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(24/08/2011 17:25:02)
Apple obtient l'interdiction de la vente de trois smartphones Samsung en Europe
Cette décision doit prendre effet à la mi-octobre selon le blog FOSS Patents qui publie l'injonction. L'interdiction a été motivée par la prétendue violation d'un brevet Apple touchant la manipulation des photos (numéro EP 2059868), deux autres brevets étaient examinés, mais la justice batave ne les a pas retenu. L'injonction s'étendra par conséquent à tous les pays européens dans lesquels ce brevet est valide. Selon le blog de Florian Mueller, spécialiste des brevets, Apple n'a pas fait les efforts administratifs d'enregistrements de ses brevets dans certains pays européens et ne seront par conséquent pas concernés par l'injonction du tribunal de La Haye. Il s'agit de l'Autriche, la Belgique, la République Tchéque, la Grèce, l'Islande, l'Italie, les trois pays Baltes, le Portugal, la Roumanie, la Slovénie, la Slovaquie et l'Espagne.
Une saisine opportuniste
Cependant, Apple n'a pas saisi le tribunal hollandais par hasard. En effet, Samsung dispose d'une grande plateforme logistique pour la distribution des produits. Le jugement était attendu pour le 16 septembre prochain, mais il semble que la justice néerlandaise ait laissé un peu de temps à Samsung pour se retourner et s'adapter.
Apple pourrait lancer un iPhone 4/8 Go à prix réduit
Selon différentes sources, Apple serait sur le point de lancer une version moins coûteuse et à moindre capacité de l'iPhone 4 dans les prochaines semaines. L'agence de presse Reuters a en effet affirmé que ce smartphone de 8 Go était déjà en production en Asie. Apparemment, l'un des fabricants serait basé en Corée, mais il n'a cependant pas été cité par Reuters qui précise que Samsung se serait refusé à tout commentaire.
Selon Reuters, ce smartphone remplacera l'iPhone 3GS d'entrée de gamme, également équipé de 8 Go mémoire. Si l'agence pense que l'iPhone 4 8 Go sortira dans quelques semaines, il n'est pas certain qu'il soit lancé en même temps que l'iPhone 5. Certains estiment en effet, que les livraisons de ce produit commenceront en septembre, alors que d'autres considèrent qu'il faudra attendre octobre prochain.
L'iPhone 4 à 8 Go sera destiné à ceux qui souhaitent passer pour la première fois d'un téléphone classique à un smartphone. Un analyste cité par Reuters pense que son prix pourrait se situer aux alentours de 200 $ HT (soit 140 euros).
Illustration :l'IPhone 4 d'Apple. Crédit photo : D.R
(...)
Oracle VM 3.0 : des capacités de virtualisation multipliées par 4
Oracle a mis à jour son logiciel de virtualisation de serveur, lui conférant un meilleur contrôle des politiques de gestion et davantage de connecteurs pour les systèmes de stockage. La toute nouvelle version, déjà disponible, d'Oracle VM 3.0 comporte « des améliorations qui visent à rendre le produit plus évolutif sur le plan des performances et de la gestion, » a déclaré Adam Hawley, directeur senior product management pour Oracle VM. Au premier rang, ces améliorations concernent les contrôles des politiques de gestion, un meilleur support des solutions de stockage de tierce partie et la possibilité d'exécuter davantage de machines virtuelles par serveur.
Basé sur l'hyperviseur Open Source Xen, Oracle VM est le logiciel de virtualisation d'Oracle pour serveurs x86. Cette version est spécialement adaptée pour exécuter des logiciels Oracle. Son code découle directement de l'acquisition de Virtual Iron par Oracle en 2009. L'éditeur propose 90 modèles pour faire tourner d'autres logiciels Oracle entreprise sur Oracle VM, comme PeopleSoft en particulier. Les utilisateurs peuvent également déployer Oracle VM en tant que gestionnaire de virtualisation autonome basé sur Linux, pour servir d'alternative à d'autres produits, notamment vSphere de VMware. « La virtualisation n'est plus seulement un outil pour la consolidation des serveurs. C'est devenu un moyen de simplifier la gestion des applications, » a déclaré Monica Kumar, senior director du marketing pour la virtualisation chez Oracle.
