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(30/06/2005 18:16:01)

La Norvège séduite par l'Open Source

Emboîtant le pas de la France et de l'Allemagne, le gouvernement norvégien pourrait basculer vers l'Open Source, pour équiper son système d'information.
Pour lui, «les formats propriétaires n'ont plus leur place dans les échanges entre citoyens et gouvernement».
Une annonce qui intervient en pleine restructuration du système d'information public en Norvège, dont une des priorités est l'hébergement d'un espace Web sécurisé par citoyen pour communiquer avec le gouvernement.

Le ministre norvégien pour la Modernisation, Morton Andreas Meyer, a, dans la foulée, encouragé les pays nordiques à mettre en place une politique de migration Open Source d'ici à la fin 2006. (...)

(29/06/2005 17:48:34)

Novell dévoile la bêta publique de Groupwise 7

GroupWise, la plate-forme de messagerie et de travail collaboratif de Novell, est disponible en bêta publique, et la société espère commencer la livraison de la version finale d'ici à la fin de l'été. La nouvelle mouture du logiciel apporte des améliorations aux fonctions d'e-mail, de messagerie instantanée ainsi qu'un support OS plus large. Elle est livrée par défaut avec une copie de Novell's Linux, SuSE Enterprise Server.

Une des améliorations très intéressantes est l'intégration entre l'e-mail et la messagerie instantanée, une fonction inaugurée par Notes, qui permet de voir si l'expéditeur d'un e-mail est disponible ou non pour l'IM. Une nouvelle page d'accueil permet aussi d'accéder plus simplement aux différents outils et informations pertinentes (agenda, projets, derniers messages reçus…).

GroupWise 7 supporte désormais Netware, Windows et Linux, pour les plates-formes serveurs, ainsi que Windows, Linux et Mac OS X pour les plates-formes clientes. La synchronisation avec les PocketPC et Palm est intégrée aux différents clients.

A la différence de Domino, Groupwise ne peut toujours pas se substituer à Exchange pour les clients accoutumés à Outlook. Suse fournissait autrefois cette possibilité avec Suse Openexchange – une alternative libre à Exchange –, mais le support du logiciel a été abandonné par Novell. Pour GroupWise 7, Novell fournit un outil de migration depuis Exchange et permet au client Groupwise d'accéder aux fichiers Outlook, ce qui est mieux que rien…

A l'occasion du lancement du logiciel, Novell devrait lancer une promotion permettant de migrer de Notes ou d'Outlook vers GroupWise pour 49 $ par poste (prix incluant deux ans de maintenance), soit 70% de remise sur le tarif habituel. (...)

(29/06/2005 17:53:10)

Opérateurs télécoms : mouvement de concentration aux Pays-Bas

L'opérateur télécoms historique néerlandais KPN vient de mettre la main sur le fournisseur de communications mobiles Telfort BV.

Au terme de la transaction, qui doit encore être approuvée par l'autorité hollandaise de la concurrence, KPN versera 980 M¤ à son ex-concurrent, et 140 M¤ supplémentaires en fonction de la réalisation de certains objectifs. Les 2,4 millions de clients de l'opérateur mobile, numéro trois sur la scène néerlandaise, viendront grossir les rangs des 17,7 millions d'abonnés à KPN, lequel affirme viser 40% de parts de marché.

Sur le dernier exercice fiscal, Telfort a réalisé un chiffre d'affaires de 509 M¤, en progression de 20% par rapport à l'année précédente, et un résultat net de 167 M¤ en hausse de 454%. De son côté, KPN a généré 11,6 Md¤ de revenus, pour un résultat net atteignant 1,75 Md¤. (...)

(29/06/2005 17:52:16)

L'ancien PDG de Worldcom risque la prison à vie

Les procureurs fédéraux en charge du procès de Bernard Ebbers, l'ancien PDG de l'opérateur Worldcom, ont requis une peine de quatre-vingt-cinq ans d'emprisonnement.

Ebbers, soixante-trois ans, pourrait ainsi terminer sa vie derrière les barreaux en répression de la fraude massive qu'il a organisée pendant son mandat de PDG et dont il a été reconnu coupable en mars. La fraude, la plus importante dans l'histoire des Etats-Unis, portait sur onze milliards de dollars, et avait conduit à la banqueroute de l'opérateur en 2002. Il est également poursuivi pour association de malfaiteurs et production de faux.

