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(07/01/2005 18:25:26)

Nortel prévoit un CA de 2,8 Md$ pour le 4e trimestre 2004

Le chiffre d'affaires de Nortel Networks devrait s'inscrire dans la fourchette basse indiquée à l'origine par l'équipementier. Nortel, qui avait déclaré espérer un CA compris entre 2,8 et 2,9 Md$, a fait savoir jeudi que son CA pour la période devrait s'établir aux environs de 2,8 Md$. Dans son annonce, Nortel a confirmé qu'il entend déposer ses résultats révisés et vérifiés pour l'exercice 2003 lundi 10 janvier mais a reporté la parution des résultats officiels des deux premiers trimestres 2004 à la fin du mois. Nortel est engagé dans une révision complète de ses comptes depuis 2001 et n'indique pour l'instant que des résultats non audités. (...)

(07/01/2005 18:28:43)

UFC-Que Choisir et Hervé Gaymard s'opposent sur la hausse de l'abonnement téléphonique

Dans un communiqué, l'UFC-Que Choisir dénonce sans ambages l'augmentation du prix de l'abonnement téléphonique réclamée par France Télécom, jugeant que « l'abonnement ne doit pas devenir "la vache à lait" de France Télécom. » Selon l'association, cette augmentation, de 30 % sur 3 ans, « n'a pas de justification économique » et « serait non équitable ». L'UFC-Que Choisir estime ainsi que « le prix de l'abonnement doit être calculé en fonction des coûts d'entretien du réseau » et que « l'entreprise ne peut pas justifier une telle hausse par une augmentation proportionnelle des dépenses engagées ». Plus loin, l'association souligne que « cette hausse, qui s'appliquera naturellement à tous les abonnés, serait particulièrement injuste pour les consommateurs qui ne profitent pas de toutes les potentialités du réseau », faisant notamment référence aux zones non-dégroupées ou non-couvertes par le haut débit.
L'UFC-Que Choisir demande au ministre délégué à l'Industrie et à l'Autorité de régulation des télécoms (ART) de refuser une hausse de l'abonnement téléphonique supérieure à l'inflation. L'association s'oppose ainsi à Hervé Gaymard, ministre de l'Economie et des Finances, pour qui il « faut dépolitiser » la fixation des tarifs des services publics et selon lequel la demande de France Télécom est légitime.
Dans un entretien sur l'antenne de RMC, Hervé Gaymard a indiqué que lui-même et Patrick Devedjian, ministre délégué à l'Industrie, préciseraient leurs « projets en la matière dans les semaines qui viennent ». (...)

(05/01/2005 18:42:20)

Microsoft devrait dévoiler une bêta de son antispyware le 6 janvier

Selon un mémo interne de Microsoft publié par le site Web Neowin, l'éditeur devrait dévoiler la première bêta de son logiciel antispyware jeudi 6 janvier 2005.

En décembre, Microsoft a racheté Giant, un éditeur spécialisé dans la lutte contre les programmes espions, et a annoncé le développement de son propre logiciel antispyware. Ce dernier devrait embarquer des fonctions de détection et de protection en temps réel du système et de ses applications, afin d'empêcher l'installation et le fonctionnement de logiciels espions. (...)

(05/01/2005 18:40:30)

Microsoft abandonne le développement de Windows XP pour Itanium 2

Microsoft vient de mettre un terme à ses projets de portage de Windows XP sur plate-forme Itanium 2. Cette démarche met un terme aux espoirs d'Intel de voir un jour sa plate-forme conquérir le marché des stations de travail.
Le géant de Redmond explique ce choix par son intention de concentrer ses efforts sur le développement de Windows XP pour les stations de travail embarquant des processeurs 32 bit à jeu d'instructions étendu 64 bit, tels que les processeurs Opteron 64 bit d'AMD.

Intel a lancé sa plate-forme Itanium il y a maintenant plus de sept ans dans l'espoir de remplacer progressivement l'architecture IA-32 en construisant son avenir autour du 64 bit. Initialement, le fondeur, voyait son architecture Itanium - dont le premier-né fut le Merced - dans toute l'informatique personnelle et professionnelle. Et ainsi de la présenter en mars 2000 lors d'une conférence de développeurs de jeux vidéos. En juillet de la même année, Dennis Goo, directeur des solutions pour médias numériques d'Intel, vantait les mérites de la plate-forme pour les producteurs de contenus multimédias numériques. Pour déchanter rapidement.

Un an plus tard, à l'Intel Developer Forum 2001 de San Jose, Intel se limitait déjà à souligner la fiabilité de sa plate-forme pour les serveurs, poussant le Pentium 4, les Xeon et l'Hyper-Threading pour le poste de travail. En 2002, lors du lancement de l'Itanium 2, le fondeur insistait sur la dimension "marque de choix" du processeur pour "des serveurs et des stations de travail haut de gamme" tout en estimant que sa plate-forme deviendrait la référence "dans les centres de calcul de haut niveau".