Un framework pour mieux gérer le stockage
Désormais Oracle VM supporte jusqu'à 128 processeurs virtuels par serveur. La version 2.2 précédente ne pouvait faire tourner que 32 processeurs virtuels par serveur. À titre de comparaison, VMware a récemment livré la version 5 de vSphere, laquelle peut supporter 32 processeurs virtuels. Oracle VM et vSphere peuvent tous deux supporter jusqu'à 1 téraoctet de mémoire par machine virtuelle. « Les nouvelles fonctionnalités d'Oracle VM 3.0 en matière de politique de gestion vont permettre aux administrateurs de créer des scripts évènements capables de déclencher une action dans une condition donnée, » a expliqué Adam Hawley. Par exemple, les machines virtuelles peuvent être automatiquement déplacées d'un serveur à un autre lorsque l'utilisation de la CPU ou le trafic réseau ont atteint un seuil critique. Ou encore, les charges de travail peuvent être réparties sur un plus petit nombre de serveurs quand le trafic est moins important, de façon à économiser de l'énergie.
Dans cette version, Oracle apporte également un framework pour gérer les systèmes de stockage connectés entre eux, « qui devrait donner aux administrateurs des environnements virtualisés un plus grand contrôle sur les solutions de stockage back-end, » a ajouté le directeur senior. Ceux-ci « peuvent gérer les fonctionnalités de stockage directement depuis notre interface, ce qui leur évite d'utiliser de multiples outils, » a déclaré Adam Hawley.
Des plug-ins pour EMC, NettApp, Fujitsu...
Contrairement aux versions précédentes d'Oracle VM, lesquelles offraient seulement un accès de base aux systèmes de stockage, cette mouture permet d'accéder à des fonctionnalités avancées, comme le clonage de machine virtuelle ou les instantanés, pour enregistrer l'état d'une VM à un moment donné. Oracle propose en outre des plug-ins spécifiques aux solutions de stockage d'EMC, NetApp, Fujitsu, Hitachi, et pour ses propres solutions de stockage. Oracle VM, et le support associé, est gratuit pour les clients actuels de l'offre serveurs x86 d'Oracle.
(...)(24/08/2011 15:07:40)Développeurs, entreprises, ados : les ambitions de Google +
Pour les développeurs, Bradley Horowitz, le vice-président de Google +, lors d'un webcast avec Tim O'Reilly, PDG de O'Reilly Media, a indiqué qu'il n'existe pour l'instant pas de possibilité pour créer des applications sur Google +, mais prochainement et de manière progressive Google va publier des API pour eux. Le déploiement d'API et les outils de développement se fera selon Bradley Horowitz « avec une profonde préoccupation pour l'expérience utilisateur en s'assurant de la sécurité des applications pour éviter qu'elles cassent le système volontairement ou accidentellement ». Il souhaite circonscrire aussi les risques de spam. Les outils de développements doivent être performants mais encadrés, « dans une plate-forme qui est sociale par nature, vous devez travailler d'une manière disciplinée » reconnaît le dirigeant.
Fait intéressant, Bradley Horowitz est revenu sur OpenSocial, en disant que le projet n'était pas aussi réussi que ça aurait pu l'être, car il est intervenu à un moment où la société n'était pas « convaincante » sur les réseaux sociaux. Pour mémoire, OpenSocial était un ensemble d'API conçus pour que les développeurs ne réécrivent pas leurs applications pour les différents sites des réseaux sociaux. Il semble d'après les propos du dirigeant que les API pour Google + seront différentes de celles proposées par OpenSocial. Le responsable a souligné ne pas avoir de plan pour rendre Open Source le code de Google +, mais que le site assure la portabilité des données et se conforme aux standards ouverts.
Pseudos, Entreprises et mineurs
Il est revenu aussi sur les récents changements intervenus sur Facebook en matière de confidentialité, « ce qu'ils ont fait est bon pour les utilisateurs » et d'ajouter « c'est un autre impact de Google + où à partir d'une simple barre, on peut gérer les attentes et les normes en matière de vie privée ». De même, il a parlé de l'interdiction d'utiliser des pseudonymes sur le site de réseau social. « Je suis un utilisateur sous pseudonyme sur beaucoup de sites. J'apprécie la possibilité de surfer incognito » confie-t-il. Il n'y a « aucune opposition morale» sur la question des pseudonymes sur Google + et Google a entendu les arguments en leur faveur, mais le dirigeant précise « il n'y a rien à annoncer aujourd'hui et cela va décevoir des millions de personnes ».
Il confirme que ses équipes travaillent très durs pour proposer un site dédié aux demandes des entreprises qui souhaitent utiliser Google + au sein des Google Apps comme outil de collaboration et de communications. L'éditeur se penche aussi sur les aspects marketing des entreprises qui souhaitent communiquer sur leurs marques en fonction des profils.