Les avocats d'Ebbers ont requis la clémence du juge et une sanction moindre que les quatre-vingt-cinq années de prison, soulignant l'âge et les problèmes cardiaques de leur client. Des arguments balayés par le parquet qui s'est empressé de rappeler au bon souvenir du juge Barbara Jones la récente condamnation à quinze ans de prison de l'octogénaire John Rigas, le fondateur d'Adelphia Communications, lui aussi reconnu coupable de fraude et incarcéré en dépit d'une santé vacillante.

Ebbers sera fixé sur son sort le 13 juillet. (...)

(29/06/2005 17:50:04)

Windows 2000 : dernier correctif avant la fin du support

Microsoft vient de publier le dernier correctif pour Windows 2000 avant la fin officielle du support de l'OS prévue pour le 30 juin. A compter de cette date, seuls des correctifs de sécurité seront produits par l'éditeur pour le vieil OS.

Le correctif, qui pèse environ 32 Mo, incorpore les 446 mises à jour et patches de sécurités publiés par Microsoft pour son OS depuis le lancement du Service Pack 4 en 2003. Son objectif est de corriger les principales failles et défaut de Windows 2000 pour les clients entreprises qui ont l'intention de maintenir cette plate-forme. Une récente enquête d'AssetMetrix Research Labs estime que 48% des PC en entreprise utilisent encore Windows 2000.

L'update est disponible sur le site Web de Microsoft ou à travers le service Windows Update. (...)

(29/06/2005 18:07:47)

JavaOne 2005 : Sun acquiert l'éditeur de plates-formes d'intégration Seebeyond

A l'occasion de la conférence JavaOne, Sun Microsystems a annoncé l'acquisition de Seebeyond, éditeur spécialisé dans l'intégration d'applications (EAI). Le montant de la transaction avoisine 387 millions de dollars, une opération nettement plus modeste que le rachat, en début de mois, des technologies de stockage de StorageTek pour 4,1 milliards de dollars.
Avec cette acquisition, l'attention de Sun se focalise cette fois sur les architectures orientées services (SOA). Emboîtant le pas à BEA et Oracle, qui ont récemment présenté leurs solutions pour ces architectures, l'éditeur complète son offre de middlewares par des produits d'intégration.
Seebeyond dispose notamment dans sa plate-forme Ican d'outils de gestion des processus métier (BPM), de workflow ou de pilotage de l'activité métier (BAM). De son côté, Sun possède toute une gamme de solutions middlewares reposant sur Java, parmi lesquelles des outils pour gérer les identités et administrer les services Web : annuaires Uddi (Universal Description, Discovery and Integration), référentiels de métadonnées, technologies pour améliorer les performances des applications utilisant XML…
L'offre de Seebeyond comporte relativement peu de redondances avec celle de l'acquéreur, à l'exception d'un bus de services d'entreprise (ESB) : Sun vient en effet d'annoncer, lors de JavaOne, un produit équivalent en Open Source. Selon Ashesh Badani, responsable marketing charge des solutions SOA chez Sun, le produit proposé par Sun repose sur la spécification JBI (Java Business Integration). Il fournira une infrastructure normalisée pour échanger les messages, sur laquelle d'autres produits et ESB plus spécialisés pourront venir se greffer. «Avec cette mise en ½uvre Open Source de JBI, nous souhaitons créer un écosystème de solutions pour l'intégration, similaire à celui qui existe autour d'Eclipse dans le domaine du développement», précise Ashesh Badani.
Alors que Seebeyond rejoint le giron de Sun, le nombre d'éditeurs d'EAI indépendants se réduit. WebMethods et Tibco sont désormais parmi les rares restants. (...)

(29/06/2005 17:45:36)

JavaOne 2005 : Sun veut mettre à jour le système d'archive JAR

Sun souhaite moderniser le système de packaging des applications Java, le format JAR (VA Archive) dans le cadre du Java Community Process (JCP). Le constructeur a récemment proposé le JSR 277, dont l'objectif est d'étudier des améliorations au format JAR, vieux de dix ans. Selon Onno Kluyt, le directeur du JCP, il ne s'agit pas d'une remise en cause des qualités du JAR, mais plutôt d'une adaptation à l'évolution de Java. «A une époque, Java était synonyme d'applet. Aujourd'hui, il est déployé au sein d'applications complexes et sur des systèmes qui vont jusqu'au téléphone mobile.» C'est cette variété d'usages qui incite Sun à étudier une alternative au JAR.

L'initiative a le soutien de Marc Fleury, le président et CEO of JBoss, qui estime qu'il est «encore trop compliqué de packager des composants avec Java». Pour Fleury, le déploiement d'applications Java doit prendre en compte la nécessité de packager des classes et des métadonnées. La spécification JSR277, une fois finalisée, devrait être intégrée à Java 2 Standard Edition 7.0, attendu en 2008. En attendant, un brouillon de la spécification est attendu au premier semestre 2006. Parmi les partisans de JSR 277 figurent, outre Sun et JBoss, des sociétés comme BEA, Intel et Fujitsu. (...)

