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(01/07/2005 18:32:07)

JavaOne : Sun enterre ses ambitions Linux et se concentre sur Solaris et Java

Sun Java Desktop, c'est fini. Cette distribution Linux pour poste de bureau, qui devait s'imposer sur cinquante millions de postes de travail d'ici à 2006, selon Jonathan Schwartz, n'a pas rencontré le succès escompté auprès des entreprises, toujours très attachées au couple Windows-Office. Sun n'a, il est vrai, pas été exemplaire dans son support du produit. Après un lancement en fanfare, la firme a discrètement effectué des coupes sombres dans ses équipes de développement Linux, avant de les réduire à leur plus simple expression au mois de février dernier. A l'époque, un ex-responsable de Cobalt, poussé vers la porte par Sun avec son équipe, nous avait confié que le constructeur s'était séparé de la quasi-totalité de ses équipes de développement Linux, dont les dernières équipes issues du rachat de Cobalt…

L'avis d'enterrement officiel a toutefois mis du temps à filtrer, et ce n'est que dans les derniers jours de JavaOne 2005 que Sun a annoncé le décès de l'ex-enfant prodige. C'est John Loiacono, le successeur de Schwartz à la tête de la division logicielle de Sun, qui a confirmé l'information. Selon lui, la stratégie du constructeur a «un peu changé», et Sun va moins s'investir dans JDS pour Linux. De fait, la stratégie du constructeur tend à pousser JDS sur Solaris, l'OS maison, une évolution logique au vu des qualités de Solaris, mais aussi de son nouveau caractère Open Source. JDS sur Solaris est déjà la base de la plate-forme de développement de l'éditeur, présentée en même temps que la station de travail Opteron Ultra 20.

Quant à la version Linux, elle pourrait ressusciter sous la forme d'un projet Open Source. Après le projet Mad Hatter (nom de code d'origine de JDS), bientôt le projet Lazarus ?

Priorité à Solaris et Java

Si les précédentes éditions de JavaOne avaient été l'occasion pour Sun de pousser ses différentes marottes, l'édition 2005 a clairement marqué un recentrage sur les joyaux de famille de la firme, Solaris et Java. Sun a multiplié les annonces autour de ces deux technologies et a terminé la semaine en s'alliant avec Oracle pour le coleadership de la spécification EJB 3.0 (Enterprise Java Beans). Oracle va notamment fournir son implémentation de l'API de persistance Java comme référence de la spécification, une implémentation issue de TopLink, son outil de mapping objet/relationnel. Cette implémentation sera également utilisée, sous licence CDDL, pour le projet GlassFish de Sun.
Sun a également profité de la fin de la conférence pour annoncer une nouvelle génération de lecteur RFID intégrant une JVM embarquée (lire encadré).

Sun embarque Java dans des lecteurs RFID
Sun a présenté une nouvelle classe de lecteurs RFID intégrant une JVM J2SE (Java Standard Edition) ou J2ME (Java Micro Edition) et la conformité avec les spécifications EPCglobal's ALE (Application Level Events).

La spécification ALE permet à une application serveur de s'interfacer avec les données recueillies par un lecteur RFID. Intégrer le support d'ALE dans le lecteur permet à ce dernier de prétraiter certaines données avant leur exploitation par le serveur.

Par exemple, un lecteur actuel n'a pas «conscience» du nombre de fois où il lit la même étiquette sur un même produit. L'intelligence de filtrage des événements de lecture revient à l'application serveur. Avec une JVM embarquée dans le lecteur et un peu de code, le filtrage peut être effectué au niveau du lecteur déchargeant ainsi le middleware.

Une JVM J2SE avec le support d'ALE est disponible immédiatement auprès de Sun. L'implémentation J2ME est attendu pour le courant de l'été. (...)

