants aux problématiques de nos clients », résumait Yves de Talhouet. La question de l'action a ensuite été posée par le ministre de la cohésion sociale, Jean-Louis Borloo venu enfoncer le clou avec des propos sans équivoque pour renvoyer les entreprises à cette responsabilité. « A vous de savoir maintenant comment passer de la signature de la charte aux changements radicaux de mentalité» a-t-il lancé.
« deux fois plus de personnes des «minorités visibles» recrutées par voie anonyme ».
La tâche n'est pas mince. Comme le reflète ces propos, il est question d'un problème culturel. Sensibiliser sur les comportements discriminants et changer les mentalités nécessitent un travail de fond. Dans cette optique, les formations à la gestion de la diversité apparaissent comme l'un des piliers incontournable de la lutte contre la discrimination. Et ce « à tous les étages du management» ont insisté les intervenants. « Il faut en effet se rendre compte que les gens n'ont en général pas conscience qu'ils discriminent et qu'il faut d'abord les éveiller à ce sujet» expliquait Cathy Kopp qui lancé des formations à la diversité chez Accor, en les adaptant à chaque niveau de qualification.
Pour compléter les dispositifs de formation, les réponses varieront selon les entreprises et les secteurs professionnels. Axa a par exemple testé le CV anonyme pour mesurer la discrimination à l'embauche. Cette opération a été efficace. Elle a montré au bout d'un an que deux fois plus de personnes issues des « minorités visibles » étaient recrutées par voie anonyme. Chez Oracle, Yves Talhouet a estimé en revanche qu'une telle méthode n'était pas pertinente. « L'entreprise porte la diversité presque dans ses gènes », selon lui. Plus généralement, il estime que l'industrie informatique est caractérisée par une prime très forte à la compétence technique qui en fait un critère de recrutement primordial. Elle évolue par ailleurs dans un contexte de travail international, marqué par des échanges quotidiens avec des populations par exemple issues d'Inde, du Maroc et d'Asie, à cause de l'off-shore. Ce qui donne à ses collaborateurs des regards différents sur les étrangers et les rend moins susceptibles de discriminer sur un plan racial. Chez Oracle, la sensibilisation à la gestion de la diversité passe donc par d'autres voies : entre autre, un programme de e-learning qui intègre des modules sur le harcèlement sexuel et la détection de comportements discriminants et des comités chargés de recueillir des informations relatives à l'identification de tels comportements. (...)
Bruxelles veut combler le fossé du haut débit
Parce que "la disponibilité de connexions large bande à Internet est une condition indispensable pour le développement des affaires électroniques et l'emploi dans l'ensemble de l'économie", la Commission européenne souhaite s'investir pour offrir au plus grand nombre un accès haut débit d'ici 2010 et "combler le fossé existant". Si 90 % des entreprises et des ménages en zones urbaines disposaient, en 2005, d'un accès haut débit, bien plus faible était ce taux pour les nouveaux membres de l'Union européenne. Même constat en ce qui concerne le débit de l'accès, plus élevés en zone urbaine qu'en rase campagne. Bruxelles déplore que "la large bande n'a pas encore touché certaines des régions les moins développées de l'UE, en raison du rendement faible et incertain escompté des investisseurs". Au final, 13 % de la population dispose d'un accès à Internet en haut débit, soit environ 60 millions de lignes. Un chiffre que la Commission compte faire progresser en utilisant, notamment, les Fonds structurels de l'UE qui "ont un rôle vital à jouer en stimulant les investissements dans l'infrastructure et les services à large bande". Pour mener à bien son projet, l'exécutif européen prévoit deux volets d'action. En premier lieu, la Commission entend renforcer les stratégies nationales en faveur du haut débit, lesquelles doivent "fixer des objectifs clairs et correspondre aux besoins régionaux, et inclure une approche stratégique pour utiliser les moyens de financement de l'UE et nationaux". La Commission va, ensuite, créer un site Internet permettant aux autorités locales et aux acteurs du secteur d'échanger informations et expérience. Elle organisera, dans cette même optique, une conférence au début de 2007 afin de présenter les avantages du haut débit aux collectivités rurales. (...)
(23/03/2006 18:20:25)Osiatis : retour aux bénéfices en 2005
Un peu plus d'un an après sa fusion avec Groupe Focal, la SSII Osiatis publie des résultats 2005 supérieurs aux prévisions et qui illustrent son regain de forme. Le chiffre d'affaires pro format atteint 200,2 ME et progresse de 3 %. Le résultat opérationnel pro format supporte une charge de 3,3 ME liée au rapprochement avec Groupe Focal et s'aligne à 3,9 ME, soit une augmentation spectaculaire de 223 %. A la faveur d'un taux d'activité en hausse et d'une rationalisation des coûts de structure, le résultat opérationnel courant dépasse les prévisions données plut tôt dans l'année et s'élève à 7,5 ME, progressant ainsi de 41 %. Enfin, le résultat net pro format - 2,2 ME - redevient positif après la perte de 1,5 ME enregistrée en 2004. Le groupe se félicite d'avoir pu, grâce à sa nouvelle dimension, accroître "son référencement auprès des grands comptes et sa capacité à être sélectionné sur des projets d'envergure". Pour 2006, il mise sur l'amélioration de son résultat et n'exclut pas des opérations de croissance externe ciblées. (...)