Enfin Bradley Horowitz a également suggéré qu'à un moment donné il y aura une version de Google + pour les utilisateurs de moins de 18 ans. Il conclut en disant qu' « elle offrira une expérience utilisateur qui est appropriée pour eux, avec des limites sur ce qu'ils peuvent faire et avec qui ils peuvent interagir ».
Illustration : Bradley Horowitz, VP Product Google +
Crédit Photo: Google
(...)(24/08/2011 14:51:47)Les datacenters épargnés par le séisme de la côte Est des États-Unis
Le personnel de plusieurs centres de calcul aux États-Unis a été évacué suite au séisme de magnitude 5,8 dont l'épicentre se situait en Virginie, mais selon les messages postés sur Twitter et d'autres sources les installations informatiques n'ont pas été affectées. Un séisme d'une magnitude de 5,8 n'est pas particulièrement fort par rapport aux normes mondiales, mais ce fut suffisant pour secouer les immeubles et inciter les employés à sortir dans les rues à Boston, New York et Washington. C'est le plus grand tremblement de terre en Virginie depuis 1897, selon l'U.S. GS.
Amazon Web Services, qui exploite un grand centre de calculs en Virginie,
a déclaré ses services n'ont pas été touchés. « Tous les services d'AWS à l'Est des États-Unis région fonctionnent normalement à l'heure actuelle », a déclaré une porte-parole de la compagnie par courrier électronique.
Un méchant pic au moment du séisme
Un client d'AWS a juste signalé un léger ralentissement lors du chargement de pages. SeatGeek, un site de recherche de billets, a connu un « assez méchant » pic pour les temps de réponse de ses pages lors du séisme.
« Ici chez SeatGeek, nous étions ravis de discuter du tremblement de terre quand Mike, notre fidèle administrateur système, a réalisé que nos serveurs AWS étaient tous en Virginie, tout près de l'épicentre » a indiqué la compagnie dans un blog,
où il a affiché un graphique montrant le ralentissement.
«Première leçon suite à cet événement : Les tremblements de terre rendent les serveurs moroses et seconde leçon la surveillance en temps réel de l'activité des systèmes informatiques est impressionnante », a écrit la compagnie. Le pic a duré environ
deux minutes, selon SeatGeek.
Un test grandeur nature pour les fournisseurs de ressources
Beaucoup d'autres prestataires se sont précipités sur Twitter après le séisme pour
déclarer que leurs opérations n'avaient pas été touchées, y compris la branche Dynamics CRM Online de Microsoft. « Le séisme de la côte Est n'a pas affecté notre datacenter [en Amérique du Nord], CRM Online est comme d'habitude; surveillance étroite des répliques », a déclaré la division CRM de MS dans un message Twitter. « Le datacenter Razor n'a pas été touché par le séisme #. Tous les services sont actuellement normaux », a déclaré l'entreprise Razor spécialisée dans l'hébergement et dont le principal centre de calculs est à Philadelphie. « Je viens d'effectuer des tests dans nos datacenters - Tout est en place et fonctionne normalement, » a indiqué de son coté Contact Solutions dans un tweet. « Je suppose que nous pouvons dire que nous avons vécu un service antisismique ! »
Bluto's Hosting, Clook Internet, Paetec et Distributed Systems Service
ont également publié des rapports indiquant qu'aucune interruption de services n'était signalée. De grands opérateurs commerciaux comme Digital Realty Trust, QTS, SunGard et Terremark n'ont eu aucun problème, selon le site Datacenter Dynamics. Plusieurs salariés des centres de calculs ont simplement indiqué qu'ils avaient été évacués de leurs datacenters tandis que compagnies spécialisées ont sauté sur l'occasion pour promouvoir leurs solutions de reprise après sinistre.
(...)(24/08/2011 13:57:16)
Facebook revoit sa politique de confidentialité
Facebook a décidé d'effectuer une série de modifications relatives à la conception de son site pour que ses membres puissent contrôler leurs options de confidentialité. Cette question avait soulevé les critiques de Google au moment du lancement, en juin dernier, du réseau social, Google + « Nous avons réalisé une série d'améliorations qui font qu'il sera plus facile de partager les messages, les photos, les tags et autres contenus avec les personnes que vous voulez », a indiqué Facebook dans un billet de blog. Grâce à ces changements, il sera désormais possible depuis son mur ou sur sa page de profil de régler les paramètres de visibilité de ses statuts, photos ou autres éléments. Jusqu'à présent ces contrôles existaient mais ils figuraient sur une section distincte dans les paramètres du profil.