(01/07/2005 18:42:27)

Red Hat commence bien son année fiscale 2006

L'éditeur Red Hat a publié ses résultats pour le premier trimestre de l'exercice fiscal 2006. Il en ressort un chiffre d'affaires en hausse de 46% sur un an, à 60,8 M$. En progression séquentielle, le revenu augmente de 6%. Sur ce volume d'activité, 48,7 M$ proviennent des abonnements entreprises, soit 63% de mieux qu'au même trimestre de l'année précédente.
Le bénéfice net du groupe s'élève à 12,4 M$, contre 11,8 M$ un an auparavant, «un solide départ pour l'année fiscale», précise le directeur financier, Charlie Peters. (...)

(01/07/2005 18:34:24)

Microsoft pourrait s'offrir Claria, ex-Gator

Selon le New York Times, l'empereur du logiciel Microsoft pourrait bien se payer la très controversée société Claria, ex-Gator, connue pour ses publicités intrusives et ses adwares. Pourquoi ? Microsoft, explique le quotidien, voudrait intégrer la technologie Claria, notamment Behaviorlink (qui affiche des liens publicitaires en fonction des habitudes des utilisateurs), dans le but de gonfler les revenus publicitaires de MSN. Et ce pour contrer le géant Google, bien positionné sur le secteur.

Si, pour l'heure, les négociations semblent gelées à cause de désaccords sur la question chez Microsoft, la transaction pourrait s'élever à 500 M$.

Claria avait essuyé nombre de quolibets, notamment par les associations de défense de la vie privée, sur la façon dont s'affichaient les publicités de la société. (...)

(01/07/2005 18:41:32)

Les ventes mondiales de systèmes de stockage progresse de 11% au T1

Les ventes mondiales de systèmes de stockage pour les entreprises ont atteint 3,54 Md$ au premier trimestre 2005 selon le cabinet Gartner.

Ce chiffre est en progression de 11% par rapport à la même période de l'année précédente. La croissance est en grande partie due à Dell et à Network Appliance. Le groupe de Michael Dell affiche ainsi un chiffre d'affaires de 231,8 M$ pour le trimestre, en hausse de 35,8% sur un an. Network Appliance a, quant à lui, généré 211,7 M$ de revenus, soit 27,2% de mieux qu'un an auparavant.

C'est cependant EMC qui conserve la tête du classement des vendeurs de systèmes de stockage avec un chiffre d'affaires de 814,7 M$ (+11,2%), devant HP et IBM (respectivement 643 et 421 M$). (...)

(01/07/2005 18:39:33)

Résurrection d'Olivetti à coup de jet d'encre

On croyait Olivetti, l'ex-conglomérat piloté par Carlo de Benedetti, mort avec l'industrie informatique européenne et enterré par l'explosion de la bulle télécoms du siècle dernier. La marque ressurgit aujourd'hui avec deux modèle d'imprimantes à jet d'encre. En septembre, Olivetti proposera Any-Way, une imprimante multifonction incluant une option Bluetooth et Wi-Fi et My-Way, une imprimante portable photo. L'entreprise prévoit d'investir 200M¤ sur la période 2005-2007, de consentir d'importants efforts marketing et de recruter de nouveaux designers.

De quinze mille employés produisant des services informatiques en 1997, la firme s'est mutée en simple coquille vide deux ans plus tard, coincée entre un holding luxembourgeois et Telecom Italia. Bien que surprenant, le retour d'Olivetti sur le marché de l'impression ne semble pas incohérent : Olivetti fut, en son temps, champion de la machine à écrire transalpine, et il est l'un des rares constructeurs mondiaux à disposer de sa propre technologie d'impression à jet d'encre. Reste à savoir si cela suffira pour renouer avec sa gloire passée. (...)