Pragmatique, Dell avait déjà décidé d'abandonner la production de stations de travail Itanium en février 2002. Il aura fallu deux ans et demi de plus à HP pour lui emboîter le pas. L'abandon de Windows XP sonne le glas de tout espoir de retour de l'Itanium sur ce marché et la consécration de la stratégie d'AMD avec son jeu d'instruction x86 étendu AMD64. Ironie, cette consécration est telle qu'Intel a dû manger son chapeau et accepter de cloner dans ses Xeon, les extensions 64 bit imaginées par son concurrent. Seule consolation, Intel reste largement leader du marché des processeurs 64 bit, mais avec une technologie qu'il n'a pas inventé... (...)

(05/01/2005 18:45:08)

Lancement du « nouvel » Oracle le 18 janvier

Oracle prévoit de dévoiler officiellement sa nouvelle organisation le 18 janvier prochain. Au cours d'une conférence de présentation - baptisée Oracle-PeopleSoft, Better Together (littéralement « mieux ensemble ») -, les dirigeants d'Oracle présenteront leur stratégie pour la nouvelle entité et répondront aux questions de clients. Cette présentation sera suivie par une série de présentations locales.
Pour autant, le feuilleton de le fusion, que l'on pouvait penser terminé, se poursuit discrètement. Conformément aux lois américaines sur les fusions, Oracle doit obtenir 90 % du capital de PeopleSoft. La semaine dernière, il n'en détenait que 75 %. L'éditeur estime pouvoir en obtenir 89,4 % d'ici la fin de sa dernière offre d'achat. Du coup, il a décidé de prolonger celle-ci de deux jours, jusqu'à jeudi soir 20 heures, heure de la côte est des Etats-Unis. A défaut d'obtenir 90 % du capital de son concurrent, Oracle devra attendre le vote des actionnaires de PeopleSoft pour prononcer la fusion, une simple formalité, qui pourrait toutefois repousser la fusion officielle de quatre à six semaines. (...)

(05/01/2005 18:36:17)

Apple met à jour ses serveurs XServe G5 et lance Xsan, son système de fichiers pour SAN

Apple a annoncé hier la mise à jour de son serveur phare, le XServe G5, avec des processeurs à 2,5 GHz contre 2 GHz jusqu'alors. L'annonce n'est en fait pas une surprise. D'une part, IBM propose déjà depuis quelques temps des serveurs à base de PowerPC 970 à 2,3 GHz (le G5 chez Apple). D'autre part, Apple lui-même a déjà fourni en fin d'année des XServe G5 à 2,3 GHz à quelques clients triés sur le volet.

L'un d'entre eux, l'Université de Virgine a assemblé le cluster System X, réunissant 1100 XServe G5 à 2,3 GHz pour une puissance de 12,5 Tflops. Il semble en fait qu'Apple a préféré être prudent et a choisi d'attendre la disponibilité en volume de la puce G5 à 2,3 GHz chez IBM Micro-electronics avant de l'intégrer à ses serveurs.

Xsan : Apple démocratise les systèmes de fichier SAN

L'annonce du XServe G5 a été complétée par celle du lancement de Xsan, un système de gestion de fichiers réseau en cluster concurrent de ceux de Silicon Graphics (CxFS), de Veritas (Storage Foundation Cluster File System) ou d'IBM (SAN File System). Xsan est en fait l'implémentation par Apple sur Mac OS X de la technologie StorNext FS d'ADIC, un système de gestion de fichiers réseau journalisé implémentant des fonctions avancées comme le multipathing, la réservation de bande passante, le verrouillage de fichiers... L'objectif de la firme à la pomme est bien sûr de fournir une solution SAN performante pour sa base installée dans le monde de la vidéo et des médias, mais aussi de séduire de nouveaux clients. Pour cela, Xsan joue la carte de l'économie : son prix de 999 ¤ par serveur est en effet sensiblement inférieur à ceux pratiqués par la concurrence.

Concrètement, Xsan permet à un maximum de 64 systèmes de partager un même espace de stockage sur le réseau SAN et de l'utiliser comme s'il était une ressource locale. Il est possible de créer des volumes virtuels assemblés à partir de plusieurs ressources disques situées sur des baies différentes. D'autres fonctions intéressantes sont possibles comme la mise en place de règles de qualité de service (les données rapides vont sur des disques à haute performance tandis que les plus critiques sont stockées sur les jeux RAID les mieux protégés). Un inventaire complet des fonctions de Xsan est consultable sur le site Xsan d'Apple.

Notons enfin pour terminer que la firme à la pomme a remis ses prix un peu plus en ligne avec le cours du dollar. Résultat une baisse généralisée d'environ 10 % du prix de ses machines. En attendant les éventuelles annonces de nouveaux Mac la semaine prochaine lors de Macworld Expo à San Francisco. (...)