Un menu déroulant pour répertorier les accès
Chaque élément du profil d'un utilisateur disposera d'un menu déroulant qui répertoriera le niveau d'accès actuel. D'autres options seront également disponibles pour le modifier. Ce menu déroulant se développera au fil du temps afin d'inclure des petits groupes de personnes avec lesquelles les utilisateurs souhaitent partager des informations, comme des collègues de travail, des listes d'amis ou des groupes dont ils sont membres ». a précisé Facebook sur son site. Autre amélioration : le fait de pouvoir changer rétroactivement une publication d'un message sur son profil. Il sera également possible de voir à quoi ressemble son profil et ses messages vus par n'importe quelle personne. Grâce à la refonte de la fonction géolocalisaion, un lieu pourra être ajouté à n'importe quel contenu sans avoir besoin d'un smartphone. Enfin, le site annonce un changement de terminologie, le terme «tout le monde», étant remplacé par celui de «public». «
Complexité des options de confidentialité et de partage des données
Depuis le lancement de Google +, la firme de Moutain View avait affirmé que son réseau social présentait une manière plus simple, et plus efficace que Facebook pour contrôler des contenus.
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L'éditeur avait déclaré que, sur Facebook, les options de confidentialité et les contrôles de partage des contenus étaient trop complexes et peu pratiques, et que les membres du réseau partageaient souvent, et par inadvertance, des données avec un public plus large que prévu.
Bradley Horowitz, responsable produits de Google + a estimé que Google méritait une partie du crédit suite aux modifications réalisées par Facebook.« Je considère que c'est une bonne nouvelle à la fois pour les utilisateurs et également pour nous mêmes » , a-t-il déclaré lors d'une entrevue webcast avec Tim O'Reilly, PDG de O'Reilly Media, mardi après-midi. «Cela montre l'impact que Google + peut avoir dans le monde et cela relève la barre en matière d'attentes et de normes concernant la vie privée », a t-il ajouté.
Greg Sterling, analyste pour le compte du cabinet Sterling Market Intelligence a pour sa part déclaré que si Google + pouvait avoir motivé Facebook à faire évoluer son site, ce dernier avait cependant essuyé des critiques similaires au cours des années par d'autres sources, y compris par ses propres membres.
Mais, quelle que soit la raison, Facebook ne joue pas de fausses notes en ayant décidé de procéder à ces modifications. «Le fait de rendre tous les contrôles de confidentialité plus explicites et disponibles sur une base plus granulaire est une excellente nouvelle », a déclaré l'analyste. « Les contrôles de confidentialité n'étaient visibles que dans la section Paramètres, et n'ont donc pas été utilisés autant ni aussi judicieusement qu'ils auraient dû l'être, » a-t-il ajouté. « Ces changements sont certes, tardifs, mais ils sont les bienvenus et sont très positifs pour les internautes. »
Selon Greg Sterling, Il sera intéressant de voir quel impact ces changements auront sur Google +, qui est actuellement en période de test. Pour lui, les « Cercles » de partage de contenu ont été considérés comme l'une des meilleures armes de Google + contre Facebook.
On estime que Google + compte 25 millions de membres, alors que Facebook réunit à lui seul plus de 750 millions d'internautes.
(...)
Qualcomm, tout désigné pour racheter webOS
Selon Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates, webOS de Hewlett-Packard n'est pas encore mort. Au contraire, c'est peut-être une aubaine pour le fondeur Qualcomm, L'analyste spécule ainsi que le Californien serait le meilleur acheteur potentiel de webOS. Son argument : le fondeur est l'origine des processeurs ARM (SnapDragon double coeur à 1,5 GHz) animant le système d'exploitation mobile de HP. « Je crois que le candidat le plus logique à la reprise de webOS, et celui qui pourrait en assurer le succès, est Qualcomm, » a déclaré Jack Gold dans un rapport publié hier.