(01/07/2005 18:38:37)

Les Etats-Unis intéressés par la biométrie de Gemplus

Le gouvernement américain chercherait à acquérir le savoir-faire de Gemplus en matière de biométrie, selon le quotidien La Tribune. Gemplus développe une carte à puce sans contact, utilisée pour l'authentification à partir de données biologiques. L'acquisition de cette technologie permettrait aux Etats-Unis de renforcer leur programme d'identification biométrique. Les puces peuvent être intégrées à des cartes d'identité, incrustées sur des pages de passeport ou des autocollants de visas.
Selon La Tribune, les autorités françaises suivraient de près le dossier et aimeraient profiter de cet intérêt pour inciter le gouvernement étatsunien à faire pression sur le fond Texas Pacific Group (TPG) pour qu'il se retire du capital de Gemplus. TPG est soupçonné, depuis plusieurs années, de tentative de détournement de technologie suite à son entrée dans le capital de Gemplus. Autrefois basée à Gémenos, dans le Sud de la France, la société, y a toujours l'essentiel de ses activités, mais son siège officiel est désormais situé au Luxembourg, tandis que ses principaux dirigeants opèrent depuis des bureaux situés en Suisse… Ces «délocalisations» ont déjà valu à la firme un redressement fiscal. (...)

(30/06/2005 18:14:51)

W3C : XKMS 2.0 recommandé pour la gestion des PKI

Le consortium W3C vient d'élever la version 2.0 du standard XML Key Spécification (XKMS 2.0) au rang de recommandation.
XKMS définit un système de gestion de clés publiques. Il s'agit alors d'un protocole ouvert assurant l'interopérabilité des clés publiques de type PKI, entre applications Web et services Web.
Ce standard vient alors compléter les spécifications XML-Signature Syntax and Processing, XML Encryption Syntax and Processing, Exclusive XML Canonicalization, en charge de l'interopérabilité de la gestion d'identités via les services Web.
Microsoft, Nokia, WebMethod, Oracle, Sun et Verisign ont notamment participé au groupe de travail responsable du développement. (...)

(30/06/2005 18:07:21)

Peoplesoft dope le chiffre d'affaires d'Oracle

Profitant de l'acquisition de Peoplesoft, Oracle a réalisé un chiffre d'affaires de 3,88 Md$ au cours du quatrième trimestre de son exercice fiscal clos le 31 mai, soit 26% de mieux qu'un an plus tôt pour la même période. Pour autant, la progression du bénéfice net de l'éditeur est limitée à 3% pour 1,02 Md$.
Dans un communiqué, Oracle insiste sur ses performances en matière de ventes de nouvelles licences d'applications : 350 M$ de chiffre d'affaires au cours du trimestre échu, une progression de 52% par rapport au dernier trimestre de l'exercice précédent. Globalement, les nouvelles licences logicielles ont rapporté 1,6 Md$ à Oracle au cours du trimestre (+23%), contre 1,5 Md$ pour les renouvellements et le support (+26%). L'activité services d'Oracle a, quant à elle, progressé de 35%, à 755 M$.
Pour l'ensemble de l'exercice clos le 31 mai, le chiffre d'affaires d'Oracle s'établit à 11,8 Md$ (+16%), pour un bénéfice net de 2,9 Md$ (+8%). (...)

(30/06/2005 18:06:01)

France Télécom présente ses services de convergence

France Télécom vient de dévoiler sa stratégie Next (Nouvelle expérience de télécommunication). Celle-ci s'appuie essentiellement sur le lancement d'une myriade de nouveaux services tirant profit de la convergence entre téléphonie IP, mobile et services Internet. Avec Next, France Télécom veut profiter de sa position d'opérateur intégré pour lutter contre la concurrence.