(29/06/2005 17:46:37)

JavaOne 2005 : mises à jour chez Eclipse et BEA

BEA Systems et la fondation Eclipse ont profité de JavaOne pour faire le point sur leurs dernières initiatives Open Source, mais aussi sur leurs travaux en matière de machines virtuelles Java.

Selon Mark Carges, son CTO, BEA s'apprête ainsi à lancer des versions de sa JVM JRockit sur de nouvelles plates-formes, dont les plates-formes Sparc Solaris de Sun, mais aussi PowerPC /AIX d'IBM et Itanium/HP-UX d'HP. La mouture Sparc-Solaris est attendue pour la fin de l'année 2005 et les versions AIX et HP-UX pour le début 2006. JRockit est téléchargeable gratuitement, mais BEA espère amortir son coût de développement en vendant des outils de diagnostics comme des détecteurs de fuite de mémoire au-dessus de sa plate-forme WebLogic. BEA espère aussi que JRockit sera intégré, à terme, au-dessus d'un hyperviseur tel que Xen (projet Bare Metal) pour servir de plate-forme à un serveur d'applications tel que WebLogic. Une plate-forme aussi «dépouillée» permettrait d'offrir des performances bien supérieures à celles disponibles actuellement.

A JavaOne, BEA a aussi annoncé Arc2Arc, un programme permettant aux architectes techniques de partager leurs expertises et des cas afin de mieux répondre aux besoins fonctionnels des utilisateurs. Cette annonce s'accompagne du lancement d'une version améliorée du site dev2dev destiné aux développeurs.


Eclipse, de son côté, a comme prévu annoncé le lancement de sa plate-forme Eclipse Platform 3.1. Dans le mois qui vient, ce lancement devrait être complété par l'arrivée des autres projets Eclipse (Business Intelligence et outils de reporting, outils Web Tools, outils de test et d'analyse de performances, Editeur graphique, AspectJ, framework de modélisation…). La fondation a, par ailleurs, annoncé la disponibilité de la version 3.1 de sa plate-forme pour la création d'applications clientes riches, qui sert notamment de base au client WorkPlace d'IBM. (...)

(29/06/2005 17:51:21)

Sun intègre l'API Snap de Nokia au Java Wireless Toolkit 2.3

Sun va intégrer l'API Scalable Network Application Package (Snap) de Nokia dans la version 2.3 de son toolkit Java pour téléphones mobiles. L'objectif des deux constructeurs est de faciliter le développement de jeux Java en réseau pour les téléphones mobiles. L'API Snap fournit des composants essentiels pour le développement de jeux massivement multijoueurs comme des outils de chat, de présence, ainsi que des fonctions de classement, de mise en relation…
L'annonce fait suite à un renforcement de la collaboration entre les deux sociétés qui devrait amener Nokia à intégrer la technologie CDC (Connected Device Configuration) dans son implémentation Java sur plate-forme Series 60, en lieu et place de l'actuel CLDC (Connected Limited Device Configuration), plus limité. CDC apporte notamment le support de l'accélération 3D et une meilleure gestion de l'affichage, ainsi que la possibilité pour les applications Java de gérer certaines fonctions voix comme la prise des appels, la mise en attente, le renvoi d'appel… (...)

(28/06/2005 17:33:10)

Antitrust : AMD attaque Intel pour abus de position dominante

La guerre feutrée que se livrait jusqu'alors AMD et Intel devrait prendre, dans les prochains mois, un tour plus public. Ce mardi matin, AMD a en effet pris le risque de donner un coup de pied dans la fourmilière de l'industrie du PC en lançant des poursuites antitrust contre Intel pour abus de position dominante. Ces poursuites font suite à la récente décision de la Fair Trade Commission japonaise (JFTC) de condamner Intel pour abus de position dominante et à l'enquête ouverte sur le sujet par la Commission européenne. Selon la JFTC, Intel a abusé de sa position dominante pour nuire à la concurrence sur le marché des microprocesseurs en liant notamment le versement de considérables fonds de comarketing à l'achat de ses processeurs.

Dans son argumentaire déposé auprès de la cour du district du Delaware, AMD cite trente-huit constructeurs et distributeurs sur trois continents qui ont été victimes des pratiques d'Intel. Parmi eux figure le gratin des constructeurs informatiques, dont Dell, Gateway, HP, IBM, NEC, Fujitsu, Sony et Toshiba.