Dans un mail adressé à nos confrères de Computerworld, celui-ci a précisé que son avis ne se fondait pas sur une information provenant de Qualcomm. L'entreprise n'a pas, pour l'instant, voulu commenter le point de vue de l'analyste. Jack Gold estime que si Qualcomm devenait propriétaire de webOS, le fondeur pourrait associer l'OS mobile de HP à ses puces et offrir aux fabricants de smartphones et de tablettes un «paquet complet» comprenant un processeur principal, une puce graphique, des circuits radio (CDMA, HSDPA et WiFi) et le système d'exploitation webOS. « Qualcomm dispose des outils nécessaires et des capacités de conception pour mettre au point cette solution complète. Le fondeur serait même en mesure de constituer un écosystème entier, » a déclaré l'analyste de J. Gold Associates.

Un OS pour des tablettes d'entrée de gamme
Qualcomm offre actuellement un OS mobile, Brew, à destination des téléphones bas de gamme. « Mais son offre a grand besoin d'être rafraîchie », a ajouté Jack Gold. Une combinaison Qualcomm-webOS pourrait « redonner de la vigueur au marché des tablettes à bas prix, en particulier sur les marchés émergents, pas encore dominés par des ardoises type iPad ou celles tournant sous Android, » estime encore l'analyste. Ce dernier fait remarquer que Qualcomm s'est déjà engagé à soutenir Android et Windows Phone 7 de Microsoft. Mais selon lui, webOS constituerait une « seconde plateforme viable » pour les fabricants.
Parmi les acheteurs potentiels de webOS, les analystes citent également Google et Apple. Les deux concurrents pourraient en effet trouver intérêt à acquérir la propriété intellectuelle des brevets de HP concernant webOS. « D'autres acheteurs potentiels, comme Samsung ou Amazon, auraient plus de mal que Qualcomm à faire de webOS un concurrent sérieux aux autres plates-formes mobiles, » a encore déclaré Jack Gold.
La semaine dernière, du fait du peu de succès de ses produits, HP a décidé d'arrêter la production et le développement de ses smartphones et tablettes tournant sous webOS. Mais le fabricant avait déclaré dans un communiqué qu'il « considérait toujours l'option de faire perdurer la valeur de webOS. »
(...)(24/08/2011 10:53:12)18 brevets Motorola essentiels pour Google
Google semble avoir misé sur le bon cheval en rachetant Motorola: Parmi les 17 000 documents détaillants les brevets de l'entreprise, 18 brevets seraient, selon Bloomberg, très efficaces dans les plaintes qui l'oppose à Apple pour violation de brevets. Les inventions de Motorola remontent à 1994 et sont essentielles à trois poursuites contre Apple, selon les propos de David Mixon, avocat spécialisé dans les brevets à Bradley Arant Boult Cummings. Ils couvrent les services de localisation, la conception des antennes, la transmission des e-mails...
L'innovation se gagne au tribunal
Ron Epstein, CEO d'Epicenter IP Group, a déclaré à Bloomberg que la balance du pouvoir penchait désormais du côté de Google, depuis que la firme avait acheté Motorola. Nous sommes dans une bataille dans laquelle les participants au marché vont utiliser l'innovation comme un outil pour la victoire. D'autres analystes, notamment Peter Misek, analyste chez Jefferies & Co., pensent qu'Apple est toujours susceptible de continuer sa bataille de brevets contre HTC et Samsung, il a déclaré : « C'est la guerre ».
ICTJournal.ch
Michael Dell ironise sur la stratégie de HP
La semaine dernière, HP annonçait la fin du système d'exploitation pour tablettes WebOS et la vente ou la création d'une spin off avec sa division PC. Michael Dell a accueilli cette nouvelle avec dérision, comme en témoigne l'un de ses tweets: « Si HP crée une spin-off de son activité PC... ils l'appelleront peut-être Compaq? » Le CEO de Dell fait référence au rachat de HP de l'activité PC de Compaq en 2001 pour quelques 25 milliards de dollars.
Tweet et réponses
Dans un premier temps, personne n'a réagi du côté de HP - le département marketing était peut-être trop occupé à déterminer le prix de vente de la tablette TouchPad, bradée actuellement à 99 dollars. Michael Dell a envoyé un autre tweet : «Adieu HP, dommage que vous ne vouliez plus être sur le marché des PC. (...) De quelle manière voulez-vous dire au revoir à HP? » Cette fois, la réponse de HP ne s'est pas faite attendre: « Pas si vite, Michael Dell, nous sommes encore le premier fabricant mondial de PC. Notre équipe s'engage à 100% » Un tweet auquel le dirigeant a répondu : « l'activité PC est 100% engagée à un changement de propriétaire(s) inconnu(s) avec une nouvelle stratégie également inconnue à un terme inconnu.» Les échanges se terminent là.
ICTJournal.ch
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