Avec Next, France Télécom promet «une nouvelle expérience des télécommunications», aux particuliers comme aux entreprises. Cette «nouvelle expérience» repose sur de nouveaux services convergents associant téléphonie sur IP, mobile et accès à Internet. Concrètement, les clients de l'opérateur historique pourront, au sein d'un même foyer, communiquer sans limites entre postes fixes et mobiles avec Family Talk. Ils bénéficieront, en outre, d'un logiciel tel que Skype pour communiquer avec les ordinateurs, les terminaux fixes ou mobiles et visiophones grâce à Livecom. Le service Livephone offrira aux détenteurs de mobiles d'être informés des nouveaux courriels, de modifier leur carnet d'adresses Wanadoo et d'accéder à des services encore non précisés. Le service Mobile & Connected associera, quant à lui, mobile et ADSL au sein d'un même forfait. Enfin, dans un communiqué, France Télécom évoque des offres mariant photo, musique, webcam et divers services pratiques Internet.
Les projets de l'opérateur pour les entreprises sont plus flous. Laconique, le communiqué de France Télécom se contente d'annoncer une nouvelle mouture de Business Everywhere Multimedia, qui devrait faciliter les communications, quels que soient le lieu ou le type de terminal. Next est promis aux particuliers entre 2005 et 2006, le calendrier de déploiement des services aux entreprises s'étalant quant à lui jusqu'en 2008.

Parallèlement, France Télécom a fait un nouveau pas pour imposer Orange comme marque unique internationale du groupe : il n'y a que sur les marchés où il est opérateur historique (France, Pologne…) que France Télécom devrait conserver sa marque d'origine.

France Télécom vise deux millions de clients à la téléphonie IP, douze millions de lignes à haut débit fixes et le même nombre en haut débit mobile en 2008. A cette date, l'opérateur entend réaliser entre 5 et 10% de son chiffre d'affaires avec des offres convergentes.

Globalement, avec Next, France Télécom paraît anticiper une accélération du déclin de la téléphonie fixe classique. Le couple mobile-ADSL pourrait dominer et conférer à France Télécom un avantage décisif sur certains de ses concurrents absents, pour l'heure, d'au moins l'un des marchés visés.

France Télécom signe avec Microsoft
France Télécom et Microsoft ont annoncé la signature d'un d'accord de partenariat portant sur le développement conjoint de produits et services multimédias. L'objectif est de fournir aux utilisateurs finaux des services interactifs sur des terminaux de plus en plus intelligents et interconnectés et de véritables produits et services de convergence entre le fixe et le mobile. L'alliance devrait être officialisée par une conférence de presse avec Steve Ballmer, le 6 juillet prochain.

Il est à noter que l'alliance avec Microsoft reste à prendre avec les précautions d'usage. Tout d'abord, Microsoft reste très largement absent du SI de France Télécom et donc de la couche de livraison de services. Ensuite, comme l'explique, moqueur, un équipementier, France Télécom doit prouver à ses actionnaires qu'il investit dans l'innovation et pas seulement dans les réductions de coûts. D'où la multiplication des partenariats «stratégiques» avec Microsoft, Nokia, Ericsson, Nortel, Siemens, Alcatel… (...)

(30/06/2005 18:14:06)

Résultats trimestriels : Palm s'en sort en vendant ses bijoux, RIM en vendant ses produits

Palm Source, l'éditeur du système Palm OS, a clos son quatrième trimestre fiscal sur un chiffre d'affaires de 17,3 M$, contre 17,7 M$ pour la même période de 2004. Le bénéfice net est un trompe-l'½il : s'il affiche 18,3 M$, contre une perte de 2,9 M$ un an auparavant, c'est uniquement grâce à la vente de la marque Palm à Palm One pour 26,7 M$. Sans les fruits de cette cession, et divers frais de restructuration, Palm Source affiche une dette de 700 000 $.

Du côté de Research in Motion (RIM), les résultats satisfaisants sont le fruit de la bonne tenue des ventes du produit vedette, le Blackberry. Le chiffre d'affaires progresse de 68% en un an à 453,9 M$. Le bénéfice net atteint 132,5 M$ et bondit de 140%. RIM a rebondi sur ces bons chiffres en réévaluant à la hausse ses prévisions pour les prochains trimestres. (...)

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