Ce n'est pas la première fois qu'Intel doit faire face à des accusations antitrust. En 1998, la firme a fait l'objet d'une enquête de la Federal Trade Commission (FTC). Cette dernière l'accusait d'abuser de sa position dominante pour contraindre certains clients à lui céder des brevets et secrets commerciaux. Selon la FTC, Intel avait menacé Digital Equipment, Compaq et Intergraph de ne pas leur communiquer des informations essentielles sur ses processeurs s'ils n'acceptaient pas de signer un accord abandonnant tout recours juridique pour violation de brevet contre Intel. La FTC avait conclu, en 1999, que de telles pratiques étaient illégales lorsque menées par une compagnie aussi puissante sur son marché qu'Intel, et la firme avait dû revoir ses contrats.

L'attaque lancée aujourd'hui par AMD est plus large et cherche à mettre en lumière les pressions auxquelles Intel soumet l'industrie informatique pour maintenir ses ventes. Selon AMD, Intel aurait négocié l'exclusivité avec Dell, Sony, Toshiba, Gateway et Hitachi en échange de versement de cash, d'avantages tarifaires et de subventions marketing. Comme l'a confirmé l'enquête de la JFTC, Intel a effectivement payé Dell et Toshiba pour ne pas traiter avec AMD. Intel aurait aussi versé des millions de dollars à Sony pour l'exclusivité, fermant ainsi la porte à AMD, qui a vu sa part de marché chez Sony passer de 23 à 0% en moins de dix-huit mois. Intel aurait de même versé plusieurs millions de dollars à NEC pour s'assurer qu'au moins 90% de ses PC utilisent des puces Intel.

En 2002, lorsque HP a commencé à utiliser les puces d'AMD dans ses lignes professionnelles Evo, HP a demandé à AMD un fond de 25 M$ pour compenser les représailles financières d'Intel. AMD a refusé, mais a proposé en échange à HP de ne pas payer le premier million de processeurs acheté. Lorsque HP a officiellement dévoilé la gamme Evo, Intel a expliqué à HP que cela constituait un «événement de niveau 10 sur l'échelle de Richter» et a fait pression sur HP. Selon AMD, le constructeur n'a finalement accepté que cent soixante mille des processeurs gratuits. En 2004, Intel aurait aussi tenté de faire pression sur HP en refusant de lui verser le rabais prévu au dernier trimestre, lorsque le constructeur a adopté les nouvelles puces d'AMD dans ses portables. Depuis, le rattrapage de cette somme serait conditionné à un quota de 90% des PC grand public à base de puce Intel.

AMD cite aussi le cas d'Acer, qui devait à l'origine participer au lancement de l'Athlon 64. En septembre 2003, Craig Barrett, l'ancien CEO d'Intel, s'est déplacé à Taiwan pour rendre visite à Stan Shih, le président d'Acer, et le menacer de «conséquences graves» si Acer participait au lancement de la nouvelle puce d'AMD. La visite a fait son effet, et Acer s'est retiré du lancement, retardant la disponibilité de ses machines. Comme l'a expliqué plus tard le président d'Acer, J.T. Wang, «il n'y avait rien d'inhabituel aux menaces d'Intel, sauf que, d'habitude, elles provenaient de managers de moins haut rang et pas du CEO de la société…»

Les pressions d'Intel n'affecteraient toutefois pas seulement les constructeurs. Aux Etats-Unis, Intel rémunérerait aussi les grands revendeurs comme Best Buy ou Circuit City, en échange de la mise en place de quotas de PC Intel dans les rayons. En Europe, il ferait de même avec Media Markt, un revendeur qui représente 35% des ventes de détail en Allemagne. Media Markt toucherait ainsi entre 15 et 20 M$ par an pour ne pas mettre de PC à base de puce AMD dans ses rayons. Office Depot aurait de même refusé d'accepter des machines AMD dans ses rayons, malgré des propositions financières d'AMD, en citant les risques de représailles d'Intel.

Cette litanie d'accusations ne surprendra pas ceux qui suivent régulièrement l'industrie du PC. Ce n'est un secret pour personne, les fonds marketing d'Intel (plus de 2 Md$) servent largement à assurer la fidélité des clients, face aux maigres 150 M$ de budget que peut aligner AMD.
Avec les poursuites qui s'engagent, ce sont l'ensemble des vilains secrets de la profession que l'on pourrait voir étalés sur la place publique. A tel point que l'on peut se demander si AMD a pris le risque de cette attaque seul, ou si sa démarche n'a pas le soutien intéressé de quelques constructeurs lassés des pressions d'Intel. A suivre… (...)

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