(23/03/2006 18:21:16)Le noyau Linux mis à jour pour supporter Oracle, Cell et bientôt Sparc T1
Linus Torvalds vient de présenter la dernière mise à jour du noyau Linux. Cette nouvelle version - la 2.6.16 - intègre le support natif du système de gestion de fichiers en grappes d'Oracle (Oracle Cluster File System), nécessaire aux fonctionnement des applications en grille de l'éditeur et notamment d'Oracle RAC - Real Application Cluster. En outre, cette nouvelle mouture du noyau supporte le processeur Cell d'IBM. Celui-ci a été développé conjointement avec Sony et Toshiba pour la future console de jeux Playstation 3. Il anime aussi depuis peu des lames serveurs conçue par IBM pour ses Bladecenter. Tant Sony pour sa Playstation 3, qu'IBM pour ses lames, ne font mystère de leur intention de promouvoir Linux sur leurs plates-formes. Enfin, cette nouvelle version du noyau Linux embarque son lot de corrections de bugs. Linus Torvalds annonce dores et déjà que la prochaine mise à jour supportera la puce UltraSparc T1 de Sun. Sun a récemment révélé le code source de la puce à la communauté du logiciel libre afin, notamment, d'accélérer les développements de Linux sur la puce. (...)
(23/03/2006 18:17:48)Oracle dévoile de nouveaux outils analytiques
Oracle a dévoilé hier une nouvelle suite d'outils analytiques, l'Oracle Business Intelligence suite, basée sur les développements de Siebel, qui réalisait 25% de son CA avec les outils de Business Intelligence. Le président d'Oracle, Charles Phillips a en fait présenté trois nouveaux packages lors d'un événement organisé par l'éditeur à New York. Le premier, Oracle BI Standard Edition-1, est une suite d'entrée de gamme qui inclut une base de donnée un outil d'extraction, de transformation et de chargement de données ainsi que des outils d'interrogation, d'analyse et de tableaux de bords. Le second package, la "Standard Edition" incorpore également l'outil Oracle Discoverer et un plug-in pour Microsoft Office. Enfin, la version entreprise inclut un serveur analytique, des tableaux de bords avancés et des outils de reporting et d'analyse. Selon Phillips, l'un des avantages de la nouvelle suite est qu'elle ne dépend pas d'une application. Oracle met aussi en avant une interface unifiée entre les différents composants et l'utilisation d'un modèle de métadonnées commun à tous les produits, ce qui devrait permettre aux utilisateurs d'obtenir des résultats et des rapports cohérents quelles que soient les sources de données interrogées. Selon Henri Morris, un analyste d'IDC présent lors du lancement, la nouvelle offre fait d'Oracle un concurrent direct de vendeurs comme SAS Institute, Business Objects ou Cognos Corp. Titre de l'encadré: (...)
(23/03/2006 12:39:39)L'Afnic ouvre le .fr aux particuliers
L'Afnic (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération) annonce l'ouverture es noms de domaines en.fr pour les particuliers. A partir du 20 juin, à 9 heures, les internautes pourront déposer le nom de domaine en .fr de leur choix, sous réserve qu'ils soient majeurs et disposent d'une adresse postale. Jusqu'alors réservés aux personnes morales, entreprises, collectivités, ou autres associations, les .fr s'adressent donc désormais aux particuliers qui, selon l'Afnic, "[montrent] un désir de plus en plus important de marquer de [leur] empreinte le monde du Net". Le système d'attribution organisé par l'Afnic se veut souple : après une vérification sur la disponibilité du nom de domaine désiré, l'internaute déposera sa demande auprès d'un bureau d'enregistrement (FAI, hébergeur, etc.). La création du .fr se fera alors dans les jours qui suivront. Pas de justificatif à fournir donc, ni de vérification a priori. L'Afnic procèdera par la suite à des contrôles a posteriori, aléatoirement ou après une plainte. Quant au prix facturé pour l'enregistrement d'un nom de domaine, il sera fixé par les registars et devrait osciller entre 10 et 30€. L'Afnic devrait néanmoins abaisser le prix de gros des noms de domaines vendus aux bureaux d'enregistrement d'ici le mois de juin. (...)
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