(05/01/2005 18:30:11)

UGS achète Tecnomatix pour contrer Dassault Systèmes

L'éditeur de logiciels de CAO et de PLM UGS vient d'annoncer le rachat de Tecnomatix, éditeur de logiciels d'usine numérique (MPM, manufacturing process management) pour un montant de 228 millions de dollars. Une fusion logique et peu surprenante, puisque les deux sociétés, dont les produits sont complémentaires, s'étaient rapprochées il y a deux ans pour proposer une offre commerciale unique. Avec l'intégration de Tecnomatix et de sa gamme eMPower, UGS peut proposer une palette complète de logiciels dans les domaines de la création et de la simulation de produits et de chaînes de fabrication et de la gestion du cycle de vie du produit. Le numéro « un bis » du marché pourra ainsi mieux contrer l'offre de son alter ego Dassault Systèmes, qui dispose du produit Delmia face à eMPower.
UGS avait été vendu par EDS en mars 2004 à un groupe d'investisseurs et a réalisé environ 900 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2003. Dassault Systèmes a quant à lui réalisé un chiffre d'affaires de 755 millions d'euros en 2003 (soit environ 1 milliard de dollars au cours actuel), mais la plupart des produits sont distribués par IBM, ce qui minimise le chiffre d'affaires de Dassault Systèmes par rapport à UGS. De son côté, Tecnomatix a réalisé en 2003 un chiffre d'affaires de 86 millions de dollars et subi une perte de 10 millions de dollars. Le chiffre d'affaires de 2004 devrait être en progression de 15 à 20 %, pour un résultat proche de l'équilibre. Tecnomatix compte environ cinq mille clients, dont presque tous les grands constructeurs d'automobiles, d'avions et d'électronique. (...)

(05/01/2005 18:52:06)

L'ART établit à 125 M¤ le coût du "service public du téléphone"

L'Autorité de régulation des télécoms (ART) a achevé ses travaux pour le calcul de la contribution des opérateurs au service universel pour l'année 2002. Selon l'ART, le coût de ce que l'on appelle couramment le "service public du téléphone" - en fait la garantie de fourniture d'un service téléphonique de qualité à un prix abordable, la fourniture d'un service de renseignements et d'annuaire, et la mise à disposition de cabines téléphoniques sur l'ensemble du territoire - est de 125 M¤, soit un peu moins qu'en 2000 et 2001 (respectivement 142,1 et 128,7 M¤).

Ce coût sera désormais réparti entre les opérateurs fixes, mobiles et Internet au prorata de leur chiffre d'affaires. Il est à noter que France Télécom est le seul candidat à sa succession pour la fourniture du service universel. L'opérateur historique est en effet le seul à avoir répondu à l'appel d'offres du ministère de l'Industrie. A ce jour le ministère n'a toutefois pas désigné France Télécom comme étant en charge du service universel. Des discussions tendues sont en effet en cours au sujet du prix futur de l'abonnement téléphonique, un prix qui est encore soumis à l'approbation du ministère. (...)

(04/01/2005 18:28:35)

Oracle fait le ménage à la tête de PeopleSoft

"Après une bataille perdue, la différence du vaincu au vainqueur est peu de chose" écrivait Napoléon. Tel n'est peut-être pas l'avis des dirigeants de PeopleSoft qui continuent à prendre la porte après le rachat de la société par Oracle.

La semaine passée, à la veille du nouvel an, le géant des bases de données a démis de leurs fonctions les deux coprésidents de PeopleSoft, Philip Welmington et Kevin Parker (par ailleurs directeur financier), pour les remplacer par Safra Catz et Charles Phillips, tous deux coprésidents d'Oracle. Harry You, le directeur financier d'Oracle a quant à lui été nommé directeur financier de PeopleSoft.

Catz, Phillips, You, ainsi que le secrétaire général d'Oracle, Daniel Cooperman, ont aussi été nommés au conseil d'administration de PeopleSoft en remplacement de Aneel Bhusri, Frank Fanzilli, Michael Maples et Cyril Yansouni, tous démissionnaires. Cette réorganisation éclair fait suite au départ la semaine précédente de David Duffield, le fondateur et CEO de PeopleSoft. (...)

(04/01/2005 18:56:57)

Neuf Télécom serait candidat au rachat de Tiscali France

La saga Tiscali France a repris de plus belle aujourd'hui. La maison du fournisseur d'accès internet italien a en effet confirmé qu'elle a bien reçu plusieurs propositions pour le rachat de sa filiale française.

Lourdement endetté, Tiscali doit faire face à des échéances de remboursement importantes au mois de juillet prochain. Il doit en effet rembourser pour 250 M¤ d'obligations alors qu'il ne dispose aujourd'hui que de 57,6 M¤ de trésorerie. La vente d'une ou plusieurs filiales pourrait lui permettre de faire face à ses échéances.

Selon nos confrères du "Figaro", Tiscali aurait mandaté la banque Rotschild pour mettre en vente sa filiale française. Mais le FAI dément en affirmant qu'il souhaite rester en France. Parmi les prétendants figureraient notamment Deutsche Telekom et les Français Iliad (Free) et Neuf Télécom. Ce dernier aurait déposé une offre de rachat le 27 décembre dernier, selon notre confrère "La Tribune". (...)

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